La route de retour est longue. Nos 2 voitures se suivent, mais les kilomètres ne défilent pas suffisamment vite à notre goût. En plus, Kathy n’hésite pas à me provoquer. Comme elle ne peut pas conduire, je dois me taper toute la route, et elle, sur le fauteuil du passager, elle n’hésite pas à remonter sa jupe courte et légère dès que la route est un peu plus déserte. Sans me déconcentrer de la route, je ne peux pas voir plus que ses cuisses par de coups d’œil furtifs. Frustrant, très frustrant…
Enfin, voilà une journée terrible pour les nerfs, surtout quand on se demande ce qu’il va se passer une fois arriver dans la villa des parents de Kathy… Dernière côte et voilà, on peut stationner sans problème, il n’y a pas grand monde à cette époque dans ce quartier résidentiel. Comme prévu, la maison est vide. On rapatrie nos affaires, Kathy nous propose de les mettre dans les chambres de sa sœur « Ca libérera la mienne comme ça, et pour la nuit, on verra comment on s’organise… » Son petit air mutin à cet instant là en dit long sur les dispositions où elle se trouve et je lâche instantanément mon sac pour la serrer dans mes bras et dire tout haut « je ne sais pas si je vais commencer par ranger mes affaires si tu continues » Pour lui prouver mon état d’excitation fort avancé, je n’hésite pas à plaquer mon bassin contre le sien et à l’embrasser fougueusement. En fait, tout le monde est très excité et très joyeux. On dirait une bande de gamins (mais sommes-nous autre chose ?) à qui on a promis une super surprise et qui voit l’heure arriver.
Nos bagages déposés, Kathy nous guide pour remonter les escaliers en direction du salon et de la cuisine. Bien sûr, dans mon état, je ne me peux m’empêcher de relever sa jupe pour dévoiler sa petite culotte de coton jaune aux 2 autres qui me suivent. Kathy se retourne en faisant mine d’être en colère, mais le résultat est que sa jupe relevée nous montre sa motte emprisonnée et que l’excitation nous gagne un peu plus. Jérôme ne manque pas l’occasion de sermonner en riant Claire « Je t’avais dit qu’une jupe serait plus pratique pour aujourd’hui ». Certes, mais Claire est très sexy dans son petit cycliste bien moulant. Kathy reprenant son chemin, je suis obligé, à mon grand regret, de lâcher sa jupe qui, sournoisement, en profite pour nous cacher la vue. Kathy nous invite à s’asseoir pendant qu’elle va chercher de quoi boire un verre. Pas pour détendre l’atmosphère terriblement érotique, mais bien pour nous désaltérer après ce long voyage. J’en profite pour la suivre dans la cuisine, et malgré ses protestations, je l’agrippe par derrière pendant qu’elle attrape les verres dans le placard. Je lui caresse les seins en lui murmurant combien elle m’excite et l’incitant à quitter sa culotte sous cette jupe légère. N’obtenant pas de réponse négative mais bien un grognement de contentement, je passe mes mains sous la jupe et elles ressortent avec le morceau de tissu. Mes mains retournent dans cet endroit secret et caressent brièvement mon amie, ses fesses toutes rondes et chaudes et bien sûr son minou tout poilu. Je lui laisse finir la préparation du goûter et je rejoins les 2 autres dans le salon…
Les 2 affreux ne nous ont pas attendu. Profitant de leur tranquillité, ils sont tendrement enlacés, partageant un baiser interminable et la main de l’autre fouillant leur intimité. Certes, ils n’ont rien quitté et donc le spectacle n’est que suggéré, mais les regarder quelques instants ne calme pas mon érection. Je me dirige vers eux, qui ne semblent pas me voir, et je dépose la culotte de Kathy sur les genoux de Jérôme. « Tiens, j’ai vu l’autre jour que tu aimais ça » dis-je en souriant. S’arrêtant enfin de lutiner sa chérie, il prend la culotte et la hume longuement provocant un peu de moue sur le visage de Claire. « Mais toi aussi ma chérie tu sens très bon. J’adore sentir tes culottes, tu sais bien mon cœur ». Jérôme réussit à redonner le sourire à son amie quand Kathy arrive avec son plateau, ses verres et ses gâteaux. Pas de chance, Jérôme et Claire étant sur le petit canapé, j’ai pris le fauteuil, il ne lui reste que 2 solutions pour s’asseoir : sur le canapé en se serrant et sur une chaise, se mettant ainsi un peu plus haut que nous et, je l’espère, nous dévoilant le haut de ses cuisses, en attendant mieux. J’attends avec impatience de voir ce qu’elle va choisir. Surprise, finalement, elle se dirige vers moi et se pose sur une de mes cuisses, les jambes de part et d’autres. Je sens la chaleur de son sexe en direct sur la peau nue de ma cuisse. Mon sexe fait un bon supplémentaire dans mon short, d’autant plus qu’elle n’hésite pas à glisser et à se tortiller pour trouver la position la plus confortable, et je suis sûr, celle qui m’excitera le plus. Je sens parfaitement ses poils frotter ma cuisse, sans parler de la moiteur qui se propage. C’est Claire qui prend l’initiative de se pencher pour attraper son verre la première. Et son débardeur sans soutien-gorge ne manque pas l’occasion pour s’évaser pour permettre à Kathy et à moi, situés en face de Claire, d’avoir une vue furtive mais efficace sur sa petite poitrine en poire. Elle sait très bien le spectacle qu’elle nous offre et Jérôme aussi vu le petit sourire en coin qu’il nous donne. C’est à moi de faire remarquer à Kathy que « Un débardeur c’est quand même plus sexy qu’un t-shirt classique » comme elle porte. Mais sans se dégonfler, elle quitte son t-shirt en me lançant : « Tu n’as plus qu’à dégrafer mon soutien-gorge si tu veux voir mes seins. Pas besoin de se contorsionner comme le fait Claire ». Sans me faire prier, je libère les seins ronds de Kathy à la vue de nos copains qui apprécient visiblement le spectacle de ces seins lourds et rond aux points érigées par une excitation certaine. « C’est vrai que tu es plus directe que Claire. Aussi bien pour la jupe que pour le haut, tu n’hésites pas à te dévoiler » lance-je avec un air de défi, espérant que Claire se sentira piquer au vif. Pas manqué « Tu as au moins remarqué que je n’avais rien sous mon cycliste, j’espère ? » me lance t elle un peu vexée. « Ah bon ? Tu n’as rien dessous ? » fais-je innocent (j’avais bien remarqué qu’on ne voyait pas trop de marques, mais bon). Jérôme lui vient en aide (en apparence) « Non, elle n’a rien. Regarde » et il lui tend le cycliste en écartant bien ses jambes. L’apparition de ses lèvres, bien marquées à travers le tissu, ne laisse pas de doute : il n’y a pas d’autres intermédiaires. En insistant, il enfonce un peu du caleçon dans le sexe de Claire et le retire rapidement, exultant « Tu vois, le tissu est même humide, preuve ultime non ? » « Je vois pas d’ici si c’est humide ou non ? »
Claire alors se lève et vient se mettre devant moi, penchée en avant, les fesses vers moi. Avec Kathy, on a une vue parfait sur ses globes bien serrés dans le cycliste. Une petite tache humide effectivement est là au niveau de son sexe. Jérôme en rajoute « C’est vrai que quand elle se penche vers l’avant, son débardeur laisse voir un joli spectacle. Autant l’enlever dans ces conditions ». « Bon, vous vous liguez tous contre moi. Ok. Voilà, voilà » Et elle passe son débardeur par dessus la tête, puis fait glisser son cycliste, nous dévoilant ses petites fesses fermes et pales. Voyant ça, pour ne pas que Kathy soit en reste, je tire sa jupette vers l’avant, et soulevant ses fesses de mes cuisses, elle finit de la retirer. Voilà nos 2 amazones nues, au milieu du salon. Toujours aussi différentes. Toujours aussi excitantes. Kathy ne se rassit pas finalement et se pose devant moi, nue. Son sexe brun et poilu est à quelques centimètres de ma figure. Mais ce qu’elle veut, visiblement, c’est plutôt mon short. Là voilà qui se baisse (transformant ses jolis seins en obus) et qui tire mon short. Sans problème, je me laisse faire, et le slip venant avec, mon sexe se libère brutalement, comme un Zébulon ne tenant plus dans sa cage. Je sens qu’il va falloir s’en occuper rapidement. À peine, cette réflexion me traverse t elle l’esprit que je vois la bouche de Kathy emprisonner mon sexe tendu. Depuis notre première relation, elle me l’a fait plusieurs fois et commence à bien maîtriser son sujet. Sa langue parcourt le tube de long en large et elle l’embouche régulièrement. Ses mains ne restent plus inactives et s’occupent de temps en temps de mes couilles, de temps en temps de ma raie. Encore quelques temps, et ce sera la meilleure suceuse de ce côté ci de la Manche.
Je jette un coup d’œil sur le reste de la troupe. Et la situation est inverse. Claire s’est étendue sur le canapé et Jérôme, entre ses cuisses, a l’air de s’occuper activement de son cas. D’ailleurs, même un aveugle pourrait y participer, car Jérôme n’hésite pas à laper bruyamment et les petits cris de Claire ne couvrent qu’en partie les bruits exagérés de son homme. Entre 2 soupirs Claire parvient à demander à Kathy si elle consent à lui prêter mon sexe pour le prendre dans sa bouche. C’est la première fois depuis qu’on a découvert les plaisirs à 4 qu’il y a une demande d’échange. Après un temps d’hésitation, Kathy se relève et me guide pour que je m’assois sur l’appui bras du canapé et conduit ma queue vers la langue avide de Claire. Celle ci l’embouche rapidement et presque frénétiquement. Kathy se recule un peu pour mieux voir le tableau qui semble la troubler profondément. Elle s’assoit sur le fauteuil où j’étais, et remontant haut ses jambes commence à se masturber activement, devant nous, le sexe largement écarté. La vue de ce sexe rouge et poilu me trouble au plus haut point et je dois faire un grand effort pour ne pas me répandre immédiatement dans la bouche de Claire dont la respiration se fait de plus en plus rapide. Jérôme d’ailleurs, doit sentir cela et arrête son manège, se levant et se dirigeant vers le fauteuil. « Continue mon job, Sylvain. Un petit 69 n’a jamais fait de mal »
Campé devant Kathy, il me (nous) cache la vue magnifique et nous oblige de facto à se concentrer sur notre exercice. Ma langue remplace donc celle de Jérôme dans le sexe fruité de Claire. Il est frais malgré la chaleur de l’instant et mes doigts ne peuvent s’empêcher de courir un peu partout ; dans sa fente, dans sa raie… Jetant un œil discret de temps en temps, je vois qu’il quitte son short et son slip et qu’il commence visiblement à se masturber. Je ne vois que la tête de Kathy (Jérôme me tourne le dos), mais ses yeux fixent Jérôme fermement, et j’imagine qu’en face, c’est pareil. Les gestes s’accélèrent et Jérôme s’avance encore un peu vers Kathy et la tire vers lui pour la pénétrer sans problème. Kathy alors laisse partir un cri de soulagement et commence à haleter encore plus fort que Claire. Ce spectacle, l’odeur du sexe de Claire et sa langue experte sur mon sexe ont l’effet que vous imaginez. Et je résiste de plus en plus difficilement à ce plaisir qui monte en moi. Non, je ne serais pas le premier à jouir dans cette salle. Las, la langue de Claire est plus forte que ma volonté et me voilà qui me répand violemment dans sa bouche puis rapidement, débordant sur son visage et son cou. Et comme souvent dans ces cas là, ma jouissance déclenche une cascade de dominos et Kathy puis dans la foulée Jérôme me rejoignent dans l’état suprême qui succède à l’explosion. Je commence à douter de mes talents de lécheur quand enfin Claire nous rejoint, lâchant son jus sur mon visage avide. Jérôme se desserre de Kathy, je me relève libérant Claire qui s’assoit sur le canapé. Le ventre de Kathy et son minou sont tout poisseux du jus de Jérôme qui s’était donc retiré avant d’éjaculer.
Elle passe ses doigts pour récolter la semence et la porter à sa bouche. On reprend ainsi doucement nos esprits, difficilement. Enfin, un « Ahh c’était bon » lâché par Jérôme rompt le silence. J’en profite pour m’excuser discrètement auprès de Claire de lui avoir si longtemps repoussé la jouissance, mais dans un sourire elle m’explique qu’elle est toujours longue à jouir car elle arrive très bien à se contrôler. Rassuré sur mes capacités, je rejoins Kathy pour l’embrasser sur ses seins gonflés. Visiblement, cette séance a lessivé tout le monde, car Kathy ajoute à son tour « Si on continue comme ça, on ne va pas tenir 2 jours… » Lui montrant ma bite, je la rassure en lui disant que l’excitation qu’elles apportent toutes les 2 compensera bien les fatigues.
Après une petite pizza surgelée et une douche prise entre couple, la soirée télé ne dure guère. La fatigue du voyage s’ajoutant à celle de la séance précédente ayant eu raison des plus vifs ardeurs. D’un commun accord, chaque couple rejoint une chambre, et sans plus de formalité, Kathy et moi nous endormons nus dans les bras l’un de l’autre.
Le lendemain, l’expérience de la veille aidant, nous avons été plus sages en se contentant de caresses et de coups d’œil dans la journée pour mieux partager nos corps dans la nuit. Nuit qui sera la dernière, Jérôme devant partir en vacances avec ses parents…
Vivement la rentrée qu’on se retrouve…
Aucun commentaire pour le moment