Je m’appelle Laurent, 33 ans, et cette histoire s’est passée il y a maintenant près de dix ans.
À l’époque (je n’étais pas encore marié et je ne connaissais même pas ma future épouse) je vivais avec une jolie fille, Carole, dans un petit studio. Nous étions tous deux étudiants mais avec des horaires très différents.
Les parents de Carole habitaient aussi à Paris et nous passions souvent le week-end chez eux, voire quelques fois la semaine car c’était très pratique pour nous.
Au printemps, les parents de Carole, Jacqueline et Philippe, avaient commencé des travaux dans leur appartement pour agrandir le salon en cassant le mur entre le salon et le bureau. Un vrai chantier que deux ouvriers devaient terminer en deux semaines. Jacqueline, ne travaillant pas, pouvait surveiller le chantier en permanence et s’assurer que les ouvriers travaillaient.
À cette période, Carole et moi habitions chez ses parents car nous approchions de nos examens et nous étions ainsi dispensés de toutes tâches ménagères. Nous quittions l’appartement à des heures différentes car nos cours n’étaient pas les mêmes.
Un après-midi de cette semaine, je n’avais plus cours et j’ai donc décidé de rentrer. Il était à peu près quinze heures lorsque je suis arrivé à l’appartement. Je rentre et referme la porte qui, étant donné le rideau dessus et la moquette au sol, ne fait aucun bruit.
Dans l’appartement non plus il n’y a pas de bruit. Cela est normal d’habitude puisque Jacqueline est souvent seule ou sort pendant l’après-midi, mais en ce moment il y a les ouvriers, et eux devraient faire du bruit. Je pose mon sac et mon blouson dans l’entrée et, sans faire de bruit à mon tour, j’entreprends la visite de l’appartement.
Je n’ai pas eu à aller bien loin. À peine devant la porte entrouverte du salon, sur le canapé dont la protection plastique avait été déplacée, j’aperçois Jacqueline, entièrement nue, en train de se faire prendre en levrette par un des ouvriers pendant qu’elle suce le second. Mon coeur s’est mis à battre la chamade, ne sachant que faire.
Jacqueline est une très belle femme mais ne se met pas spécialement en valeur par ses tenues vestimentaires. Du coup, elle ne déchaîne pas vraiment les fantasmes et je n’ai jamais « pensé » à elle. Mais aujourd’hui…
Je pris la décision de ne pas me montrer et de profiter du spectacle. Mais avant, je repris mes affaires et je les déposai dans la chambre de Carole, où je me saisis d’un appareil photo jetable.
De retour devant mon poste d’observation, j’observe avec envie Jacqueline jouir sous les assauts des ouvriers, prenant quelques photos, et rechargeant l’appareil en faisant le moins de bruit possible. Je ne rate pas une miette quand elle se fait sodomiser et que l’autre ouvrier décharge son sperme au même moment sur son visage, la langue largement tirée pour tout recevoir dans la bouche. Une vraie chienne. Je ne l’aurai jamais cru.
Ça a duré encore au moins vingt-cinq minutes pendant lesquelles elle a bien sucé, s’est fait lécher, sauter et enculer par les deux hommes. Moi j’ai fini la pellicule et ai joui sur le tapis de sol dans l’entrée après m’être bien masturbé.
Sur ce, je reprends mon blouson et quitte l’appartement avant qu’ils ne terminent et ne me découvrent. En passant, je laisse sur le tableau sur le frigo un message au feutre disant que je rentrerai aujourd’hui vers 15 heures, comme nous le faisons tous de temps à autre pour prévenir les autres.
Une fois dehors (il près de seize heures), je file chez un photographe qui ne me connaît pas, somme toute assez loin du domicile des parents de Carole. Les photos sont développées en cinquante minutes et je les récupère en rougissant et en filant rapidement. Elles sont superbes, et Jacqueline y est particulièrement reconnaissable, même en train de faire des choses inavouables.
Je rentre à l’appart, les photos cachées dans mon blouson, en même temps que Carole et nous retrouvons sa mère dans la cuisine. Le message sur le tableau est effacé et le regard que Jacqueline me lance est passablement troublé. Elle nous demande si nos cours ont été bien et si la journée s’est bien passée. Carole lui explique sa journée, puis j’annonce que je suis passé déposer mon sac vers quinze heures avant d’aller me promener et d’aller voir des livres à la Fnac. Carole nous laisse pour se détendre devant la télévision et j’en profite pour regarder Jacqueline droit dans les yeux. Elle soutient mon regard, visiblement interloquée, et je lui lance un clin d’oeil sans équivoque. Elle ouvre la bouche horrifiée et se la cache d’une main. Rapidement je lui dis que ça ne me regarde pas, même si moi j’ai regardé et apprécié.
Jacqueline a eu l’air embêtée toute la soirée et Philippe n’a pas cessé d’essayer de comprendre pourquoi. Prétextant être faible et fatiguée (ça, c’est sûr), elle est allée se coucher très tôt.
Le lendemain, Philippe part travailler et Carole s’en va suivre ses cours. En ce qui me concerne, je n’ai pas cours de la journée et j’en profite pour faire la grass’mat. Je me lève vers dix heures et traverse l’appart en caleçon pour prendre un petit déj dans la cuisine. Je salue au passage les ouvriers qui s’occupent à refaire le plafond. En retournant vers ma chambre, je dis bonjour à Jacqueline qui fait du repassage dans sa chambre. Dans la chambre, je ressors les photos que j’ai cachées entre les matelas et les regarde attentivement. J’en choisis une où Jacqueline est couverte de sperme avec une bite dans la bouche, j’enlève mon caleçon, j’enfile mon peignoir de bain et je sors de la chambre, la photo dans la poche, après avoir rangé les photos sous le lit et les négatifs dans mon portefeuille.
La chambre de Carole est à côté de celle de ses parents, proche de la salle de bains, au fond de l’appartement. À peine sorti de ma chambre, je rentre dans celle de Jacqueline et lui demande si elle veut prendre une douche. Elle me répond qu’elle l’a déjà prise et que je peux donc y aller. M’approchant d’elle, je lui glisse la photo dans les mains en lui précisant qu’elle en aurait pourtant bien besoin. Elle regarde la photo, muette, et me regarde ensuite en me demandant ce que je veux et pourquoi. En fait, elle l’a très bien compris et mon peignoir est ouvert : mon sexe est devenu particulièrement dur et droit. Elle me supplie en faisant non de la tête, mais je maintiens ma position en lui annonçant que ça ne sera pas plus compliqué que la veille.
Résignée, Jacqueline a maintenant un regard décidé et… gourmand. Tout en prenant mon sexe dans sa main et en commençant à me branler, elle me demande si j’ai beaucoup de photos et si je les ai bien cachées.
— Jamais, au grand jamais, Philippe ou Carole ne doivent les voir et tu ferais mieux de les brûler.
En réponse je lui annonce que cette dernière proposition est hors de question, une forme de trésor de guerre. Sans attendre plus longtemps, Jacqueline enfourne mon sexe dans sa bouche et commence à me sucer de façon divine.
Après quelques minutes, je jouis intensément dans sa bouche et elle a tout avalé. Jacqueline me regarde alors et me demande si je suis satisfait. Je lui retourne la question et, voyant son hésitation, je lui demande de nouveau si elle désire prendre une douche, en insistant. Avec un sourire entendu, elle gomme ses dernières réticences et m’accompagne dans la salle de bains. Je me dis alors que c’est une vraie nympho, en tout cas, elle est sacrément chaude.
Une fois dans la salle de bains, je la regarde se dévêtir et venir, nue, me rejoindre sous la douche. Là nous nous embrassons et nous nous enlaçons. Je caresse son corps nu, m’attardant sur sa croupe délicieuse et sur ses fesses. Je remonte ma main sur son torse et prends ses seins à pleines mains. Ils sont beaux et lourds, et pendent un peu mais il est vrai qu’elle fait parfaitement ses 45 ans. Elle me caresse aussi le corps, les fesses, introduit furtivement un doigt dans mon anus ce qui ne manque pas de me surprendre, et de son autre main commence à me branler. Je retrouve la forme rapidement et lui relève une jambe sur le rebord de la baignoire pour pouvoir lui lécher cette chatte avide de sexe. Elle a le sexe superbement épilé, mis à part un triangle parfait sur le pubis. Son goût est délicieux et elle commence à gémir en serrant ma tête de ses deux mains.
Je me relève et la fais se retourner en la penchant en avant. J’approche mon sexe du sien, dépose mon gland à l’entrée de sa chatte et lui annonce que je vais savoir qui baise le mieux, de la mère ou de la fille. Elle recule alors d’un coup et s’empale entièrement sur moi en répondant dans un râle que sa fille ne lui arrive sans doute pas à la cheville et elle compte bien me le montrer.
Je glisse en elle sans aucun souci tant elle mouille naturellement. Je la ramone ainsi pendant de longues minutes, n’ayant pas besoin de retenir d’orgasme puisque je venais juste de jouir quelques minutes plus tôt. Elle a pu ainsi en profiter longuement et soudain, dans une série de mouvements effrénés que je l’avais vu avoir la veille, elle a eu un orgasme comme aucune fille n’en avait eu avec moi.
Pantelante et appuyée contre le carrelage du mur, elle me regarde et m’invite à visiter son autre entrée me disant que c’est loin d’être terminé. Toujours dans la même position, je me retire de son sexe pour aller visiter son anus où je pénètre lentement sans difficulté. Ses petits cris sont un doux mélange de plaisir et de douleur et m’excitent au plus haut point. Nous jouissons simultanément un peu plus tard et je répands ma semence au plus profond de ma « belle-mère ».
Nous nous lavons et enfilons nos peignoirs pour nous sécher, et nous filons dans sa chambre.
Là, tous les deux nus dans nos peignoirs ouverts, nous avons discuté pendant un bon quart d’heure. Je garderai les photos (hors de question que je les lui donne) bien cachées et hors d’atteinte de Carole. De son côté, elle me dit que je n’ai pas besoin de cela pour être avec elle et que le chantage ne marche pas sur elle (!). Je retourne chercher les autres photos et nous les regardons ensemble sur le lit. Elle est très excitée, tout comme moi et je lui demande si elle fait souvent des choses comme ça. Elle me répond que sa vie sexuelle avec Philippe n’est plus terrible mais qu’elle ne le trompe que depuis quelques mois (décembre en fait) lorsqu’elle a craqué pour le vendeur des calendriers des éboueurs. Il a sonné à la porte alors qu’elle était en petite tenue et il l’a tellement bien baratiné qu’elle s’est rapidement retrouvée avec un sexe dans la bouche. Depuis elle ne se refuse rien, comme hier, et prend son plaisir quand elle le peut.
Je lui demande si elle porte de la lingerie sexy, ce qui a le don de m’exciter terriblement. Elle se lève, ouvre une commode et commence à enfiler une guêpière noire assortie de jarretelles, avec des balconnets pigeonnants sans bretelles. Elle enfile une paire de bas et défile ainsi devant moi, me demandant si c’est cela que j’aime.
Et comment ! Je rebande d’un coup et l’invite à me rejoindre sur le lit pendant que j’enlève mon peignoir.
Nous refaisons l’amour, longuement, et je l’entends jouir plusieurs fois avant de jouir à mon tour.
Épuisés, nous nous reposons une bonne demi-heure. Il est midi et demi et je lui demande si Philippe ou Carole risquent de rentrer, mais il n’y a pas de risque.
Je me lève alors et lui prends la main, et je l’entraîne dans le salon où les ouvriers sont en train de manger un sandwich.
Sans me montrer, je la fais entrer alors qu’elle me sourit en coin. En lingerie fine devant ces deux hommes, sans culotte, je l’entends leur dire qu’ils doivent refaire le travail de la veille car elle n’est pas pleinement satisfaite (je ne saurais dire si elle parlait du travail de la veille ou de son état actuel). Les deux hommes se lèvent et répondent qu’ils adorent fignoler le travail et que c’est toujours un plaisir. Elle ajoute qu’en outre elle souhaite modifier un point en venant me chercher. À ma vue, les ouvriers, dont l’un a déjà sorti son sexe, sont gênés mais l’un d’entre eux annonce très vite qu’ainsi il n’y aurait pas de trous apparents dans la façade.
Les deux heures suivantes ont été particulièrement sauvages pour Jacqueline qui a sans doute reçu ce jour-là la plus grosse dose de sexe de sa vie.
En ce qui me concerne, j’étais épuisé en commençant et il m’a été très difficile d’assurer un max de temps. Voyant cela, Jacqueline a décidé que si je n’étais plus bon au niveau bite, je devais me servir de ma bouche. Je l’ai ainsi léchée à outrance, à sa demande, qu’elle ait une bite dans la chatte (ce qui m’amenait à leur lécher la hampe au passage) ou dans le cul. Par moments, un ouvrier en train de pénétrer Jacqueline pendant que je la léchais, sortait entièrement sa bite et je ne pouvais éviter de lui lécher le gland à sa sortie ou sa rentrée. Ce faisant, j’étais aussi amené à boire et à goûter les sécrétions de Jacqueline mélangées de mon sperme et de celui des ouvriers, et je ne trouvais pas cela mauvais.
Puis l’un des ouvriers a joui en Jacqueline et a sorti sa bite de sa chatte au cours de son éjaculation pour tout lui décharger sur la vulve. Étant en train de la lécher, j’en ai reçu plein sur le visage et surtout dans la bouche et sur la langue, que je me suis empressé d’avaler.
Voyant cela, Jacqueline a léché les restes sur mon visage et m’a fait asseoir à côté d’elle, pendant qu’elle finissait de pomper l’autre ouvrier. Le sentant jouir prochainement, elle a rapproché mon visage du sien et tout en branlant l’ouvrier et en retenant son éjaculation, m’a ordonné d’ouvrir grand la bouche. Elle a immédiatement approché le sexe de l’ouvrier de ma bouche béante lorsqu’un jet a maculé nos visages.
Je pensais qu’elle souhaitait que je reçoive une douche en pleine face mais je compris mon erreur quand, lâchant le sexe de l’ouvrier, elle poussa délicatement ma tête en avant pour englober cette bite dans ma bouche. L’ouvrier a fini de jouir ainsi, et je restais bêtement la bouche grande ouverte et emplie de sperme, évitant de serrer les lèvres sur ce sexe. Jacqueline, tendrement, me dit de refermer doucement ma bouche et de sucer délicatement cette bite de ma langue, ce que je fis. La sensation était bizarre car la bite est redevenue rapidement flasque dans ma bouche. J’embrassai alors Jacqueline et lui fis partager tout le sperme encore en moi.
Après cette folle matinée, nous avons chacun repris nos occupations, moi retournant à la fac et Jacqueline s’occupant de son appartement.
Le lendemain, j’ai séché mes cours qui commençaient à 10 heures et à peine Philippe et Carole étaient-ils partis que je me glissai dans le lit de Jacqueline.
Sans façon, je lui remonte la chemise de nuit et l’enfile doucement. Nous jouissons après quelques minutes et elle m’annonce alors qu’elle a une surprise pour moi. Elle se penche vers sa table de nuit, y prend l’un des livres et en sort une série de photos où l’on me voit en train de sucer une bite et avaler tout le sperme.
Donnant donnant, c’est sa pellicule et ses photos contre ma pellicule et mes photos.
Toujours est-il que pendant l’année qui a suivi, dès que Philippe et Carole s’absentaient, même pour un quart d’heure, nous faisions l’amour ensemble. Elle m’a même sucé un jour dans la cuisine pendant que Carole était au téléphone avec une amie et que Philippe lisait le journal dans le salon.
tres belle histoire qui a fait d heureux tout le monde a ete servis