J’ai raconté précédemment ce que la rencontre P.S.G – O.M m’a coûté. À votre demande, je vous en livre la suite.
La nuit qui a suivi a été très agitée. Peuplée d’images troubles et perturbantes. Des visions où je perdais mon épouse, de départs, d’enlèvements violents. Tout cela dans un brouillard trouble et confus. Je me suis réveillé, je ne sais combien de fois, haletant et bouleversé. Ma femme près de moi dormait paisiblement, calme traîtresse.
Seuls deux rêves pourtant ont émergés de ce sommeil perturbé.
Dans le premier, j’assistais à un match du P.S.G. au Parc des Princes. J’ai l’impression qu’il s’agissait d’une séance de tirs aux buts. Je discernais les joueurs sur le terrain, l’arbitre et, au point de penalty, un joueur adverse qui s’apprêtait à affronter Letizi. Il s’élançait, tapait dans le ballon… Et soudain, je me rendais compte qu’en fait, le gardien de but était ma femme, qu’elle recevait le ballon à la hauteur de son vagin, un ballon qui au cours de son envol s’était progressivement transformé en un splash liquide de mille gouttelettes. Comme une giclée de sperme. Et, juste à la hauteur de l’impact, le short de ma femme était marqué d’humidité. Et ceci par deux fois!
Je me targue d’analyser un peu mes rêves et celui-ci me paraissait clair. Par deux fois, elle me l’avait avoué, elle s’était faite honorer par son amant basketteur. Et, cruellement, le songe me le rappelait maintenant.
Dans le second nous étions, ma femme et moi, assis dans le compartiment d’un train, elle à ma droite, moi côté fenêtre. Le train s’ébranlait et, juste à ce moment du départ je la voyais s’éloignant sur le quai au bras de son amant. Par la vitre baissée, je l’appelais désespérément, mais en vain et je me réveillais là haletant !
Mon inconscient me disait visiblement qu’il me serait dorénavant difficile de chasser de son esprit son aventure d’un soir. Peut être même, que déjà et malgré sa promesse, elle avait l’intention de mener de front, sa vie d’épouse et une liaison suivie avec son salaud de basketteur.
Avec anxiété, j’ai regardé à nouveau près de moi, elle dormait du sommeil du juste. J’ai soulevé les draps comme je le fais souvent dans son sommeil, pour la mater, j’aime ça. Bon sang, ce qu’elle était belle dans sa chaude nudité ! Rien qu’à la voir comme, ça j’étais à nouveau durci . Je me suis plaqué contre sa chair douce et brûlante. Un vrai plaisir!
Et une vraie douleur, à imaginer qu’un autre, depuis hier soir, en avait usé et abusé!
Je pensais, avec une morsure au coeur, que ce salaud avait parcouru de ses mains, de sa langue, cette peau suave et vibrante et qui n’aurait du être que mienne! Qu’il l’avait d’ailleurs, par deux fois fouillée de sa grosse bite rigide.
J’en aurais pleuré de rage!
Et cependant, curieusement, à l’admirer ainsi dans sa nudité ensommeillée de femme infidèle et souillée, une excitation nouvelle me prenait. Elle en était devenue que plus précieuse. J’étais décidé à me battre pour la garder, la reconquérir ! Je devais faire en sorte que cet instant d’égarement ne soit plus qu’un vague souvenir, fugace et tenu.
J’avais été trop négligent ces derniers temps, et trop sûr de moi. J’étais décidé à redoubler d’égards et de prévenances.
Cette nuit, je suis resté longuement encore éveillé à ressasser ces sombres images. J’avais beau essayer de chasser ces pensées, elles revenaient, obsédantes, avec ces insupportables visions obscènes du corps de ma femme soumis aux caprices de son amant. L’aube commençait déjà à poindre quand je me suis endormi !
Aussi, dès le lendemain, j’avais entamé l’opération « reprise en main »
Il me fallait briser mon image de macho, me révéler plus tendre que jamais…
Pour commencer, à sa grande surprise, je lui avais apporté un somptueux petit déjeuner au lit. Tout comme au début de notre mariage. Elle en avait été très touchée.
Pour m’en remercier, juste après, elle s’était faite caressante. Je l’avais serrée contre moi, avec une tendresse renouvelée.
Cette matinée de dimanche, nos corps se sont retrouvés comme jamais.
Je l’ai couverte de baisers; je l’ai goûtée, mangée, tâtée, palpée, fouillée !
Je me suis régalé de son abricot juteux, de ses seins pulpeux, de ses fesses rebondies. Je l’ai remplie de mes doigts fureteurs, de ma bite tendue, toute cette matinée dominicale.
J’en avais même oublié mes émissions télé habituelles; ni Stade 2, ni le journal du sport de l’Equipe TV, Je l’ai prise et reprise dans ses moindres recoins. Avec en prime de douces paroles, ces mots d’amour dont les femmes raffolent. Cela avait été une grasse matinée sexe, très hard ! Du style de celles du début de notre relation.
Elle était dorénavant pleinement femme, puisqu’elle avait goûté à un autre homme!
Et je ne l’en désirais que plus ardemment. Même plus, pendant que je la pénétrais ce matin là, je ne pouvais m’empêcher d’imaginer la grosse bite qui l’avait fourrée, et à ma grande honte, j’en éprouvais un trouble étrange.
Ce jour là, il n’y a pas eu que le sexe. Pour la distraire je l’ai emmenée au théâtre, aux matinées de la Comédie Française. On y jouait la « Nuit des rois», une pièce de Shakespeare. Un vrai régal. Nous sommes sortis du théâtre encore plus complices. Et pour terminer la soirée, je l’ai emmenée à la Tour d’Argent pour un somptueux dîner d’amoureux.
La nuit, avant de dormir, sexe à nouveau. Je me demandais d’où je tirais cette énergie!
Je n’ai pas baissé de garde, les jours suivants. Je me suis montré toujours plus tendre et amoureux.
Je n’ai pas même eu peur du ridicule,auprès de mes amis quand j’ai annoncé que désormais, le foot, c’était fini pour moi : ils ont tous ricané, ils avaient du mal à me croire.
Fred mon meilleur ami s’étonnait :
— Tu ne viendras même pas au Parc samedi, m’interrogeait-il ?
— Non Fred, j’ai promis à ma femme de ne plus la délaisser pour le foot.
En fin de compte, cette crise avait été salutaire pour notre couple. Nous nous étions retrouvés maintenant comme jamais.
Au cours des jours suivants, j’en étais presque arrivé à oublier sa trahison.
Par sa douceur, ses caresses, sa tendresse, elle en était arrivée à me rassurer, et je m’avançais dans la vie, à nouveau plein de confiance.
Tout était rentré dans l’ordre des choses… Jusqu’au vendredi matin.
Par un fâcheux hasard, nous nous sommes retrouvés ce matin là, à attendre l’ascenseur, avec notre fameux basketteur. Une chape de plomb s’était abattue sur nous.
Nous nous étions à peine salués. Ma femme, tête baissée, s’efforçait à regarder dans le vide.
Une fois dans la cabine, un trouble étrange s’est établi. Il y avait là une femme qui avait été la maîtresse des deux hommes présents, et cela se devinait. Ou alors était-ce moi qui avais cette impression fort désagréable. Je surveillais ma femme du coin de l’oeil, avec inquiétude. Elle semblait absente et indifférente.
L’ascenseur s’est arrêté à notre étage. Alors que nous quittions la cabine, durant un bref instant, oh ! l’histoire d’une fraction de seconde, elle a tourné imperceptiblement la tête vers lui. Leurs regards se sont accrochés.
J’ai eu très mal. Leurs yeux m’ont paru briller soudain, comme au souvenir de leurs étreintes.
Elle ne l’avait pas oublié, j’en étais certain. C’était comme si elle s’était donnée à lui, par ce regard fugace.
Tous mes efforts pour la reconquérir avaient été vains, je le craignais !
Un silence pesant s’était établi entre nous pendant que nous regagnons notre appartement.
J’ai pris sa main, en lui demandant :
— Ça t’a troublé de le revoir?
— Un peu.
— Tu as envie de le revoir?
— Tu es fou!
— À quoi as-tu pensé en le revoyant ?
— À rien.
— Mais encore ?
Je souffrais et j’éprouvais l’étrange besoin de me faire mal. J’ai ajouté :
— À ses caresses, sa langue, ou sa……. grosse queue.
— Tu deviens vulgaire.
Je l’ai secouée en hurlant
— Je veux savoir, je veux savoir !
— Lâche-moi, tu me fais mal !
Elle s’est mise à pleurer.
Je l’ai alors attirée contre moi, en la couvrant de baisers.
— Pardonne-moi. J’ai si mal, si peur de te perdre !
Alors, elle m’a rassuré, elle m’a redit combien elle m’aimait, combien elle regrettait sa folie de l’autre soir, que je n’avais rien à craindre, même si de l’avoir revu l’avait un peu troublée.
J’avais ramené quelques dossiers ce soir. Après le repas, je m’étais attelé à la tâche. Avec bien des difficultés, tant mon esprit était empreint de jalousie. Imaginant les pires choses avec, je dois le reconnaître, un brin de complaisance.
Pourtant, pleine d’attentions, ma femme venait de temps en temps m’embrasser, pour me rassurer.
Elle ajoutait invariablement, de petits mots d’amour, qui finirent par m’apaiser un peu.
Le soir, après l’amour, elle s’était blottie contre moi, tendrement.
— Tu sais me dit-elle, je me suis comportée de manière très injuste l’autre soir.
— Ah bon?
— Oui, j’ai été stupide et méchante, car tu es un époux parfait : tu ne bois pas, tu ne joues pas, tu ne cours pas les filles. Et, égoïstement, je te reprochais ta passion toute masculine pour le football. Je me suis comportée comme une petite dinde capricieuse. Je te demande pardon, mon chéri!
Je l’ai serrée fortement contre moi, avec passion. Ces paroles de regrets me ravissaient.
Comme je l’aimais!
C’est vrai que j’étais bien ce mari fidèle, sérieux et attentionné qu’elle avait décrit.
— D’ailleurs, rajouta-t-elle, il n’y a pas de raison pour que tu te prives de tes matchs du Parc des Princes.
Je l’ai attirée contre moi et je l’ai embrassée longuement.
— Tu es sincère, tu ne m’en voudras pas si demain j’assistais au match P.S.G.- Bordeaux ?
— Non, mon chéri, tu es un mari idéal et il est normal que tu aies une passion.
Durant quelques minutes, j’éprouvais un bonheur intense et une grande reconnaissance envers elle. Puis soudain un doute affreux m’envahit : Et si c’était là un truc vicieux pour m’éloigner et lui permettre de rejoindre son amant ?
Mon coeur s’est étreint douloureusement dans ma poitrine. J’ai dit :
— Ce n’est pas pour mieux le revoir que tu me laisses désormais libre ?
— Mais non, qu’est ce que tu imagines là !
Et ce disant, elle s’est glissée sous les draps pour m’administrer une pipe magistrale et combien apaisante!
Le lendemain, j’ai contacté tous les copains. Ils pouvaient compter sur moi ce soir.
Bien sûr, je leur avais fait une bonne blague!
— Ça m’aurait étonné de toi que tu rates un match, a ajouté Fred.
— Ils ont failli déclarer forfait au P.S.G a surenchéri Bébert, un autre de mes amis, déclenchant des fous rires.
Franchement ,j’étais heureux de retrouver cette franche camaraderie, cette communion des fanas de foot.
Et que dire de ce bonheur que j’ai éprouvé, quand je me suis retrouvé, le soir, dans la chaude ambiance du stade. J’ai vibré comme jamais, à l’entrée des joueurs de mon équipe.
Ces cris, cette clameur, cette ferveur qui montait des tribunes me transportait.
J’adore ce sport, je l’ai déjà dit et je m’enthousiasme toujours aux belles actions de jeu ! Les passes subtiles, les dribbles parfois diaboliques me ravissent.
J’étais à l’unisson de mes amis et pendant les belles envolées du jeu, je m’enflammais comme le supporter inconditionnel du P.S.G. que j’étais.
Pourtant, dans le fond de mon coeur, percait une folle inquiétude. Par mes cris, j’essayais de d’étouffer les folles pensées qui survenaient malgré moi. Mais mon esprit était ailleurs. Une inquiétude latente m’envahissait : et si malgré ses promesses, ma femme profitait de mon absence pour aller rejoindre son amant?
Je ne pouvais réellement pas jouir du spectacle qui s’offrait à moi.
Aussi, une vingtaine de minutes avant la fin du match, je prétextais auprès de mes amis un malaise soudain pour quitter subrepticement le stade.
Maintenant, j’étais persuadé que mon épouse avait rejoint le basketteur. Mon instinct me le criait.
J’ai foncé à travers Paris, au mépris des règles de circulation dans la hâte d’arriver chez moi.
Pourvu qu’elle soit là, ne cessais-je de me dire, pendant que je fondais à travers rues. Pourvu qu’elle ne l’ai pas rejoint !
Quand je me suis retrouvé devant le seuil de notre appartement, mon coeur battait la chamade. J’ai sonné chez moi, personne n’a répondu.
La garce, me suis-je dis ! J’avais mal.
Mes jambes flageolantes ont semblé se dérober sous moi. Je ne sais où j’ai trouvé la force d’ouvrir la porte et de me traîner jusqu’au fauteuil.
Je défaillais. Des tas de questions se bousculaient dans mon cerveau.
Devais-je monter la chercher chez son amant ?
Avait-elle prémédité son coup en m’enjoignant d’assister sans remord à mon match?
Et moi-même, ne savais-je pas tout au fond de moi qu’elle allait le rejoindre?
N’aurais-je pas été déçu, à la vérité, si elle était restée sagement là à m’attendre ?
A ma grande surprise, je me rendais compte que, pour être franc, j’y puisais un trouble étrange.
Je songeais qu’à ce moment même, sûrement, elle devait se faire baiser et je me sentais devenir gros dans mon caleçon.
A ma grande honte, j’empoignais fermement ma queue durcie, et j’essayais d’imaginer ma femme chérie, pleine de sa grosse bite ou bien la bouche pleine de son sexe.
Décidément je perdais la tête. Que m’arrivait-il?
Je devais admettre que ce qui m’avait excité, tout au long de cette semaine et qui m’avait mis dans cette sorte de transe sexuelle, c’était qu’elle s’était faite baiser par un autre que moi !
Elle allait rentrer tout à l’heure, adultère et souillée et cette seule évocation m’enflammait.
Comment allais-je me comporter ?
Allais-je malgré tout m’énerver et crier, connaissant ma jalousie naturelle ?
Je me posais encore toutes ces graves questions quand le bruit de la clef dans la serrure m’a averti de sa venue.
J’ai vite éteint la lumière du salon où je me trouvais. Je voulais la surprendre.
Elle paraissait pressée. Sans doute désirait-elle se mettre à l’aise avant mon retour, pour me laisser ignorer son escapade.
Elle s’est précipitée dans notre chambre, s’est déshabillée, puis je l’ai vue passer nue en direction de la salle de bains. Pour effacer évidemment les traces de sa luxure.
C’est là que j’ai allumé le salon.
Elle a rebroussé aussitôt chemin, il y avait sur son visage toutes les marques de son effarement.
— Déjà là, me dit-elle?
J’ai crié.
— Salope, tu as été le rejoindre !
Elle m’observait d’un air penaud. J’ai ajouté :
— Tu m’avais pourtant promis de ne plus recommencer.
J’aurais dû m’emporter davantage, mais elle était si belle ainsi, nue, à peine sortie des bras d’un autre homme! J’en étais tout chaviré.
J’ai ajouté :
— C’est pour mieux le retrouver, que tu m’a poussé à aller voir mon match.
— Non, je te jure que non! Mais dès qu’il t’a vu partir, il m’a téléphoné pour me demander de le rejoindre. Au début j’ai refusé, mais il a insisté, il a dit qu’il avait une folle envie de moi, qu’il voulait toute me manger et que sa grosse queue était impatiente de me pénétrer à nouveau.
— Et tu n’as pas résisté !
— Non, ses paroles me faisaient fondre de désir!
J’ai adouci ma voix :
— Viens près de moi.
— Attends, je dois faire ma toilette.
— Pourquoi ? Parce que tu sens le sperme ?
— J’ai honte, mon amour.
Je me suis levé et l’ai attirée contre moi. Elle était chaude et odorante. Odeurs d’amour et de stupre. Je l’ai embrassée langoureusement et il me semblait retrouver entre ses lèvres, le goût âcre du chibre de son amant. Je me suis collé contre elle, elle m’a senti tout dur contre elle.
Elle a parue surprise :
— Tu bandes ! Tu ne m’en veux pas ?
Comment pouvais-je lui en vouloir ? Je me rendais compte maintenant que sa débauche, inexplicablement, m’excitait.
Je l’ai entraînée dans notre chambre et me suis coulé entre ses cuisses.
J’avais le désir de la bouffer toute souillée.
Vainement, elle a tenté de faire de ses mains un obstacle à ma bouche avide.
— Laisse-moi te manger!
— Je suis sale mon chéri!
— Tu es pleine de sperme, cochonne!
— Oui et j’ai honte! J’ai écarté ses mains.
— Laisses moi te sentir.
Ça sentait fort les sécrétions d’amour. Les lèvres de sa fente étaient luisantes de mouille et du sperme du basketteur.
J’ai glissé un doigt dans son antre gluant. Elle s’est mise à geindre la garce !
Alors, je l’ai bue, sans retenue. Je me suis régalé de son puits d’amour malmené et pénétré par un rival.
Je le lui ai avoué :
— Chérie, j’adore quand tu me reviens ainsi, toute chaude, d’entre les bras de ton amant.
— Ça t’excite ?
— Oui ! Dis-moi, il t’a bien baisée ?
— Oui, c’était merveilleux et puis il a une si grosse queue !
— Énorme?
— Oui, énorme.
— Tu l’as bien sucée?
— Je n’ai pas arrêté de la pomper !
Je l’ai léchée à nouveau. Bon sang ! Elle était baveuse d’excitation.
J’avais relevé ses jambes et de larges coups de langues, je me délectais de ses chairs juteuses.
À un moment, elle a crié :
— Viens, prends-moi!
— Tu as besoin d’une autre bite, salope!
— Oui,mets la moi, à ton tour.
Je me suis redressé et j’ai pointé ma queue rigide entre ses chairs d’amour.
Je ne pouvais m’empêcher de penser qu’il y avait peu de temps, un autre sexe s’était présenté de la sorte pour la pénétrer.
Je me suis enfoncé et elle a hurlé de plaisir. J’étais dur comme jamais.
Je me suis mis à aller et venir avec une douceur infinie.
Je l’aimais tant, ma femme adultère. Les images allaient et venaient dans ma tête. Des visions crues et perverses de mon épouse malmenée par son amant ajoutaient à mon plaisir.
A un moment, je me suis penché vers elle et sans arrêter mes coups de bites virulents maintenant, j’ai tété son bout de sein. Cela a suffit pour la faire partir.
Un orgasme fulgurant!
Elle a crié et dans l’instant je suis parti aussi en longs jets brûlants, mêlant ainsi mon sperme à celui de son amant.
Cette nuit, nous nous sommes révélés insatiables.
Elle n’a pas été avare de détails. Et chacune de ses précisons nous enflammait.
Cette nuit, nous avons longuement discuté.
Elle m’aimait toujours, mais avait désormais besoin de son amant.
Puisque cela m’excitait, autant en profiter.
Ça faisait de moi un mari très performant.
Et c’est ainsi que nous avons conclu ce curieux accord.
Je l’autorisais désormais franchement, à retrouver son amant, à chacune des soirées football.
Elle me reviendrait toujours souillée, et sans rien me cacher.
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