Auditeur-Auditrice (6) – Prélude à un Mariage

Cà fait maintenant quatre mois qu’Angélique et moi sommes ensemble. Enfin, ensemble est un bien grand mot car elle s’obstine à vouloir conserver son appartement et à y vivre de temps à autre. Toujours sa fameuse phrase qu’elle m’accepte mais ne se donne pas, du moins pas totalement. Néanmoins, je dois reconnaître que nos retrouvailles sont alors grandioses, même si elles sont souvent spéciales…

La femme de mes rêves adore les jeux où se mélangent, pour elle, le plaisir et la douleur. À la condition expresse que ce soit elle qui décide quand, où et comment elle sera soumise…

Parfois je ne suis pas très enclin à la suivre, je n’ai pas vraiment l’âme d’un sadique. Lors de nos jeux, je suis souvent inquiet de lui faire trop de mal, d’aller plus loin que je ne le veux, emporté par la fougue du moment. Et c’est aussi çà qu’elle aime en moi car elle sait pertinemment que je l’adore à la folie et que je ferais tout pour elle, sauf lui faire mal. Et c’est justement çà qu’elle me demande parfois…

Aujourd’hui, nous allons au mariage de sa cousine et comme j’ai été présenté à toute la famille d’Angélique, je l’accompagne en tant que quasi-futur conjoint officiel. Je ne désespère pas qu’elle accepte dans quelques temps ma demande en mariage, ou tout au moins, de faire en sorte qu’elle accepte de vivre avec moi à plein temps. Même idée pour ses parents qui sont contents que leur fille se recase (enfin) avec, disent-ils, un type bien. Cà fait toujours plaisir à entendre.

— T’en penses quoi ?

Je suis tiré de ma rêverie de futur marié par une Angélique qui s’encadre à la porte du salon. Elle est magnifique, et je suis impartial malgré la passion que j’ai pour elle. De la tête aux pieds, elle est magnifique. Ses cheveux roux légèrement longs sont remontés en une ébauche de chignon avec des tas de mèches qui volettent autour de l’ovale parfait de son visage aux yeux bleu-vert aux paupières fardées de rose. Ses fines lèvres sont du même rose en plus luisant, en plus tentateur. Son petit nez mutin m’interpelle d’aller lui déposer un bisou dessus. Sa robe beige, quasiment blanche, virginale lui donne une allure de jeune mariée, une robe toute simple, droite, au décolleté carré généreux sur ses petits seins en forme de poire. La coupe basse est légèrement asymétrique avec une côté au-dessus du genou et l’autre en dessous. Une ceinture blanche marque sa taille, soulignant ses hanches et tendant le tissu de sa poitrine. Il ne lui manque plus que le bouquet de fleurs et la voilette pour qu’elle soit ma mariée à moi. Frôlant presque ses épaules, deux grandes boucles d’oreilles dorées pendent à ses lobes. Elle s’est mise trois jeux de colliers or autour du cou et une multitude de bracelets du même métal à ses poignets. Une réminiscence de nos jeux troubles quand elle désire être attachée, mon esclave soumise aux lourdes chaînes dorées ? Sa robe pure et virginale contraste fabuleusement de ce que je sais d’elle érotiquement. Mon usine à fantasmes personnels carbure à fond : à ce tarif, je sens que je vais être obligé de prendre une douche glaciale avant d’aller à ce mariage !

— Nan, nan ! On touche pas ! Lance-t-elle amusée devant mon expression béate et gourmande.

Il n’y a pas à dire, cette fille me rend complètement gaga. Au boulot, ils ont d’ailleurs remarqué un changement de comportement de ma part, surtout les jours où Angélique et moi nous voyons. J’ai dû reconnaître qu’effectivement, une gente damoiselle était entrée dans ma vie. La seule fois où Angélique est venue me chercher un vendredi soir au travail pour partir en week-end prolongé, j’ai surpris plus d’un regard masculin envieux, idem pour les femmes. Angélique aussi, elle en riait dans la voiture, ses jambes galbées bien dévoilées par une robe fendue. Et avec ce spectacle sous les yeux, comment voulez-vous vous concentrer sur la route ? Elle me fera mourir, cette fille!

Comme Angélique aime bien se faire conduire, je prends le volant. Elle a posé sur ses genoux un sac blanc de taille moyenne. Je me méfie de ses sacs : ils contiennent toujours quelque chose à laquelle je ne m’attends pas et elle a le chic pour çà ! La dernière fois, elle en a sorti un martinet en latex alors que nous revenions du restaurant. Et j’ai dû la fesser dans un petit bois, au clair de lune. Il est vrai que je ne me suis pas trop fait prier ce jour-là. C’est avec une réelle délectation que j’ai fouetté son adorable petit cul avec les lanières souples et je m’en suis servi par la suite comme d’un godemiché pour la faire jouir. Je vous avouerai que ce n’est absolument pas désagréable d’avoir de telles surprises, çà met du piment dans nos relations qui ne sont déjà pas tristes d’origine mais je ne m’y suis pas encore totalement habitué, mon Angélique me surprendra toujours et très agréablement.

Elle s’étale voluptueusement sur son siège et moi j’en profite pour mater son corps tendu comme une liane sous la faible épaisseur de sa robe. Soudain, j’ai comme un soupçon, je ne vois justement pas ce à quoi je m’attendais. Fébrile, je pose une main sur son ventre légèrement arrondi et ma caresse descend vers son pubis, elle me regarde en souriant, sans faire le moindre geste, les bras derrière sa tête.

— Mais tu n’as pas mis de culotte ! Dis-je, mi-scandalisé, mi-émoustillé.
— Bien palpé !
— Et tu comptes rester comme çà tout le mariage ?
— Tu as sur toi une petite culotte pour moi ? Demande-t-elle, très taquine.
— Bien sur que non !
— Et bien, comment veux-tu alors que j’en porte une ?

Effectivement, c’est d’une logique implacable. C’est très affriolant de savoir que sa chérie d’amour ne porte pas de culotte mais c’est encore plus embêtant que çà se sache lors d’un mariage ! Je cogite : je laisse faire, j’interviens ?

— J’ai bien une idée, en ce qui concerne ta culotte ! Dis-je.
— Ah bon, laquelle ?
— J’ai une autre cravate sur moi, elle doit être suffisamment longue pour que tu t’en fasses une sorte de string !
— Ah oui ? Et tu fais quoi quand, au bout de trois pas, elle tombera au sol devant deux cent personnes en pleine église ?
— Tu veux rester sans culotte, je présume ? Tu l’as décidé ainsi, non ?
— Exact, mon lapin !

Tiens, il y avait longtemps que je n’avais plus été son lapin. Selon les jours, je suis son nounours, son loup, son tigre, son lion et j’en passe. C’est depuis qu’elle vient vivre à la maison de temps à autre qu’elle utilise un vocabulaire zoologique. En contrepartie, je l’appelle ma chatte, ma colombe et cætera…

— Tu veux voir ? Demande-t-elle.
— Voir quoi ?

Et hop, elle remonte sa robe pour me dévoiler sa mignonne chatte blondinette et si peu fournie qu’on croirait de loin qu’elle est glabre. Et hop, dans mon pantalon, çà se manifeste aussi sec. J’ai une envie folle de lâcher le volant et de la violer sur place, au bord de la route.

Elle se soulève légèrement afin de mieux remonter sa robe. J’ai à présent une vue splendide sur sa fente finement entrouverte, grâce à ses jambes écartées et nues, sans bas ni collants. Je relève le pied de l’accélérateur, je n’ai pas envie de m’envoyer dans le décor à défaut de m’envoyer au septième ciel ! Mais je ne peux pas m’empêcher de zieuter à tout va sur son entrejambes dans lequel j’ai le plaisir d’aller m’égarer certaines nuits. Avec toujours son fin sourire aux lèvres, elle ouvre son sac et en ressort une petite boîte à bijoux. J’ai une idée de ce que çà peut être, elle met systématiquement tous ses bijoux intimes dans ce genre de boîte et comme elle en fait presque collection, je n’ai jamais réussi à tout compter, mais là, je me demande bien ce qu’elle va utiliser cette fois-ci !

Même si elle utilise souvent ce genre d’accessoires avec des pinces ou des mâchoires, elle se refuse à divers piercings, d’ailleurs je serais contre. La dernière fois qu’elle m’a flanqué la trouille, elle consultait un site consacré au SM avec des tas de photos sur un marquage au fer rouge. Elle semblait fascinée. Devant l’air inquiet qui se peignait sur mon visage, elle répondit simplement qu’il était hors de question pour elle de pratiquer ce genre de truc même si l’idée était intéressante : çà laissait des traces indélébiles. Point final. J’ai soufflé de soulagement. C’est vrai qu’elle n’a aucun piercing sur elle, pas même au nombril comme c’est la mode. Sauf éventuellement des boucles d’oreille…

Je ralentis encore plus, intrigué et émoustillé sur ce qu’elle va extirper de sa boîte. Grand Dieu, c’est quoi encore que ce truc-là ? Cà me rappelle vaguement ce qu’elle avait sur elle, enfin ce qu’elle m’a demandé de lui mettre la toute première fois où nous avons pratiqué ce genre de chose. Le truc en question est composé d’une petite barre dorée de deux, trois pouces de long sur laquelle sont arrimées quatre petites pinces du même métal. Sous la forme d’un triangle, une douzaine de chaînettes orées à fins maillons dégoulinent de cette barre. Plus étranges, des sortes de boules composées de barres entrecroisées sont reliées à l’ensemble, j’en compte trois, attachées par-dessus la barre. Je ne comprends pas bien l’ensemble. Si j’ai parfaitement compris que les pinces se fixaient à ses lèvres intimes pour que la barre longe sa fente et que les chaînettes lui caressent les cuisses, ces espèces d’oursin me turlupinent, ce qui est d’ailleurs le mot exact ! D’un coup, je comprends : il s’agit d’une variante de boules de geisha, en plus… piquant.

J’appuie à fond sur l’accélérateur, Angélique pousse un petit cri de surprise, plaquée sur le dossier de son siège. À peine deux kilomètres plus tard, nous sortons de la nationale puis nous longeons la rivière. Je fonce comme un malade sur cette route déserte mais très cabossée. Angélique s’accroche à sa ceinture et me lance un regard inquiet. Cette berge sauvage longe à présent un petit bois que je connais bien. J’enfonce la voiture sur un petit chemin de traverse et je m’arrête peu après dans une clairière chère à mes souvenirs d’adolescent.

Je descends de la voiture et j’ouvre la portière à ma compagne qui me regarde d’un air très étonné, se demandant franchement ce qui se passe dans ma tête actuellement. Je lui prends galamment la main mais lui fais bien comprendre qu’il serait souhaitable qu’elle sorte. Une fois dehors, je lui prends la taille et la fais s’asseoir sur l’aile chaude de la voiture et dans la foulée, je lui remonte sa robe blanche à la taille. Elle me demande alors que je replonge dans la voiture :

— Tu fais quoi, là ?
— Autant régler le problème tout de suite sinon je vais bander comme un fou toute la journée !!

J’ai en main son bijou intime. Elle le regarde en souriant :

— Tu veux me le mettre, c’est çà ?
— Entre autres… Mais j’ai d’autres projets pour toi et moi…

Et je sors sans aucun préambule de ma braguette ma tige toute raide et bien tendue. Sans dire un seul mot, je m’approche d’elle, lui écarte les jambes et pointe mon pieu vers l’entrée de sa chatte :

— C’est un viol que tu me fais là !
— Rien ne t’empêche de t’enfuir à travers le bois pour échapper à ton agresseur !
— Ah oui ? Et je vais ensuite comment au mariage de ma cousine ?
— À pied ! L’église est à cinq ou six kilomètres d’ici. Je ne suis pas vache puisque je t’indique dans ma grande générosité qu’il te suffit de remonter la rivière et tu y es.
— En parlant de générosité, ton machin est gonflé à bloc !

Et elle me le saisit pour commencer une douce masturbation entre ses doigts chauds. Comme ma tige n’avait absolument pas besoin de cette stimulation supplémentaire, une première perle de sperme suinte déjà au bout de mon gland écarlate. Du bout de son doigt, Angélique la cueille délicatement et enduit ses lèvres rosées avec, laissant une trace luisante. Cette provocation déclenche en moi un désir fou de la posséder immédiatement et de me vider bestialement en elle. Sans plus attendre d’autres préliminaires, je décide de plonger en elle, la couchant à moitié sur le capot chaud de la voiture. Elle pousse un premier cri de surprise quand je me plaque sur elle puis un soupir de soulagement quand je m’introduis en elle, dans sa chatte toute glissante dans laquelle je plonge voluptueusement. Comme je suis excité à mort, il ne me faut que deux ou trois va-et-vient pour jaillir férocement en elle, sans me soucier de son plaisir. Mais elle ne perd rien pour attendre !

Elle râle un peu, grommelle que décidément les hommes ne pensent qu’à eux, quand, une fois sorti d’elle, je m’accroupie entre ses jambes, le bijou en main. Avec une certaine dextérité (la pratique sans doute), je rive la première pince en haut de sa lèvre droite puis la deuxième en bas de la même lèvre. Elle gémit doucement sous cette torture, tortillant légèrement ses jambes sous cette fine douleur. Posément, je glisse un premier oursin dans sa chatte détrempée et poisseuse de mon sperme puis les deux autres suivent le même chemin tandis que je les enfonce profondément en les faisant rouler, en les frottant volontairement sur ses parois sensibles. Elle se cabre sous cette sensation, acceptant cette piquante intrusion. Mes doigts barbouillés de nos deux substances arrivent tant bien que mal à fixer les deux autres pinces dorées le long de sa lèvre gauche glissante, refermant ainsi sa vulve odorante en emprisonnant les oursins en elle. J’ai le plaisir d’admirer une chatte gluante barrée d’une tige dorée d’où se suspend un triangle composé de plus ou moins longues chaînettes qui semblent flotter entre ses cuisses maculées de sperme qui s’échappe doucement de sa fente. Je l’entends soupirer d’aise et je décide d’en rajouter un peu en vérifiant la parfaite prise des pinces sur ses chairs sensibles. Elle en frémit de plaisir, serrant les cuisses contre les chaînettes aux fins maillons d’or.

Me remettant debout, je l’oblige gentiment mais fermement à se retourner pour me présenter à présent ses fesses rebondies, plaquant volontairement sa chatte torturée sur l’aile chaude de la voiture. La pression des pinces et le contact chaud du métal la font frissonner et gémir en petits cris inarticulés. Comme je sais qu’elle ne déteste pas, je lui donne une petite claque sur les fesses afin de bien faire vibrer la masse de celles-ci. Elle pousse un petit cri aigu mais reste toujours positionnée ainsi, écartant même mieux les jambes pour mettre plus encore son magnifique cul en valeur. Je ne résiste pas au plaisir trouble de lui donner une deuxième petite claque sonore, refaisant trembloter ses chairs légèrement rougies. Je plonge ma main dans l’habitacle par-dessus la portière ouverte et récupère son sac. Je suis persuadé que j’y trouverai autre chose. Cà ne manque pas car je découvre divers accessoires normalement réservés à l’intimité d’une chambre à coucher. Je prends en mains ce qui m’intéresse. Elle me demande alors :

— C’est quoi la suite ?

Et elle remue ostensiblement ses fesses frémissantes…

La situation l’amuse. Normalement, c’est elle qui prend les devants, qui prépare le scénario de sa soumission mais aujourd’hui, j’ai décidé de changer le programme, même si finalement, il n’y a que dans les détails que je modifie le synopsis. Le détail que j’ai prévu et qu’elle a aussi planifié avant moi est un anus picket et je sais qu’elle sait.

C’est alors que je réalise qu’il y a un problème technique : en général, il faut lubrifier ce genre d’accessoire mais avec le bijou que je lui ai fixé et surtout la barre d’or qui s’insinue en longueur dans sa fente, çà va être plus compliqué que prévu… Et puis défaire le tout pour replacer l’ensemble après m’embête un tantinet. Quant à y aller à sec, çà, je ne veux pas, je ne veux pas lui faire de mal ainsi même si elle ne serait peut-être pas contre. Vous ne pouvez pas savoir ce que çà peut être éprouvant d’aimer quelqu’un qui est un peu masochiste… Il vous impensable de faire le moindre mal à celle que vous aimez à la folie et c’est pourtant ce qu’elle vous réclame…

Elle agite toujours ostensiblement les fesses, réclamant visiblement son dû…

Je me plaque alors sur son beau petit cul rondouillet, ma tige molle et gluante juste dans sa raie. Elle frémit sous la douleur que lui infligent les pinces qui mordent ses lèvres intimes sous l’effet de mon poids quand je me couche à moitié sur elle. Remuant ses fesses, elle cherche à me caler sur elle et à soustraire sa chatte en feu de la pression que je lui dicte. Sans dire un seul mot, mes lèvres la mordillant dans le cou entre ses mèches rousses, je présente le picket à ses lèvres. Ayant compris mon intention, elle ouvre la bouche et commence à sucer posément l’artéfact en latex afin de le couvrir de salive. Le mini godemiché tournoie dans sa bouche sous le mouvement de sa langue déchaînée.
Quand j’estime la lubrification correcte, je m’écarte d’elle, enlevant le gode de sa bouche goulue. Avant de me séparer de son corps tout chaud et doux, je m’essuie impassiblement la bite entre ses fesses, au plus près de sa rondelle étoilée. Je m’agenouille devant cet endroit sombre et si tentateur et après une dernière fessée afin détourner momentanément son attention, j’enfonce posément l’anus picket à travers la souillure de mon sperme. Elle sursaute sous l’intrusion régulière, gémit doucement, oscille afin de mieux se positionner pour qu’il s’introduise en elle, au plus profond. En sueur, de désir, d’appréhension, je vois distinctement les centimètres de latex s’enfouir en elle jusqu’à ce le gros bourrelet soit happé par son rectum et que la barre du but plug l’empêche d’aller plus loin, bien alignée au fond de son sillon. Elle pousse alors un soupir de soulagement, s’affalant complètement sur le capot tiède de la voiture.

Tremblant, tressaillant comme sous un effort surhumain, le cœur battant à tout rompre, j’embrasse, comme un fou que je suis d’elle, son magnifique cul rougi. Déchaîné, je le baise, je le lèche, le mordille, semant mes baisers sur toute sa surface zébré de la trace mes doigts, ma langue suivant les contours écarlates.

Quelques instants plus tard, elle se relève, se dégageant de mes lèvres, de mes mains qui la caressent. Sans rien dire, elle se poste devant moi, toujours agenouillé, offrant à ma vue une adorable chatte ornée de son bijou doré. Elle saisie ma tête entre ses mains douces et me force à la regarder. Elle me sourit, les yeux brillants et mouillés puis passe ses pouces sous mes yeux, pour effacer mes traces humides. L’instant d’après, nous nous embrassons comme des fous dans une étreinte farouche.

Nous remontons dans la voiture, elle s’assied avec précaution, ajuste sa robe beige et me sourit tendrement, posant sa main sur ma cuisse. Nous partons alors pour nous rendre au mariage.

Quelque chose me dit que cette journée ne fait que commencer…

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