Ce matin encore, j’ai contemplé ma femme avec tristesse. Encore couché dans son lit, les draps tirés bien haut, les yeux toujours clos. J’ai pensé : décidément, ça ne peut plus continuer comme ça ! Depuis bientôt deux mois, elle est comme prostrée, indifférente à tout. L’œil éteint, l’air absent, amaigrie, elle s’est comme coupée du monde, et de nous. Je veux dire, notre délicieuse fillette, et moi-même. Maintenant tout repose sur moi.
Je lui propose un petit déjeuner, mais c’est en vain ! Son silence est éloquent. Malgré tout, je dépose sur la table de chevet, quelques madeleines. Peut être que lorsque nous serons partis, elle y goûtera. Ça sera toujours ça de pris. Je me fais tellement de mauvais sang !
J’ai continué alors à préparer notre fille pour son départ à l’école. Comme tous les matins, maintenant, c’est moi qui m’occupe d’elle : lever, toilette, petit déjeuner, puis une fois habillée, départ pour l’école.
Heureusement que j’ai pu déléguer mes pouvoirs et que ma petite entreprise tourne malgré tout toujours sans moi ! C’est un souci de moins. J’y fais un saut de temps en temps c’est suffisant.
Mais là, je l’observe et je prends soudainement très peur. Le pourtour de ses yeux est sombre, son teint jauni, elle a énormément maigri. Fini son somptueux corps à la Maillol. Le comble c’est que du coup elle a atteint la ligne qu’elle désirait tant. Combien de temps encore va-t-elle tenir comme ça ? Combien de temps peut-on vivre sans presque manger ?
Elle est en train de mourir ! Une phrase de son médecin me revient. Je l’avais mis dans la confidence. Il m’annonçait :
— Elle se meurt d’amour, elle s’éteint à petit feu…
— Eh bien qu’elle crève ! Femme adultère, femme perverse, m’étais-je écrié au grand dam du toubib.
A ce moment-là, la trahison était encore fraîche. J’avais toujours à l’esprit l’horrible vision. Mon cœur était rempli de haine. Le choc avait été si rude. Si proche ce jour de malheur où tout mon univers heureux s’était écroulé. Où mon amour, ma confiance, avaient été trahis. C’est fou, il suffit d’un accident banal pour que toute une existence s’écroule. Cette fois c’était un sinistre craquement qui s’était produit alors que nous étions au bureau. La chaussée devant notre immeuble s’était effondrée. Cela avait crée un grand chambardement dans la rue : police, employés du gaz, pompiers. Ces derniers avaient ordonné l’évacuation sur un grand périmètre autour de l’accident.
Et moi en bon mari, alors que je disposais alors de tout mon après-midi, pour traîner comme l’avaient décidé certains de mes collaborateurs, j’ai préféré faire l’agréable surprise à mon épouse de rentrer plus tôt. Funeste idée ! Dans mon désir de la surprendre agréablement, j’étais renté chez nous sans faire le moindre bruit. Je pensais lui faire un claironnant « coucou !», l’imaginant alors heureuse de mon arrivée, me sautant au cou de bonheur…
Je croyais notre couple si solide, si complice. Quel désenchantement alors ! Aujourd’hui j’ai encore, présente, l’horrible vision ! Mon esprit s’est depuis focalisé sur une image. Comme un gros plan de cinéma, une vision de cauchemar qui tourne en boucle dans mon cerveau : une bite énorme défonçant la chatte gonflée de ma femme ! Une paire de couilles se ballottant au rythme de la pénétration, et ces cris, les gémissements de mon épouse ! Cette vision me poursuit encore, même si aujourd’hui j’ai décidé de pardonner.
Cet après-midi donc, sur le pas de la porte de notre chambre, j’étais resté figé, par l’affligeant spectacle qui m’était offert. Ma femme sur notre lit, nue, couchée, les jambes rabattues vers ses épaules et cet homme qui la fourrait. Les grosses lèvres de sa fente distendues et cette imposante bite qui la pénétrait, avec en prime, ses cris et le halètement de son amant.
Pendant un moment, je crois que mon cœur a cessé de battre dans ma poitrine. Combien de temps suis-je resté tétanisé par cette vision cauchemardesque ? Ma femme chérie, l’être le plus cher, fouillée ainsi par cette monstrueuse bite !
Quelques secondes qui m’ont parues une éternité. Jusqu’à ce que je perde la tête. Une fureur incroyable m’a alors submergé. Comme un forcené, je me suis jeté sur mon rival et j’ai frappé, frappé. Ma force était décuplée. Je cognais comme un malade, décidé, je crois, à tuer. Il avait déjà le visage en sang, mais je continuais à le marteler de mes poings.
— Salaud, salaud, criais-je avec haine.
Il était maintenant par terre, et j’assenais des coups de pieds. Je crois que si ma femme, ne s’était pas interposée par ses cris, sa façon de s’agripper à moi, je l’aurais tué.
— Arrête ! Arrête, tu vas le tuer, me hurlait-elle. Tu es fou, arrête !
Soudain je me suis rendu compte de ma folie. Je me suis effondré en pleurs. Tout s’effondrait ! Pendant que le salaud se débinait sans demander son reste, je ne cessais de répéter, entre mes larmes : Pourquoi, pourquoi ? Je ne comprenais pas. Tout semblait aller si bien, entre ma femme et moi. Nous semblions si heureux !
Au lit même, nous entendions de mieux en mieux. Et les derniers temps, ç’avait été comme une nouvelle lune de miel. Une frénésie de sexe. Elle en avait toujours envie et mon désir pour elle était toujours à la hauteur.
A un moment je l’ai secouée, en insistant encore : Pourquoi, Pourquoi ? C’est de là qu’est, je crois, partie sa névrose. Depuis lors, elle est restée figée, prostrée, sans réaction, sans le moindre intérêt, me semble-t-il, pour cette vie. Indifférente même à la tendresse de notre fillette, à sa détresse.
Deux mois déjà sont passés et j’ai décidé de réagir. Pour elle, pour notre enfant et pour moi-même, car je l’aime toujours, et j’ai toujours besoin d’elle.
Ce matin donc nous étions prêts, ma fille et moi. Je m’apprêtais à l’accompagner à l’école.
— Embrasse Maman et dis-lui au revoir, ai-je demandé à ma petite fille chérie.
Comme tous les matins maintenant, elle a posé un baiser d’amour sur la joue de sa maman, sans la moindre réaction en retour. Puis, je l’ai accompagnée à l’école. Je m’étais imposé plusieurs tâches ce matin.
J’ai fais un saut au siège pour suivre un peu l’évolution de mes affaires, puis, isolé dans mon bureau, j’ai décroché le téléphone, bien décidé à faire en sorte que mon épouse reprenne goût à la vie. J’avais décidé de téléphoner à son amant. J’avais déniché son nom et son numéro de portable sur le calepin de ma femme. Il a vite répondu et j’ai dit.
— Allo, Clément ?
— Oui ?
— C’est Saxe, le mari de Sabine.
J’ai perçu un énorme étonnement à l’autre bout du fil.
— Oui ?
— Vous devez êtres surpris par mon appel, qui me coûte beaucoup, mais ma femme ne va plus bien depuis le jour que vous savez.
— Ah !?
— Elle se meurt lentement, je suis très inquiet.
— C’est une farce ?
— Non, je vous assure, et j’aimerais que tout reprenne comme avant. Elle a besoin de vous. Sauvez-la : venez lui faire l’amour !
— Vous vous moquez de moi, ou alors vous me tendez un piège ?
— Non je vous le jure sur la tête de ma fille. Je vous en supplie, venez sauver Sabine.
— Bon je veux bien vous croire.
— Quand pouvez vous lui rendre visite ? Aujourd’hui est-ce possible ?
Il a hésité.
— Je peux me libérer de 13 heures à 15 heures cet après-midi.
— Merci, vous nous sauvez !
J’ai perçu de l’étonnement à l’autre bout. Il a tenu à rajouter :
— Vous m’assurez que ce n’est pas un guet-apens ?
— Non ! Sauvez-la !
C’est vrai que la requête avait quelque chose d’étrange. En insistant et en m’expliquant, j’ai réussi à le convaincre. Après ça, il me fallait agir promptement.
J’ai fais des courses au supermarché du coin, de quoi préparer son plat favori : une blanquette de veau, un bon Bordeaux. Le temps étant compté, je suis vite rentré me mettre à la tâche. J’ai cuisiné avec efficacité, puis j’ai dressé la table.
Mon plan allait-il réussir ? Allait-elle sortir de sa torpeur ?
Quand j’ai eu tout fini, je me suis rapproché avec inquiétude de la couche de ma femme. Elle n’a pas marqué le moindre mouvement, toujours prostrée, dans je-ne-sais quelle douleur. J’ai caressé ses cheveux avec douceur, et lui ai dit :
— J’ai une bonne nouvelle pour toi.
Elle ne réagissait pas. Alors j’ai rajouté :
— Ton amant va te rendre visite cet après-midi.
Je l’observais avec inquiétude. Dans un premier temps j’ai cru déceler un imperceptible mouvement de son corps. J’ai répété :
— Ton amant va te rendre visite cet après midi.
Le miracle s’est alors accompli. Ses yeux si longtemps clos, se sont animés. Pour la première fois depuis longtemps j’ai perçu le son de sa voix. Faible d’abord, un timide :
— Clément ?
— Oui, Clément, je lui ai téléphoné ce matin, et il viendra te faire l’amour cet après-midi de 13 heures à 15 heures.
J’ai vu alors son visage passer de l’incrédulité puis au gré de mes explications s’illuminer. Cela m’avait fait une drôle d’impression : un mélange de jalousie et de soulagement. J’ai ajouté :
— Tu as besoin de reprendre des forces. Je t’ai préparé une bonne blanquette de veau, comme tu aimes. Tu vas te lever, manger, te doucher et te faire belle pour ton amant.
A ma grande surprise, elle m’a attiré à elle et a plaqué sa bouche contre la mienne.
— Allons, ma chérie, debout, tu n’as pas beaucoup de temps à perdre.
Miraculeusement, les choses ont alors été très vite. Ravivée par la bonne nouvelle, elle s’est alors prêtées à mon programme.
Reprendre des forces : j’ai pris plaisir à la voir dévorer comme il y a longtemps qu’elle ne l’avait plus fait.
Se faire belle : elle a pris un bon bain, s’est fardée, habillée pour recevoir son amant.
Ce qui était étonnant, c’est que notre complicité d’antan s’était rétablie. Elle me frôlait, elle m’embrassait dans son bonheur. Curieusement je partageais son excitation. Son amant allait la rejoindre et, pour être honnête, j’y puisais un trouble étrange. Je la regardais et je pensais que c’était fou ce que le maquillage pouvait transformer une femme.
Elle était maintenant flamboyante de beauté, décidée à se faire saillir par son beau mâle. J ’étais prêt à m’effacer avec un sentiment curieux de jalousie et de perversion à la fois. Davantage même : elle allait s’offrir à un autre et j’y puisais une trouble excitation.
A 13 heures moins le quart, je descendis et me postai dans le bistrot en face de notre domicile. Je comptais bien assister à l’arrivée de mon rival. Je n’eus pas à attendre beaucoup, d’ailleurs, car cinq minutes plus tard il apparut l’air me sembla-t-il inquiet. D’où j’étais, je le voyais très bien. D’ailleurs après avoir parlé dans l’interphone, il parut rassuré et il pénétra dans l’immeuble. Bon sang j’aurais aimé être une mouche pour assister à leurs retrouvailles. Quelques minutes après, je me disais : ça y est, il la prend dans ses bras, ils s’embrassent, ils se caressent.
J’imaginais leurs gestes fébriles qui devaient se fouiller. Il doit peloter ses seins, lui caresser la chatte ! Elle doit sûrement branler sa grosse queue, tellement plus grosse que la mienne ! Je suis resté un long moment devant ma bière à imaginer. Imaginer leur folle passion et, loin d’en être jaloux, je m’excitais à la pensée de la retrouver tout à l’heure, toute souillée.
Un moment plus tard, j’ai quitté le café et j’ai traîné le long du canal de l’Ourcq. J’ai admiré la beauté du paysage, les jambes dénudées des jolies filles, les couples amoureux. Je pensais que pendant ce temps ma femme se faisait baiser et j’avais presque envie de le crier aux gens que je croisais. Pour être franc, j’étais passé par je-ne-sais quel processus de cocu révolté à cocu consentant. Et j’y puisais un plaisir trouble. J’ai marché longuement le long du canal de l’Ourcq. La tête pleine d’images salaces. La bouche de ma femme sans doute pleine de la belle bite. Sa fente béante et juteuse offerte aux caresses. Ses fesses chéries, malaxées sûrement par des mains fiévreuses.
Comment allais-je la retrouver ? Se sentira-t-elle coupable ?
Une idée folle me traversa l’esprit. J’étais certain maintenant que ce qui avait excité ma femme les derniers temps, quand je rentrais du bureau et qu’elle se jetait littéralement sur moi, c’est qu’elle venait de se faire baiser par son amant. Elle devait y puiser une jouissance extrême. Passer ainsi des bras de son amant, encore suintante d’amour, à ceux de son cocu de mari !
A 15heures moins le quart, j’ai fait en sorte de rejoindre mon observatoire dans le bistro du coin. Mon cœur a battu fortement quand je l’ai vu sortir. Il a jeté un regard alentour, encore quelque peu sans doute inquiet. Puis il a filé comme un amant repu d’amour, du sexe de mon épouse.
Je suis alors resté un long moment hésitant. Des ailes me poussaient à la rejoindre, mais une anxiété folle me bloquait là. Je me suis enfin décidé. Quand je suis rentré dans notre appartement, j’ai de suite perçu l’odeur trouble de sueur et de sexe. Ma femme était encore nue sur notre lit. Couchée sur le dos, reposant sur ses coudes, les cuisses largement écartées et souriante, sans apparemment le moindre sentiment de culpabilité. Elle était surprenante de beauté et de plénitude. Avec le visage serein de la femelle qui a bien joui. Sa chatte encore béante était encore luisante de mouille. Du sperme suintait d’entre les lèvres gonflées et s’écoulait d’entre la raie fessière vers son petit trou secret.
Son minou pulpeux semblait comme un fruit juteux, bon à être dévoré. Je me suis senti durcir dans mon pantalon. Ça faisait si longtemps que je ne l’avais pas mangé ! Contrairement à ce beau salaud qui m’avait précédé tout à l’heure.
Agressivement j’ai dit :
— Alors, il t’a bien baisée ?
Peut-être avais-je espéré ainsi éveiller en elle un sentiment de honte. Par jalousie ou pure méchanceté ! Elle me regardait toute souriante, un peu narquoise même.
— Il m’a comblée, mon chéri ! me dit-elle.
Mon cœur s’est étreint dans ma poitrine, elle me faisait mal. Je suis resté un instant coi, sans réaction.
— Mais déshabille-toi, mon amour, j’ai encore envie de faire l’amour, me dit-elle alors.
Oh bon sang, quel bonheur soudain m’étreignit. Ça faisait si longtemps que je ne l’avais pas possédée. Il n’a pas fallu qu’elle ne me le répète. En un tournemain, j’ai fait voler tous mes vêtements. Ma bite dressée me faisait mal tant elle était durcie. Son minou béant semblait me dire : « Viens, mange-moi, lèche-moi tout du long, donne-moi du plaisir ». Il était comme un fruit mûr, prêt à être cueilli, une offrande d’amour.
Je me suis avancé à mon tour, à la suite de son amant supposais-je, pour me régaler de son abricot juteux.
— Oh ! Excuse-moi, mais je n’ai même pas pris le temps de me débarbouiller, mais viens quand même.
Et ce disant, elle a eu un mouvement en avant du bassin et des lèvres entrouvertes de sa chatte a dégurgité un reste du sperme de son amant. Une traînée blanche et gluante qui est venue en rajouter au luisant de sa fente ! Elle avait du le faire exprès la garce ! J’aurais dû avoir un mouvement de recul ou de dégoût, mais au contraire, cela a rajouté à mon excitation.
J’ai littéralement plongé comme vers un fruit gorgé de miel, cette figue éclatée offerte à ma gourmandise. La forte odeur ma enivré. Ce trouble parfum de ses sécrétions mêlées de sperme m’affolait. J’ai séparé les lèvres gonflées de ma langue vorace. Bon sang qu’elle était douce et odorante la chatte chérie de mon épouse !
J’ai fermé les yeux et je me suis régalé des chairs soyeuses et si goûteuses. J’ai caressé du bout de ma langue son petit clito durci. Ma femme vibrait de plaisir. J’avais relevé ses jambes par-dessus ses épaules et je la dévorais goulûment. Je la mangeais littéralement et plus elle vibrait sous ma caresse, plus je me déchaînais.
Cette saveur de mouille et de sperme mêlés, je la reconnaissais du coup. La garce m’en avait fait profiter tant de fois. Après chacune de ses tromperies. Et moi qui m’en étais délecté !
Par moment, ma langue gourmande glissait jusqu’à son petit trou fripé et visiblement malmené tout à l’heure. Il était encore béant d’avoir été forcé tout à l’heure. Je disais avec délectation :
— Salope, il t’a enculée ! Salope, tu es pleine de sperme !
Sans pudeur, elle confirmait :
— Oui, il m’a bien baisée !
Et je la broutais à nouveau, encore plus excité. Cocu et content, tel était mon nouvel état. Et cela me convenait.
A un moment elle m’a appelé à elle :
— Viens, prends-moi maintenant !
Je me le suis pas fait répéter deux fois. Ça faisait si longtemps que je ne l’avais pas prise. Bon sang ! Comme elle était bonne ! Je me suis glissé avec délice dans son vagin gluant. C’était la deuxième bite qu’elle se prenait aujourd’hui. C’était chaud et doux, et bien empli de sperme. Ma bite n’avait jamais été aussi grosse. Je me suis mis à la pilonner avec vigueur, stimulé par des images perverses : sa chatte bourrée par la queue de mon rival, ondulant en elle, ma cochonne d’épouse ! Il devait même rester un peu de rancœur en moi, car par instants je la fouillais avec violence, comme pour lui signifier ainsi malgré ma complaisance, ma colère sous-jacente.
Elle geignait, elle criait sous mes coups de boutoir. Elle jouissait en rafale. Pour notre excitation commune je ne cessais de crier ;
— Salope, salope !
Et curieusement cela rajoutait à notre excitation. Je ne sais pas combien de temps je l’ai fouillée ainsi. Curieusement, quand j’ai joui, j’ai été pris d’un fou rire irrépressible. Un rire certainement nerveux, à la mesure de l’événement. La rentrée dans l’ordre de notre vie. Nous sommes restés longuement, ensuite, collés l’un contre l’autre, à nous retrouver. Baisers, caresses, tendresse, confidences nouvelles. Je retrouvais ma femme, avec maintenant une nouvelle dimension : une forte complicité !
Elle avait besoin de me tromper pour m’aimer.
Il y avait du plaisir à se savoir cocu ! J’étais follement heureux. Ma fillette l’a senti de suite, quand j’ai été plus tard la chercher à l’école, elle m’a embrassé fortement en me disant :
— Ça va mieux Papa !
Mais oui bien sur que ça allait mieux. Quand nous sommes rentrés à l’appartement, j’ai dit :
— J’ai une bonne surprise pour toi, ta maman est guérie, elle ne sera plus malade !
Ma femme est apparue dans l’encadrement de la chambre et a ouvert largement ses bras, pour à nouveau accueillir sa fille chérie.
— Quel bonheur de retrouver sa famille à nouveau unie !
Pour toute chose, il y a un prix à payer !
Et pourquoi pas essayer de divorcer et de laisser votre femme vivre avec son amant?
Parcque dans votre récit, rien ne semble indiquer su elle ait besoin du mari?
Il manque une explication féminine
Entièrement d’accord avec Phillcoquin. Et ça devient usant tout ces maris cocus et soumis