— J’ai envie que tu montres tes seins à un inconnu !
Cette petite phrase anodine, lancée à mon épouse dans la fougue de nos ébats amoureux, un beau soir de décembre, alors que nous faisions l’amour devant notre cheminée, a pris des proportions au combien réjouissante dans notre vie sexuelle. En effet, je ne pensais pas que mon épouse au début de notre relation pouvait aller aussi loin dans des jeux érotiques. Bien sûr, je lui avais déjà raconté mes fantasmes ainsi que mes envies de la voir prendre du plaisir avec un autre homme. Elle ne semblait pas choquer outre mesure par mes penchants mais de là à les réaliser… C’était une autre histoire.
Puis, un soir où nous nous caressions mutuellement, je lui murmurais à l’oreille que j’aimerais qu’elle montre ses seins à un inconnu. Mais c’était uniquement pour pimenter notre vie sexuelle.
— Encore faut-il que je trouve quelqu’un à qui les montrer ! Me répondit-elle.
— Nous n’avons qu’à aller dans un supermarché, très loin du lieu où nous habitons, tu te choisirais un homme qui te plairait et tu les lui montrerais.
— Mais que veux-tu vraiment, que je lui montre mes nichons et que je me sauve ou qu’il me pelote les seins?
— Je prendrais plus de plaisir si tu te faisais peloter plutôt que si tu t’exhibais simplement.
— Pourquoi pas, si tu m’autorises à flirter avec d’autres hommes, je crois que ça me plairait.
— Demain, c’est samedi, nous n’avons qu’à nous rendre à Auchan dans le département voisin…
— Mais comment je vais faire?
— Eh bien, tu revêtiras le chemisier blanc que je t’ai offert et que tu mets toujours avec un top en dessous car il est légèrement transparent. Demain, tu mettras uniquement en dessous ton soutif en dentelle blanche de marque Chantelle. De cette façon, ton soutien-gorge ressortira du chemisier. Lorsqu’un mec te plaira, tu n’auras qu’à écarter les pans de ta veste et il pourra te mater.
— Mais je ne pourrais jamais faire ça !
Puis se reprenant :
— Vous les mecs, vous êtes bien tous les mêmes, il faut vous montrer la marchandise pour vous exciter… Et bien d’accord, je vais les exciter à fond, tu veux de l’érotisme et bien, tu vas en avoir. Après tout, puisque j’ai ta permission mais au fait, ça t’excite qu’on matte mes seins ?
— Eh bien, si tu veux savoir, oui… Je rêve souvent que tu fais exprès de déboutonner ton chemisier en satin pour faire apparaître ton décolleté de sorte que les mecs te matent.
— Oui, mais moi, je veux un peu plus de sensualité, pas de la bestialité. Je ne veux pas qu’un mec me presse les seins comme des citrons. Moi, je voudrais qu’un mec me les caresse en douceur, avec amour, tendresse et passion et j’ai peur qu’en les aguichant de la sorte, ils ne veuillent que me baiser tout simplement alors que pour être totalement honnête avec toi, je suis d’accord uniquement pour les préliminaires.
— Lorsque nous nous sommes connus toi et moi, je ne t’ai pas violé ! Alors à toi de te choisir un homme qui répondra à tes besoins.
— Bon, je suis d’accord, mais il faut que je te dise qu’il est hors de question que tu fasses la même chose avec une autre femme. Je suis trop jalouse pour ça. Tu es à moi et moi, je ne suis pas prêteuse.
— Mon fantasme n’est pas que je drague une fille au supermarché mais que mon épouse drague au supermarché.
— Mais comment allons nous faire au juste. Enfin, tu comprends, comment allons nous faire une fois là bas.
— Eh bien, j’ai oublié de te dire, tu mettras ta petite jupe droite. Ce qui est bien avec ce genre de jupe, c’est que tu peux mettre un porte-jarretelle en dessous sans que les bas se voient trop facilement. Nous mangerons au centre commercial. Tu boiras un ou deux verres d’alcool pour lever les inhibitions et je te raconterais d’autres fantasmes pendant le repas. Puis, nous nous séparerons. Tu te choisiras alors autant d’homme que tu le souhaiteras au centre commercial. Après les avoir aguiché et que ceux-ci t’aient dragué, tu les conduiras jusque dans ta voiture. Moi, je serais garé non loin de toi avec la mienne pour te mater en train de s’éclater avec ces types.
— Autant d’homme que je le souhaite et en plus dans un endroit où je ne mettrais plus jamais les pieds… Hum, je sens que je vais m’éclater. Je suis partante, mais tant pis pour toi, ne viens pas te plaindre plus tard que ta femme se soit éclatée dans une voiture garée sur le parking d’un supermarché avec des inconnus. Parce que là, tu m’as excitée et je suis pressée d’être à demain…
Le lendemain matin, je me levais de bonne heure. J’avais certes marqué des points, mais il fallait conforter mon avance. J’allais donc chercher des croissants à la boulangerie pour offrir à mon épouse un excellent petit déjeuner. Au réveil, aucune allusion à notre discussion de la veille et je n’osais relancer le sujet. Mais après s’être fait un petit câlin comme de coutume, elle me lança :
— Bon, je vais me préparer. Et elle se dirigea vers la salle de bain.
Je rangeais le plateau un peu étonné qu’elle n’est pas changée d’avis, c’était même douteux… Mais bon… Je n’allais pas m’en plaindre quant elle lança du fond de la salle de bain :
— Et toi, qu’est-ce que tu vas faire cette après midi ?
— Ben… Je ne sais pas trop. Lui répondis-je un peu gêné.
— On est d’accord, tu ne vas pas voir une autre fille !
— Oui ! Je t’ai déjà dit que ce n’était pas mon trip.
— Parce que, si tu as changé d’avis cette nuit, il faut me le dire, pour moi, il n’y a pas de problème.
— Mais non je n’ai pas changé d’avis, allez dépêche toi.
Je faisais le lit lorsqu’elle me demanda de lui apporter ce que je désirais qu’elle mette aujourd’hui. J’allais dans ses affaires et je lui pris son chemisier, son soutif Chantelle, un porte-jarretelle, une paire de bas, un string en satin ainsi que la jupe dont je lui avais parlé hier soir. Je les lui apportais dans la salle de bain et je la découvris en train de se maquiller. Elle s’appliquait du rouge très glamour sur ses lèvres et ses yeux étaient déjà fait. Ca faisait longtemps qu’elle n’avait pas pris autant de temps pour se maquiller avec l’intention évidente de plaire… De vouloir séduire… Elle avait coiffé ses cheveux avec soins et même sa toison intime avait été correctement épilée.
— Allez, allez ! Dépose ça sur la corbeille et fiche le camp !
Je repartis à mes occupations, un peu dépité, en me demandant si je n’avais pas fait une belle connerie en lui proposant ce fantasme. Je dois avouer que la jalousie me gagnait un peu. Par ailleurs, je ressentais en même temps des sentiments que je n’avais plus éprouvés pour ma femme depuis longtemps. Soudain, je me mis à me promettre des bonnes résolutions, comme pour le premier de l’an. Faire du sport, lui offrir plus souvent des roses, lui dire que je l’aimais mais avec des sentiments et pas tout simplement comme d’habitude. Mais en pensant à ce qui allait se passer cette après-midi, ma libido repris le dessus et une érection gagna mon sexe. C’est ce moment qu’elle choisie pour sortir de la salle de bain.
A ce moment, la seule chose que je pouvais fixer, c’était sa poitrine. En fait, c’était mieux que je ne l’avais imaginé. Le chemisier était un petit peu trop petit pour elle et il lui collait à la peau. Je vous laisse imaginer ce que ça pouvait être. Toute la dentelle du Chantelle ressortait à travers le chemisier. Ce n’était pas vulgaire, c’était érotique. Les boutons de son chemisier étaient légèrement tendus et des entrebâillements s’étaient naturellement créés entre ses seins, ce qui laissait apparaître un peu son soutien-gorge. Les mecs n’auraient plu qu’à la reluquer entre les plis de son chemisier pour mater sa lingerie. A ce moment, j’imaginais que la seule pression d’une main d’homme aurait pu lui ouvrir son corsage et laisser jaillir ses seins retenus par leur écrin de dentelle. Je n’avais qu’une envie, c’était de la posséder.
Elle me dit, l’air un peu consterné :
— J’ai grossi, le chemisier est trop petit maintenant.
— Bien au contraire. Je lui dis, plus excité que jamais. Il est comme je le souhaite.
— Tu as des goûts bizarres dès fois, mais il n’y a pas que ça, regarde, le porte-jarretelle n’est pas assorti au soutien-gorge, ni au string.
C’était vrai, son soutif était en dentelle blanche, tandis que le porte-jarretelle était en satin ivoire. Quant-au string, il était en satin mais blanc. Enfin, plutôt blanc cassé à force d’être lavé.
— De quoi je vais avoir l’air comme ça.
— C’est de ta faute, si tu avais mis ton porte-jarretelle en même temps que le string qui était assorti avec, tu pourrais le mettre aujourd’hui. Au lieu de ça, il est encore plus usé que celui que tu portes alors que le porte-jarretelle est pratiquement neuf. Quant-au soutien-gorge, il fait parti intégrant de mon fantasme. Moi aussi j’ai le droit de prendre du plaisir aujourd’hui !
— Oui, mais comment je vais faire ?
— Il n’y a pas trente-six solutions, soit tu ne portes pas de string ou soit tu arrives à te faire payer des dessous au supermarché.
— En gros, ça voudra dire au mec que si il me paye de la lingerie, je lui taillerais une pipe en remerciement ! Je ne suis pas une prostituée !
— Dans ce cas, ne met pas de string.
— Et puis quoi encore, j’espère bien qu’on me caresse la foufoune et je passerais assez pour une salope comme ça, alors je n’imagine même pas si je n’ai rien en dessous de ma jupe… Bon, c’est pas grave, je ferais avec. Au fait, je mets quel parfum ?
— Je ne sais pas pour les autres hommes, mais moi, la vanille ça m’excite beaucoup…
— Alors, va pour la vanille.
Nous partîmes vers dix heures, chacun avec sa voiture, et nous devions nous retrouver sur le parking d’un grand centre commercial du département voisin. Nous choisîmes un coin au fond du parking encore désert pour stationner nos voitures. C’était un endroit un peu en retrait où mon épouse aurait pu faire ses affaires tranquillement, quoi que j’espérais bien que des passants pointeraient leur nez par là au moment où elle se ferait peloter.
Dans ma boîte à gant, j’avais mis une bombe lacrymogène au cas où ça se passerait mal. J’avais convenu avec ma chérie un code pour m’indiquer si ça se passait mal. Elle ferait simplement des appels de phare. Comme nous étions un samedi, le parking serait complet vers le coup des quinze ou seize heures. Nos voitures seraient alors fondues dans l’anonymat du parking et les futurs soupirants de ma femme seraient trop occupés avec elle pour remarquer ma présence dans mon véhicule. Mon fantasme se refermait et je croyais en être le maître du jeu mais mon épouse me remit rapidement les pieds sur terre alors que nous nous dirigions vers le restaurant.
— Au fait, tu as prévu des préservatifs ?
— Euh… Non, pourquoi ?
— Et bien, tu comprends, il se peut que je sois amené à sucer un mec.
— Je… Je croyais que tu étais seulement d’accord pour les préliminaires ?
— Et alors, ça fait parti des préliminaires, comme le cunni.
— Et bien, je dois t’avouer que je n’avais pas pensé à ça. Si tu veux, nous n’avons qu’à aller en chercher avant de commencer.
— Je préfère aussi, je n’ai pas envie d’aller les acheter avec un type, il n’aurait qu’une envie, c’est de coucher avec moi. Ce n’est pas parce que j’éprouverai l’envie de sucer un mec qui me plairait physiquement que j’aurais envie de faire l’amour avec lui. Et puis, c’est aussi une mesure de protection et d’hygiène. Avant de te connaître, j’ai fait des gâteries à mes anciens petits amis et tout comme toi, ils ont tous éjaculé à la première occasion soit dans la bouche, soit sur mon visage. Ca t’a fait plaisir comme ça leur a fait plaisir, mais personnellement, je n’ai pas envie d’avaler le sperme d’un inconnu. Si j’en suce un qui me plaît, il n’attendra pas mon accord pour se faire plaisir et j’aurais tout dans la bouche. Qu’il éjacule sur ma poitrine, passe encore et à condition qu’il en vaille le coup mais lui lécher la goûte au bout de son zizi, non !
Pendant que nous discutions ensemble, un couple d’une cinquantaine d’années avaient rangé leurs courses dans le coffre de leur voiture. Le monsieur se dirigeait avec son caddie pour le ranger tandis que son épouse vérifiait le ticket de caisse dans sa voiture. Sans rien me dire, ma femme retira les boutons de sa veste de tailleur et pris soins d’en écarter les pans pour mettre bien en évidence ses seins et son soutif qui ne demandaient qu’à être regardé à travers son chemisier. Bien entendu, cet homme ne pu s’empêcher de la reluquer et tout en le regardant à son tour, elle lui lança un grand sourire en signe d’approbation pour qu’il n’y ait pas d’ambiguïté entre eux deux. Elle lui faisait comprendre qu’elle lui présentait ses charmes et qu’il pouvait se rincer l’oeil avant de retrouver son épouse. Nous continuâmes notre route et je demeurais silencieux après se semblant d’exhibition qui n’en était véritablement pas une. Après tout, elle n’avait pas relevé sa jupe ; elle ne lui avait pas montré ses bas ou son string et finalement, son soutif était recouvert d’un chemisier… Ce n’est pas comme si elle n’en avait pas. Et pourtant, il l’avait bien maté. C’est-elle qui brisa le silence.
— Finalement, c’est amusant de jouer à la salope. Dit-elle avec un petit rire. Tu as vu comment il a regardé mes seins le vieux cochon ! Tu as aimé ?
— Oui. Je lui répondis avec un large sourire.
— Je crois que je vais m’amuser aujourd’hui. Je crois que je n’ai pas allumé des mecs de cette manière depuis bien longtemps.
— Ah bon, tu allumais des mecs quand t’étais plus jeune ?
— Qu’est-ce que tu crois, que j’étais une religieuse ou quoi. Vous êtes bien tous les mêmes. Vous faites des choses avec des filles lorsque vous êtes ados et lorsque plus tard, vous les épousez, vous pensez qu’elles ont toujours été chastes et pures. Tu te souviens des filles que tu fréquentais lorsque tu étais plus jeune ?
— Oui, pourquoi ?
— Tu te souviens que tu ne pouvais pas t’empêcher de les peloter quand tu les embrassais. Tu te souviens de ta première pipe derrière les bosquets d’un jardin publique ou fond d’une salle de cinéma. Tu te souviens des endroits où tu leur faisais l’amour ? Comme dans le garage de tes parents ou les chiottes du lycée… Et bien, moi comme toute les autres, je n’ai pas échappé à la règle. Moi aussi je me suis fait peloter, moi aussi j’ai sucé des bites dans les toilettes des boîtes de nuit avec des beaux gosses et moi aussi j’ai perdu ma virginité dans une voiture garée derrière des poubelles. Et puis vers seize ou dix-sept, tu comprends que si tu veux être avec le mec qui te plaît, tu dois passer à la casserole. Fini les contes de fée et les princes charmants, place à l’homme préhistorique. Alors, lorsque l’on a compris ce truc, on fait ce que l’on veut de vous. C’est à partir de ce moment que je me suis amusée moi aussi. En boîte de nuit, je chauffais les mecs et après je m’enfuyais comme une voleuse. Ou pour me marrer avec les copines, on faisait exprès de montrer nos nichons aux passagers du train qui passait et bien d’autre chose encore… Mais on ne t’entend plus…
— Oh, je t’écoutais. Tu as sûrement raison, nous ne sommes que des rustres, mais je ne te force pas à le faire…
— Bien au contraire, j’ai envie de m’amuser et ton fantasme me convient tout à fait. Ca fait combien de temps que tu ne m’as pas regardée avec envie comme toute les autres filles que tu mates en ma présence. Ca fait combien de temps que tu n’as pas été jaloux. Eh bien aujourd’hui, peut-être que tu vas ressentir des choses envers moi lorsque tu me verras m’amuser avec des inconnus. Mais tu peux être sûr d’une chose, c’est qu’aujourd’hui, je ne te fais plaisir que sur un seul point, c’est sur ma tenue vestimentaire car compte sur moi pour me faire embrasser et caresser par tous les mecs qui me plairont.
— Comment ça sur ta tenue vestimentaire ?
— Eh bien oui, tu aurais été plus galant, tu m’aurais acheter un ensemble Chantelle avec string et porte-jarretelle assortis. Mais c’est pas grave, ça sera pour ton prochain fantasme mon coeur. Me dit-elle en riant pendant que des passants la mataient.
— Qu’est-ce que tu veux manger ?
— Oh léger, je te laisse choisir ; pendant ce temps on va aller acheter les préservatifs.
— D’accord… Lui dis-je placidement, comme si elle avait totalement inversé la vapeur et retourné la situation à son avantage.
Nous marchions main dans la main et je ressentais une boule dans mon ventre. Une boule que je n’avais plus ressenti depuis bien longtemps. J’étais avec ma femme depuis plusieurs années et aujourd’hui je me rendais compte que je ne la connaissais toujours pas.
Paradoxalement, c’est juste au moment ou mon épouse allait me faire à demi cocu que mon amour recommençait à grandir. Que j’avais envie d’elle… Que je l’aimais !
— Je t’aime mon amour ! Luis dis-je comme un enfant et avec passion.
— Mais moi aussi mon chéri. Me dit-elle avec un beau sourire tout en joignant ses lèvres aux miennes.
Cela faisait bien une heure que j’attendais dans ma voiture et je ne la voyais toujours pas arriver. Pourtant, je pensais que les choses iraient beaucoup plus rapidement vu le nombre d’homme qui s’était permis de la mater lorsque nous étions dans la galerie marchande. Même le serveur du restaurant n’avait pas perdu une miette de son décolleté. Il faut dire pour leur défense que mon épouse les avait sérieusement allumé. Je pourrai même dire qu’elle s’était complètement lâchée. Pour le serveur, elle avait voulu à tout prix régler l’addition tout en joignant un petit mot derrière le chèque.
— Qu’as-tu mis derrière ce chèque ? Lui avais-je demandé.
— Oh, simplement que j’ai envie de le sucer et que si il est d’accord, il n’a qu’à me téléphoner.
— Et bien, tu te lâches…
— Oui ! Bon maintenant, si tu allais dans ta voiture, j’ai envie de m’amuser sans toi.
J’étais donc dans ma voiture et j’attendais… Je pensais qu’elle aurait amené le serveur, mais non. Il n’y avait rien à l’horizon. Je commençais un peu à m’impatienter lorsque je la vis arriver avec un type. Ce n’était pas le serveur. Celui là, je ne l’avais pas remarqué dans le centre commercial. Il était très jeune, tout juste la majorité. Il ne parlait pas et il semblait très intimidé. Mon épouse, marchait à ses côtés tout en lui parlant avec un léger sourire. Lorsqu’elle se trouva juste devant mon pare-brise elle fit volte-face et lui roula un majestueux patin. Profitant de l’occasion, il lui posa une main timide sur sa fesse droite. Ils s’embrassèrent devant moi pendant une longue minute. Lorsqu’il fut à point, elle lui murmura des mots à l’oreille et ils partirent ensemble dans son véhicule.
A ce moment, je m’abaissais sur mon siège afin de me faire le plus discret possible. De mon véhicule, je pouvais les regarder s’embrasser en amoureux, avec fougue et passion. Cela faisait longtemps qu’elle ne m’avait pas embrassée de la sorte. Pendant ce temps là, les mains du jeune se baladaient de plus en plus sur le corps de mon épouse. Celle-ci n’était pas en reste car de la où je me trouvais, je devinais ses mains en dessous de la ceinture du mec quand soudain, sans prévenir et sans aucun geste annonciateur de sa part, elle se baissa lentement et je ne la vis plus. Je pouvais seulement regarder ce garçon qui regardait avec inquiétude à droite et à gauche. Je n’avais pas pensé qu’elle ait pu aller aussi loin en si peu de temps. Mon délicieux supplice, ne dura même pas une minute lorsque je vis la portière s’ouvrir. Elle sortie sa tête et cracha par terre… Contrairement à ce qu’elle m’avait dit, elle avait sucé sans préservatif. Ensuite, elle réajusta ses vêtements, reboutonna les quelques boutons de son chemisier que ce type lui avait retirés et remis en place son soutif. Avant de se quitter, elle lui roula un nouveau patin et passa devant mon véhicule sans même me regarder. Quant à lui, il parti dans une autre direction avec un grand sourire. Elle était de nouveau en chasse…
« Quel petit con ! » pensais-je en me frottant les dents avec la langue. Même pas le temps de le prendre en bouche qu’il éjacule presque de suite et je me retrouve avec une partie de son sperme dans ma bouche et l’autre sur mes lèvres. Je n’ai même pas eu le temps de retirer son membre de ma bouche que j’avais eu le droit à quelques jets. Finalement, j’aurais dû acheter du dentifrice et une brosse à dent au lieu de préservatif. Ah la fougue de la jeunesse… Tiens il reste une goute sur mon chemisier…
Je me demande si mon mari s’est masturbé en me regardant tailler une pipe à ce type ?
Oh ma belle, regarde moi cette homme qui fait les courses. Son caddie est bien rempli et en plus il a une alliance, lui au moins c’est un homme d’expérience enfin, je l’espère. Ca sera plus dur. Même en lui promettant une turlute, avec astiquage de la bistouquette, il risque de me dire non. Dans ce cas, tant pis pour lui, allez, je me lance.
— Bonjour. Lui dis-je avec mon plus beau sourire tout en me courbant légèrement en arrière pour faire ressortir ma poitrine. Tout de même, qu’est-ce qu’il ne faut pas faire. Ce devrait être le contraire merde !
— Bonjour… me dit-il, interloqué.
— En fait, comment vous dire… Je suis un peu gênée…
— Oui ?
— Bon, bien moi c’est… Et vous ?
— On se connaît ?
— Euh… non, mais j’aimerais bien faire votre connaissance. Si il savait à quel point… Ce serait plus facile mais je ne pourrais jamais lui dire comme ça.
— Oh, et bien moi c’est Karim, vous venez souvent faire vos courses dans ce magasin ?
— Non, c’est la première fois… Je n’habite pas à côté et je crois que je ne vais plus revenir ici.
— Ah bon, et pourquoi ?
— Comment vous dire… Bon, voilà ! Hier, j’ai appris par une amie que mon mari m’avait trompée avec une autre et je désire faire la même chose… Vous comprenez… Vous me plaisez beaucoup… Lui dis-je avec un petit sourire.
— Oui, je vois… Mais je suis marié également et puis, je ne m’attendais vraiment pas à ça, ici, dans ce magasin.
— Ce n’est pas grave, laissez tomber… C’est juste que vous étiez un beau mec… Au revoir…
— Euh, madame, attendez, ne partez pas comme ça… Je… Je n’ai pas dit non.
— Alors, abandonne ton caddie et viens avec moi idiot.
— Euh… D’accord.
Nous nous rendîmes jusqu’à mon véhicule et lors du trajet nous n’avons échangés que des banalités. Pendant qu’il m’embrassait dans le cou, je jetais des rapides coups d’oeil en direction de mon chéri. Il n’en perdait pas une miette le coquin. Enfin, mon nouveau copain se décide à jouer un peu avec mes seins.
Je décide de l’aider en défaisant quelques boutons de mon chemisier. Tiens, je vais m’amuser un peu avec lui. Je lui pris sa tête et la porta en direction de la trace de sperme que son prédécesseur avait laissé sur mon sein. Bien entendu, sans se rendre compte de quoi que se soit, il se mit à embrasser ma poitrine… Si il savait…
Je demande de ce que pense de moi mon époux ? Voir sa femme flirter avec un arabe. Après tout, ça change des blancs… Enfin, il me caresse les jambes et il joue avec mon porte-jarretelle. Bon, je le déboutonne et je lui libère le sexe. Oh… Comme il est gros… On dirait qu’il veut que je le suce… Putain, comme je m’éclate! Ca faisait longtemps que je ne m’étais pas amusée de la sorte. J’ai une envie folle de le sucer. Au travail et j’enfourche son membre puissant avec ma langue et le fait pénétrer dans ma bouche.
Soudain, il sursaute, je relève la tête et je vois une mamie et son mari qui nous regardent. La mamie nous déclare :
— Vous ne pouvez pas aller faire ça ailleurs !
Non mais, je ne vais pas me laisser faire comme ça, après tout, aujourd’hui, je suis une salope et je suis avec un super coup. Elle n’avait qu’à faire ça à mon âge, elle aurait compris que c’est super bon…
— Oh excusez moi, si je vous avais vu, j’aurais proposé à votre mari de le sucer également.
Et j’écartais mon chemisier laissant apparaître mes seins sortis de leur écrin par mon nouveau copain. Bien sûr, j’ai eu le droit à quelques insultes avant que la vieille s’en aille avec son mari qui aura bien gagné sa journée et je me remis presque aussitôt au travail. Maintenant, il fallait se dépêcher avant que les vigiles pointent leur nez. Quoi que… Coucher avec des noirs… Hummm, il faudra que j’y pense sérieusement.
Enfin, il éjaculait… Et merde ! Le préservatif. Bon, à lui, je vais lui faire plaisir, c’est dégueulasse, mais j’avale tout et je lui nettoie son kiki. D’ailleurs, de cette façon, je ne vais pas salir mon chemisier. Je relève la tête et il n’en croit pas ses yeux.
— Peut-être que nous nous reverrons un jour. Qui sait si par un bel après midi, dans ce supermarché… Sauf que cette fois tu pourras me prendre entièrement…
— Quand ?
— Qui sait, il faut y aller maintenant et je repartis vers d’autre aventure tout en passant ma langue sur mes lèvres alors que je passais devant la voiture de mon mari.
Quel plaisir! Monsieur prend du plaisir à regarder sa femme se faire dorer. Vous faites bien des envieux. Merci pour ce texte . J’ai souhaité que mon mari me pousse à faire cela.
joli recit j’ ai connu le meme plaisir avec mon epouse qui sortait dancer seul ou avec un copine