Je m’appelle François et je suis marié à Amandine depuis trois ans. Nous filons le parfait amour et il faut dire qu’elle sait y faire pour entretenir cette petite flamme qui doit un jour ou l’autre s’éteindre. Elle s’habille souvent en tenue légère, adore le sexe et pratique le fitness. Elle a un corps sublime. Mes potes sont tous jaloux de moi et m’envie surement, ce qui n’est pas pour me déplaire. En ce qui me concerne, je suis un grand brun assez costaud et je fais beaucoup de natation.
Un jour, mon ami Michel était venu passer le week-end en notre compagnie. Il faisait très chaud et nous portions tous des maillots de bains. Mais malgré la bonne humeur collective, Michel restait triste. Sa femme l’avait quitté depuis plus de six mois et il nous raconta qu’il avait quelques soucis depuis leur séparation. En le questionnant un peu plus, et l’alcool aidant, il nous avoua qu’il n’arrivait plus à avoir d’érections.
Ma femme semblait attristée par cette nouvelle et le réconforta un peu en lui expliquant qu’il était encore jeune et que cela ne devrait pas durer trop longtemps, que c’était sans doute à cause du stress post-séparation, etc. J’ajoutais, en rigolant, qu’avec le matos qu’il avait entre les jambes, c’était surtout gâcher la marchandise. Il rigola un peu et regarda ma femme, qui s’interrogeait…
J’expliquais alors à ma femme que Michel avait été gâté par la nature. Nous avions fait du scoutisme ensemble et les garçons se baignaient nus avec moins de pudeur qu’aujourd’hui. Je me souvenais de son pénis assez large pour son âge et surtout de ses testicules un peu hors normes. On l’appelait déjà le « Poney » entre nous à l’époque à cause de ça. Les filles scouts le complimentaient souvent sur cette « bosse dans son short » lors de nos randonnées.
Je n’avais jamais vu ma femme comme ça. Piqué par la curiosité, elle posa des tas de questions et en fin de soirée, nous parlions sans pudeur de sexe. Il nous expliqua, qu’a cause de son excroissance testiculaire, il était ce qu’on appelle « un gros jouisseur », et que ses copines n’appréciaient pas toujours. En plus, il fallait qu’il tombe sur des nanas qui aiment le sperme, vu la quantité qu’il balançait à chaque fois. Il avait une sorte de malformation et ses couilles étaient bien plus grosses que la normale. Et donc, la quantité de sperme expulsé était d’autant plus importante.
J’avais de la chance car Amandine aimait mon sperme et avalait parfois. Mais comme on faisait souvent l’amour, je ne dépassais jamais trois ou quatre jets. Mes éjacs étaient tout sauf spectaculaires. J’étais curieux, moi aussi, de voir Michel en version « adulte » et je me demandais ce qu’en pensait ma femme ? À mon grand étonnement, c’est elle qui osa faire le premier pas.
— Tu veux bien nous montrer ? demanda-t-elle.
— Euh… Pardon ? répondit Michel.
— Eh bien… Tes couilles, ta bite, tout ! Enfin, si François est d’accord, bien sûr demanda-t-elle en souriant.
Je ne savais plus où j’étais. Je ne m’attendais pas à ça de sa part. Je restais sans voix et elle prit ça pour un oui.
— Vous savez, je n’ai rien fait depuis plusieurs semaines… Je ne sais pas si c’est une bonne idée… En tout cas, mes couilles sont pleines, ça c’est sûr… dit-il l’air un peu embarrassé…
— Ça sera d’autant plus rigolo, dit-elle en attendant.
— OK, je me déshabille alors.
Et Michel enleva son short.
Effectivement… Le paquet était juste énorme, encore plus gros que dans mes lointains souvenirs… Ses boules ressemblaient à deux gros kiwis ! Sa paire de couilles, qui descendait mi-cuisse, était en plus parfaitement épilée, ce qui la faisait encore plus ressortir.
— Hmm… Impressionnant ! Tu as vu chéri ? me demanda-t-elle d’une voix coquine.
— Oui, j’ai vu. En tout cas, c’est plus gros que quand on était gamin…
Son sexe au repos était plus large que le mien. Ma femme commençait à regarder ce curieux appareil génital avec gourmandise et je me demandais bien comment tout ça allait finir… Michel restait planter là, devant nous, sans bouger, sans savoir quoi faire, avec ses deux grosses boules qui pendouillaient dans le vide.
— Bon et si j’essayais de le faire bander maintenant ? On lui doit bien ça, non ? me demanda-t-elle en ôtant son haut de maillot. Et comme elle ne portait rien en dessous, son 95D apparut d’un coup sec !
— Tu as de très beaux seins, dit-il en les découvrant pour la première fois.
— Oui, mois aussi tu vois, j’ai deux grosses boules… dit-elle en les caressant.
Michel restait toujours mou malgré les efforts de ma femme, son problème semblait plus grave que prévu. Amandine avait les tétons roses tout durs, elle portait juste un bas de maillot en guise de culotte et pourtant, Michel n’y arrivait toujours pas, aucune réaction.
— Bon, chéri, j’enlève le bas ? me demanda-t-elle.
J’avalai ma salive et après quelques secondes, je fis un oui de la tête. Elle se cambra dans une pose aguichante et nous montra son cul. Elle fit glisser son maillot délicatement en ondulant les fesses, puis, elle alla s’asseoir sur un transat. Elle écarta les jambes d’une façon impudique et commença à se caresser la chatte. Michel découvrait avec admiration son épilation intégrale. J’étais embarrassé de voir ma femme se masturber devant nous. Elle mouillait comme une folle et je commençais à être terriblement excité par son show et Michel également. D’ailleurs, son sexe grossissait à vu d’oeil….
— Chéri… Fais-moi l’amour, j’ai envie !
Je ne me fis pas prier ! Et en deux temps, trois mouvements, je me retrouvais nu, la tête entre ses cuisses. Elle gémit et son premier orgasme arriva instantanément. Elle jouissait et réclamait mon sexe. Je m’insérai avec plaisir dans cette fente toute humide. Je faisais des vas et viens à un rythme de plus en plus rapide.
— Michel… Approche-toi si tu veux…
Il ne se fit pas prier et se rapprocha de nous mais resta à bonne distance. Son sexe bougeait tout seul.
— Le spectacle te plait, on dirait ! dit Amandine, dans un souffle, en regardant le bas ventre de Michel.
— Oui ! Je peux ? demanda Michel en s’approchant d’avantage.
— Branle-toi si tu veux…
Et il se masturba vigoureusement. Il s’approcha, lentement mais surement, près du visage de ma femme. Il voulait une pipe c’était évident. Son gland alla jusqu’à frôler la bouche d’Amandine avant qu’elle lui dise :
— Non…
Michel n’insista pas, même si je voyais qu’il en mourait d’envie. J’imaginais sa frustration, mais fallait pas déconner, non plus. Il tenait sa bite à quelques centimètres du visage de ma femme mais devait respecter les termes du contrat : pas touche. Amandine avait des yeux de braise et prenait son pied. Elle hurlait son plaisir et j’allais bientôt jouir. Juste le temps de sortir de sa chatte en feu et je balançai mon foutre sur son ventre et ses seins. J’étais au paradis. Michel bandait bien maintenant et semblait également prêt à éjaculer. Ses lourdes testicules se balançaient au rythme de sa main droite, c’était impressionnant. Il se masturbait toujours devant le visage de ma femme et son pénis expulsait déjà des jets transparents… Ma femme en avait déjà partout sur le visage…
— Tu as jouis ? demanda Amandine.
— Non, mais çà vient…
A chaque mouvement, il expulsait de plus en plus de liquide sur son visage et Amandine commençait à en avoir vraiment beaucoup, c’était bizarre. Etait-il en train de jouir ? Ou bien était-ce encore de la mouille ? Vu la quantité, cela sentait l’orgasme… Aussi, pour échapper au pire, elle lui dit :
— Tu peux venir sur mes seins si tu veux…
Et aussitôt dit, aussitôt fait : il positionna son manche un peu plus bas. Mais après plusieurs jours d’abstinence, il était difficile pour lui de se contrôler et Amandine reçut les premiers jets de sperme, expulsés à une vitesse folle, directement sur son nez et sa bouche et elle suffoqua. Je n’avais jamais vu ça, ça giclait tout droit, comme de l’urine, à une vitesse époustouflante. Les derniers jets atterrirent sous son menton et sur son cou, pour finalement atterrir sur ses seins. Elle en avait partout… On aurait dit une éjac’ de Peter North, l’acteur porno américain, mais en pire. Cela dura longtemps, trop longtemps je pense…
— Madame est servie, dit Michel en rigolant.
Elle semblait sans voix et je l’a vit respirer difficilement. J’étais trop épuisé pour réagir. Nous nous reposâmes un peu, puis direction la salle de bains et les chambres, où une bonne nuit de sommeil nous attendait…
Le lendemain matin, je me levai de bonne heure pour aller chercher des croissants à la boulangerie. À mon retour, je restai un peu prendre l’air dans le jardin, en repensant à hier soir. Je regardai par la porte fenêtre de notre chambre… Ma femme n’était plus dans notre lit, elle était sans doute réveillée. Ne voulant pas faire de bruit, je la cherchais en chaussettes dans la maison, mais je ne la trouvai pas. Où était-elle donc passée ?
Il ne restait plus qu’une seule pièce, la chambre d’amis. Mais elle ne pouvait être là… Non, c’était impossible. Je retournais à l’extérieur pour vérifier. Les volets étaient entre-ouverts. Je m’approchais doucement et regardai à l’intérieur. Le choc fut grand, je n’en croyais pas mes yeux.
Ma femme était assise sur le lit, en train de branler Michel. Fébrile et impuissant, je regardai ce spectacle qui m’était offert et c’était moi, cette fois, qui ne pouvais y participer. De mari comblé, je passais à cocu voyeur…
En tant que mari soumis et cocu volontaire, ma femme et moi, on a adoré ton récit !
Gros bisous et meilleurs souhaits !
J’aimerais bien être à la place du cocu voyeur !