A vingt ans, je trouvais la mère de ma fiancée super séduisante. C’est encore une belle personne, mais à l’époque elle n’avait qu’une quarantaine d’années, et c’était une femme dans le plein épanouissement de la maturité. Blonde, comme Janine ma fiancée, mais plus pulpeuse, plus sensuelle, en un mot plus femme. Naturellement, elle avait remarqué mon admiration, et quand je venais chercher Janine, elle s’arrangeait toujours pour me prendre par le bras, me frôler avec ses seins ou ses fesses.
Un soir, je vins chercher Janine pour aller au cinéma. Surprise ! Elle était absente. Madame H. m’expliqua que sa fille et son mari étaient partis d’urgence au chevet de Pierre, le frère de Janine qui avait eu un accident. Je m’étonnai de ce que Madame H. ne montra pas plus d’inquiétude. C’était son fils tout de même ! Elle devina sans doute mes pensées ; car : « Rassurez-vous, une fracture bénigne, vraiment rien d’alarmant. Janine m’a demandé de vous tenir compagnie. J’espère que vous n’êtes pas trop déçu. » Ajouta-t-elle, avec un sourire malin et hypocrite. Elle m’offrit un apéritif, se servit un verre, et s’installa sue le canapé, les jambes haut croisées. Elle portait un kimono de satin bleu, qui s’ouvrait à tout propos, et me laissait voir un soutien-gorge à balconnet, un petit slip noir, des bas et des jarretelles de même couleur. Je m’assis en face d’elle, et restai là, mon verre à la main, un peu gauche, un peu gêné. J’ai honte de l’avouer, mais à vingt ans passés, je n’avais pas encore fait l’amour avec une femme. Janine, pas question évidemment. Nous étions officiellement fiancés, et dans ce temps pas si éloigné, on ne badinait pas avec les convenances. Nous flirtions certes, et d’une façon très poussée (fellation, cunnilingus), mais je n’avais jamais introduit ma verge dans le vagin d’une femme. Je ne sais pourquoi, les prostituées me dégoutaient et me faisaient peur. Peut-être à cause des maladies qu’on les accuse de transmettre à leurs clients… Toujours est-il que je souffrais de cette carence, sans savoir comment y remédier. Je voyais bien que je plaisais à la mère de Janine, et si j’avais été plus déluré, je lui aurais fait ce soir-là une cour rapide et efficace. Mais je me taisais niaisement, avec le sentiment aigu de ma verge qui gonflait un peu plus chaque fois qu’un des mouvements de ma future belle-mère me livrait une partie de son corps.
Nous parlions de choses et d’autres, mais j’avais la tête ailleurs. Madame H. paraissait désappointée, et multipliait les effets de jambes et de seins. Par moments, je voyais les poils de sa touffe qui dépassaient du slip sur les aines. Comme je restais stupidement assis, elle se leva et vint vers moi, son sexe à dix centimètres de ma bouche. Excité comme un fou, et pourtant incapable de lui manifester l’envie que j’avais d’elle, j’agrippai les bras du fauteuil pour qu’elle ne remarque pas le tremblement qui me saisissait. Elle me considéra un instant, sourit et me prenant par la main : « Venez, dans ma chambre mon cher Alain, nous y serons mieux pour bavarder. » Je me levai, les jarrets tremblants comme un cheval fourbu.
En montant l’escalier je n’y tins plus, et pris brutalement ses fesses à pleines mains. Elle eût un rire de gorge, se cambra et murmura simplement : « Doucement… nous avons tout le temps. »
Dans la chambre, je fus de nouveau pris de timidité, et restai tête basse, bras ballants, rageant intérieurement de me montrer si bête. Mais je crois que mener le jeu ne lui déplaisait pas. Elle enleva son kimono et s’exhiba avec complaisance. Sans être grasse, elle était bien en chair, le ventre rond, les seins gros, les fesses rebondies, et ça me plaisait. Adroitement, elle ouvrit mon pantalon et commença à me masturber.
Quand ma bite fut bien raide dans ses mains, elle rit doucement : « Hum, hum, pas mal… ma fille a de la chance. » Je la pris par la taille, l’embrassai et posai des mains avides sur ses seins, mordillant les pointes à travers le soutien-gorge que j’essayai d’enlever. Je m’agenouillai, caressai son ventre, et descendis vers son sexe à petits coups de langue. Je repris ses grosses fesses, les pétris, et stupéfait de mon audace, enfonçai un doigt dans l’anus. Elle gémit, ondula, colla sa chatte contre ma bouche. Je baissai le slip, et pour mieux ouvrir les jambes, elle s’en débarrassa d’un coup de pied. Je regardais sa chatte avec un plaisir intense. Je n’avais fait qu’apercevoir très imparfaitement celle de ma fiancée, et je me délectai à la vue de la touffe épaisse, des lèvres roses, de la vulve plus foncée. Je lui fis un cunnilingus, enfonçant passionnément ma langue dans son vagin, aspirant frénétiquement le suc de son intimité. D’une main, je me masturbais, et quand elle jouit, son cri suffit à me faire éjaculer. Un jet de sperme puissant éclaboussa le couvre lit en soie synthétique.
Je me relevai et me déshabillai complètement. Elle s’était allongée sur le lit, cuisses écartées, et la vue de son cul, de ses seins pointes dressées, suffit à me faire bander de nouveau. Comme j’allai la pénétrer, elle me demanda si c’était la première fois. J’avouai, et avant que je la prenne, elle me suça un peu. Elle décalotta le gland, le téta, puis d’un coup enfonça ma queue dans sa bouche. Elle me guida ensuite vers son vagin. J’en caressai l’entrée avec le bout de ma verge, et suivant l’impulsion qu’elle me donnait, je m’introduisis en elle. Son vagin était large, très lubrifié, mais elle le contractait habilement pour me donner un maximum de plaisir. Je jouis, et quand je me retirai, je vis avec satisfaction mon sperme qui coulait le long de sa fente, collait ses poils. Quand nous eûmes repris des forces, je la pénétrai à nouveau, cette fois en levrette, et je fis durer le plaisir en la travaillant longuement. Elle donnait des coups de reins furieux, ma bite semblait se perdre au fond de son cul, mes testicules battaient ses fesses… Je me sentais merveilleusement bien.
Quelques semaines plus tard, j’épousai Janine. Je n’étais pas gêné en présence de ma belle-mère, mais je me sentais un peu frustré. Ma femme était loin de posséder les qualités d’amante de sa mère, et j’avais la nostalgie de cette nuit où nous avions si bien fait l’amour. Madame H. le comprenait, mais repoussait mes avances sous prétexte qu’à présent, j’étais le mari de sa fille. Entre temps je fus muté dans une ville du nord, et ne vis plus ma belle-mère pendant deux ans. Quand je la revis, nous éprouvâmes une telle envie l’un de l’autre, que sans presque une parole, nous allâmes nous enfermer dans les toilettes, pour faire l’amour debout, comme deux forcenés. Puis Madame H. a vieilli, Janine a fait des progrès au lit, et peu à peu cette histoire s’est tassée. Mais je garde une reconnaissance vibrante à la femme qui m’a si merveilleusement initié.
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