Par une belle journée d’été, je me promenais en compagnie d’Amandine dans la rue piétonne du village où nous habitons. On entendait au loin le haut parleur saturé d’une voiture qui annonçait la venue d’un cirque : « Rendez-vous ce soir à 20h30 sous le grand chapiteau pour un spectacle de cirque traditionnel. Un régal pour petits et grands. La parade aura lieu ce jour à 19h00 dans le centre ville…»
— Ah le cirque ! Ces jongleurs, ces clowns, ces acrobates, ces voltigeurs, ces animaux exotiques… tout un programme !
J’étais retourné en enfance, mais cela n’avait duré que quelques instants… Amandine le remarqua…
— Ca te dit d’y aller ? Ca nous changera, me dit-elle tout de go.
— C’est vrai ? Tu veux bien ? Super…
On traina encore un peu dans la rue, mais trop curieux de savoir à quoi ressemblait ce cirque, on se mit à faire la course vers le chapiteau, comme deux gamins. Bien sûr, on arriva en avance, il devait être à peine 19h30 et la parade n’était pas encore terminée. Les animaux n’étaient pas encore là et la zone du cirque semblait déserte. On s’aventura à l’intérieur du périmètre réservé au personnel, pas trop près des roulottes, pour ne pas se faire repérer.
Hélas, il n’y avait rien de bien intéressant à voir. Les gens du cirque étaient tous absents. Après avoir fait le tour du chapiteau, un bruit nasal nous fit sursauter : « Hi Han ! Hi Han ! »
Un vieil âne gris broutait tranquillement près d’un arbre, il était attaché et semblait content de nous voir. Amandine s’approcha de lui et le caressa un peu… Elle avait toujours aimé les animaux. Elle lui caressait le dos, le ventre, entre les yeux… Elle était câline avec lui. Après quelques secondes, le sexe de l’âne commença à s’allonger verticalement et toucha presque le sol, naïf que j’étais je pensais qu’il avait sans doute envie d’uriner… Mais, en fait, son sexe se redressa et il se mit à bander comme un âne. Je trouvais ça curieux qu’il réagisse aussi vite à des caresses… comme s’il avait été entrainé pour ça… Je regardais sans rien dire…
Amandine ne remarqua pas la grosse tige d’au moins 50cm qui vibrait sous l’animal. L’âne semblait excité et quelques goutes perlaient de son gland surdimensionné. J’allais enfin lui signaler quand soudain, une voix surgit de nulle part :
— Hep, vous là-bas, qu’est-ce que vous faites ?
J’eu la peur de ma vie en entendant cette fille hurler. Je la regardais comme un gamin qui avait fait une grosse bêtise. Elle avait une autorité naturelle, l’habitude de commander sans doute…
— Vous l’avez excité, c’est malin… Va falloir le vider maintenant…
On la regardait sans comprendre.
— On ne peut pas le laisser dans cet état, dit la fille en nous montrant son braquemart qui remuait.
Amandine comprit enfin la cause de tout ce bazar.
— C’est à cause de moi qu’il…
— Oui. Il n’a pas souvent de compagnie… Attendez-là, je reviens…
La jeune fille apporta une sorte de long préservatif transparent. Elle se baissa et le glissa le long du sexe de l’animal… La manoeuvre n’était pas si facile, car l’âne bougeait son arrière train.
— Voilà, c’est fait. Y’a plus qu’a…
Tout en disant cela, elle s’était accroupie et lui malaxait les testicules. Elle le branlait un peu aussi. Je n’en revenais pas qu’une si jeune fille ose faire ça. Amandine, épaté, se baissa un peu pour mieux voir…
Les petites mains blanches tripotaient la queue de l’animal. La fille avait l’habitude, ça se voyait. Ce n’était sûrement pas la première fois… Les boules de l’animal flottaient au dessus de son visage.
L’âne braya, plusieurs fois et plus fort que tout à l’heure.
Il éjacula avec force et remplit copieusement le préservatif. Cela dura au moins trente secondes. Ensuite, le quadrupède débanda et le bout de caoutchouc resta collé sur son sexe pendant. La fille lui ôta d’une main experte et regarda la quantité récupérée comme un médecin examinerait les résultats d’un patient.
— Oh là, y’en a plus que d’habitude… Je vais me régal…
Comme si elle venait de se rappeler de notre présence, elle resta un instant sans bouger puis se reprit.
— Hum, c’est la dame qui a du t’exciter comme ça…
Elle fit un nœud au préservatif et se releva.
— Voilà, ça devrait le calmer pour ce soir…
Elle souriait et exhibait fièrement le résultat de son travail. On était tous les deux très impressionnés.
— Vous allez en faire quoi du préservatif ? demandais-je, curieux.
Etonnée par la question, elle le positionna au niveau de son visage :
— Ca ? Je vais… eh bien, je vais m’en débarrasser… Pourquoi ?
— Je me disais… si cela ne vous dérange pas bien sûr… enfin j’aimerais bien le garder ? En souvenir…
Elle me regarda bizarrement et se mit à serrer fort le préservatif. On aurait dit qu’elle voulait absolument le garder. Elle hésita longtemps pour enfin céder à ma requête.
— OK, si vous voulez… Mais ne trainez pas dans les parages avec ça, sinon vous risquez d’avoir des problèmes…
Et elle me refila le préservatif, qui pesait lourd, à contre coeur.
— Bon, hum, je dois y aller, le spectacle va bientôt commencer.
Et elle s’éloigna en marchant tout droit, sans se retourner.
Voilà, c’était terminé. Ca avait à peine duré dix minutes et nous étions tous les deux encore sous le choc. Je pris Amandine par la main et elle me regarda avec des yeux enflammés. Elle était excitée et n’avait plus du tout envie d’aller au cirque.
*****
Une fois à la maison, on se déshabilla à une vitesse folle. J’allais déposer le préservatif dans la cuisine, quand Amandine m’attrapa par les hanches :
— Allez, viens, j’ai trop envie.
Impatiente, elle me poussa vers la chambre.
— Allez mon bel étalon, toi aussi je veux te faire jouir…
Et elle s’accroupit pour me gober le sexe. J’étais nu et j’avais toujours la semence de l’âne avec moi… dans ma main. Elle me suçait, trop excité pour penser à autre chose qu’au sexe. Au bout de cinq minutes de cette fellation express, je sentais déjà le plaisir monter. Aussi, je pris le relais et je me mis à me branler frénétiquement devant son visage.
De peur de recevoir un jet ou deux dans l’œil, elle ferma les yeux. La bouche ouverte, elle tira la langue et attendit sa récompense tout en se caressant les seins, comme une vraie pro.
Une idée me traversa l’esprit, j’avais ce préservatif plein dans ma main et je n’avais pas encore jouis… C’était tentant. Allait-elle s’en apercevoir ?
Je réussis à défaire le nœud sans trop de difficulté, puis, discrètement, je le positionnais au dessus de son visage. Il y en avait beaucoup, elle allait surement me tuer après un truc comme ça… J’hésitais vraiment… Mais mon envie fut plus forte que ma raison et je me mis à déverser son contenu, par accoup, comme une vraie bite, sur sa langue… Elle pensait que j’éjaculais et ne se rendait compte de rien, heureusement. Mais au bout du vingtième versement environ, la dose devenait tellement inhabituel que sa cavité buccale se retrouva remplit presqu’à ras bord… Je stoppais alors mon manège, de peur que ça déborde…
Comme à son habitude, elle garda le liquide en bouche et joua avec avant de l’avaler. Et c’est seulement quand elle déglutit, qu’elle sentit un gout si singulier qu’elle en ouvrit les yeux d’étonnement… Elle aperçût alors ce que j’avais dans ma main et surprise, se releva d’un coup.
— Putain, mais t’es dégueulasse ! Tu m’as fait boire ça ?
— Je trouvais ça marrant…
Elle s’approcha du préservatif en essayant de l’attraper.
— Donne-le moi. Tu vas voir si c’est marrant…
— Attends, attends, avant, j’ai une question à te poser.
Je pris mon temps comme pour un moment solennel.
— Quel goût ça a ?
Elle ne voulut pas me répondre mais comme je tenais le préservatif hors de sa porté, en l’air du bout des doigts… elle se résigna et me répondit en parlant très vite :
— Ca a comme une odeur de foin… C’est… très goûteux. Voilà, t’es content ?
Et elle me regarda droit dans les yeux, les mains sur les hanches, les joues en feu. J’en remettais une couche :
— Il en reste encore… regarde !
— C’est bon, j’ai eu ma dose je crois…
— Et si je te massais le corps avec ce qui reste ? proposais-je comme pour me racheter.
Elle réfléchit un instant et me fit un oui timide de la tête.
— Dit donc, en fait ça t’excite mes cochonneries !
Elle ne répondit rien et alla s’allonger sur le lit en se mettant sur le dos et commença à se masturber.
— Allez, viens… je veux sentir son odeur sur moi.
Je m’approchais d’elle et déversais lentement le reste de ce précieux nectar. Je massais ses seins, son ventre, son minou épilé, ses jambes, en utilisant le sperme d’âne… Elle en avait partout, ça dégoulinait sur les draps. Elle étalait cette « crème » et se caressait les seins en gémissant. Ca sentait fort, trop fort, je ne trouvais plus l’idée aussi agréable que ça. Surtout que je n’avais toujours pas eu d’orgasme moi. Elle continuait de se masturber, les doigts pleins de semence, ce qui lui procurait apparemment beaucoup de plaisir…
— Viens me lécher maintenant !
Quoi ? pensais-je.
J’hésitais. Franchement, sachant à quoi j’allais devoir faire face… Beurk… Mais, Amandine était dans un tel état d’excitation que je ne pouvais m’y soustraire. Aussi, malgré une certaine réticence, je réussis à m’installer entre ses cuisses odorantes et à commencer ma léchouille. Le goût, mélangé à sa cyprine, n’était pas si mauvais… Ce fut tout de même le cunnilingus le plus bizarre de toute ma vie.
Puis, nous fîmes l’amour comme des bêtes pendant au moins une heure…
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