Voilà quelques temps déjà que nous envisagions une petite escapade au bord de la mer et le soleil retrouvé nous décida un peu précipitamment à quitter la capitale en ce week-end de Pentecôte.
Nous avions cherché en vain une chambre d’hôtel pour ces deux nuits mais impossible, tout était déjà complet. C’est alors, un peu forcé et à regret, que nous nous décidâmes pour un retour au camping dans notre petite tente qui avait si souvent au début abrité nos jeunes ébats. Le chargement fut un peu difficile car le coffre de la petite Austin de Aude était bien étroit pour le matériel qu’elle souhaitait y mettre. Je dus donc en caser une partie sur le siège passager à côté du conducteur et Aude devrait prendre place à l’arrière avec une valise. La pensée de faire le trajet au volant jusque dans la baie de Somme ne me mettait pas de très bonne humeur mais Aude avait décidé de ne pas conduire prétextant je ne sais quelle douleur à une cheville… Je donnai un bref coup de klaxon afin de prévenir ma compagne que j’étais prêt. J’entendis ses pas rapides descendre l’escalier et elle apparut plus ravissante que jamais, vêtue d’une courte robe de toile imprimée fermée par une multitude de boutons sauf au niveau du décolleté et qui laissait entrevoir une petite dentelle des plus sympathique…
— Elle me va bien ? dit-elle en virevoltant sur le trottoir.
— Tu es à croquer, lui dis-je en l’embrassant dans son cou parfumé.
De la voir aussi sexy et enjouée fit disparaître ma mauvaise humeur, elle se glissa comme une liane sur le siège arrière sans que je ne pus m’empêcher au passage de lui caresser ses petites fesses à peine cachées dans une minuscule culotte blanche…
Les périphériques étaient exceptionnellement très fluides en ce début de matinée et le soleil commençait à diffuser sa douce chaleur, je me sentais heureux. Aude, les pieds nus posés sur le dossier du siège avant et la robe remontée sur ses cuisses bronzées me laissait deviner le magnifique spectacle qu’elle donnait aux automobilistes qui nous doublaient. A voir la tête de leurs femmes assises à leur côté, je comprenais bien que ce manège n’était du goût de tout le monde… Mais j’aimais la voir ainsi, désirable, impudique et terriblement sensuelle…
L’entrée de l’autoroute A16 fut bien vite atteinte.
Alors que je prenais le ticket à l’automate, Aude me fit remarquer qu’un adolescent faisait du stop avec une pancarte à la main.
— Arrêtes-toi, me dit-elle, il va sur Le Crotoy on va le prendre.
— Impossible, tu vois bien qu’il n’y a presque plus de place, lui répondis-je.
— Mais il doit rentrer du lycée, il ne doit pas avoir beaucoup de fric ! Je vais me faire toute petite… allez !… prends le !
Devant son insistance je m’arrêtai, le jeune homme devait avoir dans les 17 ou 18 ans, et il sourit lorsqu’il vit le peu de place qu’il lui restait.
— Vous voulez monter avec nous ? lui lança Aude en se penchant au dessus du siège vers le carreau du devant.
Les yeux du lycéen plongèrent dans le décolleté et je vis sur son visage qu’il n’appréhendait plus d’être un peu à l’étroit…
La petite Austin reprit la route sans rechigner. Aude avait dû passer son bras derrière les épaules du stoppeur et mettre ses longues jambes sur le côté pour pouvoir laisser un minimum de place à notre invité ; celui-ci visiblement intimidé n’osait la regarder et Aude s’efforçait d’entretenir un semblant de conversation afin qu’un silence pesant ne se fasse pas dans l’habitacle. Effectivement, il était interne au lycée à Beauvais, s’appelait Olivier et remontait chez lui à Abbeville pour le week-end. L’autoradio distillait de la musique et les kms s’égrenaient tranquillement. Était-ce le contact de ce corps chaud et parfumé serré contre lui ou la vue magnifique sur le décolleté de ma compagne, car l’écolier s’était détendu et il discutait et blaguait avec Aude comme deux vieux amis. De temps en temps je jetais un œil dans le rétroviseur et il me semblait que le bras gauche de Aude serrait un peu plus intimement les épaules du jeune lycéen, que ses genoux s’étaient plus fermement collés sur ceux du jeune homme, il m’était difficile de surveiller à la fois la route et le jeu de séduction qui se tramait à l’arrière de la voiture… mais le jeune stoppeur rougissait lorsque notre regard se croisait par l’intermédiaire de la glace…
— Ça va… vous n’êtes pas trop serrés ? demandais-je à mes deux passagers.
— Non non, pour moi ça va, répondit Aude en riant aux éclats.
— Et pour toi aussi ça va… je pense Olivier ? demandais-je à l’intention du jeune homme et je continuais :
— Tu aurais pu tomber plus mal… Elle est mignonne Aude… elle sent bon… elle est court vêtue… elle est bien foutue et en plus elle est sympa…
— Heu ! Ho ! Oui ! bégaya-t-il en devenant rouge comme une pivoine.
Mon regard croisa un court instant celui de Aude et je devinai rien qu’à son sourire le fond de sa pensée…
Je mis la radio plus fort et fis semblant de me concentrer sur mon trajet…
Quelques bruissements de tissu et un léger remue-ménage à l’arrière me firent penser que Aude était en train de faire découvrir à notre jeune invité des jeux subtilement érotiques…
Elle avait passé sa jambe gauche sur la cuisse d’Olivier qui a présent ne pouvait plus rien ignorer de ce qui il y avait sous la petite robe car les boutons s’étaient comme par enchantement ouverts et au fond des longues cuisses bronzées apparaissait le léger tissu blanc. D’une main Aude écarta le léger voile de dentelle et prit la main du jeune lycéen, – il me sembla qu’il résistait un peu, car je pense qu’il avait peur de je ne m’offusque vertement de ce jeu… – mais la douceur des longues mains fines de ma compagne eurent tôt fait de faire tomber toute ses réticences… Aude les yeux fermés, guidait la main du jeune autostoppeur vers des découvertes encore inconnues de lui… La tête posée sur son épaule, la bouche entrouverte, je devinais sa poitrine se gonfler sous l’effet de la caresse.
La main de Aude accrochée au poignet du jeune homme lui montrait comment écarter la fente, rouler les doigts sur le petit clitoris pour les enfoncer soudain dans la grotte lubrifiée.
Je baissais la radio et annonçais tranquillement à l’adresse de Olivier :
— T’inquiète pas pour moi, vas-y, fais ce qu’elle te demande, ça m’est égal… Elle a envie que tu t’occupes un peu d’elle… ne vous souciez pas de moi…!
Aude attira la tête du jeune homme et le gratifia d’un long baiser sur les lèvres. Puis, elle se pencha sur lui, je ne voyais dans le rétroviseur que les cheveux courts de sa nuque, mais je devinais à de petits gémissements qu’elle devait pratiquer une de ses merveilleuses fellations… Je pensais à ces douces lèvres, à sa langue qu’elle savait comme aucune autre enrouler sur le gland, à ses longs doigts si fins qui se cramponnaient sur le membre, descendaient caresser les couilles ou s’insinuer en les fesses pour titiller l’anneau culier. Le jeune homme inexpérimenté ne put résister longtemps à un tel traitement, les joues pâles, les yeux mi-clos, il savourait cette bénédiction tout à fait nouvelle pour lui. Il répondait par des mouvements de hanches à l’intromission buccale qui lui était prodiguée avec art. Souhaitant faire durer le plaisir Aude tenta de relever la tête, mais trop tard, submergé par une jouissance qu’il ne parvenait plus à contrôler, l’adolescent dans un râle de plaisir succomba. Aude continua doucement la fellation tout en absorbant le divin breuvage. Le jeune gaillard parvenait difficilement à cacher son émotion, avec des grognements de plaisir, il maintenait fermement la nuque de ma compagne afin qu’elle poursuivre la caresse, pour qu’elle lape jusqu’à le dernière goutte sa semence.
Son forfait accompli, Aude rajusta le gamin qui semblait complètement absent. Cette séance l’avait littéralement vidé au deux sens du terme. Elle se leva du siège et vint m’embrasser dans le cou :
— Je t’aime, me dit-elle…!
Je sentais dans son haleine la petite odeur si caractéristique du sperme.
— Je mérite mieux que cette petite bise dans le cou, dis-je en tournant la tête vers elle.
Elle approcha ses lèvres des miennes et glissa sa langue dans ma bouche, elle savait la petite garce combien ce jeu m’excitait, sa langue s’enroula dans ma bouche et je ne fut pas surpris de m’apercevoir qu’elle avait gardé pour moi quelques gouttes du sperme de son jeune amant… Olivier nous regardait les yeux écarquillés…
— Mais toi aussi tu bandes, mon cochon, me susurra-t-elle à l’oreille, tu ne perds rien pour attendre, tu vas voir ce soir…!
Olivier, la tête posée sur la vitre arrière, semblait encore perdu dans ses pensées, Aude se pelotonna contre lui.
— Tu es vraiment mignon…! et très agréable à… (Elle ne finit pas sa phrase et lui fit une bise sur la joue.) Tu ne connais pas un camping sympa et tranquille du côté du Crotoy lui demanda-t-elle pour alimenter la conversation.
— Si vous voulez je vais demander à ma mère de vous prêter une petite maison que nous avons en bord de mer à côté de St-Valéry-sur-Somme et qu’elle loue l’été seulement, elle doit être libre en ce moment… Je dirai que vous êtes la sœur et le beau-frère d’un ami, ça la rassurera…
— Ah oui, ce serait sympa et plus confortable que le camping, mais alors tu m’as fait charger tout ça dans la voiture pour rien, répondis-je à Aude.
Quelques kms après la sortie d’Abbeville, Olivier nous fit prendre de petites routes au milieu des étangs et des prés et nous fit arrêter devant une petite maison très fleurie.
Une femme d’environ une quarantaine d’année, souriante, un peu ronde mais les traits du visage très fins en sortit. Les présentations faites Olivier demanda à sa mère :
— Maman…! Ce sont la sœur et le beau-frère d’un copain de lycée, ils m’ont ramené de Beauvais, est-ce que tu peux leur prêter la maison de St-Valéry pour le week-end, sinon il vont devoir faire du camping et la météo annonce des orages…!
— Oh ! Si ils veulent, mais il n’y a pas d’électricité, c’est un peu spartiate, mais c’est tranquille, elle donne directement sur la plage.
Sitôt dit sitôt fait, olivier courut chercher les clés et nous conduit à 3 km de là.
Effectivement le coin est charmant, la maison devait-être une ancienne bergerie et donne directement sur les dunes. Trois petites pièces dont une transformée en salle d’eau.
La matinée est bien avancée lorsque nous eûmes finit de tout ranger, une rapide collation fut prise sur place.
— Tu viens faire un tour sur la plage avec moi, me dit Aude en me prenant la main, mais avant je mets mon maillot de bain. Tu nous accompagnes Olivier, lança-t-elle au jeune homme.
Et sans complexe, elle déboutonna sa robe et apparue terriblement excitante en soutien gorge et petite culotte, celle-ci rejoignit bien vite le soutien-gorge sur le dossier du fauteuil; Aude était à présent entièrement nue dans la pièce et ses fesses fermes, le cambrure des ses reins, ses seins pointés et ses longues jambes qui semblaient ne jamais finir s’arrêtaient sur le fin triangle pubien qu’elle prenait bien soin de tailler court. Je m’approchais d’elle et lui prit la taille. Le contact de sa peau nue était toujours pour moi comme un émerveillement ; Olivier me regardait avec envie ; du bout de la langue j’agaçais la pointe des seins déjà durcis et ma main descendit vers le tendre bourgeon génital. Comme une savonnette, Aude s’échappa de mes mains :
— Ha ! Non, pas tout de suite, attends ce soir, je veux que tu me désire comme un fou, que tu n’en puisse plus de te retenir.
— Regarde comme tout ça est beau ! dit-elle en prenant ses seins dans ses mains…
Les quelques séances d’UV qu’elle avait fait au printemps avait laissé sa peau couleur de miel, seul l’endroit du string contrastait. C’était superbe…
— Y a-t-il du monde sur cette plage ? demanda Aude à Olivier.
— Elle est déserte, les dunes arrivent jusque sur la mer et le seul accès c’est à marée basse ou par le chemin d’où nous sommes venus.
— Hé bien j’y vais habillée comme ça, mais pas touche les gars on regarde seulement dit-elle malicieusement…!
Et joignant le geste à la parole elle passa devant nous totalement nue et franchit la porte vers le soleil.
Nous l’admirions marcher légèrement devant nous, elle était radieuse de son effet sur nos libidos. La petite plage était au bout du chemin à environ 200 m de la maison, bordée de dunes sur 3 côtés. Aude courue se tremper les pieds dans l’eau, s’éclaboussant comme une enfant ; elle ne en ressorti bien vite en criant, la Mer du Nord à cette saison était encore froide. Elle s’approcha de nous en frissonnant et avant que je n’aie pu faire un geste, Olivier s’était débarrassé de son tee-shirt et lui avait passé. Le vêtement lui arrivait en bas des fesses, ses petits seins dressés par le froid pointaient au travers, de petites perles d’eau s’étaient accrochées dans ses poils pubiens et faisaient comme une rosée.
Le bruit d’un moteur nous fit tourner la tête et nous fit décrocher de nos pensées lubriques, à quelques centaines de mètres, par la droite, apparut un gros canot en bois.
— C’est Monsieur Bertrand, c’est le voisin, il habite à l’autre bout de cette petite anse, c’est un ami de maman, ne vous étonnez pas lorsque vous l’apercevrez, c’est un petit nain…
— Un nain, répondîmes tout deux en cœur Aude et moi.
— Oui ! Il est très petit mais très gentil, se crut obligé d’assurer Olivier.
— Je rentre à la maison, me dit Aude, s’il me voit avec vous dans cette tenue….!
Elle disparaissait dans le chemin lorsque la barque racla sur le rivage, un petit homme en short en sauta prestement et s’avança vers nous un large sourire aux lèvres.
— Bonjour ! Je me présente, dit-il en me tendant la main, je suis Bertrand Goulard.
Il faisait environ 1m20, 1m30 de haut, sa poignée de main, quoique franche, me fit tout drôle, sa main était petite comme celle d’un jeune enfant, son corps était bien proportionné et seules ses jambes très courtes étaient un peu arquées.
— C’est toi que je viens voir Olivier, ta mère s’inquiète de ton absence et m’a téléphoné pour me demander de venir t’avertir qu’elle t’attend !
— Oh ! Non ! s’exclama l’adolescent, pas déjà !
— Elle a particulièrement insisté pour que tu rentres vite, martela-t-il.
— Bon, j’y vais, répondis tristement Olivier en tournant les talons.
— Vous viendrez bien prendre quelque chose, en tant que voisin, nous ferons un peu connaissance, demandais-je au petit homme.
— Volontiers ! Les rencontres dans ce coin sont assez rares.
Quelques minutes après nous franchissions le seuil de la petite maison de briques, Aude sortait de la douche en peignoir de bain.
— Bonjour ! dit elle en tendant la main.
— Ha ! Non, je serre la main des hommes mais je fais la bise aux femmes, s’exclama Bertrand.
Aude dut se baisser pour lui tendre la joue, dans ce geste son peignoir s’entrouvrit, Bertrand n’avait rien perdu du spectacle, Aude se rajusta en rosissant.
— Je vais me changer ! dit-elle.
— N’en faite rien, vous êtes ravissante, et puis je peux vous l’avouer, j’en ai vu plus tout à l’heure, je vous ai aperçu sur la plage, je regardais à la longue vue passer un vol de cigogne qui niche dans la réserve du Marquenterre toute proche.
— Pour une plage déserte on fait mieux, n’est-ce pas Olivier ? dit Aude en relevant le menton du gamin.
— Allez, ne boude pas, retourne chez toi, tu reviendras demain matin !
— Bon, d’accord, à demain !
Et il s’éclipsa en courant.
— Ce jeunot semble tenir à vous, je crains qu’en pensant à vous, sa nuit ne soit agitée, répliqua Bertrand en regarda fixement Aude.
Aude ne répliqua pas et en femme avisée, elle sortit trois verres et l’excellent Bordeaux que j’avais pris soin de glisser dans le coffre.
— Vous êtes pêcheur ? demanda Aude pour changer de conversation.
Et le petit homme nous raconta sa vie, un père médecin, il se tourna donc presque naturellement vers la psycho pour tenter de résoudre ses propres problèmes liés a sa taille, puis il changea de discipline et fit pharmacie à la fac de Marseille, puis s’orienta vers la botanique, il monta un laboratoire avec un ami et parcourut le monde pour y étudier et ramener des échantillons de plantes.
Il posa ses valises plus de 5 ans à Madagascar, y connu une jeune femme, en eu une enfant, rentra en France. Le laboratoire avait bien prospéré grâce à ses découvertes et à la bonne gestion de son ami.
Il y a 12 ans il apprit que la mère de sa fille était décédée, il alla la chercher et décida de l’élever. C’est à cette époque, en prospectant des échantillon de plantes sur le littoral de la Baie de Somme, qu’il tomba amoureux de ce bout de terre et décida de s’y installer, il revendit ses parts à son ami et le pécule lui permit à 40 ans de vivre de ses rentes. A présent il s’occupait d’un petit élevage de chiens dont il avait ramené un couple voilà une dizaine d’années d’Argentine.
La bouteille était presque vide et le jour tombait lorsqu’il s’arrêta de parler, c’était un homme cultivé et affable, un personnage attachant…
— Vous n’avez pas l’électricité, aussi je vous invite à manger chez moi.
— OK ! répondis-je, nous avons un excellent jambon du Morvan et quelques victuailles, nous les prenons et on vous suit.
Aude, pendant ce temps, avait enfilé une petite robe noire en stretch, moulante comme une seconde peau et je vis dans les yeux de Bertrand comme un aveu d’admiration.
— Nous partons en bateau car c’est plus joli et romantique et puis par la route c’est bien trop long, annonça Bertrand.
La nuit commençait à tomber lorsque nous accostâmes au ponton qui longeait sa maison de briques rouges. Une jeune fille en jeans et pull marin accompagné d’un gros chien noir accourut pour accrocher la barque, le teint légèrement basané et les yeux en amandes…
— Je vous présente Océane, ma fille, sa mère était Malgache et sa grand-mère réunionnaise, le mélange est bien réussit, dit-il en rigolant, et lui c’est Croquette le chien de la maison.
Il nous précéda dans un grand salon décoré avec beaucoup de goût de meubles hétéroclites qu’il avait du ramené de ses nombreux voyages.
Asseyez-vous, je vais me changer, pendant ce temps Océane va vous servir des rafraîchissements.
La jeune fille revint avec trois verres de punch.
— Vous êtes très belle, lui dit Aude, quel âge avez-vous ?
— L’âge que l’on souhaite me donner.
Je reconnaissais bien là le caractère énigmatique des indiens… Elle avait peut-être 18 ans peut-être moins tant elle était menue.
Le repas fut des plus sympathique, la matelote d’anguilles que nous avait concocté Océane était excellente. Elles provenaient d’un petit vivier qui était à quelques mètres de la maison.
Bertrand nous enchanta sur ses expériences sur les plantes.
Alors qu’il nous expliquait les vertus aphrodisiaques de certaines d’entre elles, Aude partit d’un éclat de rire :
— Nous sommes allés à la Martinique il y a quelques temps, expliqua-t-elle, Théo a bu du bois bandé… et il a dormi toute la nuit, je n’y crois pas du tout à tout cela, c’est un attrape gogo, lança-t-elle.
— Libre à vous de croire ou pas, si vous voulez je vais vous faire essayer celui de ma composition.
Et il se dirigea vers un placard, versa d’une petite fiole dans un verre un peu de liquide brun et me le tendit :
— Buvez-en juste une gorgée, pour un premier essai, c’est plus prudent, me dit-il en souriant.
Le breuvage était fortement amer, à peine les lèvres trempées, je le tendis à Aude.
— Rapidement, avec un grimace, elle en avala une longue rasade avant que Bertrand n’est pu la retenir.
— Pouah, c’est infecte, dit-elle en posant le verre, je ne pense pas qu’un liquide aussi infâme puisse inciter à l’amour…! J’ai aperçu dans la pièce voisine un très beau billard, si nous allions en faire une partie lança-t-elle à notre adresse.
Un billard trônait dans une immense pièce dont le fond était tapissé d’un grand aquarium, à l’intérieur de celui-ci quatre grosses anguilles s’enroulaient sur le fond.
Voyant que Aude s’en approchait, Bertrand lui dit :
— Celles-ci ne finiront pas en court bouillon, elles sont apprivoisées… Aude le regarda avec des grands yeux d’étonnement…
Il y avait à peu près 1 h que nous «tapions la boule» lorsque Aude nous dit :
— Il fait vraiment chaud dans cette pièce, ça me donne un peu mal à la tête.
Je me tournai vers Bertrand un peu étonné, la température était agréable, même un peu fraîche.
— Ne vous inquiétez pas, dit-il, c’est l’effet du breuvage, vous avez un peu trop forcé la dose, et quelques troubles risquent de se produire… Océane va vous faire un massage et ce mal de tête va disparaître.
Il appela Océane qui apparut dans l’encadrement de la porte vêtue d’un merveilleux sari en soie orangé.
— Couchez vous sur cette banquette, dit-elle en basculant le siège clic-clac.
Une fois Aude couchée sur le ventre, la jeune fille lui fit glisser les bretelles qui retenait le haut de sa robe et lui roula jusqu’à la taille. Elle s’enduisit les mains d’une huile parfumée et commença à masser, avec beaucoup de douceur, le dos et la nuque de Aude.
— Bon, on continue la partie tous les deux, lança Bertrand.
Tout en jouant, je jetais quelquefois un coup d’œil furtif sur Océane. Les longues mains de celle-ci s’attardaient quelquefois sur la chute de reins de Aude puis remontaient aux épaules, se glissaient sous les aisselles et s’attardaient sur les seins de Aude qui décollait son buste du lit pour mieux profiter de la caresse.
Océane susurra quelques mots à Aude qui se retourna. La jeune fille fit glisser la robe et le petit slip de Aude, celle-ci couchée sur le dos, les yeux fermés se laissa dévêtir. Les mains à présent courraient sur le ventre, sur les seins de ma compagne… Aude se laissait aller à cette délicieuse sensation… Inconsciemment ses jambes s’écartaient… ses hanches et son ventre se soulevaient…
Bertrand et moi nous nous étions arrêtés de jouer pour admirer le spectacle… et il commençait à nous faire de l’effet.
— Je lui avais pourtant bien dit de faire attention, ce n’est pas dangereux mais le mélange de ces quelques plantes est quelque peu détonnant… si vous voulez je vous laisse seul, car elle semble avoir besoin de vous….
— Pourriez-vous… si je puis dire, être à la hauteur… me dit-il en me regardant d’un air malicieux…
— Je crois qu’il va me falloir beaucoup de résistance, lui répondis-je – sans savoir d’ailleurs où il voulait en venir.
Il se dirigea vers l’armoire du salon et en sortit une boite de couleur noir en marqueterie, il l’ouvrit et stupéfait, je découvris à l’intérieur toute une panoplie de vibromasseurs de tailles et de formes différents. Des veinés, des noirs, des biscornus pour des doubles pénétrations, en bois, en plastiques…
— Croyez-vous qu’elle ai une préférence ?
— Ma foi je n’en sais rien, prenez celui qui vous semble le mieux adapter à notre situation, dis-je en riant…
Aude entrouvrit les yeux et nous sourit en nous voyant près d’elle. Son corps sentait bon, j’approchai mon visage du sien et je l’embrassai sur les lèvres.
— Fais moi l’amour, baise moi, j’en ai envie… Laisse Bertrand venir aussi, me dit-elle dans un souffle.
Elle se redressa sur les coudes pour regarder dans la direction de notre hôte…
Bertrand s’était approché de la table, le corps de Aude couchée sur le dos lui arrivait à hauteur des yeux.
Il glissa une main entre les cuisses et instinctivement celles-ci s’ouvrirent.
Il enfouit sa tête dans le compas des jambes et avec délectation, il lécha le petit bourgeon de chair qui brillait au milieu. Sous la caresse, Aude souleva son bassin pour qu’il puisse encore enfoncer plus loin sa langue, puis les doigts de Bertrand se frayèrent un passage dans le doux calice et imprimèrent des mouvements de va-et-vient. Aude gémissait, assise sur le rebord de la table, elle agrippait Bertrand par les épaules. Je me dévêtit rapidement, mon sexe me faisait mal tant sa tension était forte et je l’approchais de la bouche de Aude qui l’absorba jusqu’à la base des couilles. Appuyée sur le chambranle de la porte Océane nous regardait, ma gêne ne fut que de courte durée car devant la vision de la petite main de Bertrand, entrée entièrement et fourrageant la chatte de Aude et sa langue chaude sur ma hampe, je ne pus à mon grand regret me retenir plus longtemps et la jouissance m’emporta…
— Oh! Non, pas déjà… se désespéra Aude en continuant à pomper le divin breuvage…
— Vous auriez du, à l’inverse de votre compagne, prendre plus de ma potion, me dit Bertrand en relevant la tête, et en ressortant délicatement ses doigts de la vulve de Aude.
— Apporte-moi la petite boîte, intima-t-il à l’adresse d’Océane, qui en silence accourut.
Bertrand, à mon grand étonnement, se saisit dans la boite que Océane lui tendait, d’un godemichet, noir, il me sembla énorme bien qu’un peu mou… et comportait une petite poire à son extrémité.
— Mets-toi à quatre pattes sur le bord du lit, et écartes les jambes.
Il tutoyait Aude d’une voix rude et j’en fus étonné, celle-ci acquiesça sans broncher, le rouge aux joues.
Je savais qu’en ces instants son corps entier était en feu, et qu’elle n’allait être qu’un pantin voué à son plaisir jusqu’à l’épuisement de son désir.
Bertrand, d’une prudente et longue poussée, introduisit dans la fente huilée de cyprine la tête du vibro. Tout en tournant l’engin, il l’entrait un peu, le ressortait, l’introduisait un peu plus afin de dilater doucement à son maximum les chaires écarlates.
Aude la bouche grande ouverte, la respiration profonde, ses petits seins gonflés ballottant sous elle, savourait cette emprise diabolique.
Bertrand se tourna vers moi :
— Ca lui fait plus d’effet que ce que vous lui procuriez tout à l’heure !
— Rempli la poire d’eau chaude, Aude souhaite connaître un grand moment ! lança-t-il à Océane.
— Et toi bouge, bouge, bouge, répétait-il à ma compagne tout en la frappant sur les fesses et en imprimant des mouvements de va et vient à l’engin fiché entre ses fesses.
Aude les reins creusés, avançait et reculait son bassin pour profiter pleinement de l’introduction.
S’emparant de la grosse poire caoutchoutée que lui tendait sa fille, il envoya dans un petit orifice situé à la base du gode une longue giclée. Aude sursauta et me tendit une main. Sa paume serrée dans la mienne, ses yeux de verts fixés sur moi, elle me faisait comprendre sans un mot tout le délice que lui procurait cette sensation nouvelle…
Deux ou trois nouvelles poires furent vidées ainsi dans le corps du vibro.
— Cette eau est à environ 39°-40° et ne risque pas de la brûler, le vibromasseur est maintenant gonflé à moitié et tapisse en partie l’intérieur de son vagin, regardez, comme elle apprécie, et il imprima à nouveau un léger mouvement à l’appareil.
C’était déjà démentiel de la façon dont le gode avait dilaté la petite chatte étroite de Aude. Celle-ci se mordait les lèvres et sa main serrait encore plus fort la mienne.
— Montez à côté de votre tendre amie et caressez lui les seins, massez lui le dos, le ventre, soyez tendre, afin qu’elle arrive au bonheur suprême…
Je grimpais à mon tour sur la large table, et serrait tendrement Aude dans mes bras.
— J’ai trouvé cet engin extraordinaire en Asie, là-bas il est appelé «septième ciel» et il est adaptable, gloussa-t-il… De petites billes sont à l’intérieur, lorsque qu’il est plein et que l’on actionne le bouton, les billes frappent la paroi et les vibrations se transmettent dans tout le corps.
— Mets toi couchée sur le dos, les jambes repliés et ouvertes, demanda-t-il à Aude d’un ton ferme.
Océane et moi dûmes l’aider à se retourner tant le phallique engin la gênait dans ses mouvements, elle s’accrochait à moi et ma bouche parcourut ce corps à la peau adorée, de la bouche au cou, du cou à l’épaule, de l’épaule au sein rond, du sein au ventre plat au nombril aguichant, du nombril au secret frisé et parfumé écartelé par l’épieu de plastique.
Bertrand versa à nouveau vivement trois poires d’eau chaude dans l’orifice du dildo, celui-ci devait maintenant tapisser entièrement le vagin de Aude et à chaque rasade versée, une presque inaudible plainte de bonheur s’échappait de ses lèvres à demi-fermées.
De la voir ainsi grande ouverte et offerte, ma virilité chancelante reprit de la vigueur.
Le petit homme grommela en tapant sur les cuisses de ma compagne :
— Remonte bien les jambes, pliées sur tes épaules, le plus haut possible, je te l’ai déjà dit et toi caresse-la, dit-il en s’adressant à moi.
Je le vis prestement tourner le bouton du vibromasseur tout en lui donnant un mouvement de va et vient lent et rythmé. Le diabolique engin fiché dans les chairs intimes de Aude ne pouvait bouger et c’est donc tout le corps de ma compagne qui avançait d’avant en arrière sur lit.
Le mouvement s’accéléra, Aude s’accrochait comme elle pouvait et subissait avec délectation, les yeux mi-clos et le souffle court, le choc intérieur des billes qui claquaient comme un feu d’artifice dans ses entrailles. Plus vite…, plus fort…, encore plus vite…, Bertrand tirait et poussait de plus en plus rudement mais sans violence, la base du pieux qui écartelait ma belle. La respiration de Aude s’accordait avec le rythme que donnait notre hôte, le mouvement lent du début avait fait place à une danse endiablée qui unissait ma compagne et son amant synthétique d’eau et plastique.
Mes lèvres parcouraient son corps, mes mains caressaient ses seins et ses cuisses superbes. La grotte magique où tant de fois j’avais trempé ma verge était ouverte comme celle d’une femme en train d’accoucher. La douce plainte de bonheur qui accompagnait la danse, se transforma en un cri rauque de plaisir intense, et tout son corps s’arquebouta plusieurs fois comme électrisé, elle ne tentait plus de s’accrocher et c’est comme un pantin désarticulé qu’elle suivait les amples mouvements. La sarabande dura plusieurs minutes et Aude connu l’extase quatre ou cinq fois ; sa tête dodelinait de droite et de gauche, ses mains agrippaient celles de Bertrand afin qu’il garde la cadence, de fines gouttelettes de transpiration bordaient sa lèvre supérieure, elle ouvrit les yeux et nous sourit. Bertrand ralentit le rythme et coupa la vibration pour permettre à Aude de reprendre ses esprits.
— Que c’est bon ! Je n’ai jamais senti quelque chose d’aussi fort et d’aussi puissant ! C’est comme une vague chaude qui monte de l’intérieur et vous inonde de jouissance !
— Je vais expulser l’eau du vibro afin de te permettre de te reposer, annonça Bertrand fier de son expérience.
Il tourna un bouton et appuya d’un coup sec sur le bas du vibro, Aude poussa un cri de surprise et de bonheur…
— L’eau tiède s’est libérée dans sa chatte, m’informa Bertrand, elle l’inonde…!
L’eau fumante s’écoula dans une bassine que maintenait Océane, appuyée sur les coudes, mon adorée regardait ouvrer son doux tortionnaire. Celui-ci tira doucement sur la base du phallique engin ce qui arracha à Aude un petit cri de délivrance ou de regret…
La grotte nacrée distendue par le chaud massage restait grande ouverte, les petites lèvres pendantes.
— Viens, approches-toi, demanda Aude à Bertrand, tu mérites toi aussi une récompense.
Elle approcha son bassin du bord du lit afin que le petit homme soit bien à hauteur et lui empoigna la verge. Celle-ci noueuse et dressée comme un dard semblait disproportionnée par rapport à sa taille.
Guidé de la main douce de ma compagne, il enfila d’un coup jusqu’à la garde son sabre dans la gaine de velours.
— Ah c’est chaud, c’est bon, grognait-il tout tressautant sur ses courtes cuisses.
Les mains de Aude pressaient les petits globes velus des testicules afin de l’amener à l’explosion rapidement car je voyais à son attitude qu’elle simulait un plaisir qu’elle n’arrivait pas à trouver. Était-ce parce qu’elle venait de connaître quelque chose de très fort, de très puissant ou parce que son vagin distendu ne lui permettait pas de sentir en elle cette queue pourtant de taille fort respectable.
Bertrand s’en aperçu et accéléra la cadence afin de rapidement se soulager, accroché aux cuisses de Aude, il planta au fond, son bâton sexuel, une grimace de bonheur illumina son visage, je devinais les longues giclée de sperme qui devait fouetter le doux réceptacle. Tendrement, Aude le maintint serré entre ses longues jambes jusqu’à ce que la lance gorgée de sève ai craché ses dernières gouttes. Notre ami retira sa verge flasque, Aude d’une main essuya sa chatte trempée et la porta à sa bouche, se tournant vers moi elle me tendit à son habitude ses lèvres afin qu’avec elle je partage cet instant de bonheur.
— Viens, toi aussi, j’ai envie de te faire ce cadeau, me dit-elle en me tendant la main.
Je pris position dans le compas de ses jambes et glissait mon épieux dans le trou largement huilé par Bertrand, la chaleur procuré par l’eau du godemichet était toujours présente et irradiait jusque dans mes couilles, le sperme de notre ami maculait ma verge, Aude savait combien j’aimais ces moments où prise avant par d’autres que moi, elle m’adressait comme une offrande la fin de ses étreintes pour me prouver son amour. Elle tenta de contracter son vagin dilaté, qui pour toute récompense expulsa le foutre de son précédent amant, elle s’assit sur le bord du lit et m’attira au plus profond d’elle, ses mains passées derrière mes fesses cherchaient mon anus, elle me força à basculer sur son corps de liane. Largement ouvert par deux de ses doigts, mon anneau senti s’introduire l’un deux. Elle tourna son regard vers Bertrand, ses yeux verts le fixèrent comme une ultime invitation. Celui-ci sans un mot vint se placer derrière moi, je compris vite sa manœuvre et essayais d’esquiver, Aude me bâillonna la bouche d’un baiser brûlant et me serra fort dans ses bras. Je compris qu’elle tenait à ce que je sois à la fois la proie et le loup. Le gland noueux, força le passage et entra doucement dans mes entrailles… je m’abandonnais. A chaque coup de butoir de Bertrand, mon sexe entrait plus profondément dans la grotte de Aude. L’emprise dura longtemps me semble-t-il, je sentais que Aude prenait un plaisir indicible à me voir sodomiser. Elle répondait par des mouvements amples de ses hanches, tout en me serrant dans ses bras, aux frénétiques coups de reins que m’infligeait son partenaire. Emporté par mon élan, j’arrosais à mon tour le doux fourreau. Bertrand sortit de mon corps, et porta son sexe à hauteur de la bouche de ma compagne, celle-ci sans hésiter s’en saisit et appliqua sur le sabre une caresse vieille comme le monde, elle m’invita à l’imiter et c’est ainsi que nos lèvres mises en commun vidèrent une seconde fois notre hôte.
La fatigue tant physique que nerveuse me laissa pantelant, allongé en travers du lit, je m’endormis d’un profond sommeil.
Un bruit de vaisselle m’ouvrit les yeux. Aude vêtu d’un somptueux sari, remaquillée, les cheveux humides et Bertrand, non moins élégant, discutaient comme deux vieux complices devant un bol de café fumant.
— Tu as passé une bonne nuit, il est 9 h, s’informa Aude souriante en s’asseyant sur le bord du lit.
Je posais ma tête sur son épaule et sentit à travers l’étoffe de soie la chaleur de sa peau, elle me fit une bise sur les lèvres qui avaient un goût de menthe.
— Nous avons beaucoup discuté dans la baignoire jacuzzi, Aude et moi, pendant votre sommeil… je sais tout de vous…, déclara Bertrand.
— Tout ? répétais-je l’air surpris.
Aude tourna la tête pour éviter mon regard… Quelle pie… et en plus je la soupçonne fortement d’avoir épuisé les derniers effets de l’aphrodisiaque pendant le bain avec notre ami.
— Oui tout ! répéta Bertrand comme pour mieux enfoncer le clou… Votre rencontre, votre nuit de noce dans un club échangiste, vos multiples expériences… disons curieuses ou hors des sentiers battus…
Je sautais du lit sans un mot et plongeais sous la douche. L’eau ruisselant sur mon corps me remit rapidement en forme. Aude était entrée dans la salle de bains à ma suite et à travers la vitre de la douche je pouvais l’apercevoir nue, absolument radieuse. Elle enfila sans autre façon sa petite robe de stretch.
— Bertrand nous a proposé de passer la journée avec lui, j’ai accepté car je n’ai pas voulu te réveiller tout à l’heure, j’ai pensé que tu serais d’accord !
— Bon ben oui ! Puisque tu lui as dit que nous acceptions, c’est bien parce que je t’aime, lui dis-je en l’embrassant dans son coup parfumé, mais tu n’as pas mis de culotte me semble-t-il, lui demandais-je en lui caressant les fesses.
— Je n’en ai pas de rechange, hé ! mon cher monsieur, je n’avais pas prévu de passer la nuit ici, me lança-t-elle en me gratifiant d’un baiser sur la joue.
— Je vais aller nous chercher des vêtements propres, Bertrand me prête sa voiture pour allez jusqu’à la maison, je fais l’aller retour rapidement et surtout soit sage.
Une petite tape sur ses jolies fesses… et me voila partit sur la petite route sinueuse qui borde la mer.
Je choisis dans la valise, quelques sous-vêtements et une petite robe courte en coton imprimée que je trouvais aller à ravir à ma petite femme et la dernière bouteille de Bordeaux que j’avais gardée pour le week-end.
Un peu plus d’une heure et demie plus tard, j’étais de retour. Aude et Bertrand sirotaient, assis au soleil, un jus de fruits, Crocus couché à leurs pieds, Aude assise dans un fauteuil profond, la robe étroite largement remontée sur ses cuisses bronzées qui laissaient deviner des trésors cachés, Aude me fit signe de les rejoindre.
— Bertrand m’a fait faire le tour de sa propriété pendant ton absence et nous t’attendions pour déjeuner.
La matinée avait passée comme «un coup de fusil» aussi nous passèrent à table pour un repas frugal fait de crudités et de fromage. Nous discutâmes de choses sans importance jusqu’à ce que cette phrase de Bertrand adressée à Aude me fasse dresser l’oreille.
— Ce n’est pas dangereux, c’est un instant magique pour les partenaires… Non, je ne dirais pas ce que c’est, tu acceptes ou non et tu me fais confiance…
— Que manigancez-vous ? demandais-je à Bertrand.
— Comme, Aude, me disait tout le plaisir qu’elle avait prit cette nuit avec le vibro à eau, je lui ai dit que cela n’était rien par rapport à disons «une recette» que j’ai découvert il y a quelques temps avec des amis qui étaient venus me rendre visite… mais je ne veux pas lui dire ce que c’est… il faut que vous soyez d’accord tous les deux… si vous le souhaitez, nous en reparleront dans l’après-midi…
— J’accepterais bien, répondis Aude tout de go, …le mystère m’a toujours attiré…
— Et moi, j’ai peut-être mon mot à dire… !, lui rétorquais-je.
— Oh ! mon chéri, laisse-moi voir ce que c’est, de toute façon, tu es là près de moi, dans 15 jours j’ai 28 ans, ce sera en quelque sorte mon cadeau d’anniversaire… je t’aime et je vais me changer, dit-elle en m’embrassant sur la joue et en se levant de table.
Elle réapparue quelques instants plus tard sur le pas de la porte, le soleil qui donnait dehors faisait rendre un peu transparente sa robe de toile et nous devinions à travers, son corps souple et galbé…
La journée tirait sur sa fin, nous bavardions Bertrand et moi dehors sous une tonnelle, lorsque Aude s’approchant de nous nous demanda :
— Quand me ferez-vous mon cadeau d’anniversaire les garçons ? J’attends avec impatience…
— Puisque tu y tiens vraiment, nous allons te l’offrir de suite, mais tu dois t’engager à aller jusqu’au bout de l’expérience, je te l’ai déjà dit ce n’est pas dangereux mais c’est un jeu un peu spécial…
— Waouh ! s’écria Aude comme une enfant à qui l’on va offrir un jouet… où se met t’on ?
Sans un mot, Bertrand s’approcha de ma compagne et la prit par la main, il la guida vers une petite pièce dans lequel était disposé une sorte de lit muni de poignée pour y poser les pieds un peu comme chez le gynéco mais en plus confortable et l’invita à s’y installer.
— Je te mets cette petite cagoule pour que tu ne puisse pas voir et je te passe ces paires de menottes, je les attache à tes poignets et a tes chevilles ainsi qu’aux montants du fauteuil, n’ai pas peur je ne les serre pas, les surprises doivent rester des surprises…
Elle était ainsi, à demi nue, les cuisses ouvertes, les jambes attachées sur les reposoirs…
— Déshabille-la, me dit Bertrand et mets lui un coussin sous les reins pour lui relever le bassin.
Je dégrafais un à un les boutons de la robe de Aude, le petit soutien-gorge pigeonnant fit son apparition, mais comme elle était menottée je ne pus lui retirer entièrement aussi je la laissais ouverte et fit glisser le string qui bouchonna en bas de ses pieds.
Ainsi couchée sur le dos, la robe ouverte, en soutien-gorge et sans slip elle apparut plus excitante que jamais.
Notre hôte, à l’aide de son canif, tranchât les bretelles du soutien-gorge et le cordon du string… Aude était nue…
Bertrand me fit signe de l’imiter et chacun notre tour nous taquinions de la langue, qui le petit clitoris, ou le tendre anneau culier, qui la pointe d’un sein ou le lobe de l’oreille pour revenir au petit bourgeon de chair sans jamais aller plus loin. De petites gouttes commençaient à perler à l’entrée de la grotte d’amour, Bertrand se saisit dans sa boite d’un premier spéculum, le contact froid du métal sur sa chair surchauffée fit sursauter ma compagne. Bertrand tourna la vis et le spéculum de gynécologie écarta doucement le vagin, puis s’emparant d’un autre plus petit, il l’introduisit dans l’anus et à nouveau tourna la vis.
Aude nous guidait de la voix : « encore un peu… doucement…. doucement… » Ses mains cherchaient désespérément à se détacher, son bassin tentait de s’avancer, mais seul la dilatation des deux orifices semblait passionner Bertrand. La fine paroi qui séparaient le vagin de l’anus semblait inexistante tant les deux appareils les avaient distendues. Aude avait cessé de bouger et semblait attendre ce qui allait se passer.
— Laissons la quelques instants comme ça, rétorque Bertrand et il se dirigea vers la pièce attenante toute proche.
Quelques instants après, il ressortit et me demanda de l’aider à porter le seau qu’il avait déposer sur le pas de la porte.
Je ne pus retenir un juron lorsque mon regard plongea dans le récipient. Les trois grosses anguilles qui étaient dans l’aquarium du salon, se trémoussaient et s’entortillaient dans l’eau.
Je compris dans un éclair ce que Bertrand comptait faire des trois serpents.
— T’inquiète pas, me dit-il, c’est inoffensif et je suis sûr de l’effet…
Aude était restée comme nous l’avions laissé…
— Retirez-moi les menottes et la cagoule, minauda-t-elle, ne me laissez pas comme ça…
Sans un mot, Bertrand s’empara d’une anguille au niveau de la tête, celle-ci s’enroulait autour de son bras, avec un chiffon il retira les traces gélatineuses et gluantes qui maculaient la peau de l’animal. Celui-ci faisait bien trente à trente cinq centimètres pour un diamètre de 4 à 5 cm…
Aude, largement ouverte, les fesses relevées sur le coussin, ne se doutait pas à quelle nouvelle expérience elle allait être associée.
Brusquement et sans un mot, Bertrand présenta à l’entrée du spéculum la tête de l’anguille qu’il avait préalablement munie d’un préservatif. Celle-ci s’y glissa rapidement en fouettant de la queue.
Un cri d’effroi sortit de la gorge de Aude, elle venait de comprendre sans le voir ce qu’était ce corps froid qui battait sur ses cuisses et s’insinuait cm par cm dans son intimité… Elle tenta de se détacher en gesticulant sur la table… peine perdue, cette gymnastique sembla revigorer le poisson à la peau glissante qui comme un ressort se comprimait pour mieux se détendre dans le vagin de ma belle.
Bertrand dévissa et retira délicatement le spéculum en le glissant sur le corps de l’animal. Les lèvres vaginales se refermèrent autour du serpent mais ne l’empêchât pas de poursuivre sa progression…
Aude pleurait doucement à présent, ses seins se soulevaient à chaque sanglot et son ventre se contractait à chaque vibration de l’anguille. Je lui retirais sa cagoule malgré le refus de Bertrand, je l’embrassais tendrement et séchais les larmes qui coulaient sur ses joues. J’embrassais ses seins, son ventre, et la serrais tendrement dans mes bras. Doucement, elle se calma, ses yeux se fermèrent.
Bertrand profita de ce bref instant de calme pour introduire une anguille plus petite dans le speculum anale, tout aussi rapidement que sa congénère, elle profita de ce trou grand ouvert pour progresser par à-coup. Le corps de Aude se tendit comme un arc, elle poussa un cri strident, la peur apparut sur son visage qui blêmit. Bertrand laissa l’anguille s’enfoncer d’une bonne quinzaine de cm et comme il l’avait fait pour la plus grosse, il retira délicatement le spéculum, le poisson qui avait à présent la tête emprisonnée dans l’anneau culier se débattait et tentait de progresser dans la douce chaleur de ce corps féminin. Bertrand tranquillisa Aude de la voix en lui demandant de se calmer, il la rassura en lui affirmant que rien de dangereux ne pouvait arriver, qu’elle se décontracte et se laisse aller… Les deux anguilles fouettaient de leurs queues les jambes et les cuisses de Aude qui ne pouvait que subir leurs assauts en gémissant.
Océane apparut sur le pas de la porte avec son chien Crocus sur ses talons, ses grands yeux noirs fixèrent Aude. Avec grâce elle fit glisser par dessus sa tête son sari, à mon regard émerveillé apparut deux petits seins et un petit triangle duveteux d’adolescente. Elle se coucha à côté de ma compagne et l’embrassa sur les lèvres, lui caressa le ventre et les seins, sa langue força la bouche qui peu à peu répondit à son baiser. Bertrand profita de ce moment de répit pour asperger d’eau tiède les deux anguilles qui reprirent violemment vigueur. Aude se tordit sous l’assaut, Bertrand saisit les deux serpents par la queue et leur imprima un léger mouvement de recul, puis les relâcha afin qu’ils rentrent à nouveau, de nombreuses fois de suite il reprit ce manège, pendant ce temps Océane massait le ventre de Aude. Les anguilles semblaient déchainées par ce traitement, leur peau devenue glissante par l’eau avait lubrifiée la grotte de mon amour qui se cambrait. La pâleur de ses joues avait disparut, sa respiration devenait profonde et l’on commençait à deviner le plaisir qui montait à la vue de ses petits seins pointés. Océane s’était tournée et à califourchon offrit à la bouche de Aude, tout en la massant, le cadeau de son intimité. Aude y enfouit sa langue mais, retenue par les menottes, elle ne parvenait pas suffisamment à ses fins. Sur un signe de tête de notre hôte je la détachais… Aussitôt elle écartât des deux mains les fesses superbes qui lui étaient présentées et y enfouit son visage. Bertrand sortit doucement les anguilles de leur tanière pour permettre à Aude de reprendre ses esprits, trempa les bestioles dans le seau d’eau et comme les réceptacles qui dégoulinaient de leur viscosité et les lubrifiait à l’extrême restaient dilatés, il les présenta une nouvelle fois à leur entrée. Océane les yeux chavirés par le traitement que lui faisait subir ma compagne, massait le petit clitoris de Aude qui lui rendait au centuple ce bienfait. Comme deux flèches les anguilles s’insinuèrent rapidement. Aude gémit et se cabra sous l’assaut, son ventre se contracta et une douce plainte de bonheur emplit nos oreilles. Les anguilles progressaient à chaque contraction du ventre de Aude…
— Celle-ci est en train de se tasser dans son vagin et bientôt, faute de place, elle va se durcir afin de tenter de trouver une issue mais celle-ci, par contre, si je ne la retenait pas par la queue disparaitrait dans l’anus et comme elle va se trouver prisonnière, elle va se tortiller en tout sens à l’intérieur, me dit Bertrand.
Notre ami avait raison…, Aude repoussa les fesses d’Océane afin de reprendre son souffle et celle-ci de ses mains fines reprit le massage du ventre de sa partenaire. Aude haletait, gémissait, sa peur et sa honte avaient disparues et elle vivait comme une fête ce moment magique où à l’unissons de ses sens les deux bestioles fourrageaient dans son corps ; Océane descendit de la couche et retira les menottes qui retenaient les chevilles de son amie. Aude se mit sur les coudes, les cuisses écartelées, les yeux fermés, sa poitrine se gonflait à chaque inspiration et un profond cri de plaisir montait de sa bouche entrouverte à chaque fois que les anguilles se détendaient à l’intérieur de son corps. Bertrand laissa ainsi ma compagne plusieurs minutes savourer sa complète jouissance. Tour à tour nous caressions ce corps parfait et ce ventre plat afin d’exciter au maximum les bestioles… Plusieurs fois Bertrand sortit les anguilles de leurs grottes et à l’aide d’un chiffon imprégné d’eau les revigoraient, et à chaque fois, comme des flèches, elles…
Mon attention fut attirée par Océane qui à genoux près de son chien Crocus le masturbait. C’était effrayant l’ampleur du désir qu’avait suscité la jeune fille chez l’animal. Un bâton rouge et énorme battait entre ses pattes.
Le petit homme retira avec douceur les poissons-serpents des orifices de Aude qui sembla avoir à présent des regrets, il lui demanda de se mettre à quatre pattes sur le lit. Celle-ci, les narines pincées, obéit sans un mot, les yeux dans le vague. Sur un signe discret de sa maitresse, Crocus sauta sur le lit et s’empara du corps gracile de ma femme. La chatte, encore visqueuse des sécrétions des deux poissons, reçut sans problème l’énorme mandrin, accroché aux hanches étroites de Aude et sans que celle-ci ne manifeste un refus, le chien accéléra l’allure, lorsque nos deux amis virent que des gouttes commençaient à couler le long des cuisses bronzées, ils tirèrent la jeune bête en arrière et fichèrent l’épieu de chair dans l’anus dilaté de Aude. Sous la brutalité de l’assaut celle-ci poussa un cri et tenta d’échapper à l’emprise, mais déjà la vigueur du chien lui fit comprendre cette impossibilité et elle répondit en creusant les reins à la bestiale étreinte. Enfoncé jusqu’à la base du nœud, le poitrail collé sur le dos de Aude le chien cracha son sperme liquide à l’intérieur de ma belle, Aude tenta de le retenir le plus longtemps possible en serrant les fesses pour coincer le mandrin. Aussi rapidement qu’il était rentré, Crocus sortit dans un bruit mou sa bite canine. Aude restait pantoite de la rapidité de la prise, et de son anus grand ouvert, s’écoulait vers sa motte le liquide blanchâtre.
— Reste dans cette position, demanda Bertrand à Aude en montant à son tour sur le lit, il présenta sa bite turgescente aux lèvres de ma compagne qui lui délivra la plus belle fellation dont elle fut capable…
Devant cette croupe offerte mon sang ne fit qu’un tour et à mon tour je plongeais avec délectation mon gland dans la grotte sacrée. La tension sexuelle qui m’avait noué le bas du ventre lors de tous ses ébats se libéra et à mon tour je m’épanchais dans ce corps magnifique… Alors que je saisissais un rouleau de papier Sopalin pour essuyer le sperme du chien, le mien et les viscosités laissées par les poissons, et qui s’écoulaient du corps de Aude, Océane, me repoussa et se mit en devoir de la bouche et de la langue d’effectuer cette toilette. Bertrand à son tour explosa dans la bouche de ma compagne.
La nuit était déjà bien entamée lorsque Bertrand et moi quittâmes la pièce.
Aude, couchée sur le dos sur le côté, se reposait, en silence. Nous nous dirigeâmes vers la salle de bains afin de prendre une douche. Quelques temps plus tard, alors que nous sirotions un whisky dans le salon et que Bertrand me disait tout le bien qu’il pensait de notre couple, Aude douchée, parfumée et vêtue d’un peignoir, accompagnée d’Océane et de Crocus firent leur entrée parmi nous.
— Je vais me coucher, tu m’accompagnes ? déclara Aude en me regardant de ses grands yeux verts et dont les cernes qui les bordaient disaient toute la fatigue qu’elle ressentait.
Nous prirent congé de nos hôtes et nous dirigèrent vers notre chambre.
Elle fit glisser son peignoir pendant que je me déshabillais, j’admirais la courbe de ses hanches, quelques griffures dut aux pattes du chien striaient sa peau. Nous nous glissâmes dans les draps frais et la serrait dans mes bras.
— Merci pour ce cadeau d’anniversaire un peu douloureux mais tellement original et excitant, me dit-elle en m’offrant ses lèvres…
Nous nous endormîmes rapidement serrés l’un contre l’autre.
Les premières lueurs de l’aube pointaient lorsque nous glissâmes hors du lit sans faire de bruit. Aude laissa un petit mot à Bertrand pour le remercier de son hospitalité sans faire référence aux traitements dont elle avait été le jouet et pour l’avertir que sa voiture se trouverait à disposition à notre petite location…
Nous devions être de retour à Paris dans l’après-midi et nous nous dépêchions de charger la petite Austin lorsque j’aperçus un vélo arriver sur le chemin ; c’était Olivier qui venait nous dire au revoir…
— Laisse-moi un moment avec lui, me susurra Aude à l’oreille.
Après avoir salué Olivier, je m’éloignai discrètement de la maison, mais je ne pus m’empêcher de revenir discrètement, quelques minutes plus tard, espionner par la petite fenêtre ce qui se passait à l’intérieur…
Aude et notre ami n’avaient pas perdu de temps. Ma belle était assise sur le canapé, la jupe relevée bien haut sur les cuisses et Olivier, le pantalon bouchonné en bas des pieds, recevait avec délectation une fellation comme seule Aude savait les faire… Puis, se couchant sur le dos sur le divan, elle invita l’adolescent à prendre place dans le compas de ses longues jambes… D’une main experte elle écarta sa fine culotte de soie et introduisit le gland au bord de sa fente… D’un coup de rein, Olivier, s’agrippant aux hanches satinées, enfonça jusqu’à la base son gourdin… Aude, caressait doucement la nuque et les reins de son jeune amant et l’embrassait à pleine bouche en tentant de retenir sa fougue… Mais quelques va et vient plus tard, ne sachant comment dominer sa pulsion et dans un petit cri de déception, il bénissait de sa fraiche semence le calice de Aude qui le retint quelques instants en elle, les deux mains plaquées sur ses reins.
Puis, celle-ci rajusta le gamin, essuya avec un kleenex les quelques gouttes qui commençaient à perler de sa petite chatte, baissa sa jupe et comme si rien ne s’était passé, elle raccompagna le jeunot à la porte en lui faisant une grosse bise sur la joue comme à un copain…
Je fis semblant de n’avoir rien vu et dis au revoir à Olivier qui semblait confus de me voir souriant… Lorsque le gamin eut disparu au loin, Aude me prit par la main et me dit :
— Je suis sûre que tu as regardé… Je t’ai vu à la fenêtre… C’était un petit cadeau pour la location de la maison et le super week-end que nous avons passé…
Elle rajouta en me souriant :
— Enfin, que j’ai passé… Allez, viens vite finir ce qu’Olivier n’a pas su faire…
M’entraînant sur le canapé, tout en se débarrassant de ses quelques vêtements… je fis honneur à ce corps si parfait et pistonnai avec application et envie cette fente huilée par son précédant amant… je l’aimais, je l’aimais comme un fou !
Une heure plus tard, nous étions sur la route de retour vers la capitale.
Il en va dans la vie réelle,tout autrement… malheureusement
Superbe histoire magnifiquement bien écrite, érection tout le long, j aimerais avoir une femme comme elle.
Magnifique histoire ! Aude nous fait phantasmer et nous aimerions tant l’accompagner dans ses aventures torrides !
Aude est encore une fois comme un poisson dans l’eau dans cette histoire terriblement excitante !
Encore une histoire de la belle Aude terriblement érotique, le texte est long mais la tension pornographique monte peu à peu jusqu’au dénouement final ‘eblouissant’