Chantal
Waow que je me sens bien, c’est doux, c’est chaud, c’est confortable, c’est… C’est pas possible ! C’est pas vrai !! J’ai vraiment fait l’amour avec ce type que je connais à peine ? Mon dieu, mon dieu, que va-t-il penser de moi ? Oh non, le peu d’il en cause à son oncle, je suis foutue !
Pas de panique…
Quand j’y songe, je crois qu’il n’était pas mieux loti que moi ou bien c’est un bon acteur. Bon, je fais quoi là : J’ouvre un œil ? Et je lui dit « merci de vous avoir connu mais il faut que je retourne à Paris » ? J’ai pas l’air conne, moi ! Encore heureux que je fais semblant de dormir dans ses bras… Dans ses bras, c’est vrai qu’on y est bien. Et contre sa vaste poitrine !
Et contre sa poitrine ? Je ne me souviens pas de çà, j’étais allongée sur son canapé, il me semble. Bon, vu comment il me tient, c’est un gros affectif, un gros nounours. Il doit avoir peur de me briser comme la faible femme que je suis…
Ah, c’est un gentleman, le viking, il m’a remit correctement mon T-shirt, je n’ai plus un nichon à l’air comme tout à l’heure.
N’empêche qu’il faut que je sorte de cette situation. Je vais lui sortir c’était un coup de folie, que je regrette, qu’on aurais pas dû mais qu’on restera bons amis, n’est ce pas ? Avec deux, trois larmes, çà ira…
Faut se décider, je vais faire semblant de me réveiller…
Stéphane
Ah tiens, elle remue, elle se réveille. Elle va se demander ce qu’elle fais dans mes bras mais tant pis, après ce qu’on a vécu, je n’ai plus à me formaliser ! Mais ce qui m’embête, c’est qu’elle va me sortir que c’était un coup de folie, qu’elle regrette, qu’il ne fallait pas et qu’on restera bons amis ! Mais moi, je ne veux pas qu’on reste bons amis, j’en ai rien à foutre qu’elle soit mon amie, c’est elle que je veux, pas comme amie mais comme petite amie.
Je sens qu’il va falloir manœuvre en finesse pour ne pas qu’elle me roule. Et un grand machin comme moi, la finesse, ce n’est pas mon fort ! Et je fais quoi, moi, si elle a la larme à l’œil, j’aurais l’air con !
Toujours est-il que je ne la lâche pas.
Ah, elle a ouvert un œil… Cà va, elle ne crie pas, ne pleure pas, enfin pas pour l’instant. Oh merde, je lui dis quoi ? Il faut que je trouve une phrase neutre mais bien…
— Vous avez bien dormi ?
Tabarnak, çà, c’est une phrase idiote ! Je ne suis vraiment pas doué ! Elle me sourit… Je craque quand elle me sourit comme çà avec sa lèvre que j’ai envie de mordiller, ses yeux luisants ! Mais c’est que je me mets à trembler, moi !! Cette fille me rendra fou !!
Chantal
Oh non, toutes mes bonnes résolutions tombent l’eau ! Il suffit que je le regarde pour qu’il me foute dans un état dingue, j’en frissonne déjà. Partout. Mais… mais, il n’y a pas que moi qui tremble, lui aussi ! Eh ben, on est pas sorti de l’auberge, pas un pour rattraper l’autre ! Surtout qu’il ne me regarde pas comme çà, surtout pas sinon…
Uhmmmm ! C’est vrai qu’il embrasse bien, cet animal ! Et çà me fout des picotements partout, partout, partout ! Comment veux-tu que je me dépêtre d’un type qui embrasse si bien ? Et qui me fait des minettes paradisiaques ? Et en plus, j’ai pas encore testé son engin mais d’après ce que j’ai pu sentir, il est calibré gros format, mon viking aux yeux bleus ! S’il sait s’en servir comme de sa langue, çà va être divin !
Eh ! Ho ! Stop ! Faut pas penser à faire crac crac ! Ressaisie-toi, ma fille, sinon il va se séquestrer ici pour le restant de tes jours comme esclave sexuel ! N’empêche que de se faire baiser, matin, midi et soir et plus la nuit par ce type, çà doit être le pied total ! Quand je pense qu’avec mes ex, c’était dur de grimper au rideau, avec lui, je décolle et je me mets en orbite d’un simple baiser. En orbite… Faut pas penser à son engin, pas du tout, absolument pas, interdit, niet !
Je suis folle, j’en redemande, je lui ai même mis les bras autour du cou. M’en sortirai jamais, je ne reverrai jamais mon Paris natal !
Après quelques minutes de bisous enflammés, je décide de reprendre la situation en main sinon, demain j’y suis encore. Me détachant péniblement de lui, reprenant mon souffle, je lui dis :
— Vous ne croyez pas qu’il faudrait reprendre nos esprits ?
— Vous êtes sure ? Demande-t-il, essoufflé.
— On ne peut pas continuer comme çà, vous ne croyez pas ?
— Pourquoi pas ? Je suis merveilleusement bien avec vous !
— Moi auss… Non, non, non, je…
— Vous aussi, vous êtes dans le même état que moi. Pourquoi résister ? Nous sommes irrésistiblement attirés l’un vers l’autre.
— Oui, non, ah, je ne sais plus !
— Alors ne dites plus rien…
Et il pose ses lèvres sur les miennes. Je ne m’en sortirais jamais ! Jamais, jamais. La prochaine copine qui rigole du coup de la fille qui fond devant un mec aura de mes nouvelles.
Tiens un bruit curieux…
Tiens, une sirène, oui, une sirène comme sur les bateaux, une corne de brumes comme ils disent.
Eeeh, il fait quoi là ?
Stéphane
Tabarnak, la sirène !
Avec regret mais fermement, je me détache de cette adorable Chantal. La tenant toujours dans mes bras, je me lève du canapé, elle n’est vraiment pas lourde mais c’est certainement pas le moment de penser à çà, il y beaucoup plus urgent. Comme je suis un type calme et modéré (sauf en amour), je dois rester maître de la situation. Je fais pivoter mon aimée dans mes bras :
— Ecoutez-moi bien, vous allez monter à l’étage
— Pourquoi, votre chambre est à l’étage ? Qui dit que je veux vous coucher avec vous ? Il faut que je reparte à Paris !
— Pas le temps de discuter ! Faites-moi confiance et grimpez tout de suite à l’étage !
Et je le pousse vers l’escalier avec douceur mais fermement. Elle reste plantée là, à me regarder de ses yeux ronds, intriguée.
— Montez vite !
Elle me regarde toujours, l’air ahuri. Mon ton s’est durci. Je la saisis par le bras, elle est maintenant effrayée.
— Non! Que… Qu’est ce que vous faites ?
Je la retourne contre moi, lui saisissant les deux bras de mes grandes mains. Son air effarouché m’attendrit mais ce n’est pas le moment :
— Les digues ont cédé, tout va être inondé d’ici quelques minutes !
— Quoi !?
— Les digues ont lâché ! Montez !
— C’est une plaisanterie, hein !?
Pour couper court à la réponse, la sirène retendit à nouveau. Elle comprend alors que ce n’est pas une plaisanterie et elle se dirige en courrant vers l’escalier. À peine a-t-elle monté 3 marches qu’elle se retourne vers moi pour me demander :
— Et vous ?
— J’ai quelques trucs à embarquer, à sauver. Faites-moi plaisir, montez !
Malgré mon inquiétude, j’ai le plaisir d’admirer ses jambes fines et bien galbées. Je me précipite dans la salle de bain et jette diverses affaires dans un panier à linge vide. Direction la cuisine où là aussi, je prévois diverses choses. Puis mon bureau où en, toute hâte, je déconnecte l’unité centrale de mon ordinateur dans lequel est stocké mon travail. Cà m’apprendra à ne pas faire de sauvegarde !
Je traverse en courrant la salle à manger et le salon. Elle m’attend sur les dernières marches, son air est intrigué et sceptique. Brusquement, un vrombissement assourdissant arrive du dehors, les carreaux des portes-fenêtres volent en éclat, une vague s’engouffre dans la pièce, balayant tout ce qui s’y trouve, moi y compris. Chantal pousse un hurlement affolé. Je me trouve plaqué contre le mur, près de la cheminée. Par miracle, je n’ai pas perdu mon panier et son contenu, tout au plus mouillé mais faiblement. Lutant contre l’eau qui déferle, je tente de m’approcher de l’escalier. Chantal crie :
— Attends, j’arrive !
— Non, tu restes là !
Nous sommes passés au tutoiement dans l’urgence du moment. Cà me fait tout drôle, la seule fois où elle m’a tutoyé, c’était dans la fièvre de notre désir…
Après une série d’efforts non négligeable, je m’extrais de l’eau et la rejoins sur le palier de la mezzanine où elle m’attend toute tremblante. À peine, ai-je posé les affaires secourues qu’elle se jette dans mes bras. J’aurais donné n’importe quoi pour ce moment, même ma maison, ce qui est le cas…
Chantal
Ce grand con d’escogriffe m’a fait une peur bleue ! Je réalise alors que je suis dans ses bras que je tiens énormément à lui. Il y a moins de deux heures, j’ignorais son existence, enfin, j’ignorais qui il puits être et voilà, il devient tout pour moi. Là, ma chère Barbara Cartland, vous êtes enfoncée ! Idem pour Danielle Steel !
Vu la façon dont il me tient, je ne suis pas non plus une quantité négligeable pour lui. Cà m’émeut beaucoup et çà me renforce. C’est alors que je réalise qu’il est tout trempé jusqu’à la taille d’avoir barboter en bas.
— Tu ne vas pas rester mouillé comme çà, change-toi !
— Tu as raison !
C’est alors que je réalise un truc :
— Eh, ma voiture !
— Je crains que ta voiture soit hors service, comme la mienne !
— C’est pas vrai ! J’avais même pas fini de la payer ! Je vais faire quoi, moi, sans voiture ?
— Les assurances rembourseront. De plus, je peux demander à mon oncle de te prêter une voiture de fonction.
— Ah ?
Je suis un peu triste. Pour me consoler, il dépose un baiser sur mon front. J’aurais préféré plus bas. Il s’écarte de moi. Il commence par dégrafer sa ceinture puis il s’arrête, me regardant, l’air un peu gêné. Je l’interroge du regard et je comprends qu’il est dans une disposition physique non négligeable, bien que je ne voie rien pour l’instant. Il s’engouffre dans une chambre pour aller se changer. Je suis un peu déçue mais dans sa précipitation, il a oublié quelque chose : le panier à linge qui contient ce qu’il faut.
— T’as rien oublié ? Que je lui demande, taquine.
— Non, j’ai ce qu’il faut dans la chambre !
Ah merde, raté ! Je reprends alors :
— Et il ne te faut rien ?
— Tu serais gentille de m’apporter des chaussettes, j’en ai mis dans le panier, merci !
Comme je suis une bonne fille (ma bonté me perdra), je lui prends une paire de chaussettes rouges et j’entre dans la chambre. Et là, j’écarquille les yeux : il m’a tendu un traquenard et il n’y pas que çà de tendu. Traquenard, braquemart, çà rime. Il est entièrement nu, juste à côté du lit et il est beau, bien foutu, des muscles là où il faut, une carrure impressionnante, des cuisses d’acier. Il a même la tablette de chocolat des abdominaux. Mais le plus impressionnant, c’est ce qu’il a entre les jambes. Entre les jambes, c’est vite dit, parce que le machin est bien dressé. 20 centimètres ou 25, presque 30 ? Et je ne parle pas du diamètre, ma main n’en ferait pas le tour. Qu’est ce que çà doit être de s’enfiler un truc pareil, je plains la pauvre fille qui…
Je réalise que la pauvre fille, çà risque d’être moi ! Comme pétrifiée, je reste sur place à quelques pas de lui. Armé de son sourire charmeur, il s’approche de moi et m’enveloppe de ses bras, sa tige plaquée contre mon ventre, presque à la limite de mes seins. Cà me rend toute chose. Pourtant, je n’ai pas le fantasme des grosses bites ! Tout en me regardant dans le blanc des yeux, il entreprend de m’enlever doucement mon T-shirt, le seul vêtement que je possède. Tout d’abord, je sens ses couilles sur ma peau dénudée puis centimètre par centimètre, la grosseur et les nervures de sa queue qui se plaque à mon ventre. J’en tremble de désir et d’appréhension tandis qu’il me sourit toujours. Puis, c’est son dard qui vient se nicher sous mes seins qu’il libère. Il est vrai que je ne suis pas très grande et qu’il n’est pas petit mais çà fait des choses d’avoir la queue d’un homme quasiment entre ses seins !
Stéphane
Je reconnais avoir triché avec elle mais le résultat est là. J’ai envie d’elle et je sais que c’est réciproque. Alors pourquoi perdre du temps ? Ma maison est peut-être noyée sous un mètre d’eau salée (la pire), mes affaires foutues, tout à refaire, il n’y a plus qu’elle qui compte.
J’adore sentir sa peau sur la mienne et caler ma bite à l’orée de ses seins. Elle lève les bras pour que je lui enlève ce vêtement qui ne sert plus à rien entre nous. Puis elle s’accroche à mon cou et pose sa tête sur ma poitrine. J’ai une immense envie de douceur avec elle. Tremblante, elle me murmure :
— Tu feras attention ?
— Je ne te ferais pas de mal, je te le promets !
— Tu en es sur ? Parce qu’il est gros !
Alors délicatement, je la soulève du sol pour la déposer dans le lit comme une poupée de porcelaine fragile. Puis je m’allonge à côté d’elle, la caressant pour redécouvrir son corps de mes doigts. Tranquillisée, elle fait glisser à son tour ses mains sur ma peau, son contact m’électrise. Je pose ma bouche sur la sienne pour capturer ses lèvres et les boire. Ma main englobe un sein que je capture doucement, faisant aller ma pause sur son mamelon dressé. Une main dans mon dos, une autre sur ma poitrine, elle contourne mes reliefs. Mes doigts descendent doucement le long de sa hanche, sur sa cuisse, à l’intérieur de sa cuisse et frôlent son petit bosquet. Elle entrouvre les jambes, me donnant libre accès à sa chatte. Du bout des doigts, je tournoie dans les poils en larges cercles qui se rétrécissent vers un endroit stratégique. Sa main frôle ma queue, s’enhardit, enserre ma tige en son milieu et commence à me branler. La chaleur de ses doigts me fait un bien fou.
Ma main plaquée sur sa chatte, j’entreprends de lui donner du plaisir. J’adore le contact de ses poils, la rondeur de son abricot. Je suis occupé à lui dévorer le sein, à le contourner, à le choyer et à le mordiller. Durant ce temps, elle active sa branlette. Puis elle me repousse, me positionnant sur le dos. Je me laisse faire. C’est à deux mains qu’elle s’empare de ma tige dressée et qu’elle me décalotte complètement. Sa langue vient frôler mon frein en une sensation électrique puis elle remonte vers le méat dans lequel elle introduit tour doucement la pointe de sa langue. Ce traitement est particulièrement voluptueux et torturant, il n’est pas dit que je résisterai longtemps ! Elle embrasse à présent la surface ronde et polie de mon gland puis sa bouche vient épouser le sommet de mon dard. L’instant d’après, elle commence à me sucer, s’avançant toujours un peu plus loin dans l’engloutissement de mon gland qui fini par disparaître dans sa bouche chaude et humide. Cette sensation est totalement à mourir de plaisir. Je dois prendre sur moi pour ne pas perdre les pédales.
Chantal
J’aime le goût de sa queue dans ma bouche. C’est la première fois que j’aime vraiment çà et que j’en redemande. Je pourrais lui suçoter la bite durant des heures. Fascinée par les veines de sa tige, je décide de les suivre du bout de la langue. Il en frémit d’aise. Je malaxe ses grosses couilles qui débordent de ma main. Tout est grand chez lui et tout me tente. Je n’en peux plus, il faut que je me la fasse, cette queue immense, que je la plonge en moi, au plus profond.
Abandonnant sa tige, je me positionne au-dessus de lui, les pieds à côté de ses cuisses, ma chatte détrempée sous sa queue turgescente et je m’accroupie doucement. Je suis maintenant posée sur son dard qui s’insinue entre mes lèvres. Guidant sa grosse queue, je me trémousse dessus, son gland s’enfonçant lentement en moi. Il est bien en place, alors je regarde mon amant dans les yeux, son regard est plein de désir. Il m’agrippe les seins avec lesquels il joue à me torturer lascivement.
Je me laisse tomber sur lui, sa tige entre en moi, m’écartèle, me déforme. Je souffle, j’halète, ce truc est trop gros, ma chatte semble trop petite mais je le veux en moi, je veux tout en moi. Mon regard s’humidifie, sa tige coulisse en moi, une douleur sourde mélangée de plaisir m’assaille. Tout en continuant à me masser les seins, il me regarde inquiet. Je lui fais alors signe que tout va bien. Ce truc me déchire mais je n’aurais cesse que quand je serais assise sur lui, sentant ses couilles sur mes fesses. Je commence à me masturber. Cà me fait un bien fou. Sa queue continue à disparaître en moi, ma chatte est comme distendue, je suis remplie, envahie, bourrée à fond et il y en a encore à enfourner. Sa bite cogne en moi, au plus profond, cherchant une issue. Un élancement fantastique m’irradie, son gland vient de trouver un passage, il force une petite ouverture pour aller s’engloutir au-delà de mon vagin. Je n’aurais jamais cru qu’un jour, on puisse aller là. La tête rejetée en arrière, les yeux révulsés, je flotte entre souffrance et bien-être. Son truc coulisse toujours en moi, il n’en finira jamais ? Puis la délivrance arrive, je sens ses couilles velues sur mes fesses, je me sens soulagée, accomplie. Me chatte en folie, mes seins exacerbés, sa queue commence ses coups de butoir, me désemplissant puis me saturant à nouveau. Je pousse des petits cris, je me débats, je refuse cette épreuve, je l’accepte. À califourchon sur lui, je sautille, plantée sur un pal cruel et sensuel. Une gigantesque vague me submerge, déferle dans tous les recoins de mon corps exacerbé. Un paroxysme de désir, de plaisir, de bien-être et d’abandon total. Dans ce tourbillon des sens qui m’enveloppe, je perçois distinctement ses jets de sperme qui s’insinuent en moi, qui comblent mes moindres recoins de leurs textures chaudes et poisseuses, glissant le long de sa tige, s’expulsant de ma chatte incandescente.
Un dernier cri, un dernier sursaut, une dernière douleur voluptueuse et je m’affale sur sa poitrine tandis qu’il m’embrasse comme un fou. J’abandonne tout, je livre tout, je suis à lui, rien qu’à lui, rien que pour lui et il peut faire ce que bon lui semble de moi.
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