Mon expérience est récente. Elle date des dernières grandes vacances. Cette histoire a été tellement soudaine, inattendue, et sur l’instant elle m’a plongée dans une telle confusion, que je n’en ai rien dit à personne. Pas même à ma meilleure amie. Mais aujourd’hui, j’éprouve le besoin de la raconter, et j’espère que mon histoire sera publiée.
J’ai vingt-quatre ans, il y a deux ans, je me suis mariée avec Philippe. Nous sommes très amoureux, nous nous entendons bien au lit. L’année dernière, nous avions loué pour le mois d’août, une jolie maison aux confins de la Bourgogne, à X. J’aime beaucoup la campagne, et nous profitions au maximum des ressources qu’elle offre aux vacanciers. Promenades en bicyclette, canotage sur le canal de Bourgogne, et surtout, farniente. J’étais bronzée, je me sentais en pleine forme. Un après-midi, Philippe décida de s’essayer à la pêche à la ligne, dans un petit bras d’eau voisin de notre location. J’ai horreur des poissons, c’est viscéral, ils me dégoûtent. Je refusai donc de l’accompagner, et pris mon vélo pour aller faire un tour. Après une demi-heure de route, je trouvai un sentier qui s’enfonçait sous bois. Au bout, un autre sentier, plus étroit, conduisait à une jolie clairière. J’attachai mon vélo à un arbre, et marchai vers la clairière. Elle était ensoleillée, et je commençai à me déshabiller. En général, je me bronze les seins nus, mais je garde un slip. Seule, au milieu de cette nature si calme, je me dis que c’était l’occasion de faire du bronzage intégral. Je m’allongeai sur le dos, la tête un peu surélevée par mon pantalon roulé en boule. Je ne sais pourquoi, le fait de me trouver nue, caressée par les rayons du soleil, alluma en moi un vague désir de jouissance. Sans trop prêter attention à ce que je faisais, je commençai à caresser mes seins, trop gros, mais fermes, pinçai les pointes qui devinrent dures. Puis je caressai mon ventre, glissant peu à peu vers ma touffe, dont les poils sont longs, frisés, et très épais. Je ne suis pas une fanatique de la masturbation. Philippe me fait jouir chaque fois que nous faisons l’amour. Comme nous le faisons très souvent, j’éprouve rarement le besoin de me caresser. Mais l’excitation montait toujours, et glissant un doigt dans mon vagin, je sentis que j’étais humide. Je creusai les reins, et commençai à masser mon clitoris et mes lèvres d’une main. De l’autre, je caressai mes seins.
Je fermai à-demi les yeux, appréciant l’accord parfait entre ma propre sensualité, et la beauté du paysage. Soudain, j’aperçus que je n’étais plus seule. Je me figeai, ouvris les yeux. A vingt mètres de moi, un type, un paysan à en juger par son allure, son visage et son costume, me regardait. Alors, là, je ne sais pas ce qui m’a prise ! Au lieu de sauter sur mes pieds et de me rhabiller en vitesse, je suis restée les jambes largement ouvertes. Je ne suis pourtant pas exhibitionniste ! Du moins, je ne le pense pas. Chose curieuse, je n’étais pas effrayée. Toute seule au fond d’un bois, nue qui plus est, avec ce type devant moi, je n’avais pas peur. Je regardai son visage, il était très rouge. En baissant les yeux, je vis qu’il bandait, ce qui ne m’étonna pas beaucoup. Par jeu, par provocation, ou pour toutes autres raisons, car je ne m’explique toujours pas mon attitude, je recommençai à me caresser. Le type ne bougeait pas, mais il fixait sur mes seins et ma chatte des yeux qui semblaient prêts à lui jaillir de la tête. Sans s’approcher de moi, il ouvrit sa braguette, et commença à se masturber. Sa bite était bizarre : courte, très épaisse et très pointue du bout. Les poils du pubis grisonnants, étaient clairsemés.
La vue de cette bite, les mouvements du type qui stimulait ses testicules d’une main, sa queue de l’autre, me mit hors de moi. Je reste persuadée que si je n’avais pas bougé, le type n’aurait jamais osé me toucher. Mais je me levai, quasiment en état second, m’approchai de lui, prit sa bite dans ma main et la masturbai quelques minutes. Il ne regardait pas mon visage, et poussait de petits grognements, plus bestiaux qu’humains. N’y tenant plus, je me dressai sur la pointe des pieds, et la queue toujours dans ma main, je l’introduisis d’un coup dans mon vagin. Le type me saisit par les fesses et debout, nous commençâmes des mouvements frénétiques. Ses grosses mains râpeuses malaxaient rudement mes fesses, et ce contact m’excitait à la folie. Je mouillais tellement, qu’à chaque mouvement de la bite en retrait de mon vagin, une coulée brûlante descendait jusqu’à ma vulve. Nous jouîmes en moins de dix minutes. En fait, j’avais complètement perdu la notion du temps. Mais il semble que nous ayons atteint l’orgasme très vite, et je sentis mes jambes qui se contractaient. Je jouis, et m’accrochai à lui pour ne pas tomber. Il éjacula la seconde suivante, avec un grognement sourd, à peine plus audible que ceux dont il avait ponctué notre rencontre.
Il se retira tout de suite, et je restai sottement debout, les jambes écartées, les cuisses dégoulinantes de sperme. Sans un mot, il me tourna le dos, et partit comme il était venu. Je le suivis des yeux, et vis à ses gestes qu’il se rebraguettait. Dégrisée, je pris une poignée d’herbe pour me nettoyer, me rhabillai et filai à toute vitesse vers la maison. Heureusement, mon mari n’était pas rentré. Je pris une douche, et m’allongeai sur le lit, passablement fatiguée, épouvantée de ce que j’avais fait, mais avec dans mon ventre, un reste de la jouissance éprouvée. Je me promis de ne plus jamais retourner dans cette clairière, et les jours suivants, je n’eus pas de mal à tenir ma résolution. Puis cela devint dur. Ce rustre m’avait tellement fait jouir, que malgré moi, je cherchai des prétextes pour m’éclipser et retourner sur les « lieux de mon crime ». J’y revins, mais l’après-midi, se passa sans la moindre intrusion. J’en fus réduite à me masturber, et d’une certaine façon, je fus soulagée quand les vacances se terminèrent. Je n’ai jamais raconté cette histoire à Philippe qui ne comprendrait pas. D’ailleurs, moi-même, je ne sais toujours pas quel démon m’a saisie cet été là.
Nous étions jeunes mariés Cathy ma chérie ressemble étrangement à « Capucine l’animatrice » mais très réservée et pudique . Nous avions décidés de faire un pique-nique au bord de l’eau dans la campagne Tourangelle , le coin été beau et surtout très tranquille , une fois la couverture étendue le panier et la glacière sorties nous admirions le décor champêtre le chant des oiseaux ainsi que le clapotis de la rivière une sorte de bien-être nous envahit comme si le temps c’était arrêté . Nous avions du rosé de Loire en apéro et pour déjeuner un Saint Nicolas de Bourgueil , je regardais ma femme le vin rosé l’avait rendu très joyeuse je remarqués que sous sa robe blanche à bouton ses seins « 80c » été libre pour la première fois..!! plusieurs en haut et en bas étaient déboutonner , en déjeunant elle déboutonna sa robe jusqu’à la taille en riants aux éclats je lui dit alors que quelqu’un la matée elle à rit jaune mais continua à s’exhibé pour mon plus grand bonheur , tu veux lui en montré plus? et d’un seule geste retire sa robe il ne lui reste que son shorty blanc en dentelles transparentes . Je commence à être très juste dans mon short elle s’en aperçu et dit en riant c’est toi le mateur allongé l’un contre l’autre sur notre plaid nous évoquons le fait qu’elle soit vraiment mater ?Ses tétons sont devenus énormes du rose sur joues je la regardais mais elle ferma les yeux je glissais alors ma main le long de son ventre passer ma main sous le shorty mes doigts effleurant le clito lui aussi bien gonflé mon majeur s’introduisant entre les lèvres de sa vulve Cathy mouillait..!!
C’est arrivé ce week-end en forêt. On s’est arrêté en voiture à l’entrée d’un chemin forestier pour un petit moment érotique entre ma femme et moi. Une autre voiture était garée sans personne dedans. On est parti se promener puis on a quitté le chemin vers une petite clairière.
Là, je lui ai bandé les yeux et commencé à la caresser très lentement à travers son chemisier et son pantalon avec une badine en lui disant des choses salaces.
J’ai alors entendu un léger bruit derrière moi et entrevu un mec qui se cachait pour regarder. Ça m’a excité et je n’ai rien dit à ma femme.
J’ai continué à lui enlever son chemisier, faire glisser ses bretelles de sg avec la badine, lui agacer les tétons tout en guettant le mec qui s’est enhardi et approché à quelques mètres en se masturbant braguette ouverte. Voyant qu’on avait rien à craindre. J’ai dit à ma femme qu’il y avait quelqu’un excité par elle. Elle a cru que c’était faux mais en a joué en exagérant ses poses une fois nue et effleurée et masturbée par la badine. Un moment elle m’a pris le sexe et j’ai déchargé immédiatement tellement la voir matée m’excitait. Ca l’a surprise et je lui ai alors proposé de continuer sur le mateur. Amusée, elle a m’a dit que oui. Je l’ai alors prise par la main et fait avancer nue vers le type qui était un peu surpris. J’ai mis la main de ma femme sur la queue du type. Là, elle a eu un moment de retrait et je lui ai demandé de le masturber. Elle a commencé à le faire. Quand il a commencé à la peloter au début elle n’a rien dit puis vite refusé. Il a aussitôt cessé et très vite éjaculé. Puis, il est parti avant que ma femme enlève son bandeau.