Deux sur un toit (3) – Catastrophe aquatique

Stéphane

Je reprends conscience : elle est toujours allongée sur moi, toute menue, abandonnée, les yeux clos. C’est une ravissante petite chose sur laquelle je veille. J’évite de bouger afin de ne pas la réveiller.

Je regarde le réveil qui trône solitaire sur le chevet : la fin de l’après-midi est passée, le soir arrive et comme en bas, tout est inondé : pas d’électricité. Il va falloir que je retrouve ma lampe de camping et des allumettes sèches ailleurs que dans la cuisine.

Je contemple mon aimée endormie. Mon aimée, ce mot m’est venu naturellement alors qu’en début d’après-midi, je ne la connaissais absolument pas. Sur ma poitrine, je sens ses seins menus qui se soulèvent au rythme lent de sa respiration tranquille. Je trouve tout charmant en elle, ses cheveux qui me chatouillent dans le cou, son petit nez rond, ses yeux en amande, sa bouche si attirante. Son ventre est plaqué sur mon sexe qu’elle a accepté en elle, j’en ai été étonnée, elle qui m’a semblée si étroite. En général, mes conquêtes fantasment sur mon engin, la nature ne m’ayant pas oublié de ce côté, mais quand il s’agit de passer aux choses pratiques, presque toutes les filles se sont défilées, angoissées de se faire enfiler par un si gros et long tube. Et j’ai souvent dû me contenter de branlettes ou petites fellations du bout de la langue. Si un bon nombre d’hommes aimeraient avoir la même queue que moi, je vous prie de croire que ce n’est pas facile pour baiser avec ! Et je ne vous parle pas d’aller se balader sur la plage en été et de croiser des femmes, toutes les plus bandantes les unes que les autres, le tout sous le regard jaloux et envieux des hommes !

Comme ma haute stature carrée est en rapport avec mon machin, j’ai rarement eu des problèmes. Tiens, çà me rappelle cette Nathalie qui m’avait aguiché sous le regard féroce du mari, un véritable nain de jardin, sec comme branche. Le petit époux aurait bien voulu me casser la figure mais la prudence était plus forte que son amour propre et impossible pour lui de calmer sa femme qui l’envoyait vertement promener. Du coup, le soir, nous nous étions donnés rendez-vous dans les dunes avoisinantes. Quand j’ai baissé mon slip, elle poussa des cris de joie. Mais je me mis à bander pour de bon sous ses yeux effarés, elle prit la poudre d’escampette, toute nue, laissant toutes ses affaires sur place ! Ce fut épique de la rattraper et de lui rendre ses habits d’autant qu’elle s’était égarée !

Je souris à cette évocation que je n’aimerais cependant pas revivre. Ah ! Ma Chantal se met à bouger, à se frotter sensuellement sur mon sexe qui commence sa dilatation.

Chantal

Waw, que j’ai bien dormi. Il vaut le coup comme oreiller, il est tout chaud, tout doux et à la fois tout ferme. Par contre, sa queue, ce n’est pas du gâteau à s’enfiler. Oh oh, en parlant de fermeté, elle reprend du poil de la bête !

J’ouvre les yeux et je le vois qui me sourit d’un air tendre, ses yeux bleus qui brillent. Comme une chatte, je me love contre lui, mes mains devenant possessives sur son thorax. Je commence à avoir faim, toutes ces émotions, çà creuse !

Je lui demande :

— Excuse-moi mais, t’aurais quelque chose à manger, je meurs de faim ? C’est toujours comme çà quand j’ai bien fait l’am…

Je m’arrête pile, il n’a pas à tout connaître de moi ! Il ébauche un large sourire radieux, celui du mâle satisfait de lui et de sa performance. Il répond, avec un air de grand prédateur :

— Je dois bien avoir des choses en bas, sous l’eau, si tu peux te contenter de choses en boîtes…
— Merde ! J’avais oublié ! Oh pardon !
— Pas de quoi… En haut de mon buffet, je dois bien avoir diverses choses. J’y vais, ne bouge pas, mon amour !

Il m’appelle « mon amour », çà fait du bien et chaud au cœur, ce genre de petit mot dit spontanément ! Je me pousse sur le côté afin qu’il puisse se lever. Il dépose un baiser sur le bout de mon nez tout rond. Et c’est tout nu qu’il se dirige vers la porte, offrant à ma vue une belle paire de fesses bien appétissantes, un beau petit cul ferme. Etonnée, je lui lance :

— Tu vas y aller tout nu ?
— Qui veux-tu qui me voit ? Et puis je ne vais pas mouiller le peu de vêtements que j’ai pu sauver !
— En parlant de vêtements, tous tes T-shirts sont dans ce panier ?
— Tu trouveras peut-être d’autres chose à ta convenance dans cette armoire.

Et il sort tandis que je cherche un truc à me mettre. Heureusement pour moi, il y a une belle pile de vêtements qui pourront m’aller, enfin, je le présume. J’avise un T-shirt, son inscription m’amuse, sa texture est douce et il me descend à mi-cuisses. Pendant qu’il est descendu chercher de quoi à manger, j’inspecte comme la grosse curieuse que je suis les autres pièces. Rien de spécial, la plupart sont en cours d’aménagement, il manque même des bouts de plafond. Je reviens dans la chambre de nos amours et je tente de nous faire un petit coin dînette avec ce que je trouve.

Il revient quelques minutes après, dégoulinant des pieds à la taille. Il dépose son butin sur le lit, me félicite de mon petit coin repas et commence à se sécher. Je n’arrive pas à détacher mes yeux de son corps, de la serviette qui cache puis dévoile des plages de peau. J’ai l’envie irraisonnée de croquer dans sa bite comme dans un gros sandwiche ! Je détourne la tête et me concentre sur ce qu’il a rapporté. Il a même prévu les couverts et l’indispensable ouvre-boîte.

Stéphane

Nous soupons à la mode du coin, ç’est à dire que nous dînons à la mode de Paris sur la table improvisée, les fesses sur la peau de mouton. Une petite nappe donne un air festif à notre repas. Il me restait diverses choses dont ces asperges en bocal et tout un assortiment de biscuits apéritifs. Pour une fille mince, elle dévore ! Je veux bien croire que quand elle a bien fait l’amour, elle doive compenser ! Nous jouons à nous donner à manger : elle croque joyeusement l’asperge que je propose à ses jolies dents blanches tandis qu’elle en fait de même avec moi. Elle lèche délicatement mes doigts pendant que je mordille amoureusement les siens…

A ce tarif, quelque chose me dit que nous n’irons pas au bout de ce repas !

Nous sommes en train de nous regarder dans le blanc des yeux, son iris de couleur noisette m’attire irrésistiblement, à moins que ce ne soit ses lèvres légèrement luisantes…

— Tabarnak !! La corne !!!

Je me lève d’un bond brutal, la table improvisée valse au sol sous le regard stupéfait de Chantal qui me dévisage, une expression d’incompréhension totale sur le visage.

Je l’agrippe par les bras et la lève comme un fétu de paille :

— La corne, la sirène, la digue a cédé !
— Bé !? Elle a déjà cédé, ta digue, y a plein d’eau au rez-de-chaussée !
— C’était la digue des bas champs !
— Euh oui, si tu le dis…
— Cette corne, c’est celle de la baie !!
— Celle de la baie ? Tu veux dire qu’une autre digue vient de céder ?
— Oui !!!

Chantal me regarde d’un air ahuri !

— T’en as beaucoup en réserve des digues qui foutent le camp ?
— Que deux ! Ramasse tout ce que tu peux comme bouffe et prend aussi des pulls, je me charge du reste
— Attends ! On va avoir de l’eau jusqu’où ?
— Le secteur est à moins quatre mètres environ et comme ce sont les fortes marées !! Grouille, ma chérie !!

Chantal

Je me répète peut-être un peu mais çà fait du bien d’être la chérie de quelqu’un. Mais cet instant de douce béatitude ne dure qu’une seconde. Mais dans quel putain de pays à la con suis-je tombée ? Pardon, mon amour, mais çà fait beaucoup pour une seule après-midi !
Je me hâte pour jeter des vêtements dans un grand sac et de la nourriture dans un autre. Je l’entends qui m’appelle, j’accourre et je débouche dans une pièce non encore aménagée sans plafond. Il a disposé une échelle qui grimpe au-dessus des chambres, à ses pieds, diverses choses que je n’identifie pas bien.

— Donne-moi les sachets et grimpe là-haut, il y une plateforme et prends cette torche !
— Un second étage ?
— Non, toutes les maisons du coin doivent être construites avec un toit à 45 degrés, ce qui nous fait un grenier dans le grenier !
— Ah bon ?

Il me met une tape sur les fesses :

— Grouille, mon amour !

Dehors, un grondement sourd survient. L’instant d’après, un grand fracas retentit en bas, des meubles sont visiblement brisés, un chaos sonore qui me fait grimper comme une folle l’échelle pour me jeter sur la plateforme. Il me lance un premier gros truc mou : un sac de couchage puis un autre. D’une main, il mets les poignées des quatre sacs et monte à son tour. À peine, a-t-il mis le pied sur la plaque de bois qui forme notre plancher que l’eau envahit la pièce.

Effrayée, je me jette dans les bras de Stéphane en voyant les flots monter à toute allure. Durant de longues minutes, je suis comme tétanisée, des larmes coulent sur mes joues, larmes qu’il essuie délicatement tout en me berçant.

— Fini ! Dit-il simplement.

Fini, c’est fini ? Les flots ne monteront plus ? Son visage anxieux de tout à l’heure est plus détendu. Il y a presque deux mètres d’eau en dessous de nous. Je me détache insensiblement de sa poitrine. Je jette un coup d’œil sur notre nouvelle condition. L’endroit est sombre. Nous sommes nichés au sommet d’un toit long de vingt mètres et la plateforme, où nous sommes, fait environ quatre mètres sur deux avec moins de 150 cm de hauteur dans le meilleur des cas ! De plus, des tas d’objets sont présents autour de nous.
Allumant une torche qu’il place au centre du plancher, Stéphane m’abandonne pour faire le tri et jette sans remord apparent des objets à l’eau afin de dégager de la place. Il hésite devant un gros coffre puis n’y touche pas. Durant ce temps, j’étale un duvet comme matelas et je prépare l’autre afin qu’il nous serve de couverture. Nous n’allons quand même pas faire sac de couchage séparé ! Puis, il s’active autours d’une sorte de lampe de mineur. Une lumière douce jaillit et me réconforte.

— Voilà, pas de problème, elle peut tenir 12 heures à ce régime.
— Cà sera mieux que dans le noir !
— Oui, d’autant que la nuit va tomber ! Bon, et si nous continuions à manger ?
— J’admire ta maîtrise !
— Que puis-je faire contre ? Répond-il, flegmatique, éteignant la torche.
— Tu as tout perdu, tout est foutu chez toi et tu restes calme !
— Merci de me le rappeler…
— Oh pardon, mon amour !
— Ah ! Une bonne parole !

Je rougis. Il sourit. Il continue :

— Je n’ai pas tout perdu puisque je t’ai trouvée, toi !
— Merci, moi aussi !

Houlà, je retombe dans mon romantisme à deux sous ! Et par la même occasion dans ses bras et sur ses lèvres. Je dois être complètement cinglée, à la masse, pour réagir comme çà. Mais, lui, il ne vaut guère plus !

Et ce qui devait arriver arriva : il m’allonge sur un sac de couchage, ôte ma faible protection pudique et comme il ne s’était toujours pas habillé, nous voici nus tous les deux. À la faible lueur de la lampe qui jette des ombres sur mon corps et le sien, nous nous cherchons, nous nous découvrons du bout des doigts et des lèvres.

Stéphane

Rien à faire, le monde peut s’écrouler, cette nana me rend totalement fou. J’explore son corps svelte à la faible lueur de la lampe de mineur, je dessine des routes sur les paysages de son corps ferme. J’escalade ses monts à la recherche de tourelles rouges à agacer. Je m’égare dans sa sombre forêt jusqu’à risque de tomber dans une faille humide. Cette fille me rendra complètement dingue, si ce n’est déjà fait. Je sens ses doigts tracer des cercles concentriques sur ma peau, son contact m’électrise. Elle capture mon sexe dressé d’une main légère et commence à me branler à la base.

Lutine, elle me demande :

— Il n’y a rien de spécial à la télé, ce soir ?
— Programme minimum syndical des jours de grève…
— Ah ! Mais s’il n’y a pas de télé ce soir, que diable pouvons-nous faire alors ?
— Nous pourrions aller au restau puis au ciné…
— Pour le restau, j’ai ce qu’il me faut ici !

Et elle embrasse ma queue, la lèche comme un cornet de glace quelques secondes, sa langue enveloppant bien mon gland. J’en frémis d’aise. Puis elle poursuit :

— Et pour le ciné… je compte sur toi pour me faire tout un cinéma !
— Un film de 90 minutes, 120, 180 ou de 240 ?
— Cà fait cassette vidéo ! Dit-elle boudeuse.
— Y a de bonnes cassettes vidéo, surtout dans le X !
— Ah bon ? Et tu as un titre particulier à me conseiller ?
— Comblée sous toutes ses coutures : l’actrice principale n’est pas mal du tout ! Elle est terriblement bandante et excitante à souhait !
— Y a pas un beau mâle dans ton film ?
— C’est à toi d’en juger sur place !

Et je me jette sur elle, sexe en avant, la couchant sur le duvet étalé. Ma petite Chantal est une femme pratique d’avoir prévu notre lit. Vautré sur elle, j’essaye de ne pas trop l’écraser pendant que je couvre son visage, son cou, ses épaules et ses lèvres de baisers enflammés. Elle remue du bassin afin que son ventre soit bien en contact avec ma queue affalée raide dessus. Par ce mouvement circulaire, elle arrive à me masturber lentement, calottant puis décalottant mon gland qui résiste vaillamment à cette mini torture. Comme nous avons toute la nuit, autant y aller doucement, surtout que je n’en suis pas à mon premier coup d’éclat.

Cette nuit est la plus torride que j’ai jamais eu depuis que je suis en âge d’honorer les demoiselles et les femmes. Pas un centimètre de sa peau n’a échappé à ma langue fouineuse, à mes doigts avides et caresseurs. Elle m’a embrassé partout de la tête aux pieds, m’a léché admirablement la queue que j’ai cru en défaillir, s’est enfouie entre mes couilles pour les gober et des tas d’autres folies. J’ai léché sa chatte d’innombrables fois, goûté sa saveur, été à l’orée de son petit cul du bout de la langue pour tout connaître d’elle. J’ai été en elle plusieurs fois, doucement d’abord, puis de plus en plus furieusement, éjaculant parfois en elle, l’écartelant de mon membre trop gros pour elle.

Elle m’a accepté, elle a tout accepté, elle m’en a redemandé.

L’apothéose de cette nuit, le fantasme ultime qu’elle a concrétisé, aussi bien pour elle que pour moi, est quand elle me demande, vautrée en sueur, les bras en croix sur le duvet, les yeux luisants :

— Tu veux me faire plaisir ?
— Tout ce que tu veux, mon amour ! (Voix amoureuse)
— Tu veux vraiment me faire plaisir ?
— Tout ce que tu veux, ma chérie ! (Grand sourire béat et crétin)
— Passe par mon petit trou !
— Pardon ? (Bouche bée)
— Mon petit trou, mon entrée des artistes, ma rosette…
— Comme c’est bien dit. Tu veux que je… que je t’encule ? Mais… (J’hésite)
— Mais quoi ? T’as pas envie de passer par là ?
— Oh que si !!! Mais çà ne va pas être du gâteau pour toi ! (Je suis inquiet)
— Je te signale que dans du gâteau, on met du beurre…
— Compris mais… Si tu as mal, dis-le moi tout de suite, je ne voudrais pas…
— Assez de discours ! Tu m’as dit « tout ce que tu veux » !
— Ce n’est pas tout à fait çà, j’ai aussi ajouté « mon amour » et « ma chérie » !
— Tout ce que je veux… « mon amour » !

Sur ces mots définitifs, je me tais. Je suis ému… C’est la première fois qu’on me le demande aussi directement, simplement.

Par contre, c’est du côté réalisation pratique que je me pose un tas de questions. Bien sûr que j’ai une envie folle d’aller m’éclater dans son mignon et étroit trou du cul mais encore faut-il s’y introduire sans lui faire de mal et mon machin ne joue pas dans la catégorie diamètre et longueur riquiqui… De plus, on ne peut pas dire que l’environnement m’offre une foule d’ustensiles et d’accessoires utilisables dans pareil cas. Va pas être du gâteau, comme je l’ai déjà dit. En parlant de gâteau, elle a évoqué le beurre… Je plonge la main dans le sac à nourriture et j’en ressors bien vite des petits carrés emballés. Côté lubrifiant, on a fait un peu mieux, plus technique, mais je sens que je vais me régaler dans les deux sens du terme !

Il faut que je planifie mon coup : ou bien je réussis et nous vivrons un fantastique moment d’extase qui recommencera les jours suivants, ou bien je me plante et je la ferai souffrir, ce que je ne veux pas et je pourrai faire ceinture pendant longtemps. Je sais, c’est un peu égoïste mais quand j’aime une fille, j’adore lui faire l’amour et plus je lui fais l’amour, plus je l’aime et ainsi de suite… Un cercle vicieux…

Je pense que j’ai trouvé, un large sourire éclaire mon visage. Intriguée, Chantal me questionne :

— Qu’est-ce qu’il y a ? Tu penses à quoi ?
— Je pense à ce que tu viens de me proposer… J’en une envie folle de te faire ce plaisir mais j’hésitais sur les modalités…
— Ah ? Et c’est-à-dire ?
— Ceci !

Et je lui désigne le coffre au bout de la plateforme.

— J’envisageais de le virer puis je me suis dit qu’il pourrait nous être utile comme table ou siège.
— Ah ? et tu comptes en faire quoi ?
— Démonstration, mon amour !

En un rien de temps, je déménage le coffre et le place en longueur à la tête du duvet qui nous sert de couche. Puis je le recouvre par l’autre sac de couchage en double épaisseur afin que çà soit plus moelleux et confortable. Chantal me regarde, l’air amusé.

— Allonge-toi dessus, tes genoux au sol de part et d’autres du coffre, s’il te plait !
— Comme sur un cheval d’arçon ?
— On va dire çà, oui, belle image, ma chérie !

Elle s’installe comme je lui ai demandé. Son beau popotin est bien mis en relief comme j’en veux encore plus, je lui demande :

— Recule ton cul vers moi… oui, voilà, bien ! Très bien, il est magnifiquement présenté ! T’as vraiment un beau p’tit cul, ma chérie ! Et je ne parle pas de ta chatte que je peux admirer dans la même foulée !
— Tant mieux pour toi ! Parce que, moi, comme spectacle de mon côté, j’ai vu mieux que ce grenier sombre !
— Cà n’en sera que meilleur, tu vivras ce que je vais t’infliger sans savoir ce qui va t’arriver !
— Sadique !

Et je mets en pratique tout de suite en m’agenouillant entre ses jambes et en lui léchant la chatte à tout va. Puis je m’attarde sur ses fesses en quelques bisous appuyés. Je glisse lentement ma langue doucement le long de sa raie puis sur le pourtour de son petit trou. Elle se tortille un peu. Tandis que je m’attaque à présent à la cuvette de sa rosette, j’entreprends de mes doigts son vagin accueillant et chaud, suivant du bout des phalanges ses moindres replis à la recherche de quelques endroits mystérieux qui m’auraient échappé.

Chantal

Waow ! Il sait s’y faire, ce cochon ! Purée qu’il sait s’y faire avec sa langue dans mon petit trou, c’est sensible tout plein cette zone !
Je commence à percevoir une sensation chaude et vachement excitante. Hum ! Et je ne parlerai pas de ses doigts qui farfouillent ma chatte. Je sens, ma fille, que tu vas grimper aux rideaux une fois de plus et que tu ne vas pas redescendre de sitôt !

Houha ! Il me fait quoi, là, avec la langue ? Il s’enfonce carrément en moi avec ! Y a pas à dire, c’est bon ! C’est tout chaud, c’est tout humide… Mon petit trou doit être déjà dilaté, et pas qu’un peu, pour que je ressente sa langue si loin ! C’est aussi bon qu’un massage, çà me fait vibrer pareil… Oh le salaud, il m’en a foutu dans le con, sans parler de son pouce, enfin, si c’est son pouce qui est en train de me branler indirectement le clitoris. Que c’est bon tout çà !

Je ne vois rien de ce qu’il me fait et c’est terriblement excitant ainsi !

Tiens, il s’arrête avec la langue, çà me fait tout drôle d’avoir l’anus à l’air. On dirait qu’il cherche quelque chose, qu’il veut attraper quelque chose… Je tourne la tête pour voir ou je reste comme çà en attendant la suite ? Bon, je reste comme çà, j’aurai la surprise…

Hyaaa ! Il m’enfourne du beurre dans le trou, et il le pousse avec la langue ! Oh que çà fait bizarre ! Et puis çà fait tout… tout quoi d’ailleurs, tout luisant ? Tout huileux ? Tout graisseux dans mon cul ! Hummm, c’est bon quand même, même si ce n’est pas ultra raffiné… Y a pas à dire, on s’y fait vite à ce genre de… plaisir.

Ah ? Il m’en remet une couche… Purée, il y va de bon cœur, et vas-y que je t’enfourne çà, et encore ! Pour glisser, çà va glisser. S’il n’arrive pas à me foutre sa grosse bite au fin fond de mon cul, çà sera un empoté de première ! Je deviens vulgaire, moi ! Je me relâche, d’ailleurs faut que je me relâche, que je me décontracte si je veux avoir sa queue en moi…

Oh, le salaud, il vient de me mettre au moins deux doigts dans le cul ! Et vas-y que je tourne dedans, que je te masse les parois. Cà ne me fait pas trop mal, un peu irritant, sans plus, mais çà me fait du bien, un peu bourratif quand même !

Yiiik, là il m’en a foutu trois, c’est sûr !! Je me secoue, par réflexe à cette intrusion mais Stéphane tient bon et continue son massage interne. La pression est devenue plus forte, mon sentiment de remplissage augmente, un avant-goût de ce qui va m’arriver dans quelques instants quand il m’enfournera sa grosse queue. Encore heureux qu’il me masturbe la chatte en même temps, çà aide, sinon je sens que je dégusterais. Houlà, le beurre me coule le long des cuisses, çà fait curieux comme effet et çà doit faire… vulgaire à voir. Hé, il n’en perd pas une : il me lèche les traînées de beurre et il fait çà bien, lentement. Pour une séance, c’est est une belle !

Ouf, il libère mon cul ! Houhaaaa, que çà fait du bien, c’est pas mal quand il est dedans mais c’est pas mal non plus quand il n’y est plus. Je souffle, délivrée de cette intrusion.

Houlà, houlà, on passe au chose sérieuse, il vient de poser son gland sur la cuvette de mon petit trou et on dirait qu’il se masturbe, çà bouge à l’entrée de mon anus. Je le sens qui se penche sur moi. Ses doigts beurrés sont maintenant posés sur mes lèvres : il veut que je le lèche, que je lèche ce mélange qui provient de mon cul, c’est un vrai salaud dans son genre, ce type ! Mais bonne fille, j’ouvre la bouche et je suce. Pas mauvais, pas bon pour la ligne mais pas mauvais ! Je sens qu’il dérape, là. Aussitôt, j’attrape sa queue et repositionne son gland sur ma cuvette, à l’entrée du petit trou qui commence à être bien large à présent.

Aie, aie, aie !!! Il entre, il force, çà glisse tout seul, mais je sens que çà force le passage. Purée, que c’est gros son truc, même constipée sur la cuvette, j’ai jamais chié un truc pareil ! Aie, il pousse joyeusement, ce con, j’ai failli lui mordre les doigts que je suce toujours ! Hou, çà passe mais limite, il a foutu tout son gland en moi, juste après le premier sphincter. C’est alors qu’il me revient des détails techniques : des sphincters, il y en a trois, trois portes à passer et ceci n’est que la première. Et celle du milieu est la plus coriace.

Stéphane

En voilà un bout de casé, si je m’écoutais, je jaillirais, là maintenant, sans aucune forme de procès… parce que dans la catégorie, bien serré, bien enveloppé, mon gland l’est totalement. Mais comme elle veut tout avoir, je ne vois pas pourquoi je n’irais pas jusqu’au bout ! Je sens qu’il va me falloir un certain contrôle sur moi-même, et pas de demi mesure…

J’ai ôté mes doigts de sa bouche afin de lui caresser le bas du dos puis ses hanches. C’est tout doux, tout moelleux sous ma main qui la frôle.

N’empêche que c’est fascinant de voir le bout de sa queue absorbé ainsi entre deux fesses et dans le rond parfait de sa rosette, comme gobé, aspiré. Quand je vois tout ce que j’ai encore à enfourner en elle, je me demande où je vais m’arrêter ! Si Chantal savait le genre de pensée qui m’assaille, je serais rouge avec la honte, comme disait ma maman. Quoique, je ne sais pas non plus à quoi elle pense de son côté. Bon, faut laisser passer un peu de temps avant d’attaquer la suite, je vais en profiter lâchement pour lui titiller un peu plus son petit bouton.
De mes doigts poisseux couverts de cyprine, je m’engage posément dans son sillon afin de remonter vers des chairs plus tendres et taquiner par frôlements rapides son clitoris gonflé. Le résultat ne se fait pas attendre, elle se tortille doucement autour de ma bite rivée en elle, je serre les dents pour ne pas expulser mon sperme en elle. Mon amante gémit doucement sous ma double attaque. Je sens une ouverture, elle s’est décontractée. Une oscillation légère du bassin afin de mieux trouver l’angle et je plonge en elle dans un grand râle, à deux doigts d’exploser et d’inonder son fourreau anal.

Chantal

Hyaaaa ! Il est entré plus loin ! Merde, çà me brûle le cul et en même temps, j’ai envie de jouir. Comment mon cul accepte plus facilement sa grosse queue alors que mon vagin peinait. Le beurre ? La vaseline a un côté anesthésiant mais pas le beurre à ce que je sache ! N’empêche que pour être là, il est là et qu’il prend son temps pour entrer. Faut dire que s’il fonçait d’un seul coup en moi, je crois que je me retrouverais à l’hôpital. À moins, il fait attention à moi.
Oh le salaud, il en profite pour me capturer le clito ! Hé, c’est fragile, ce truc-là ! Oh, le vache, il va me faire mourir de plaisir s’il continue ainsi. C’est intenable, çà me pulse de partout, je gémis sans retenue :

— Oh, achève-moi, rentre-moi tout ! Vite !
— Pas encore, çà pourrait te faire mal !
— M’en fous ! Défonce-moi tout de suite le cul avec ta queue, bordel !

Si avec un tel langage, je ne suis pas exaucée tout de suite, je n’y comprendrai rien ! Effectivement, çà marche : après une hésitation perceptible, il m’empoigne une hanche, la maintient fortement puis fonce en moi, plonge dans mes entrailles dans une explosion de douleur. Toute sa tige coulisse, vrille mon tube cannelé, enfonce mes portes pour venir mourir très loin, très profond en moi. J’ai des étoiles qui dansent devant mes yeux, des bouffées de chaleur qui fusent dans mon corps, mon clitoris est en feu, mon cul est en feu, mon cerveau est en feu, tout est feu, tout brûle, un incendie ravageur me prend de la tête au pied, avec une fournaise dans mon ventre.

Je hoquette, agitée de soubresauts, je suis empalée sur lui. Je remue du cul comme pour me dégager, me sortir de cette situation infernale, trop forte, trop ardente. Il commence alors un faible mouvement de coulissage. Oh non, la situation empire, mon cul me pique, me dévore tout le bassin. Je pousse des glapissements, complètement convulsée, l’esprit vidé, anéanti. Il ne lâche toujours pas ma chatte, je sais que c’est çà qui me fait tenir le coup, d’accepter ce mandrin qui m’éclate le cul, qui me le pulvérise. Je vais finir sur un lit d’hôpital, le cul en buse pour refroidir, ce n’est pas possible autrement.

C’est infernal, il coulisse dans mon cul aussi aisément que s’il était dans mon con. Je suis à deux doigts d’éclater chaque seconde et chaque seconde qui passe recule toujours le moment ultime. Il grogne au-dessus de moi, il se courbe sur moi, profère des mots inconnus, certainement du norvégien, la langue de sa mère. Je crois comprendre certains mots car j’ai fait de l’allemand et ce n’est pas du vocabulaire chaste ! Excédé, l’esprit liquéfié, je rugis :

— Traduis, bordel ! Qu’j’en profite !
— Je disais que t’étais la plus belle et adorable salope que j’ai jamais baisée !

En même temps qu’il me traduit, ses doigts qui farfouillent dans ma chatte viennent cogner pas loin du périnée, comprimant la mince paroi entre sa queue qui me baratte et ses extrémités qui me fouissent la chatte en fusion. Cette sensation vrillante me fait partir comme une fusée, je hurle des insanités, je me débats, m’empalant plus encore sur sa queue à chaque soubresaut de celle-ci. Dans un grand cri rauque, il expulse son sperme en moi, m’inonde, me colmate, la douleur, le désir se mélangent, un vaste tourbillon m’engloutit, l’incendie qui me ravage me consume entièrement : je plonge avec délice dans la petite mort.

Quelques longues minutes plus tard, vautrés sur son large corps, sa bite dans ma bouche, ma joue sur son pubis, mon nez dans ses poils, une main sur ses couilles, je goûte à sa semence mélangée au beurre fondu et à mon intimité interdite, sans répulsion tandis que sa langue farfouille mon petit trou largement ouvert et dégoulinant, mes fesses et mes cuisses striées de longues traînées gluantes.

Malgré ce que j’aurai pris, encore ce matin, pour une dépravation, une perversion, je me sens apaisée, protégée, conquise et aimée.

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