J’ai une caractéristique plutôt étrange : je me dédouble ! Non, je ne souffre pas d’un dédoublement de la personnalité avec un côté noir et un côté blanc. Non, je ne suis pas la 7856ème réincarnation de Napoléon et de Cléopâtre. Non, je me dédouble physiquement, c’est-à-dire qu’avant, là devant vous, vous avez une seule personne, moi. Et après, vous avez deux jumeaux, sauf que mon jumeau, c’est moi et que moi, c’est aussi l’autre ! Vous suivez ?
J’ai découvert çà par hasard après un bon mal de tête. Je sais, vous allez me dire que j’ai forcé sur l’alcool. Et bien non. D’abord j’ai cru que j’avais justement forcé sur l’alcool mais ce n’était pas le cas et puis je ne bois pratiquement pas. De plus, il n’y a pratiquement rien à boire à la maison, sauf des boissons énergétiques. Donc, je me suis retrouvé un beau jour, il y a une semaine, face à moi-même. On a beau se connaître, çà fait toujours un choc de se voir pour de vrai.
J’ai bien cru que je déraillais mais comme je me suis souvent retrouvé face à moi-même par la suite, j’ai du admettre que je n’étais pas si surmené que çà, même si mon métier de cadre très hautement supérieur dans la distribution de masse n’est pas de tout repos. Justement, jeudi, j’ai demandé à mon double, enfin, à moi-même, s’il ne pouvait pas aller au boulot à ma place tandis que j’irai en ville flâner. Je suis tombé d’accord avec moi-même et nous nous sommes répartis les tâches. Le lendemain, des collègues m’ont confirmé que j’étais bien au bureau, ils m’ont même demandé si je n’étais pas un peu… surmené. Alors que dans ma poche, j’avais le ticket de caisse de mon achat de la veille, à une heure où j’étais en réunion de direction.
J’avais ma preuve.
Néanmoins, ce n’est pas évident à gérer. Imaginez de regarder 2 écrans de télé simultanément avec son et image, et vous aurez une idée du mélange que çà fait !
Ah oui, que je me présente en vitesse : je suis un cadre de 34 ans bien placé dans la grand distribution, hypermarchés et je gagne plus que bien ma vie. Quand j’admire la longueur du nombre figurant sur mon chèque de fin de mois ainsi que mon tas d’actions, je me dis que je ne suis pas mal loti. Sauf quand je dois remplir cette saloperie de feuille d’impôts !
J’ai été une première fois marié à une bombe sexuelle, une affaire au lit malgré un train de vie dispendieux. Mais comme on ne passe pas sa vie de couple qu’à faire des folies de son corps, nous nous sommes vite aperçus, que mis à part le sexe et le fric, nous n’avions pas grand-chose à partager. Karine, mon ex, s’est remarié avec plus riche que moi et je crains qu’elle ne devienne vite veuve, vu les folies sexuelles qu’elle impose à son nouveau mari de 50 ans. Il est radieux mais je le vois dépérir sous les assauts répétés de sa femme, de mon ex femme.
Nadia, ma nouvelle femme, est très différente. Je dirais même qu’elle et Karine sont diamétralement opposées. Ce qui ne veut pas dire que ma femme soit moche et aussi sexy qu’un manche à balai ! Non, elle est différente, reposante, parfaite maîtresse de maison (nous recevons beaucoup) et avec elle, je pourrais enfin avoir des enfants dans notre grande maison. Par contre, comme elle est un peu prude sur les bords, ce n’est pas toujours Broadway au lit. Il faut dire que son précédent mari, un macho joyeux et béatement crétin, s’y est prit en dépit du bon sens en 7 ans de mariage et autant d’adultère. Son ex n’arrivait pas à comprendre qu’elle veuille le divorce par ce qu’elle en avait raz le bol d’être trompée au vu et su de tout le monde.
Très romantiquement (sic!), j’ai rencontré Nadia au tribunal. Pour être plus précis, nous nous sommes télescopés, rentrés l’un dans l’autre au détour d’un couloir. Je l’ai aidé à ramasser toutes les feuilles de son dossier et comme son air triste et égaré m’attendrissait, nous nous sommes retrouvés devant une tasse de café. Puis nous nous sommes revus et me voici marié avec elle depuis presque deux ans.
Pourquoi je ne clame pas au monde entier mon don de dédoublement ? Bon, je serais célèbre, j’aurais mon visage à la télé ou dans les journaux. Je pourrais aussi me retrouver au secret en tant que arme militaire ou pire, allongé sur une froide table d’acier, disséqué ! Et comme je suis pudique, je déteste monter mes organes à n’importe qui !
Revenons à mes moutons. Si vous lisez cette histoire, c’est parce que j’ai trouvé un moyen amusant, côté galipette, de me servir de ce don. Un don du ciel : avoir des maîtresses et être en même temps avec sa femme légitime ! Imparable ! Néanmoins, autre chose me trotte l’esprit…
Nous sommes samedi et pour une fois, nous ne recevons pas ce soir. Initialement, à mots couverts, nous avions évoqué, surtout moi, que nous pourrions peut-être en profiter, là comme çà, pour mettre en route un bébé. Nadia avait souri, Nadia avait surtout rougi mais ma chère femme n’avait pas dit non. Depuis ce matin, Nadia évite soigneusement d’être trop longtemps en tête à tête avec moi. Néanmoins, il est évident qu’elle prépare son coup. Je viens à l’instant de découvrir que les draps du lit avaient été changés, version grand luxe, plus deux, trois détails du même style.
Ma femme est actuellement dehors, en train de faire du shopping et ne rentrera que vers 18h00. Il est actuellement 15h20 et des poussières, j’ai donc au moins deux heures devant moi. Je n’ai pas envie d’attendre tard ce soir pour accomplir mon acte reproducteur pour la plus grande gloire de nos parents respectifs qui nous tancent à vouloir être grands-parents. Comme nous sommes fin janvier et que la luminosité tombe vite, je sens que la nuit va être longue. De plus, j’ai vérifié : il n’y a rien de spécial à la télévision. Et puis, les magnétoscopes sont fait pour çà.
Comme ma chère femme, je prépare le lieu de nos ébats. Puis je redescends lire dans le salon, en attendant qu’elle revienne.
18h00 pile, ma femme qui est très ponctuelle revient avec les bras chargés de sachets qu’elle dépose à l’entrée. Puis elle vient vers moi. Elle est très mignonne ainsi dans son tailleur vert, avec sa chemisette blanche bien cadrée du collier de perles qui ceinture son cou. Elle enlève son chapeau qu’elle pose sur un canapé, dévoilant ainsi son visage allongé aux grands yeux sombres. Ses cheveux tout aussi sombres sont relevés en un chignon. Je préfère nettement quand ils sont libres, quand ils flottent au raz de ses épaules. Par-dessous son nez fin, une bouche rouge, fine comme dessinée. Un visage décidément fin et classe. Elle dépose du bout de ses lèvres un petit baiser furtif sur les miennes.
Je lui désigne le bar.
— Tu veux boire quelque chose ?
— Ah je veux bien…
D’office, je lui sers un Punch Coco, ce type d’alcool lui réussissant bien, à condition de limiter la dose. Elle hausse les sourcils.
— Ce n’est pas à çà que je pensais…
— Et moi, c’est à çà que je pense.
J’insiste lourdement sur le mot « çà ». Elle rougit. Deux ans ou presque de mariage avec moi. Sept ans avec son ex et elle continue de rougir à la moindre allusion sexuelle. Je lui mets le verre en main et je me sers de mon côté.
— Tu vas pas me dire que tu veux… tout de suite ? Me lance-t-elle avant d’avaler une gorgée.
— Dans les 10 secondes qui suivent : non. Mais dans les 30 secondes qui suivent : oui…
— Toi alors !
Comme j’ai bu mon verre, je lui enlève le sien et l’attire à moi. Je l’embrasse voluptueusement, me barbouillant de rouge à lèvre au passage. Cette marque n’est pas une franche réussite. Quand nos bouches se quittent, elle se met à rire : je dois avoir des traces de rouge au travers du visage. De son côté, le rouge s’est étalé sur son menton et une de ses joues.
— Ce n’est pas sérieux ! Reprend-t-elle.
— Le rouge à lèvre ?
— Non…
— Oh que si, j’y pense depuis un bon bout de temps !
— Tu as encore fait en milieu de semaine !
— Je songeais à notre futur bébé…
Elle se détache de moi.
— Moi, aussi mais pas tout de suite !
— Tu ne veux pas d’enfant ?
— Si ! Mais à si tôt ! Enfin, je veux dire : pas maintenant ! Ah zut ! Pas à 6 heures du soir, quoi !
— Pourquoi, il y a une heure de prédilection ?
— Mais non ! Mais çà doit se passer en soirée ! Insiste-t-elle, évidente de logique.
— Ah bon ?
— Et puis…
Elle laisse sa phrase en suspens. Elle est rouge comme une tomate. C’est rare de la voir si rouge. À quoi peut-elle songer ? Elle continue :
— Et puis, j’ai prévu des… choses…
— Quelles… choses ?
— Celles-là !
Et elle désigne les paquets déposés à l’entrée. Je m’approche d’elle.
— Ma très chère femme, ou bien, ces choses-là sont utilisées tout de suite…
— Oui…
— Ou bien, je te viole sur place en t’arrachant tous tes vêtements et en te faisant sauvagement l’amour sur la table toute froide !
Je dois avoir une sacrée lueur dans l’œil car elle se précipite sur ses achats et grimpe les escaliers quatre à quatre. J’ai juste le temps d’entendre un :
— Attends un peu !
Donc j’attends. Je feuillette les magazines, je jette un œil au jardin. Je me demande si je dois me resservir un autre verre. Je pense que non, il faut que je garde mes pleines capacités. Par contre, je trouve un Coca Lite que je complète par une bonne dose de Pulco Citron Vert (publicité gratuite). Ce genre de mélange m’est très profitable en général. Je décide d’attendre un peu avant d’avaler le tout.
Là-haut, çà s’agite depuis cinq bonnes minutes. Puis d’un coup, l’activité fébrile s’arrête. Ah, aurait-elle fini ? Je pense que oui. J’avale alors le breuvage que je me suis confectionné. Ouille, c’est abrasif, ce truc ! Mais, çà me donne un coup de fouet. Quelque chose dans mon pantalon prend les devants. J’entends alors une toute petite voix dire là-haut :
— C’est y est, tu peux monter.
Et comment que je monte ! Un court instant, une idée saugrenue me vient à l’esprit : elle n’a quand même pas acheté une chemise de nuit de procréation, ces chemises blanches hideuses des siècles passées en coton avec un petit trou à l’endroit stratégique afin que naissent les futures générations ?
Je déboule sur le palier, je me calme un peu. Avec Nadia, on ne sait jamais ! Je respire un grand coup, je me détends, mon machin se détend et j’ouvre la porte de notre chambre.
Et là, je me retends aussi sec !
Mon ancienne femme était sûrement une bombe sexuelle, ma femme en est une autre, tout aussi efficace ! La chambre est plongée dans une semi obscurité mais je la distingue parfaitement. Une longue robe de chambre en soie translucide l’habille de haut en bas, mais elle est tellement ouverte qu’elle ne cache rien ou si peu. En dessous du chatoiement de la soie, une nuisette diaphane couleur nuit à brettelles finit en froufrou juste au niveau du pubis. Dessous, je distingue un soutien-gorge transparent terriblement pigeonnant, offrant ses petits seins comme posés sur un plateau. Un porte-jarretelles sombre échancré barre ses hanches les mettant plus encore en valeur, des lanières fixent des bas sombres, curieusement opaques dans toute cette débauche de transparence. Enfin un string arachnéen d’ébène contient difficilement son mignon sexe rebondi et la forêt qui le cache.
Je m’aperçois qu’elle n’a pas lésiné non plus sur les articles et accessoires !
De splendides boucles d’oreilles encadrent un visage maquillé. Elle a peut-être un peu forcé sur le rouge à lèvre et le fard à paupières violet. Ses cheveux sont libres comme je les aime. Son cou est paré de divers colliers dont certains viennent se nicher entre ses seins. On dirait ainsi la prêtresse d’un culte ancien voué aux forces primitives. Sa taille est ceinte d’une chaîne à gros maillons qui fait un peu hors propos mais qui est efficace sur ma libido en folie. Je constate aussi, à ma grande surprise, qu’elle porte des fins gants en dentelle ainsi que des talons aiguilles. Elle est une symphonie de nuit avec rehaut d’or pour une nuit qui s’annonce très longue.
Quand vous avez devant vos yeux une telle apparition, dans un premier temps, admire, on contemple. Et on se retrouve bien en peine de passer à la suite. C’est bien ce qui m’arrive. Je m’attendais à quelque chose mais là, elle a passé la vitesse supersonique. Je ne sais pas si la surprise que je lui réserve sera à la hauteur du tremblement de terre de maintenant !
Voici bien mon hic : je commence par où ? Je décide toutefois de me rapprocher pour mieux l’admirer encore. Elle me sourit, à la fois ravie de l’effet qu’elle produit et gênée par tant de lubricité. Mon visage doit parfaitement traduire ce que je ressens et je pourrais même dire que çà l’amuse de me surprendre ainsi. Ceci dit, je trouve tout çà hétéroclite. À bien y songer, je me demande même si ma chère et tendre épouse n’aurait jeté un coup d’œil sur une vieille casette vidéo X car je lui trouve alors un air de ressemblance concernant l’habillement de certaines actrices de certains films haut de gamme. Mais je ne vais pas m’en plaindre !
Je suis à deux doigts d’elle, je pose mes mains sur mes épaules pour dégager sa robe de chambre en soie qui vient atterrir doucement à nos pieds. Elle est nettement mieux avec ses cheveux qui flottent sur ses épaules nues, à l’exception des brettelles de la nuisette, cette nuisette qui ne cache rien des seins qui sont sous mon nez. Cà tombe bien, cette nuisette est à déboutonner et au moins 4 boutons s’ouvrent sous mes doigts. J’ai alors un accès direct sur les seins de ma femme. Ce soutien-gorge est un appel au crime : il soutient mais montre tout, il s’arrête aux raz des tétons. Une toute petite secousse et je les vois jaillir des bonnets, déjà dressés : il n’y a pas que moi au garde à vous ! L’instant d’après, je suis entre ses seins, sur ses seins, aussi bien mes lèvres que les mains. Cela dure un bon moment, Nadia aime bien les préliminaires de ce style. En réalité, l’un ni l’autre n’osons passer à la suite immédiatement. Un dernier mordillage sur un téton et je me recule, m’écartant à regrets.
— Tu fais quoi ? me lance-t-elle.
— J’ai besoin d’une minute pour quelque chose…
Et je baisse mon pantalon qui me gêne ainsi que mon slip. Puis tout le reste. Mon sexe est à la verticale montante, bien dur, près à fondre sur sa proie. Mais il y a encore autre chose à faire. Je lui demande alors :
— Ferme les yeux, trente secondes, mon amour !
Un peu étonnée, elle s’exécute.
C’est alors que je me dédouble. Je commence à savoir le faire sur commande. Et le piquant de la situation m’y aide encore plus. Une partie de moi se place derrière elle tandis que l’autre reste devant. Je la vois en double : recto et verso. Ce que je vois de derrière est un beau cul à peine voilé par la nuisette, si ce n’est cette frange de volants qui incite plus à la découverte qu’à masquer quelque chose. C’est à peine si on voit la ficelle du string, elle a les fesses nues et pour un sexe en érection, c’est diablement tentant !
Le moi qui est devant (je sais, il va falloir suivre maintenant !) se plaque à elle. Elle continue à fermer les yeux, ouvre un peu la bouche et cherche du ventre mon sexe qu’elle trouve sans problème. Je la capture, les mains sur les fesses, ses seins plaqués contre moi et je commence à l’embrasser aux coins des lèvres.
— J’ai quelque chose à te dire… Lui dis-je entre deux baisers.
— Oui… quoi ?
— Quelque chose de particulier ! (ma langue joue sur sa bouche)
— Ah ! Quoi ?
— Tu es désirable, très désirable et… (je mordille sa lèvre inférieure)
— Et quoi, mon amour ?
— Et je crois que… (je lui dévore le coin des lèvres)
— Et tu crois que… (là, elle s’abandonne)
— Et je crois que nous ne serons pas trop de deux pour te satisfaire (je lui capture la bouche)
L’instant d’après, mon autre moi se plaque sur son dos et arrive à lui prendre les seins qui sont plaqués contre mon premier moi. Paniquée, elle ouvre les yeux, elle se débat et découvre en tournant la tête vers son agresseur qu’il s’agit de moi. Affolée, elle se retourne vers celui qui est devant et constate qu’il s’agit du même !
— Non !! Stop !!!
— Oh non mon amour, la nuit ne fait que commencer !
Elle est coincée entre nous deux, ses mains sont capturées à présent, toute fuite est impossible et deux bouches continuent de l’embrasser dans le cou. De plus, deux sexes sont plaqués à quelques millimètres de ses endroits intimes et stratégiques. Elle est complètement perdue, elle ne sait plus quelle attitude prendre. Elle tente un sursaut de révolte :
— Salaud, tu m’avais pas dit que tu avais un jumeau !
C’est bien la première fois qu’elle m’affuble de ce nom.
— Non, ce n’est pas mon jumeau, c’est moi en deux exemplaires !
— Tu te fous de moi ?
— Aucunement !
Il faut régler la situation. Ce n’est pas que je suis violent avec les femmes mais nous décidons (mon double et moi) de l’envoyer sur le lit où elle atterrit, cul en premier. Elle est maintenant en appui sur les coudes, face aux deux exemplaires de son mari.
Elle ouvre la bouche.
— C’est quoi, ce truc !?
— Attend et regarde !
L’instant d’après, les deux exemplaires se brouillent à sa vue et fusionnent en un seul. C’est pénible, cette fusion, une nausée me prend. Ahurie, elle en est bouche bée. Elle secoue violemment la tête :
— Je deviens folle !
— Non, c’est bien vrai.
A nouveau, je me dédouble, çà me donne mal à la tête, çà me vrille le cerveau et elle se retrouve face aux jumeaux de tout à l’heure. Je sens qu’elle est à deux doigts de s’évanouir, il y a de quoi. Moi aussi, car la manœuvre est pénible. Alors nous nous couchons le long de son corps tremblant et pendant de longues minutes, tout en la caressant et en l’embrassant, nous lui expliquons.
Elle finit accepter la situation, elle nous dévisage longuement, cherche les erreurs, les différences et ne trouve rien.
— C’est dingue ce truc ! Lance-t-elle.
— Je sais, même pour moi…
— Depuis le début de la semaine, ton dédoublement ?
— Oui, c’est seulement hier que j’ai eu la preuve que je t’ai citée…
Elle est sans réaction, nos mains se baladent toujours sur elle.
— Si j’ai bien compris, tu veux faire l’amour à trois ?
— Il n’y a que toi et moi ici !
— Te fous pas de moi : tu veux faire l’amour à trois !
— Lui et moi, c’est pareil !
— Oui mais vous êtes deux ! Lequel est le bon ?
— Nous deux ! (nous disons çà ensemble)
L’un de moi (de nous) se relève, je bande toujours. De toute façon, elle va passer à la casserole, je la veux trop. Je l’attrape par le bras tandis que l’autre la soulève et en un rien de temps, elle se retrouve debout, coincée entre nous comme tout à l’heure. Avant qu’elle ne se mettre à réaliser pleinement, nous décidons de passer la vitesse supérieure : Sa nuisette valse, à moitié déchirée sur le lit, je plonge dans son soutien-gorge que je malmène afin d’en faire jaillir les seins que je happe de ma bouche. Dans son dos, je me plaque contre son cul nu et cale ma bite entre ses fesses, une main plonge dans son string dans sa forêt et l’autre capture un sein. Ma bouche se pose dans son cou.
— Mais il veut me violer à deux !
— Ecoute-moi bien, je te veux et je t’aurais. Je suis fou de toi et je veux te baiser toute la nuit afin que notre bébé soit un bébé d’amour et nous ne serons pas trop de deux pour te remplir de foutre !
— Quel langage ! Lance-t-elle d’un ton offusqué.
Mais l’attitude conciliant de son corps dément l’intonation de sa voix. Elle réalise sans doute qu’elle vit là l’expérience la plus étrange et la plus fantastique de sa vie. Moi aussi d’ailleurs ! Au fond d’elle, se faire désirer par plusieurs hommes est un désir larvé mais cet émoi existe. Elle peut s’y abandonner sans remord concernant la morale dont elle est pétrie. Elle se coule entre nous et répète malgré tout :
— Quel langage et quelle… situation !
Celui de nous qui est plaqué sur son dos lui agrippe plus encore le sein et plonge à l’orée de sa fente nichée sous touffe. Il se sert sans vergogne. Celui de devant, moi, lui aspire le sein en bouche, le marquant à pleines dents. L’un de nous dit :
— Tu es à nous, à moi et tu n’auras de repos que quand nous serons tous les deux vidés !
— J’ai pas mon mot à dire ? Fait-elle.
— Essaye !
Elle tente d’ouvrir la bouche, elle se fait bâillonner par mes lèvres. La nuit commence…
L’instant d’après, son string et son soutien-gorge filèrent dans un coin de la chambre et elle reste habillée du porte-jarretelles, des bas ainsi que des colliers et chaînes. Sous oublier ses gants qu’elle porte toujours. Par contre, elle ne pouvait pas raisonnablement garder ses chaussures. Elle a droit à un festival de langues fouineuses sur sa chatte, dans sa chatte, sur ses auréoles et sa bouche. Les mains caressent sans répit son corps, les doigts palpent tous ses plis et recoins. Nadia s’abandonne complètement, soupirant d’aise. Des mains qui jouent à lui capturer les seins de ses colliers, à les torturer ainsi. Des corps chauds qui l’épousent, se plaquent sur elle.
Elle est à présent dans le lit, allongée sur le dos, jambes écartées, à se laisser faire un cunnilinctus. Je trouve qu’elle ne participe pas beaucoup. Du coup, je pose ma queue sur ses lèvres. Elle secoue la tête :
— J’ai pas envie de te sucer !
— Donne au moins un coup de langue ! (celui du haut)
— Un seul, c’est tout ! Normalement, sa place, c’est plus bas !
— On peut y remédier ! (celui du bas).
Je quitte alors sa chatte que je lèche depuis un bout de temps et viens me vautrer sur elle. Ma verge trouve sans problème l’entrée et je commence mon va-et-vient en elle, pour la bonne cause. Comme je suis excité à mort, c’est avec beaucoup de bruits et grognements de satisfaction que je me libère en elle. Elle râle un peu de ma précipitation mais aussitôt que je me retire, l’autre prend ma place. Et à nouveau je la pistonne plus doucement, mêlant volontairement mes poils aux siens. Grâce à mes mouvements circulaires, je parviens à agacer son clitoris de mes poils drus. Elle commence à soupirer d’aise.
Comme je suis poisseux d’avoir joui en elle tandis que l’autre la pistonne, je décide de poser mon sexe flasque sur ses seins et j’y laisse une belle trace. Entre deux gémissements, elle proteste un peu : ce qu’il ne fallait pas faire ! J’en profite pour clore ses lèvres de ma tige visqueuse tandis que je lui pince les tétons. Vaincue, le clitoris en feu, les tétons tiraillés, elle ouvre la bouche et me suce afin me nettoyer. Sa langue enrobe d’abord mon gland et en chasse toutes les sécrétions, les siennes comme les miennes. Je lui ai un peu forcé la main, il est vrai que nous sommes deux sur elle et elle doit se sentir un peu humiliée. Toutes ces sensations la conduisent droit vers l’orgasme et elle m’expulse afin de crier. Moi qui la pistonne de mon côté, je n’attends que çà pour me lâcher en elle et l’inonder à mon tour. Elle n’a pas le temps de s’en remettre, que déjà sorti d’elle, je fais comme mon jumeau, je lui présente mon sexe mou à sucer. Les tétons toujours pris en tenailles, elle s’exécute, mais je ne suis pas sur que çà ne soit que par contrainte. Comme nous sommes partis sur la bonne pente, nous exigeons d’elle qu’elle nous accueille dans sa bouche à tout de rôle puis tous les deux ensembles.
Elle est maintenant complètement ouverte, la chatte à l’air, dégoulinante, deux sexes en bouche. Et çà ne fait que commencer. Je sens que je vais réussir à la tirer au moins quatre fois et comme nous sommes deux ! Des idées lubriques fusent dans nos esprits. Comme ce que pense l’un, l’autre le sait, nous nous retirons de sa bouche et ordonnons :
— Maintenant comme çà dégouline, empêche que çà sorte avec ta main ! Plaque-là sur ta chatte et profite-en pour te masturber !
— Et si je refuse ?
— Je ne crois pas que tu sois en position !
L’un de nous lui mordille un sein et laisse une belle trace de dents sur la chair. Je pense qu’elle proteste pour la forme et d’ailleurs, la morsure est bénigne. Elle plonge sa main gantée dans sa chatte poisseuse pour endiguer le reflux et commence un lent mouvement à la recherche de son plaisir. Je pose une couille sur sa bouche et lui demande de la gober délicatement. Etre en elle ainsi est délicieux. Depuis le temps que j’attendais ce genre de plaisir que la première femme ne me refusait jamais !
Nous passons ensuite à une autre étape et lui demandons de se mettre le cul à l’air, en buse, après s’être retournée sur le ventre. Son cul ainsi présenté avec ses jambes gainées de noir et le porte-jarretelles est d’une totale impudeur, on dirait une pute de premier choix et çà nous excite au plus haut point. La chaîne qu’elle a autour de la taille lui donne un air encore plus ambigu. Nous exigeons d’elle qu’elle continue à se masturber de son gant englué et nous plongeons à tour de rôle dans cette belle chatte distendue tandis que l’autre continue ses frôlements et agaceries sur Nadia qui se soumet de plus belle. Nous nous essuyons sur ses belles fesses, sans qu’elle ne s’y oppose, trop occupée avec son clitoris noyé sous le sperme de son gant. Pour reprendre notre souffle afin de mettre en pratique notre prochaine idée, nous nous occupons des fesses, des seins et de la bouche d’une Nadia qui jouit à nouveau de ses doigts et qui est actuellement assez loin de la prude femme qu’elle était, il y a à peine deux heures.
Cà y est, nos machins sont à nouveau d’attaque, version trois. Nous lui donnons la marche à suivre :
— Quand on te le dira, tu te masturberas de ton autre main. (moi 1)
— Pendant que tu suceras ton autre main. (moi 2)
— Celle qui… (elle)
— Celle qui est actuellement collée à ta chatte ! (moi 2)
— Et tu laisses ton cul en buse ! (moi 1)
— Et, je ne veux pas que tu rentres par là ! Dit-elle, une pointe d’appréhension.
— T’inquiète, c’est autre chose qui est prévue ! (moi 1)
Elle change de main et approche son gant poisseux à ses lèvres. Elle hésite un peu puis se décide. Le goût mélangé de nos spermes et de ses liqueurs ne lui déplaît pas de trop. Nous sommes en action à l’orée de sa chatte béante. Notre propos est simple, y plonger tous les deux et lâcher notre foutre de concert dedans.
— Ah !
Elle sursaute quand nos deux glands forcent l’entrée de ses petites lèvres.
— Oooh !
Elle tressaille quand nos deux glands s’enfouissent plus loin.
— Uh !
Elle tremble quand nos deux tiges coulissent au plus profond.
— Ah, nan !
Elle vibre quand tout est entré et que nos couilles s’aplatissent sur elle.
— Uh oh !
Elle trépigne, halète quand nous la pistonnons de concert. Un énorme machin double la transperce, la vrille tout en lui donnant du plaisir teinté de douleur. Ses doigts s’activent comme des forcenés dans sa fente, sur son petit bouton rosé. Nous en profitons pour la traiter gentiment de grosse cochonne tout en activant le mouvement. Nous savons que nous la défonçons mais c’est si bon. Nous arrivons à synchroniser nos trois jouissances en dépit du bon sens mais nous partons tous ensembles vers le septième ciel avec plein d’étoiles partout.
Nous nous accordons un petit repos bien mérité avec Nadia entre nous.
Quelque temps après, Nadia est réveillée par des mains qui s’active sur elle. La soirée continue. Elle se retrouve allongée sur le ventre, jambes écartées, cul en évidence. L’un de nous vient s’asseoir devant son nez, présentant sa bite dressée. Elle comprend vite le message. L’autre se poste entre ses jambes, en plongé sur son beau postérieur et je commence à lui lécher la chatte. Cette chatte est splendide mais mon idée est ailleurs et ma langue remonte vers son petit trou. Je lui vrille de ma langue; l’engluant de ma salive. Inquiète pour la suite, Nadia laisse faire, elle en éprouve une sorte de bien-être. Je continue ma manœuvre et je sens du bout de la langue sa résistance chuter. Elle suce ma queue sur le même rythme qu’elle oscille à présent du bassin pour accompagner ma langue.
Je tente d’aller plus loin en lui écartant posément les fesses afin de dégager son anus. Sa réaction est immédiate : elle m’exclue de sa bouche et met de côté.
— Non, çà je ne veux pas !
— Je voulais simplement mieux dégager ton petit trou du cul pour mieux y glisser ma langue !
— Je ne veux que tu te fourres là avec ta queue !
— Je ne m’y suis jamais mis pour l’instant…
— Tu me jures que tu m’enculeras pas ?
Ce genre de mots dans sa bouche m’incite plutôt à le faire ! Nous répondons tous les deux :
— Promis
— Tous les deux ?
— Tous les deux !
A force de caresses, de baisers, elle se replace sur le ventre et nous livre son beau petit cul. L’un de nous s’occupe de la raie tandis que l’autre lui pelote les fesses. Quelques instants plus tard, nous sommes revenus au point critique : elle est détendue, elle ondule sous la caresse et doucement, nous arrivons à lui écarter les fesses pour jouir d’une vue imprenable sur son œillet. Pour parfaire plus encore notre coup, l’un de nous glisse sa bouche sur sa chatte et commence un jeu de langue de première qualité autour de son bouton. L’autre continue son exploration. Il ne faut pas longtemps pour qu’elle se mette à gémir de la sorte, son petit trou est presque entrouvert et de temps en temps, un doigt vient marquer son territoire. L’alternance langue et doigt continue sans qu’elle proteste. J’aventure légèrement mon index dans son trou interdit tandis qu’elle commence à remuer furieusement des hanches. Encre un coup de langue et je la sens ultra détendue. Je pousse alors mon avantage et coulisse une phalange dans son cul. Elle pousse un petit râle. Je m’active plus encore sur son clitoris. J’améliore ma position dans son rectum et elle part dans un long gémissement de plaisir, je sens distinctement les anneaux de contraction du plaisir autour de mon doigt.
Volontairement, je laisse mon doigt pour profiter de ses spasmes. Et elle sait que je le laisse pour cette raison. Elle secoue son popotin pour m’en chasser.
— Tu es quand même un salaud ! Me lance-t-elle.
— Et pourquoi, je ne t’ai pas enculée…
— Tu n’es qu’un salaud parce que…
— Oui, mon amour ?
— T’es qu’un salaud parce que j’ai aimé çà ! Me dit-elle hargneuse.
— Tu vois…
Nous nous recouchons contre elle, pour la tenir au chaud et aussi pour en profiter allègrement, aussi bien nos corps que nos mains, sans parler de nos sexes qui ont la marotte d’aller instinctivement se loger aux endroits stratégique.
— Je présume que tu es fier de ton coup ! Me dit-elle à l’oreille.
— Ah oui et pourquoi ?
— Tu m’as donné envie !
— Envie de quoi, mon amour ? Que je lui murmure à l’oreille.
— Tu le sais très bien, mon salaud. J’ai envie que tu me refasses la même chose.
— Il suffit de le demander !
Mais nous changeons un peu la donne. Je m’allonge sur le dos en premier et j’exige qu’elle me suce tandis que je la lèche pour un splendide 69. Mon jumeau s’occupera d’elle, entre ses jambes agenouillées, sa chatte sur ma bouche. Vu du côté de mon jumeau, la vue est belle. Et nous sommes repartis pour un tour. Ma langue titille à fond son petit trou, je lui écarte les fesses doucement de mes mains. Sa chatte moite, son cul agressée, elle s’active sur ma tige. Elle apprend vite ! Je lui demande de me pince la base de ma verge, sinon je vais tout lâcher trop tôt. Elle s’exécute et ralentit son mouvement de pompage, çà va un peu mieux. Toujours en pratiquant l’alternance langue et doigt, son œillet s’élargit. Je plonge alors mon index dans sa chatte, mon jumeau m’ayant laissé le passage pour aller le présenter à l’entrée interdite convoitée. J’attends un mini spasme et je rentre. Je la sens vibrer autour de mon doigt. Je le ressors pour mieux lubrifier l’entrée restée légèrement ouverte puis je replonge. Une phalange passe puis une autre. Je passe les étapes calmement mais sûrement. Je sens que çà pénètre bien, qu’elle l’accueille avec satisfaction, sa chatte étant en folie sous les coups de langue insidieuse. Elle remue du popotin de plus belle, elle suce à tout va, son corps n’est plus qu’une immense ondulation. Je n’en peux plus, je lâche de petits jets de sperme dans sa bouche. Elle jouit en de longues vibrations. Je m’engouffre alors à fond et j’entre la totalité du doigt. Des mouvements rythmiques de ses sphincters m’indiquent que la partie est gagnée et qu’elle vient de découvrir une nouvelle forme de plaisir.
Elle se dégage de moi, la bouche pleine de sperme qui suinte jusqu’à son menton et nous regarde de ses yeux sombres. Un mouvement de sa gorge indique clairement qu’elle vient d’avaler puis elle passe sa langue sur ses lèvres pour enlever l’écoulement. Je me jette sur elle pour l’embrasser furieusement.
Cà va faire quelques minutes que nous nous reposons. Nadia vient de franchir deux étapes d’un coup : faire une fellation en avalant tout et jouir analement. Je sens que je vais pouvoir peut-être concrétiser mon phantasme de la prendre en sandwich…
C’est elle qui reprend la parole :
— Tu es content de toi, enfin de vous ?
— Je suis particulièrement fier de toi… et de moi, de nous aussi !
— J’aurais jamais cru pourvoir faire çà un jour !
Elle se cale contre les oreillers, elle a toujours ses colliers sur elle, sur sa peau nue. Elle est toute ébouriffée et très loin son image de femme du monde. Une sorte de prêtresse sauvage, au regard farouche. Mais terriblement désirable.
— Ta véritable idée de derrière la tête, c’est pas tout simplement pouvoir me foute ta bite au cul ?
— Pas exactement…
— C’est pas de mettre ta queue dans mon trou du cul ?
Là, elle se lâche, trente ans de vernis qui s’en vont. L’entendre dire tous les jours ce genre de truc, je ne dirais pas oui. Mais dans les circonstances présentes, je ne dis pas non.
— Non, c’est de mettre ma bite dans ton cul et ma queue dans ta chatte !
— Les deux ?
— Oui, un double, un sandwich !
— Eh bien, mon salaud, tu ne te refuses rien ! Et tu comptes t’y prendre comment ?
— Comme ceci !
A genoux sur le lit, je me place face à elle et lui relève les jambes bien en V. Mon autre moi en profite pour caler un oreiller sous ses fesses afin que son bassin soit littéralement offert, que ses deux portes soient accessibles.
— Et maintenant ? Me lance-t-elle.
— Il me suffit de bien me positionner à ton entrée, après les préliminaires d’usage.
— Et… çà ne fera pas mal ?
— Si c’est bien lubrifié, si tu es bien détendue et consentante… çà ira comme mon doigt…
— C’est quand même plus gros, ce que tu veux me mettre !
— Si tu veux, j’arrête à ta demande…
Ma Nadia se pince les lèvres. Le coup du doigt lui avait bien plu mais récupérer mon engin, c’était autre chose. Nous ne lui laissons pas trop le temps de cogiter, j’attaque de suite sa belle anatomie et mon double s’en va chercher ce qu’il faut.
Les grands classiques ont leur bon côté, ils ont fait leurs preuves. Ainsi, je commence à lécher la chatte offerte puis doucement mais sûrement, mes incursions descendent plus bas et se font de plus en plus insistantes sur sa rondelle. Très vite, le petit trou s’incurve et je peux pousser mon avantage au-dedans. Entre-temps, Mon double est revenu avec la vaseline qui végétait dans un coin de la salle de bain. Nadia l’avait acheté pour pouvoir enlever ses bagues. Elle ne pensait pas alors à l’autre utilisation de ce produit. Je pose une noisette de vaseline à l’orée de l’anus tandis que mon double s’installe à califourchon au-dessus du ventre de notre femme et pose sa bouche sur sa chatte qu’il attaque gaiement. J’introduis délicatement mon doigt en elle, elle souffle mais ne bronche pas. Je me retire pour mieux remettre de la vaseline et je continue ce petit manège au moins quatre à cinq fois. Maintenant, mon doigt est au fond de son rectum et m’avoue que tout c’est bien passé pour l’instant. Quand je me retire, son petit trou reste entrouvert et j’en profite pour y déverser une bonne partie du tube. Résultat, çà déborde mais si çà ne passe pas, je n’y comprendrais rien. Sa chatte étant occupée, Nadia décide de s’occuper elle-même de ses seins. Ma femme a bien changé en quelques heures. Un peu jaloux, mon double recule alors ses fesses sur ses seins et lui présente une queue raide en lui intimant l’ordre de lui faire une branlette espagnole, de le masturber avec ses seins. Elle s’exécute et lui réserve un traitement royal.
Un doigt c’est bien, deux c’est mieux. Avec précaution, mon index et mon pouce s’introduisent en elle. J’entends alors quelques petits gémissements mais elle me fait comprendre de continuer plus doucement. J’en profite pour commencer à la masser de l’intérieur. Elle apprécie. Le test est concluant. Je passe donc à trois doigts. La pénétration est lente et régulière. Mon exploration se veut méticuleuse et je palpe chaque recoin, chaque anneau que je trouve sur ma route.
— Plus lentement…
— Je ne te fais pas mal ?
— Non mais je me sens remplie, prête à exploser !
J’arrive néanmoins à mon but. Tout va bien, nous pouvons passer à la suite. Mon double accentue sa lècherie pendant que je viens me caser à quelques centimètres des fesses de ma femme. Posément, je dirige ma queue vers son anus et je cale le gland dans la petite cuvette. Une légère poussée continue et il rentre dans la première section. J’attends un peu. Mon autre moi s’active sur la chatte dégoulinante. En effet, elle ruisselle à présent. Je m’enfonce à présent dans la deuxième partie. Cà passe et çà lui fait un drôle d’effet puisqu’elle vient d’happer les couilles de mon jumeau et lui fait un traitement particulier à la pointe de sa langue. J’en profite pour glisser le tout jusqu’à ce que mes couilles battent ses fesses.
— Je suis complètement en toi, mon amour !
— Je le sens passer, c’est dur mais c’est bon !
— Maintenant, je vais te pistonner délicatement…
Et j’amorce un léger mouvement de va-et-vient en elle. Elle souffle, elle gémit mais elle désire me garder en elle. Aidée par la vaseline, ma queue arrive vite à la pistonner de bord en fond : à chaque fois que je suis près de la sortie, elle soupire de soulagement et à chaque fois que je cale au plus profond, elle pousse un petit râle. Ce petit jeu dure quelques minutes.
Puis je décide de sortir. Elle se relâche complètement.
— Fini ?
— Non, ma chatte, nous passons au double, tu te souviens ?
— Ah…
Délicatement, nous la couchons sur le côté et je reprends le chemin de son cul avec la même lenteur pour m’enfoncer en elle, plaqué sur son dos, un sein en main. Pour supporter cette intrusion, elle se masturbe du bout des doigts. Je passe, un à un les anneaux de son rectum baigné de vaseline et c’est avec satisfaction que je recommence mon lent pistonnage. Mon double lui soulève la jambe, vient se plaquer face à elle et s’introduit facilement dans sa chatte qu’elle continue malgré le peu d’espace disponible à branler.
L’instant d’après, nous la pistonnons en parfaite synchronisation tandis qu’elle s’oublie :
— Oh mon dieu ! Oh les salauds !
Qu’elle répète au moins dix fois, si ce n’est quinze. Du coup, nous nous en donnons à cœur joie et dans les va-et-vient, et dans les agaceries sur ses seins, son cou et dans les gros mots !
— Oh oui, ma belle salope, çà te plait, non ?
— Oh quel salaud tu fais !
— Tu n’es pas heureuse d’être prise comme une belle pute que tu es ?
— Oh… Ah !
— Pute de luxe, tu ferais bander un mort, avec tes cuisses noires de grosse cochonne !
— Salaud, salaud, salaud !
Son vocabulaire est limité mais les mouvements qu’elle fait pour que nous soyons plus encore en elle parlent pour elle. Nous continuons à lui susurrer des cochonneries douçâtres à l’oreille, elle répond par des coups de bassin. C’est dans cet état, nos corps emmêlés, nos bites plantées en elle, nos sueurs mélangées et la sensation que rien ne sera plus comme avant que le sommeil vient nous surprendre quelques minutes plus tard.
Le soleil est levé et inonde la chambre. C’est la première fois que je me réveille en double exemplaire. Je la cherche du regard. Lui aussi. Elle est voluptueusement allongée, ayant récupéré de la nuit. Elle nous lance d’un air concupiscent :
— Et bien, si la prochaine fois, vous étiez quatre…
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