Comme une chienne

Je regardais Karen, elle était allongée près de moi. On avait décidé de dormir ensemble, entre filles, comme au bon vieux temps. De nous deux, c’était elle la plus jolie. Moi, avec mes bourrelets…

Une fois la couette descendue, j’inspectais son minou épilé et je la léchais en lui donnant quelques coups de langue. Je me délectais de son nectar. Plus elle gémissait, plus j’accelerais. A un moment, je mordis son clito par accident et elle ouvrit les yeux :

— Aïe ! Mais qu’est-ce tu fabriques ? tu m’as réveillé dit-elle en serrant les cuisses autour de ma tête.
— Désolé, j’avais trop envie… comme quand on était ado… tu te souviens ?
— Vanessa, on n’a plus 15 ans ! dit-elle en écartant les cuisses, tu m’as mis de la bave partout en plus ! Je suis trempée…
— Tu veux que je te nettoie ? ou bien je peux te prêter mon sextoy si tu préfères, tu es déjà toute lubrifiée…
— Grosse cochonne ! tu ne penses vraiment qu’à ça ! j’en veux pas de ton truc en plastoque…

Karen croisa les bras.

— MOI, je préfèrerais une vraie grosse bite ! tu as ça dans tes tiroirs ?

Je me mis à rire et à me moquer d’elle.

— Qu’est ce qu’il y a ?
— Toi, t’as pas encore vu celle de mon chien !

Elle était en train d’analyser ce que je venais de dire.

— De quoi tu parles ?
— Bah du sexe de mon chien ! il est juste E-NOR-ME ! dit-je en rigolant.
— Mais t’es une grande malade toi ! N’importe quoi… faut vraiment que tu ailles consulter, et vite !
— Tu veux pas voir sa bite ?

Je sifflais et aussitôt, Max sauta sur le lit.

— Attend ! Mais qu’est-ce que tu fais ?
— Bah je te montre… Tu n’as pas l’air de me croire.

Mon chien était un bâtard qu’on avait ramassé dans la rue, il était très affectueux. Il avait été abandonné jeune et notre famille l’avait recueillis. Depuis 7 ans, il vivait avec nous, à la maison. Il avait deux particularités : non seulement il avait un sexe énorme par rapport à sa taille (ce qui faisait rire ma mère, moins mon père) et il éjaculait partout ! sur le canapé, la moquette, les tapis… un désastre. Ma mère passait son temps à tout nettoyer.

Une fois, ma tante l’avait gardé une semaine. Quand il était revenu, il n’avait plus éjaculé pendant au moins deux semaines, c’était inhabituel. Je m’étais toujours demandé ce qu’elle avait bien pu lui faire, j’avais pensé à sa nourriture ou un truc comme ça…

Je me mis à le caresser sous le ventre pour le titiller un peu et un petit bout rose se mit aussitôt à pointer. Karen se moqua de moi.

— C’est ça TA « grosse » bite ? Tu as besoin de lunettes ma chérie !
— Attend, tu vas voir… sois patiente…

Plus je le caressais, plus il prenait de l’ampleur. Son sexe faisait maintenant une dizaine de centimètres et continuait encore de grandir. Karen observait silencieusement.

— Alors, tu vois ?

Elle baissa un peu la tête.

— Mouais, c’est mieux.
— Je veux bien le branler pour qu’il grossisse encore mais quand il est excité, il sort un truc comme ça, un truc de malade, de la taille d’un gros sauciflard, j’te jure !
— Bah vas-y alors, fait voir ! Branle-le !
— OK ! Mais je te préviens, il va être excité… et… je ne sais pas si…
— Allez !
— Bon, très bien.

Je le masturbais délicatement, sans lui faire mal, et son sexe passa d’un rose pâle à un rouge vif. Il semblait gonflé au maximum maintenant. J’avais quand même peur qu’il grogne et qu’il nous morde.

— C’est dingue !
— Tu vois, c’est plus gros qu’un sexe masculin et la forme est différente aussi…

Intrigué, elle s’approcha, soudainement intéressé, baissa la tête pour examiner l’engin de plus près. Elle se retrouva nez à nez avec le sexe canin en érection. Son visage n’était qu’à quelques centimètres de la chose.

— Tu sais que je n’en crois pas mes yeux là.
— Je t’avais bien dit que ça te plairait.

Il giclait des jets transparents. Il commençait à en foutre partout sur le lit. Karen en reçut sur la joue et recula instinctivement.

— Qu’est ce qu’il a ? Il pisse ou quoi ?
— Non, c’est l’excitation… je t’avais prévenu…
— C’est… du sperme ?
— J’en sais rien ! T’es drôle toi, je ne suis pas experte. En tout cas, le lit va être trempé si ça continu. Regarde, ça n’arrête pas de sortir !

On aurait dit que le chien expulsait une quantité illimitée de cet étrange liquide et on le regardait faire, bouche bée.

— C’est marrant, moi qui croyait que mon ex était un gros jouisseur. Lui, il bat tous les records. Haha.
— T’en a un peu sur la joue.
— C’est bon pour la peau, il parait.

Elle attrapa l’échantillon entre ses doigts.

— C’est gluant, on dirait de la mouille. Tu veux goûter ?
— Euh non merci. Ca à l’air bien dégueu.
— Petite joueuse…

Elle mit ses doigts sous son nez, hésita un instant, puis les posa sur ses lèvres et goûta avec la langue.

— Putain ! mais qu’est-ce que tu fais ?
— Bah quoi, c’était pour savoir. Si ça ressemblait au jus de mec ou pas. C’est marrant, ça a un goût plus « métallique ».
— Je rêve. Tu peux le boire directement au goulot aussi, pendant qu’on y est ? Parce que là, vu son état, il ne dira pas non.
— Non, quand même pas dit-elle en baissant les yeux.
— Ouf, tu me rassures…
— Mais je me ferais bien prendre en levrette !
— Hein ? Tu veux qu’il te baise ?
— Oui ! comme une chienne. Mais pas dans la chatoune hein, plutôt dans mon cul.
— J’hallucine…
— En tout cas, vu son état, ça le soulagerait peut-être.

Une flaque énorme s’était formée sur la couette. Son sexe monstrueux remuait de bas en haut. J’avais du mal à le calmer. Il avait envie de jouir c’était certain.

— Alors ?
— T’es sérieuse ?
— Tu me prépares un peu ?

Karen se mit à quatre pattes et me présenta son cul. Sans réfléchir, je nettoyais son anus avec ma langue. Puis, je lui foutais deux doigts et je dilatais au maximum. Enfin, je lui enfonçais la queue de ce bâtard dans son cul. Ce n’était pas évident, loin de là, il bougeait et posait ses pattes sur son dos.

Une fois le sexe du chien à l’intérieur, il se mit à la pilonner comme une bête. Elle se masturba en même temps.

Je me positionnais sous elle et je lui léchais le clito. Le chien rentrait et sortait en elle et il m’arrivait de lécher le bout de sa grosse queue par intermittence, il me spermait dessus, mais je continuais, trop excité par la situation.

— Ahhhh ! putain, c’est trop bon ! Mais, il me déchire, il va trop vite !
— C’est toi qui l’a voulu.

Elle hurlait de douleur et de plaisir, elle avait quand même l’air de prendre son pied. Elle m’excitait la garce.

— Bon, j’en ai plein le cul.
— Je vois, oui.
— Non, je veux dire, j’aimerais bien que ça s’arrête ! Je suis épuisée.
— Ah ok.

J’essayais en vain de le retirer, mais il restait en elle. On essaya pendant 15 minutes, sans succès. J’hésitais à demander de l’aide à mon frangin, car comment lui expliquer tout ça ? Au bout d’une demi-heure, Max se retira enfin et elle put reprendre ses esprits.

Elle se leva et marcha comme un canard en direction des WC.