Sophie et moi, on habitait dans une grande maison près de Toulouse. Loin de la capitale, nous n’étions que spectateurs des crises successives que subissaient la France et les français. Nous vivions de manière aisée et cela nous culpabilisait vis à vis de nos proches et de nos amis. C’est sans doute pour cette raison que ma femme décida de venir en aide à son ex-mari.
Roberto, venait de perdre son emploi et son logement. Il n’arrivait plus à subvenir aux besoins de Christopher, son fils âgé de quatorze ans. Ma femme lui proposa de vivre chez nous, le temps que sa situation s’améliore… Il refusa, prétextant que ça serait plus facile de trouver un nouveau job dans la capitale. Il accepta toutefois de nous laisser Christopher pendant les vacances.
Mais sur le trajet, il y eu un terrible accident. Roberto trouva la mort, percutant un arbre de plein fouet avec sa voiture. A cause de sa situation financière, la police privilégia la thèse du suicide, alors que son fils se trouvait à bord ! Ma femme, elle, resta convaincue qu’il s’agissait d’un accident.
Christopher avait survécu, mais il avait subit de nombreuses commotions cérébrales. Il était bien vivant mais ne parlait plus et ne réagissait plus que par intermittence avec le monde extérieur. Il vivait dans une bulle. Il avait maintenant besoin des autres pour se nourrir, se laver et s’habiller…
Même si je n’avais jamais aimé son père, peut-être par jalousie ? j’avais de la peine pour ce petit bonhomme. Après tout, ce n’était pas sa faute, il n’y était pour rien…
Il souffrait d’un handicap sévère et je n’imaginais plus ma femme vouloir l’héberger comme prévu. Et bien, je me trompais ! Ma femme culpabilisait tellement qu’elle fut encore plus déterminé à vouloir l’aider. « C’est parce qu’il nous amenait Christopher qu’il s’est tué, c’est notre faute… » n’arrêtait-elle pas de me dire. Elle espérait de tout cœur se rattraper en l’aidant au mieux.
Par curiosité, j’avais été pêcher quelques infos sur sa page Facebook, qui n’était plus mise à jour depuis l’accident. Il était le portrait craché de son père ! C’était hallucinant cette ressemblance… Il était seulement un peu plus jeune.
*****
Christopher arriva donc un soir, par avion, vers 23h. Après lui avoir montré sa chambre, Sophie l’installa et l’aida à se coucher. Elle n’eut pas le temps de faire les présentations car totalement épuisé par ma journée de travail, je m’étais écroulé sur mon lit.
Le lendemain matin, Sophie se leva après moi, vers 9h30. Complètement nue, elle me sauta au cou et m’embrassa goulument. Elle alla ensuite s’asseoir sur une chaise. Comme elle ne portait rien, je me disais qu’elle avait sûrement oublié la présence de Christopher sous notre toit… Elle était parfois dans la lune le matin…
J’avais préparé un copieux petit-déjeuner, il y avait des croissants, du pain grillé et du jus d’orange frais. Elle dévorait tout ce qui était à sa porté. Avec un petit sourire, j’admirais ses deux grosses brioches qui se trouvaient devant moi. Lorsqu’elle alla chercher un yaourt dans le frigo, elle en profita pour s’étirer sur la pointe des pieds… Elle s’immobilisa et garda les bras bien en l’air tout en gémissant, j’avais une vue splendide sur sa belle poitrine. Au même moment, Christopher entra dans la cuisine…
Sophie baissa aussitôt les bras et me regarda avec des yeux ronds. Surprise, elle ne prit même pas la peine de cacher son corps… Elle se gratta la tête, l’air de réflechir puis me regarda… Et oui chérie, tu es toute nue, fallait y penser avant… c’est malin… pensais-je. Contre toute attente, elle alla reprendre sa place et mangea son laitage, sans sourciller.
J’étais tellement étonné par le comportement de ma femme que j’en avais presque oublié la présence de Christopher. Mais, cela ne dura qu’un instant. Il avança vers moi et… il était nu ! lui aussi ! Décidément, ça commençait bien cette cohabitation. Sophie l’invita à s’asseoir mais il ne bougea pas. Je faisais une drôle de tête et ma femme se mit à gamberger :
— Et si on essayait de rester nu, comme lui, tout l’été… Ca pourrait l’aider à se sentir bien je pense, il s’adaptera mieux à son nouvel environnement… Qu’en penses-tu ?
J’acquiesçais dans le vide…
On allait donc devoir vivre à poil, 24 heures sur 24 ? Je trouvais ça tout à fait déraisonnable ! Et quelque chose me chiffonnait… Pourquoi était-elle si enthousiaste ?
C’est en observant Christopher que je compris. Le crâne rasé, il avait une cicatrice énorme sur le côté droit. Il ressemblait à un Skin-head. Mais ce n’était pas ça… Son pénis et ses testicules était ultra-développés pour son âge. Je n’avais jamais vu quelqu’un d’aussi jeune avec un engin pareil. Au repos, son pénis avait déjà la longueur de mon sexe en érection. Son gland était totalement recouvert d’un long prépuce qui pendouillait au bout.
Sophie ne semblait aucunement gêné, ni par sa précocité, ni de lui montrer ses nibards. Elle attrapa un croissant dans la corbeille et se dirigea vers lui. Elle l’aida à manger, morceau par morceau. Il restait debout et des morceaux tombaient sur le sol… elle s’accroupissait de temps en temps pour ramasser… A chaque fois, elle en profitait pour mater son entrejambe. Tout en faisant le ménage, elle pensa tout haut :
— Il ressemble tellement… à son père…
Après ce p’tit dèj un peu spécial, Sophie attrapa Christopher par la main et l’emmena dehors, vers la piscine. A cause de la ressemblance, je me mis à imaginer qu’elle tenait la main de Roberto… J’effaçais aussitôt ces mauvaises pensées.
Elle s’allongea sur un transat et il resta debout, devant elle. D’origine italienne, il avait gardé le réflexe de parler avec les mains mais des sons incompréhensibles sortaient de sa bouche… Il essayait de communiquer, c’était encourageant… Son sexe n’arrêtait pas de se balancer au rythme de ses mouvements… on aurait dit qu’il dansait sur de la Tecktonik ! C’était triste et drôle à la fois.
La tête posé sur un coussin, le visage de Sophie n’était qu’à quelques centimètres de sa queue. Elle ne semblait aucunement s’en soucier, bien au contraire ! Elle essayait de communiquer avec lui tout en lui touchant les mains. Au bout d’un quart d’heure, elle s’exclama :
— Tu vas attraper un coup de soleil à rester planter là ! Je vais te mettre de la crème…
Elle fouilla dans son sac de plage et lui montra le tube.
— De-la-crè-meuh ! finit-il par répéter plusieurs fois, en copiant ses intonations. C’était hallucinant, il l’imitait vachement bien.
Elle l’attrapa par les hanches, puis le fit tourner sur lui-même. Elle se comportait comme une maman avec son petit garçon. Elle commença par en mettre un peu partout sur son dos et il se retrouva vite couvert de taches blanches. Elle se mit au travail et étala la crème avec soins. Elle avait un don pour ça, elle massait super bien. Mais c’est en arrivant au niveau des fesses qu’il se passa quelque chose d’imprévu… Ma femme a des mains si douces que l’effet fut immédiat… A chaque fois qu’elle lui touchait le derrière, son sexe s’allongeait…
Elle ne se rendait compte de rien puisqu’il se tenait face à moi. Ca devenait gênant… sa bite était tendu à l’extrême ! Sidéré de voir ma femme provoquer cet émoi sexuel, je restais là, à les regarder, sans rien dire…
Elle lui massa ensuite les jambes et les cuisses, jusqu’aux mollets, et ceci n’arrangea en rien son excitation. Son sexe bougeait tout seul maintenant. Une fois le dos terminé, elle lui tapota le derrière, encore une fois, comme à un petit enfant.
— Allez, tourne-toi s’il te plaît…
En découvrant son sexe au garde à vous, elle eut un hoquet de surprise.
— Oh, Christopher ! Tu as bien grandit…
Elle se reprit et continua de le badigeonner mais en allant moins vite. Cela ne semblait pas la déranger plus que ça. Je me demandais tout de même ce qu’elle faisait car je l’entendais parfois pouffer tout en remuant la tête de gauche à droite… D’où j’étais, hélas, je ne voyais pas grand chose. Les muscles fessiers de Christopher étaient bien fermes et cela m’intriguait… Pour en avoir le coeur net, je me décalais un peu, histoire d’avoir une vue de profil. En effet, sa longue bite se tenait toujours bien droite… mais juste devant la bouche et les lèvres de ma femme ! C’était juste impensable !
En m’apercevant, elle redressa la tête et admira son oeuvre. J’étais certain de l’avoir surprise en mauvaise posture mais peut-être que le soleil me jouait des tours… Elle l’avait déjà pratiquement huilé des pieds à la tête quand elle eut un long moment d’hésitation… Elle me regardait et n’arrivait pas à se décider. Elle me montra le sexe de Christopher d’une main et brandit le produit solaire de l’autre, avec une moue interrogative.
Ne comprenant pas ce qu’elle voulait, je haussais les épaules… Elle prit sans doute ça pour un oui car elle étala aussitôt de la crème solaire sur son pénis, en prenant bien soin d’en mettre partout, sur toute la longueur. Vu la quantité qu’elle déversait, de loin cela ressemblait à de la chantilly. Elle le massait pour faire pénétrer le produit en profondeur, en allant et venant, très doucement au début, puis de plus en plus vite…
Je n’en croyais pas mes yeux… Il allait jouir si elle continuait à ce rythme là… Le visage rouge, il haletait en gardant la bouche ouverte… Mes yeux ne quittaient plus la main de ma femme…
Christopher laissa échappé plusieurs gémissements puis une sorte de hurlement… Ce qui annonçait sans doute l’apothéose… Ma femme stoppa net sa branlette improvisée mais il était déjà trop tard…
Les premiers jets s’écrasaient sur son visage par grosses saccades, « ma dame » était servie ! Il éjaculait une quantité incroyable et Sophie, trop surprise peut-être, ne fermait même pas les yeux… Et elle se retrouva totalement aspergée !
A force d’exciter ce garçon… elle n’avait eu que ce qu’elle méritait ! Depuis quand n’avait-il pas jouit ? Depuis son accident sans doute… Le pauvre… Bizarrement, j’en voulais plus à ma femme qu’à lui…
— Pardon… dit-elle, toute penaude, en baissant les yeux.
Elle parut enfin réaliser ce qu’elle venait de faire. Elle s’essuya les mains, le visage, tant bien que mal, avec une serviette de bains… Elle en avait partout. Honteuse, elle fuyait mon regard…
Christopher avait encore la queue toute raide. Il regardait les dernières gouttes de sperme sortir de son gland et cela semblait l’amuser… Puis, comme si une fulgurance lui traversait enfin l’esprit, il regarda son sexe et répéta, en imitant la voix de ma femme :
— De-la-crè-meuh ! De-la-crè-meuh !
On entendit un petit rire étouffé sortir de la bouche de ma femme…
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