Isabelle, ma voisine inaccessible

J’ai 35 ans et je vis seul actuellement dans un appartement d’une résidence d’une centaine de logements en région parisienne. Le voisinage est très sympathique et je me suis rapidement intégré lors de mon arrivée, il y a trois ans. En particulier avec mes voisins directs avec qui, il est vrai, nous nous rendons de menus services régulièrement.

Ainsi depuis l’année dernière, lors des vacances, nous échangeons nos trousseaux de clés afin de surveiller l’appartement des autres et nourrir nos fauves respectifs, car il est plus pratique de laisser nos chats à la maison que de les emmener sur nos lieux de villégiature.

Mes voisins forment un « joli » couple, la quarantaine tous les deux, et ont deux enfants adolescents. Lui, Arnaud, est assez banal physiquement. Il semble simple et même un peu « beauf » surtout lorsqu’il regarde les matchs de foot à la télé. L’isolation phonique de l’immeuble est excellente entre les étages mais absolument nulle sur un même palier ce qui fait que j’entends systématiquement tout ce qui se passe chez eux, des engueulades aux cris d’enfants, en passant par la télé mais aussi des gémissements explicites au niveau du mur de la chambre. Isabelle est assez jolie et sait apparemment se mettre en valeur tant au niveau du maquillage que de sa tenue vestimentaire. Tout cela reste malgré tout très soft même si elle « dégage » quelque chose de sensuel selon moi, mais peut-être est-ce le fruit de mon imagination ? Et cette dernière est assez vive en ce qui la concerne, pas uniquement à cause des cris de jouissance dont elle me gratifie involontairement et régulièrement.

En effet, depuis l’année dernière où j’ai découvert sa garde-robe pendant les vacances, je ne cesse de l’imaginer dans des tenues sexy et affriolantes. En fait, ce n’est pas simplement sa garde-robe que j’ai découverte, mais aussi de nombreuses autres choses comme vous allez pouvoir le constater.

Mes voisins ont pris leurs vacances l’an dernier en juillet. Ils partaient pour trois semaines et m’ont demandé de venir m’occuper de Tiger leur chat. Venir tous les jours nourrir un chat prend cinq minutes et franchement, cela ne me dérangeait pas. En plus, j’avais déjà eu l’occasion de leur rendre ce service lors du week-end du 11 novembre précédent. Ils m’ont donc remis un trousseau de clés, m’indiquant aussi où se trouvait la réserve de nourriture pour le chat ainsi que la litière pour la lui changer chaque semaine. Il est vrai qu’en novembre je n’avais pas eu à chercher loin, les deux boîtes de nourriture étaient dans la cuisine.

Mes voisins partis le samedi, je me retrouve le lendemain chez eux pour nourrir Tiger. Un peu de pâté qui schnouffe et de l’eau, mission accomplie. Zut, le chat n’a plus de croquettes. Me voilà parti vers la réserve (un simple placard dans le couloir des chambres). Dans le couloir, je m’avise de la porte de la chambre de mes voisins. Par curiosité, je rentre regarder le lit où je les entends s’ébattre. Rien n’est comme je ne l’imaginais, mais ce n’est pas surprenant car la seule vision que j’en avais était le fruit de mon imagination. La chambre est meublée simplement avec des meubles issus de magasins de meubles en Kit : un lit à tiroirs de chaque côté, deux tables de chevet assorties, une grande armoire penderie et deux petites commodes à tiroirs sur lesquelles se trouvent une télé et une corbeille de vêtements à repasser. À la vue de cette dernière, mon sang ne fait qu’un tour : la plus affriolante des petites culottes qu’il m’ait été donné de regarder est sur le sommet de la pile. Elle est magnifique en soie et dentelle, motif à fleurs roses, largement transparente sur le devant et façon string derrière. Finissant de l’admirer, je réalise que je la tiens en main depuis un bon moment, ne m’étant même pas rendu compte que je l’avais prise. Autre constatation, je bande très, mais alors très dur dans mon bermuda. Jamais de la lingerie ne m’avait fait un tel effet. Comme tous les hommes, j’aime regarder une femme dans une tenue sexy, mais jamais je n’aurais pensé être excité par la simple vue d’une culotte.

Délaissant rapidement ces réflexions, une vision bien plus érotique me traverse l’esprit alors que j’imagine Isabelle vêtue de cette simple petite culotte, allongée sur le lit, attendant l’homme qui la fera grimper au ciel. Malheureusement, ce ne sera pas moi.

Du coup je me rabats sur la pile de linge, cherchant si Madame a d’autres articles du même acabit. Quelques culottes (fort jolies selon moi à ce moment-là mais somme toute très banales), des soutiens-gorge (bonnet C) et des collants. Rien de plus. Je suis excité comme un diable et il m’en faut plus. N’écoutant que ma bêtise, j’ouvre un premier tiroir d’une commode, puis un autre, cherchant la réserve des sous-vêtements de Madame. La première commode est celle d’Arnaud. La seconde en revanche m’offre ce que je cherche dans le troisième tiroir. Je découvre un lot de sous-vêtements d’Isabelle. De nombreuses culottes, des soutiens-gorge, des collants, quelques bas et Dim-up. Rien de très affriolant en fait. J’ouvre le tiroir suivant. Nada.

Mon regard se porte sur l’armoire que j’ouvre à son tour révélant une penderie avec chemises, costumes et pantalons d’un côté, jupes, robes et chemisiers de l’autre. L’étagère du haut contient des pulls et des boîtes à chaussures empilées, alors que des chaussures sont en tas sur le plancher. Les deux tables de nuit ne m’offrent rien à me mettre sous la dent et j’ouvre les tiroirs du lit. Quelques draps dans le premier et des pyjamas d’Arnaud dans le second. De l’autre côté, des couvertures dans le premier et, enfin, le Graal dans le second.

Je n’en crois pas mes yeux. À côté des chemises de nuit et des nuisettes en soie, il y a là toute une panoplie de sous-vêtements hyper sexy : des guêpières, des bustiers, des porte-jarretelles, des strings transparents. Je passe un long moment à les sortir et à les regarder un à un. Chaque fois, j’imagine Isabelle dans la tenue que j’ai en main, se faisant prendre par Arnaud. Je bande comme un dingue.

Continuant mon investigation du tiroir, je découvre une petite boîte que je m’empresse de sortir et ouvrir. Elle contient une petite chaîne en or, assez longue, avec un bijou composé d’une succession de petites billes de 5 mm de diamètre accroché par une autre chaîne à une dizaine de centimètres. Je remets ce bijou en place et regarde dans la deuxième boîte, un peu plus grande. Celle-ci contient de nombreuses choses, en pagaille. Sur le dessus je découvre un gant en velours, très doux. Je le retire et aperçois alors un petit godemiché d’une dizaine de centimètres de long pour trois de diamètre, tout chromé. Je klippe le bouton, il vibre instantanément. Je porte l’objet à mon nez et suis assailli par une odeur forte et assez caractéristique de petit minou. Je n’en peux plus, il faut que je me branle. Finissant l’inspection de la boîte, j’y découvre un paquet d’une trentaine de photos polaroïd : que des photos d’Isabelle, la plupart seins nus ou en maillot de bain sur la plage. Mais quelques autres sont beaucoup plus intéressantes : en nuisette (terriblement sexy), debout vêtue d’un simple porte-jarretelles et de bas (ce qui me permet de la voir entièrement nue avec sa toison noire taillée en V), allongée nue sur le lit jambes écartées avec pour seul ornement le bijou que j’ai découvert précédemment (c’est en fait une chaîne à passer autour de la taille, le bijou descendant sur son pubis et les petites billes roulent de son clitoris à son anus) et deux autres photos moins nettes où l’on voit en fait Isabelle et Arnaud faire l’amour sans pour autant avoir des détails croustillants.

Je n’en peux plus et je sors mon sexe de mon bermuda. Je me branle quelques instants en imaginant posséder Isabelle et je jouis intensément, répandant mon sperme sur une bonne partie des sous-vêtements dans le tiroir. Qu’importe, j’ai trois semaines pour les laver.

Je me rhabille et remets tout en place, sauf pour les photos que j’emporte et les sous-vêtements que je dois laver. De retour chez moi, je branche l’ordinateur et je scanne toutes les photos d’Isabelle, mettant celle où elle semble offerte jambes écartées en fonds d’écran.

Le lendemain, j’ai tout remis en place. Les trois semaines se sont bien passées et j’ai quotidiennement versé mon écot sur la lingerie d’Isabelle chaque fois que je venais nourrir le chat. J’ai même conservé l’une de ses petites culottes qui aujourd’hui est largement tachée de mon sperme.

Cette année, rebelote, Arnaud et Isabelle sont partis, il y a presque deux semaines, en congés pour un mois, à cheval sur Juin et Juillet Pas de problèmes ! Je vais nourrir le chat. S’ils savaient ! J’ai passé l’année à me branler en pensant et en regardant les photos d’Isabelle, l’écoutant jouir, maudissant son mari à chaque fois qu’ils s’engueulaient au lieu de s’aimer. Pendant un an, j’ai attendu de voir quels nouveaux achats elle avait pu effectuer en matière de lingerie. Je me suis aussi promis de fouiller chez eux de fond en comble, car il doit bien y avoir des films d’eux, les ayant quelques fois aperçus avec une caméra numérique.

En cette fin de journée, je suis donc de nouveau dans leur chambre, en train de me branler en touchant les sous-vêtements d’Isabelle. Ils sont en vacances depuis 10 jours en Bretagne avec les enfants. Je n’ai pas trouvé de films, ils doivent être sur l’ordinateur, mais je ne prendrais pas le risque de l’allumer.

En retournant vers le salon, je suis soudain pris de panique car quelqu’un est en train de faire tourner une clé dans la serrure et je ne suis pas censé être là, dans les chambres. Heureusement j’ai tout rangé ! J’entends parler. C’est Isabelle qui dit à quelqu’un de se mettre à l’aise pendant qu’elle va se changer. Tétanisé dans le couloir, je n’ose pas bouger. Il le faut pourtant. La chambre des enfants ! Je me rue dedans et referme la porte. Isabelle passe dans le couloir en direction de sa chambre. Puis je l’entends prendre une douche. Bon sang ! La femme que je désire est nue à deux portes de moi, mais je n’ose pas jeter un œil car il y a une personne dans le salon. Une personne ? Non, j’entends la voix de deux hommes ! Que font-ils là ? Et elle ? N’est-elle pas censée être en vacances en Bretagne ? Elle a dû avoir un engagement professionnel. Quelqu’un l’appelle dans le couloir :

— Tu en as pour longtemps ?
— Juste un instant, répond-elle de la salle de bains. Je m’habille et je suis à vous.

Isabelle est retournée dans sa chambre et doit être en train de s’habiller. Je l’entends ouvrir des tiroirs et l’armoire.

— Très joli, dit une voix d’homme qui semble venir de la porte de la chambre.
— Tu devrais rester comme cela, sans mettre ta robe.
— File répond Isabelle en rigolant. Tu n’es pas supposé en profiter maintenant, mais après le resto seulement.

Qu’entend-t-elle par là ? Ce n’est pas possible ? Elle ne va pas faire ça ? En plus, il vient apparemment de la voir en sous-vêtements. C’en est trop pour moi et j’ai envie de crier, de sortir lui parler, de la raisonner, de lui demander de s’offrir à moi plutôt.

J’entends Isabelle passer dans le couloir vers le salon. Elle referme la porte et engage la conversation avec les deux hommes. Je n’entends pas ce qu’ils se disent, mais j’entends tout de même un sifflement d’admiration. Elle doit être diablement sexy. Puis la porte d’entrée claque. Ils sont partis.

J’attends quelques minutes avant de sortir et je me rends à nouveau dans la chambre d’Isabelle. L’armoire est ouverte. Le tiroir du lit que je connais si bien aussi. Par terre, il y a une robe d’été, des escarpins, un soutien-gorge et une culotte. Sans aucun doute les affaires qu’elle portait en arrivant. Je prends la culotte et la regarde. Elle est toute humide à l’entrejambe et sent assez fort. Isabelle a l’air vraiment excitée et cela me chagrine encore plus. Je passe l’armoire et regarde dans le tiroir. Je connais très bien ses sous-vêtements maintenant et constate rapidement qu’il manque un bustier noir, un porte-jarretelles noir lui aussi et surtout le bijou particulier dont la boîte vide est sur la table de nuit. Côté culotte, rien ne manque, mais elle a dû en mettre une classique me dis-je pour me rassurer, même si je sais que cela ne tient pas : on ne met pas des sous-vêtements archi-sexy pour enfiler une culotte de grand-mère avec. Elle est donc cul nu.

Je veux hurler ! Quel genre de femme est-elle donc ? Et moi dans tout cela ? Elle a pensé à moi ? Me lamentant, je retourne chez moi. C’est l’heure du dîner, mais je n’ai pas d’appétit. Le match à la télé ? Je m’en fiche. Je ne fais que penser à elle et je surveille régulièrement le couloir par le judas.

23h15, l’ascenseur fait du bruit. La lumière du couloir s’allume. J’ai l’œil collé au judas. Isabelle apparaît suivi par deux grands gaillards de 30 ans environ. Elle est vêtue d’une jupe plissée jaune qui s’arrête au-dessus des genoux et du bustier noir dont j’avais noté la disparition. Elle est magnifique et rayonne, sans doute a-t-elle un peu bu. Elle cherche ses clés dans son sac et l’un des gars en profite pour passer sa main sous la jupe, lui caressant la fesse droite. Il lui a remonté la jupe ce qui me permet de voir le haut de ses bas et les attaches des jarretelles. Il appuie tellement sa caresse que je vois même les fesses dénudées d’Isabelle, justes striées par les deux jarretelles. Elle a un cul superbe.

Elle ouvre la porte et allume la lumière. La porte va bientôt se refermer et je vais rester à maudire cette femme. Je la vois une dernière fois, en train d’enlacer un des gaillards pendant que l’autre ferme la porte sur mon tourment.

Et celui-ci ne fait que commencer. Il ne faut pas plus de 10 minutes avant que je n’entende Isabelle râler de plaisir. Ils doivent être dans le salon, car j’entends assez bien depuis la porte d’entrée. Je l’ouvre pour mieux écouter. Elle crie carrément de plaisir et je l’entends soudain jouir. Ce n’est pas fini pour autant car elle recommence rapidement à ahaner. Ses râles sont étouffés. Je l’imagine en train de se faire prendre par un gaillard pendant que l’autre se fait sucer. C’est dur, mais je me branle quand même et je jouis envoyant ma semence sur ma porte.

Vers minuit, ils se sont enfin arrêtés et je pensais enfin retrouver ma sérénité, mais rien à faire, j’ai trop d’images dans la tête. Une demi-heure plus tard, ils ont recommencé, dans la chambre cette fois et ne se sont arrêtés qu’une bonne heure après. Vers deux heures du matin, les deux hommes sont repartis. Collé au judas, je les ai vus partir en fanfaronnant. Isabelle était sur le pas de la porte, nue, les cheveux en bataille et visiblement à la fois fatiguée et heureuse. Ils l’ont embrassée une dernière fois, l’un lui pelotant les seins (magnifiques d’ailleurs) l’autre glissant sa main dans la toison pubienne, arrachant de nouveaux râles à Isabelle qui semblait vouloir encore s’abandonner dans leurs bras.

Elle referme la porte, je vais me coucher et j’essaye de dormir mais ce n’est pas une réussite.

Le lendemain, Isabelle quitte son appartement vers 8h30 et je l’épie à sa sortie. Elle est habillée comme tous les jours de travail avec un tailleur et un chemisier. Je ne distingue pas bien son visage et je n’arrive pas à discerner si elle a des cernes ou si elle a réussi à les masquer sous son maquillage. Je n’ai qu’une pensée en la voyant : pourquoi ? La seule réponse qui me vienne à l’esprit, par frustration est : salope !

Je prends une douche et déjeune frugalement. Il faut que je trouve des preuves. Je ne sais pas pourquoi, mais je dois constater sa débauche alors que j’en ai été en partie témoin. Je prends les clés et file chez elle. Il est près de 11h00. Tiger me manifeste son bonjour, mais je m’en fiche et file dans le salon.

Elle n’a pas rangé grand-chose. Trois verres et une bouteille de vodka vide sont sur la table basse. Les coussins sont éparpillés et écrasés dans le canapé. Faisant le tour de la table je retrouve un bas par terre, la jupe plissée sous un coussin et, derrière le canapé, l’enveloppe d’un préservatif. Au moins, ils se sont protégés. Je file dans la cuisine et regarde dans la poubelle. Il y a là pas moins de quatre préservatifs, tous pleins de sperme, la plupart poisseux à l’extérieur et l’un d’eux agrémenté de quelques traces de matière fécale. Ils l’ont aussi prise par là, certainement en double.

Triste et excité, je me dirige vers la chambre d’Isabelle. Le lit est entièrement défait et la couette traîne en grande partie sur le sol. Je retrouve le deuxième bas, le bustier et le porte-jarretelles par terre. Il y a aussi plusieurs enveloppes de préservatifs et le bijou intime sur une table de nuit. Je soulève le bijou et le porte à mes narines. Il sent très fortement la mouille. Le lit est en piteux état, du moins le drap de dessous très froissé avec quelques taches ici et là. De l’autre côté du lit, dans la couette, je retrouve un autre préservatif, plein lui aussi. Le compte n’y étant pas, je vais à la salle de bains et regarde dans la poubelle. Trois autres capotes pleines. Elle a vraiment choisi des mecs endurants. Regardant bien, il y en a une autre poisseuse de sperme mais apparemment explosée. Elle a été souillée.

Je retourne chez moi et pars vadrouiller une bonne partie de la journée pour rentrer en fin d’après-midi. Va-t-elle repasser ? Va-t-elle recommencer ce soir ? Il est 18h30 lorsque je l’entends ouvrir sa porte et rentrer chez elle.

Je suis à l’ordinateur en train de mater ses photos quand vers 19h00 on vient sonner à la porte. C’est elle à coup sûr qui vient demander la clé car si elle est là je n’ai plus besoin de nourrir le chat. Le temps de mettre l’ordi en veille et je vais ouvrir.

Isabelle est là devant moi, naturelle, comme si de rien n’était. Pourtant, elle ne peut pas ignorer que l’on entend tout chez le voisin. Je rougis un peu je le sens. Elle me sourit et me dit qu’elle me remercie pour le chat. En fait, elle repart en vacances demain et souhaiterait que je continue à nourrir le chat pour les deux semaines suivantes. Je lui dis qu’il n’y a pas de problème et que je continuerai à venir chez elle… pour nourrir le chat je m’empresse d’ajouter en balbutiant. Elle sourit et me demande si je veux dîner avec elle ce soir.

Je suis un peu embarrassé par cette proposition, non pas que je ne veuille pas, mais trop surpris de l’entendre et gêné par les images de la veille qui défilent dans ma tête. J’accepte bien sûr et elle me propose de prendre l’apéro trois quarts d’heure plus tard le temps de prendre une douche, se changer et de ranger un peu.

La porte se referme. Je suis sur un petit nuage, en plein rêve. Je vais passer la soirée avec la femme qui m’excite le plus au monde. Une cochonne, en plus. Je me lave rapidement les dents, me recoiffe et me demande ce que je vais bien pouvoir faire durant la prochaine demi-heure. De l’autre côté de la cloison, j’entends la douche commencer à couler. Je l’imagine nue dessous, l’eau ruisselant sur son corps bronzé. Mon cœur s’emballe à nouveau en pensant que je pourrais si je le voulais, la voir au lieu de l’imaginer. Ni une ni deux, je ne suis pas à une bêtise près, je prends les clés des deux appartements et je file chez Isabelle.

Sans bruit, je rentre dans l’appartement. Le bruit de l’eau dans la salle de bains est assez fort, ce qui me rassure : elle y est encore. Le salon est rangé. Il n’y a plus les verres, ni la bouteille et les coussins sont bien en place. Elle a sans doute tout ramassé, y compris dans sa chambre. Remontant le couloir en direction de la porte de la salle de bains entrouverte, je constate effectivement en passant devant sa chambre que le lit est bien refait. Ses vêtements du jour sont sur le sol. Je ramasse sa culotte qui est encore trempée de mouille et de sécrétions. Sur le lit, elle a disposé les vêtements qu’elle va mettre ce soir : une robe courte, noire, et des Dim- up. Un sac est posé à côté et est estampillé « Machin lingerie ». Je veux jeter un rapide coup d’œil, mais je me rappelle subitement qu’elle ne va sans doute pas rester toute la soirée sous la douche. Je file vers la salle de bains et regarde par la porte légèrement entrouverte. Pour ne pas me faire voir, je la referme un peu plus, ne laissant qu’un à deux centimètres.

Derrière la porte vitrée de la douche, elle est magnifique. Elle laisse l’eau couler sur son corps pour retirer le gel douche qui la couvre de mousse. Ce faisant, elle se caresse les seins, les hanches et les fesses. Puis une de ses mains vient entre ses jambes pour terminer sa toilette. Elle semble s’y attarder un peu trop à mon goût. Oui c’est sûr ! Elle est en train de se masturber ! Je vois son visage se crisper de temps à autre alors que son corps s’agite sur sa main droite. La gauche n’est pas inactive et elle se triture les seins avec. Comment peut-elle ne pas avoir mal en les pinçant comme cela. Elle agite frénétiquement sa main maintenant et gémit de plus en plus. Elle va jouir. Je l’entends râler, pousser des petits « oh oui » et encore d’autres « Oh oui ». Au moment de la jouissance, elle enserre sa main dans ses jambes et crie doucement « Oh oui, Laurent ». Puis l’intensité descend et elle reprend tranquillement ses esprits sous la douche.

Je n’en reviens pas, elle vient de se branler et jouir en criant mon nom. Je file à toute vitesse dans le salon quand je la vois ouvrir la porte de la douche. Je bande comme un âne. Je reprends aussi très vite mes esprits et me demande comment je vais faire pour expliquer ma présence en avance. Impossible de sortir, car la porte fera trop de bruit. Je ne vois qu’une solution, m’installer dans l’un des fauteuils et attendre.

De mon siège, je ne vois, par la porte du salon, que l’entrée qui donne en fait à la fois sur la cuisine, le couloir, l’extérieur et le salon où je suis. J’entends Isabelle chantonner dans sa chambre, puis ses pas semblent se rapprocher. Je la vois passer nue en direction de la cuisine, avec une simple serviette autour des cheveux et des Dim-up sur les jambes. Elle ouvre un tiroir dans la cuisine, le referme et repasse en direction de la chambre. Je me fais tout petit dans mon fauteuil, priant pour qu’elle n’entre pas au salon. Heureusement, elle est retournée dans sa chambre finir de s’habiller. De mon côté, je prends un magazine posé sur la table et commence à le feuilleter, comme si c’était naturel.

Dix minutes plus tard, Isabelle, vêtue de sa robe d’été noire, entre au salon et sursaute en me voyant.

— Laurent ! Qu’est-ce que tu fais déjà là ? Tu m’as fait peur ! Je ne t’ai pas entendu entrer. Ça fait longtemps que tu es là ?
— En fait oui, depuis un bon moment, lui dis-je avec une assurance que je ne me connaissais pas. Je crois que vous étiez encore sous la douche quand je suis arrivé.
— Tu étais là ? Mais alors tu m’as…
— Je vous ai entendue passer. Oui. J’étais plongé dans cet article très intéressant et je n’ai pas voulu vous déranger. Vous veniez tout juste de sortir de la douche alors je me doutais que vous ne deviez pas être encore prête. Vous êtes ravissante d’ailleurs.
— Merci, répond-elle. En effet, je n’étais … pas vraiment prête.

Elle me lance un regard scrutateur essayant de me tirer ainsi les vers du nez, mais je reste stoïque, ne révélant rien de ma dernière fourberie. Isabelle me propose alors un verre et sans hésiter je lui demande si elle a de la vodka bien glacée. Elle me regarde à nouveau en coin, mais une fois de plus je reste impassible.

— Oui. Oui, j’ai cela au congélo. Je reviens de suite avec deux verres.

Quelques secondes plus tard, Isabelle est de retour de la cuisine avec une bouteille de vodka et deux verres qu’elle remplit. Nous trinquons et elle s’installe en face de moi dans le canapé. Sa position fait remonter sa robe et révèle la présence des bas que j’avais déjà aperçus quelques minutes plus tôt. Feignant de les découvrir pour la première fois, je laisse traîner mes yeux sur ses cuisses et prend un air manifestement troublé. Cela semble convenir à Isabelle qui engage la conversation. Nous parlons de son travail, de ses vacances. Elle me demande si ma recherche d’emploi (je suis au chômage depuis 8 mois) se passe bien. Tout en parlant, elle croise et décroise les jambes, la robe remontant de plus en plus et faisant apparaître entièrement les bas et me révélant sa culotte. Mon regard est sans doute trop appuyé mais tant pis, je regarde le morceau de tissu. C’est une jolie culotte rose en dentelle avec de nombreux petits nœuds tout le long de sa fente d’amour. Isabelle recroise les jambes. Nous continuons nos palabres. À un moment, Isabelle s’absente dans la cuisine pour vérifier la cuisson de la pizza, puis se réinstalle dans le canapé et le « jeu de la robe qui monte » recommence.

Nos verres sont vides et Isabelle s’avance alors pour les remplir à nouveau. Ce mouvement achève de remonter totalement sa robe sur ses cuisses. Pendant qu’elle nous ressert, elle écarte doucement les jambes et, de ma place, je ne rate rien du spectacle : les petits nœuds sont tous détachés et la culotte est fendue, ouverte sur sa foufounette. Sa vulve m’est alors révélée, rouge et humide, béante. Je regarde Isabelle dans les yeux et la remercie (pour le verre qu’elle me tend, bien sûr). Nous reprenons notre discussion et dînons ensuite au même endroit, à la bonne franquette, une fois la pizza cuite.

Le vin est excellent et je dois dire que j’en bois plus qu’à l’accoutumée. Isabelle est de plus en plus loquace et rit assez souvent des histoires que je lui raconte (juste l’histoire de ma vie en fait). Elle se lève et débarrasse les assiettes dans la cuisine puis revient au salon, s’affalant tout du long dans le canapé. Sacrée petite robe qu’elle a là, qui remonte sur le haut de ses cuisses, au-dessus des bas, et me donne un angle de vue quelque peu ouvert sur son intimité.

Isabelle penche sa tête de droite et de gauche, me regardant droit dans les yeux quand elle me fait face.

— Ouhlàlà, je crois que j’ai abusé un peu trop du vin, dit-elle. Et toi ça va ?

Et comment que je vais bien ! J’ai une énorme bosse dans le pantalon qui me fait souffrir, cependant moins que mon esprit qui me torture. Je dois absolument agir maintenant et lui sauter dessus. C’est très clair, elle n’attend que cela. Bon sang, je suis à deux mètres de la femme qui me fait fantasmer depuis plus d’un an et en plus elle a apparemment envie de moi.

Elle est magnifique, affalée en arrière sur le canapé, abandonnée, une jambe sur le canapé et l’autre qui pend maintenant doucement en dehors. Elle est totalement offerte dans cette position, sa chatte entièrement dévoilée et tournée vers moi. Isabelle me regarde et tourne la tête vers le canapé en poussant un soupir un peu plus fort. Je me lance et me lève du fauteuil pour m’asseoir sur le canapé au bout de ses jambes. Je pose mes mains chacune sur une de ses jambes et la caresse doucement, remontant petit à petit. Je caresse ses mollets, puis remonte sur ses cuisses. Mes mains atteignent sa peau nue sur le haut des cuisses. Elle est douce comme je l’imaginais. Je continue ma progression sous sa robe et glisse mes mains sur ses hanches que je pétris doucement. Isabelle se tortille sous mes caresses. Mes mains se recentrent sur son ventre et partent à l’assaut de sa poitrine. Ce faisant, je me rapproche d’elle, à genoux sur le canapé, entre ses jambes écartées. J’ai le visage à quelques dizaines de centimètres de sa chatte dont la vulve est complètement ouverte.

Mes mains atteignent la base de ses seins et j’en contourne le galbe avec délectation. Puis je les empoigne amoureusement et fais rouler ses tétons déjà largement tendus entre mes doigts Mon geste arrache un premier râle à Isabelle qui se cambre langoureusement. De son sexe me provient une odeur âcre et je constate l’apparition d’un fin écoulement de mouille qui s’échappe et coule vers son anus.

Je caresse longuement ses seins, couvrant son ventre en partie dénudé maintenant de baisers. Isabelle est complètement abandonnée en arrière et se mord alternativement les lèvres ou les doigts. Je remonte encore sa robe sur ses seins et Isabelle se redresse, dézippe la fermeture éclair dans son dos et enlève la robe par le haut. Elle ne porte plus que ses bas et sa culotte échancrée. Je me couche en partie sur elle et lèche, titille et mordille ses tétons. Mes mains courent sur son corps, passant de la tête à ses seins. Elle a relevé les jambes qui enserrent maintenant les miennes et me serrent contre elle. La bosse de mon pantalon est en contact avec son sexe et elle entame un mouvement du bassin, se frottant contre ma proéminence.

J’embrasse Isabelle dans le cou, puis m’attaque à sa bouche et nous échangeons un long et passionnant baiser pendant lequel elle continue ses mouvements du bassin que j’accompagne maintenant d’un ersatz de va-et-vient. Mes mains ne sont pas inactives et pendant que la gauche continue de lui caresser le sein, la droite est maintenant sous elle et caresse ses fesses et ses cuisses. Isabelle me relève légèrement et retire mon T-shirt, puis gratifie mon torse de baisers et de léchouilles. Appuyé sur le canapé sur mon bras gauche, je remonte la main droite sur son ventre et la glisse doucement en direction de son entrejambe. J’atteins le haut de la culotte avec laquelle je joue un instant, glissant mes doigts dessus puis dessous pour caresser la toison brune et fournie. Enfin, je franchis la dernière étape et glisse maintenant mes doigts entre ses cuisses, passant sur sa vulve et roulant sur son clitoris. Isabelle se cambre immédiatement poussant un râle encore plus fort. Ce mouvement vient plaquer complètement ma main contre son sexe, emprisonnée entre son corps et le mien. Lorsque Isabelle se laisse de nouveau aller sur le canapé, ma main est poisseuse de mouille.

Je continue mon exploration de son sexe et glisse un doigt le long de sa fente, puis en fais le tour. Je roule à nouveau son clitoris entre mes doigts et lui arrache un nouveau râle. Isabelle se cambre et j’introduis un doigt dans sa chatte à ce moment-là. Sa réaction est immédiate et elle déclenche un mouvement de va-et-vient du bassin sur mon doigt, lâchant régulièrement de petits cris. Je glisse un deuxième doigt et j’accentue ses mouvements en effectuant un mouvement de plus en plus fort de la main.

« Oh. Ooh oui !» Isabelle va bientôt jouir, je le sens. Ma main est trempée et mon bonheur est immense. Isabelle m’arrête pourtant avant de jouir et chasse ma main de son sexe avec la sienne. Puis elle prend mon visage à deux mains et le plaque sans ménagement sur sa chatte. L’odeur de sa mouille est puissante, mais elle m’excite encore plus. Je sors ma langue et commence à lui lécher la vulve puis je me concentre sur le clitoris que je titille de coups de langue très rapides. Isabelle se cambre et gémit de plus en plus. Elle se triture les seins fortement d’une main et pince ses tétons comme je l’ai vue faire sous la douche. Son autre main me caresse le crâne et les cheveux et m’appuie la tête sur son sexe régulièrement. Je glisse à nouveau deux doigts dans sa chatte et provoque instantanément la jouissance d’Isabelle qui enserre ma tête entre ses cuisses à me faire mal d’ailleurs. Elle jouit longuement et mon visage est couvert de sa cyprine qui s’échappe de son sexe de manière abondante.

Elle libère doucement ma tête et je continue de lui lécher la vulve un instant. Isabelle me ramène vers elle et m’embrasse m’enserrant à nouveau entre ses jambes, sexe contre sexe. Elle me glisse un merci langoureux et entre deux baisers me dit :

— C’était ton dessert. J’espère qu’il t’a plu.
— C’était super. Merci aussi.

Isabelle se dégage de moi et se relève. Je suis assis sur le canapé. Elle me tend la main.

— Viens !

Je me lève à mon tour et elle se colle contre moi, m’embrasse en passant une main sur le devant de mon pantalon (bien trempé par ailleurs par sa mouille). De mon côté, je lui malaxe les fesses pendant ce baiser.

— Allons dans la chambre. J’ai envie de ce qu’il y a là-dedans, me dit-elle.

Je la suis dans le couloir en la regardant de la tête aux pieds. Elle est superbe aussi de dos avec ses seuls bas et sa culotte dont les deux pans strient ses fesses. Sa poitrine est lourde, mais reste ferme. Je suis aux anges. Je réalise que je vais la baiser. Cela me tétanise à nouveau et je me retrouve dans la peau d’un ado puceau qui attend d’être pris en main par sa première partenaire. En effet, dans la chambre, je reste debout à côté du lit sans rien faire. Isabelle a retiré sa culotte et s’installe sur le lit après avoir viré la couette.

— Tu viens, me dit-elle ?

Je retire mes chaussures et mes chaussettes, puis mon pantalon et enfin mon boxer, libérant mon sexe tendu depuis un bon moment. Je grimpe sur le lit et m’allonge aux côtés d’Isabelle et l’embrasse à nouveau. Elle ne perd pas de temps et me renverse sur le dos, et tout en m’embrassant, porte sa main directement sur mes couilles et ma verge. Elle la décalotte délicieusement et commence un doux mouvement de haut en bas. Ma bite est dure comme du bois et je ne crois pas qu’elle ait jamais été aussi grosse. Isabelle me gratifie d’un « Laisse-moi faire » avant de m’embrasser le torse et de s’installer entre mes jambes. Sa bouche est délicieuse sur mon ventre et ses petites léchouilles me titillent, alors qu’elle continue de me branler doucement. Rapidement son visage arrive à mon pubis et elle couvre mes couilles de baisers. Elle remonte délicatement ses lèvres le long de ma hampe et donne un baiser sur le haut de ma verge. Puis elle redescend à la base et lèche de bas en haut ma verge comme on lèche un cornet de glace, répétant son geste de tous les côtés.

Après une bonne minute de ce traitement qui me torture à chaque fois que sa langue passe sur mon méat ou le frein, Isabelle porte le haut de mon sexe à ses lèvres et, la bouche en cul de poule, aspire le méat, engloutit le gland, puis les trois quarts de la verge. Je sens mon sexe atteindre le fond de sa gorge et Isabelle se retire doucement, serrant bien la hampe entre ses lèvres. Quand il ne reste presque plus que le gland dans sa bouche, elle accentue sa succion et fait rouler sa langue autour de mon sexe. C’est divin, mais je ne vais pas résister longtemps à ce traitement. D’autant qu’elle ne garde que le gland en bouche maintenant et branle la hampe de sa main, de manière de plus en plus frénétique. Je sens que je vais jouir et porte ma main sur sa joue pour lui remonter le visage. Isabelle a compris mon geste et en décide autrement. Elle se déchaîne alors sur ma verge imprimant avec sa tête le mouvement de bas en haut précédemment effectué par sa main, qui de son côté me malaxe et me serre les couilles. Je jouis fortement dans sa bouche et Isabelle accentue mon plaisir en produisant une forte succion sur mon méat jusqu’à la fin de mon éjaculation.

Mon sexe flasque retombe rapidement sur mon ventre et Isabelle redresse la tête, les lèvres pincées. Elle me regarde et ouvre la bouche me montrant l’intégralité (je pense) de mon sperme noyant sa langue et ses dents. Elle s’approche un peu plus de mon visage et je constate que je lui ai mis ce qu’on appelle « la dose ». Isabelle referme la bouche, me sourit et avale soudainement l’ensemble. Après quelques déglutitions, elle rouvre les lèvres et me montre dans un « Aaahhh » narquois accompagné d’un petit rire, l’intérieur de sa bouche où il ne reste plus une trace de mon sperme.

— J’adore, me dit-elle en se couchant à nouveau sur moi, malheureusement on ne peut pas faire confiance à tout le monde.

Elle m’embrasse à pleine bouche à nouveau et ce baiser sent, bien entendu, fortement le sperme. À califourchon sur moi maintenant, elle frotte sa vulve sur mon sexe qui se retrouve complètement trempé de sa mouille après l’avoir été de sa salive et de mon sperme. Ma verge reprend forme et j’ai hâte de prendre possession de son corps. La simple pensée de mon sexe allant et venant dans le sien achève de me rendre dur comme jamais une nouvelle fois. Isabelle l’a bien remarqué, mais elle continue de se frotter dessus pendant que je lui caresse les seins.

D’un léger coup de reins, Isabelle se relève légèrement, et mon gland redressé se retrouve au contact de sa vulve. Le mouvement retour de son va-et-vient, accompagné d’un roulement du bassin, fait disparaître intégralement mon sexe dans le sien. Cela n’a duré qu’une fraction de seconde. Elle est diablement experte et connaît son corps apparemment à la perfection. Cette pénétration lui a arraché un petit cri de bonheur. De mon côté, je dois dire que cela a été magnifiquement bon. Ma verge a soudainement été gainée d’un fourreau chaud et humide alors que je ne m’y attendais pas encore.

Isabelle continue son action et fait coulisser mon sexe dans le sien par de simples mouvements du bassin. Elle agit sur son vagin en provoquant des contractions régulières qui titillent ma verge, depuis l’intérieur de son corps, de manière exquise. Jamais encore on ne m’avait fait cela. En fait, elle est en train de me baiser. Sa respiration est de plus en plus hachée et elle lâche des soupirs de plaisir à chaque mouvement. Je continue pour ma part à lui caresser les seins, mordillant les tétons. Je me souviens alors de la façon dont elle les triturait sous la douche et décide de les lui malaxer sans précaution. Je serre fortement ses seins dans mes mains et pince douloureusement les tétons. La réaction est immédiate et Isabelle jouit intensément. Ses mouvements de bassin deviennent frénétiques sur ma verge et elle jouit sans discontinuer, criant son plaisir et hurlant mon prénom de plus en plus fort.

Je n’en peux plus et je me vide en elle, longuement.

L’excitation retombe et elle s’affale sur moi, toujours pénétrée de mon sexe. Nous restons ainsi un certain temps, reprenant des forces et nos esprits. Allongé ensuite côte à côte, nous nous prodiguons de nombreuses caresses douces sur le corps tout en engageant à nouveau la conversation.

Isabelle me demande si cela ne me dérange pas de devoir nourrir le chat. Je réponds bien sûr par la négative. Elle demande ensuite si je pense à bien fermer la porte à double tour quand je m’en vais car elle n’aimerait pas être cambriolée. Aucun souci, je ferme à clé à chaque fois. Pourtant, me rétorque-t-elle, elle a trouvé la porte non fermée à clé hier en début de soirée.

Et voilà ! Je suis coincé ! Je prends un peu de temps avant de répondre :

— Hier ? Hier ? Ah oui ! Je ne trouvais plus de nourriture pour le chat, alors je suis allé en acheter. Ça m’a pris une heure pour trouver quelque chose d’ouvert, mais quand je suis reparti, j’ai bien refermé derrière moi.

Elle me regarde en coin.

— Laurent, me dit-elle doucement, tu as de la nourriture pour chat chez toi, et tu es sorti en acheter ! Ne me raconte pas de bêtises (dit-elle en riant) ! Tu étais là ?

Je suis couvert de honte. Je ne sais pas où me mettre.

— Oui, j’étais dans la chambre de vos enfants.
— Alors s’il te plaît, ne me juge pas pour hier, car tu as certainement constaté certaines choses. Tu vois, ajoute-t-elle tout en me caressant le torse, je vis ainsi et je prends mon plaisir où et quand je le veux, avec qui je veux. Arnaud n’en sait rien. Chacun doit taire ses secrets et j’aimerais que tu gardes celui-là pour toi, comme je garderai aussi le tien. Hé oui, je sais que tu as fouillé dans mes tiroirs. Une femme sait comment les choses sont rangées chez elle. En particulier sa lingerie et ses affaires intimes.

JE SUIS MAL !

— Ecoutez ! lui réponds-je, mais elle ne me laisse pas le temps de continuer.
— Non ne dis rien ! me dit-elle. Ce sera notre petit secret. Ma lingerie semblait t’intéresser et c’est pour toi que j’ai acheté cette culotte aujourd’hui. Je suis certaine que tu as remarqué qu’elle est neuve et que je n’en avais pas des comme cela.
— En effet, je dois dire qu’elle est superbe, mais c’est surtout toi qui la mets en valeur.

Tout en disant cela je l’attrape par les hanches et nous roulons ensemble sur le lit. Elle rit, moi aussi. Je suis sur elle et elle écarte doucement les jambes. Nous nous embrassons. Mon sexe retrouve une forme intéressante. Entre deux baisers, je lui glisse que ses photos m’ont autant excité que la vue de sa lingerie, mais cependant moins que l’instant présent. « Fais voir », me lance-t-elle en s’emparant de mon sexe avec sa main. « Peut mieux faire ! » lance-t-elle en riant. Je ris aussi et glisse ma main entre nos sexes. Je guide ensuite ma verge dans sa chatte poisseuse de sperme et de mouille et m’introduis en elle pour la seconde fois.

C’est toujours aussi bon, même si je la sens un peu moins maintenant. Elle aussi doit ressentir moins de plaisir, car elle porte sa main sur son clitoris et se masturbe avec. Quelques minutes plus tard, elle jouit à nouveau. Quant à moi, c’est un peu plus difficile, aussi décide-t-elle de me terminer à nouveau en bouche. Après quelques minutes, je me vide enfin et elle avale l’ensemble de ma semence.

Les deux heures suivantes ont été merveilleuses, alternant des périodes de repos et de baise. Je lui ai avoué l’avoir vue par le judas, nue sur le pas de la porte avec ses amants la veille, comme avoir écouté ses cris durant la même soirée et en avoir été profondément troublé.

A son tour, elle me raconte qu’elle se doutait que je devais la surveiller voire l’observer, surtout après l’histoire de la porte et elle avait fait exprès, en plus de l’exciter, de se mettre nue dans le couloir.

— Voilà où cela nous mène, me lance-t-elle.
— En tous cas je suis comblé, lui dis-je.
— Moi aussi. J’ai passé un bon moment ce soir avec toi.
— On se reverra ? Tous les deux seuls comme maintenant ?
— Qui sait ? Mais la nuit n’est pas finie. En tous cas, je penserai à toi de temps à autres, dit-elle.
— Bien. Surtout ne crie plus mon nom aussi fort sous la douche.
— Tu étais là à me regarder. Tu ne manques pas d’air, toi. Alors tu m’avais aussi vu passer quand je suis allée à la cuisine ?
— Oui et oui. Mais c’est dix fois mieux maintenant.

Au réveil, je la découvre allongée, toujours nue à côté de moi, endormie. Mes mains parcourent son corps, ses tétons s’érigent sous mes caresses et lorsque je les titille de ma bouche. Ma main s’insinue entre ses jambes écartées et mes doigts roulent à nouveau sur sa vulve. Isabelle bouge légèrement et gémit en dormant. Je me relève et vais au bout du lit. Elle est magnifique. Dommage que je n’aie pas mon appareil photo. Je m’engage entre ses jambes et porte ma bouche à son sexe, la léchant doucement, titillant son clitoris. Son bassin roule doucement et sa vulve s’humidifie progressivement. J’y glisse un doigt. Isabelle gémit. Je m’avance sur elle, lui relève les jambes et frotte mon gland contre son sexe. Isabelle se réveille et me sourit. Je la pénètre d’un coup, sans ménagement. Cela achève de la réveiller, dans un cri d’essoufflement bientôt remplacé par de nombreux râles de plaisirs au fur et à mesure que je la besogne.

Je la retourne à quatre pattes et continue de la prendre sans ménagement. Cette position me permet d’empoigner ses seins et de lui pincer fortement les tétons. Mes coups de reins sont puissants et mon pubis claque sur ses fesses. Isabelle n’en peut plus de gémir. Elle a déjà joui à deux reprises et semble aimer le traitement que je lui inflige. Elle va jouir une troisième fois lorsque je me retire et présente mon gland à son anus. Elle m’arrête.

— Pas cette fois, s’il te plaît.
— Les deux autres y ont pourtant eu droit, eux.
— Justement. Ils y sont allés un peu fort. Une autre fois. Promis.

Je la pénètre à nouveau et dans un dernier mouvement fougueux, je me vide en elle. Elle tombe avachie sur le lit. Je l’embrasse et lui annonce qu’il est 9h30 et que son train part dans 45 minutes. Affolée, elle se relève d’un coup et fonce sous la douche.

Je prends mes affaires et me rends rapidement chez moi où je récupère mon appareil photo. De retour chez elle, je la filme rapidement sous la douche, derrière la vitre et lors de sa sortie. Elle me dit d’arrêter et file nue dans la chambre. Je la filme toujours alors qu’elle enfile une culotte, ne perdant pas une miette ou une image de sa vulve.

— Arrête, s’il te plaît !

Je lui obéis, l’embrasse et retourne chez moi après l’avoir remercié une dernière fois.

Dix minutes plus tard, on frappe à la porte. J’ouvre sur Isabelle qui est sur le départ. Elle entre un instant, m’embrasse et me tend un sac.

— Si tu n’as pas de magnétoscope, regarde-la chez moi.

Dans le sac il y a une cassette vidéo et la petite culotte fendue, toute souillée de sa mouille de la veille. Isabelle me fait un clin d’œil et me dit à bientôt. Elle s’en va.

Je n’en reviens toujours pas. Je suis resté avec elle pendant plus de douze heures, faisant son et mon bonheur pendant près de la moitié de ce temps.

Je file chez elle et mets la cassette dans le lecteur. Dès les premières images, je sens que je vais bien m’amuser : Isabelle est sur le lit en nuisette et frotte sur sa chatte un gros godemiché noir qui disparaît rapidement dans son sexe… Difficile de ne pas se branler à nouveau durant les trois heures d’images qui ont suivi, toutes du même ordre avec différents jouets ou légumes et même une partie de jambes en l’air entre Isabelle et Arnaud.

Je sens que je vais regarder souvent cette cassette, mais avant il me reste une chose à faire. Où l’avait-elle cachée et où se trouvent tous ces godemichés ? Je n’ai pas dû bien fouiller l’appart, mais il me reste deux semaines.

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2 réponses à Isabelle, ma voisine inaccessible

  1. coco 22 janvier 2021 at 23:24 #

    qu’elle plaisir de porter une culotte de femme,j’ai commencé avec les culottes de ma mère,de ma tante et maintenant celles de ma femme qui trouve qu’elles me vont bien et elle aime caresser ma bite au travers se tissu soyeux et un soir nous avions un couple d’amis ,après un repas arrosé ont parlent de sexe et ma femme raconte que je met souvent ses petites culottes et sa copine lui demande si elle aimerait me voire en petite culotte et la sans hésité je baisse mon pantalon et je portais une jolie culotte rouge très sexy elle pouvait voire ma bite en érection je regardais son mari qui se caressait le sexe devant les filles je me suis approché du mari et je lui es offert ma queue qu’il suça devant les filles qui applaudissaient ,Elles s’amusaient a passer leur culottes sous notre nez .une belle soiré

  2. Anonyme 24 novembre 2020 at 00:04 #

    super,j’aime cette histoire,j’aime la lingerie les belles culottes,je vis seule avec ma mère et je prends plaisir a lécher ses culottes .Et depuis quelque temps elle laisse ses culottes sur le lavabo et souvent lorsque nous regardons la télé elle porte une robe de chambre très excitante
    transparente elle est nue dessous et moi je vais me branler dans les w c et lorsque je reviens
    elle me fait un petit sourire elle se lève me fait une bise dans le cou

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