Cela s’est passé il n’y a pas très longtemps. La sœur de ma femme venait s’incruster chez nous pour trois jours. Ça lui arrivait de temps en temps, quand elle était de passage en ville. Mais là, sur une telle durée, c’était assez inhabituel, et heureusement !
Ce n’est pas qu’elle est méchante, ma belle-sœur, mais elle est quand même assez rapidement irritante avec ses petites manies et sa capacité à être envahissante. Néanmoins, pour faire plaisir à ma petite femme, je m’efforçais de donner le change autant que possible. Le seul point positif, finalement, c’était d’avoir deux femmes sous mon toit. Même symboliquement, je crois que ça fait toujours plaisir à un homme et quelque part, c’est déjà l’ébauche d’un harem. Bon, hélas, la belle-sœur n’était pas non plus un super canon, sans être moche non plus. Aînée de ma femme de trois ans, elle allait tranquillement sur ses trente ans. Petite et toute fluette, elle vivait en couple sans être mariée, et c’est pour son boulot qu’elle était parfois amenée à dormir chez nous.
Bref, elle est arrivée le lundi soir et nous l’avons, comme d’habitude, installée dans notre salon. Au moment de se coucher, il lui arrivait souvent de faire des allers-retours entre la salle de bains et le salon en culotte mais, bon, c’était pas de la lingerie fine et moi, je ne trouvais pas ça tellement excitant. Je ne sais pas pourquoi, ce soir-là, néanmoins, ça a commencé à me trotter dans la tête… Je me suis même surpris à la mater un peu, en prenant bien soin que ma femme ne s’en aperçoive pas, bien sûr. Sur le coup, ce n’est cependant pas allé plus loin : on est tous allé se coucher bien gentiment. Enfin, avec ma femme, on a quand même fait l’amour et j’avoue que, moi, ça m’excitait un peu de savoir que sa sœur était dans la pièce d’à côté et qu’elle nous entendait.
Après ça, ma femme s’est endormie rapidement et la nuit est devenue silencieuse dans l’appart. J’ai traîné un peu dans le couloir, à poil, en me disant que ce serait marrant que ma belle-sœur se lève à ce moment-là et me surprenne, mais ça n’arriva pas. Alors, je me suis recouché. Quelque dix minutes plus tard, j’ai entendu ma belle-sœur se lever pour aller aux toilettes. J’ai hésité un instant à l’intercepter, mais finalement, je n’ai fait que l’épier par l’embrasure de la porte. Secrètement, j’espérais qu’elle se soit levée à poil mais, non, elle avait bien gardé sa culotte. Elle ferma même la porte de la salle de bains… et elle pissa fort. Ça résonnait dans le couloir. Puis elle est retournée prestement se coucher. En effet, c’était l’heure de dormir.
Le lendemain, ma femme fut la première à partir, à l’aurore. Quand je me suis levé, ma belle-sœur dormait encore, semble-t-il. Je suis donc allé faire ma toilette avant qu’elle ne squatte la salle de bains. Néanmoins, la nuit n’avait en rien apaisé mes idées déviantes : je me délestai donc de mon caleçon, ne conservant que mon t-shirt qui ne cachait rien de mes attributs virils. Au bout du compte, je faisais ça dans un esprit de déconne, comme par taquinerie mais, évidemment, je trouvais aussi cela excitant. Je m’attardais à plaisir, lorsque j’entendis enfin de l’agitation dans le couloir. Aussitôt, je sortis de la salle de bains et me retrouvai face à elle. Je la vis tout de suite bloquer son regard sur mon sexe qui pendait. Sans être en pleine érection, mon excitation lui donnait des proportions flatteuses. Le plus naturellement du monde, néanmoins, je poursuivis ma route en lui disant bonjour. Elle me répondit d’une petite voix mal réveillée et je m’engouffrai aussitôt dans la chambre : quel bon trip ! Pour le coup, j’en bandais pour de bon.
A l’abri dans ma chambre, je repris néanmoins mes esprits et fis un peu retomber la pression. Comme toujours dans ces cas-là, j’eus pratiquement tout de suite envie d’aller plus loin. Il fallait que j’y retourne. Elle était dans la salle de bains, porte fermée. Je frappai.
— Je peux rentrer ?
Elle ouvre la porte et il m’a semblé que son regard s’était tout de suite porté vers l’essentiel. Cette fois cependant, elle m’accueillit dans un grand sourire, volubile, comme elle était toujours. Elle me demanda si j’avais bien dormi et commença même à me raconter qu’elle avait eu un peu froid, etc. Etrange, parce que j’avais quand même la bite à l’air. Moi, j’avais juste prévu de récupérer une brosse à cheveux, histoire d’avoir un prétexte, même débile, d’être revenu… Pour ça, je devais passer derrière elle. La salle de bains était étroite et elle ne fit rien pour me faciliter le passage. Ce fut un peu vague, mais il me semble bien que mes parties effleurèrent sa jambe à ce moment-là. Là, j’étais presque gêné et je repartis sans demander mon reste.
Je finis par remettre mon caleçon pour aller petit-déjeuner, parce qu’il fallait quand même pas déconner : petit-déjeuner à poil devant sa belle-sœur, ça ne se fait pas. Elle me rejoignit à la cuisine quelques instants après, toujours en culotte et en t-shirt de son côté, le plus naturellement du monde. Comme d’hab, elle recommença à parler, de choses peu intéressantes, sans s’arrêter. J’essayais de soutenir la conversation pour faire le gars normal, sans plus. Je sentis néanmoins rapidement que son discours était orienté dans un sens bien précis.
— J’ai vraiment eu froid, cette nuit, avec ma pauvre petite couverture… et encore, j’étais habillée, alors que chez moi, d’habitude, je dors toute nue.
Là, je me suis retenu de lui dire qu’il fallait pas qu’elle se gêne, alors elle poursuivit toute seule :
— C’est de famille, je crois. Ma sœur dort nue, aussi, non ?
— Ça dépend des fois, en fait.
— Mouais, je crois que c’est plus un truc de fille, ça. Pour les mecs, faut dire que ça doit pas être forcément très pratique avec votre truc qui se balade.
Elle pouffa alors d’un rire assez enfantin, tel qu’elle faisait toujours quand elle parlait d’un truc en rapport avec le sexe, comme pour signifier que ce n’était pas bien sérieux. Puis elle reprit après un temps d’arrêt, sur le même ton :
— Surtout que, d’après ce que j’ai aperçu tout à l’heure, le tien a l’air particulièrement… gênant !
A ce moment-là, j’ai senti mon sang battre dans mes tempes. Avais-je bien compris ce qu’elle venait d’évoquer ? Je ne savais plus trop quoi dire, surtout qu’elle continuait de me fixer en souriant un peu bêtement. Il y eut un blanc avant que je ne prenne mon courage à deux mains. Après tout, avoir l’occasion de parler de ma bite avec ma belle-sœur, c’était une belle occasion à ne pas laisser passer. Je répondis donc un peu timidement :
— Ben, il a une taille normale…
— Tu rigoles ? Par rapport à Seb (c’était son copain), je peux te dire que ça n’a rien à voir. M’enfin, j’ai pas non plus regardé en détail.
Alors, flatté, je parvins à bien me dérider et réussis à mon tour à faire un peu d’ironie :
— En même temps, j’ai pas trop d’éléments de comparaison : je ne vois pas les bites d’autres gars tous les jours !
Ça la fit rire.
— En même temps, je ne suis pas sûre d’avoir très bien vu. Tu ne veux pas me la remontrer pour que je me fasse une idée plus précise ?
Alors, là, elle allait loin, la coquine ! Bon, en même temps, mon sexe en pleine excitation se sentait déjà à l’étroit dans mon caleçon. Et puis, merde, c’était demandé d’une manière si naturelle que c’était tout aussi naturel que je lui donne satisfaction.
— C’est bien parce que tu demandes le gentiment…
Et aussitôt, je sortis ma bite qui se dressa fièrement entre mes jambes, sous le regard admiratif de ma belle-sœur. Pour le coup, elle rapprocha sa chaise pour se mettre à moins d’un mètre de moi et pouvoir observer mon sexe à loisir. Elle s’extasiait sur sa taille, me flattait tant qu’elle pouvait. Moi, je trouvais cette situation très excitante. Je sortis même mes couilles et me sentis complètement à l’aise. Elle aussi commençait d’ailleurs à se lâcher complètement.
— Tu as vraiment une bite magnifique. Ma petite sœur est une vrai petite veinarde… je peux la toucher ?
Je n’eus pas le cœur à repousser une si sympathique initiative. Elle s’empara aussitôt de mon chibre tendu à pleine main. Comme elle était assez petite, ça donnait effectivement à mon membre des proportions assez impressionnantes : c’était à peine si elle arrivait à en faire le tour avec ses doigts ! Sans plus de cérémonie, elle se mit à le caresser et à faire des va-et-vient avec ses deux mains. Elle faisait ça très délicatement et j’étais presque sur le point d’exploser. Je ne pus d’ailleurs pas m’empêcher de lui dire :
— Ouah, dis donc, c’est pas désagréable !
Elle se contenta de sourire, mais continua de plus belle, tout en me caressant gentiment les couilles. Je lâchai alors un long râle avant d’expulser mon foutre aux quatre vents. Quelques projections échouèrent sur ses jambes et sur les miennes, mais elle retint l’essentiel entre ses mains. Elle paraissait avoir un vraiment bon savoir-faire en la matière et semblait en tout cas ravie.
— Et bien, et bien… je te confirme que je la trouve magnifique !
Elle rit de nouveau avec un naturel désarmant :
— Bon, allez, faut que j’aille nettoyer tout ça avant d’aller bosser.
Je n’en revenais toujours pas de ce qui venait de se passer. Je restais sur la chaise de la cuisine, le sexe ramolli gisant sur ma cuisse. Ma belle-sœur venait de me branler voluptueusement, comme si c’était tout à fait banal. Mais, après tout, il faut parfois éviter de se poser trop de questions et prendre ce qui vient, comme ça vient. À force de gamberger, j’allais en effet finir par me mettre en retard.
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