J’ai l’impression ce soir, que Belle-Maman est un peu pompette !
Ça fait bientôt deux ans que je ne l’ai vue comme ça ! Depuis le décès accidentel de beau-papa, mort si jeune, le pauvre.
Nous lui avons fait une surprise, ma femme et moi. Nous l’avons invitée, sous prétexte de lui montrer nos photos de vacances.
En fait c’était pour fêter son anniversaire. Elle a été touchée comme pas possible.
Belle-maman a 44 ans et franchement à la voir comme ça, elle ne les fait réellement pas. Le bonheur d’être avec nous ce soir la rend d’ailleurs, resplendissante.
Ma femme aussi est un peu partie. Elles évoques des souvenirs, et le champagne aidant, pour un oui pour un non elle pouffent de rire .
Moi je me sens un peu lourd et repu. Le repas a été somptueux et un petit digestif me ferait le plus grand bien . Je propose :
— Et si nous passions au salon ?
Les deux femmes se lèvent, légèrement chancelantes.
— Une williamine, ça vous dirait. Je sais que ma belle-mère raffole de cet alcool.
— Oh oui me répondent-elles en chœur.
Elles ont besoin du secours de mon bras, pour passer au living.
Belle-maman c’est affalée sur le fauteuil, mon épouse sur le canapé.
Je leur sers le fameux breuvage. Ma femme m’attire prés d’elle, sur le canapé.
Elle se love tendrement contre moi.
Son basketteur est en tournée en ce moment, et ça fait une dizaine de jours qu’elle ne l’a pas vu. Je la devine en manque. D’autant plus, que depuis quelques temps, elle a multiplié les rencontres.
Elle a passé plus de nuits avec son sportif qu’avec moi. Je la recueille de plus en plus souvent toute souillée au matin.
Je ne lui suffit plus maintenant.
Cependant ce soir je la sens amoureuse !
Je ne vais pas faire la fine bouche. C’est comme si je la retrouvais depuis cette fameuse soirée, ou elle m’a fait cocu.
Nos rapports ont tellement changés depuis ! Ils sont de dominant à dominé, d’humiliant à humilié. Et c’est moi qui me complais de plus en plus dans ces rôles, ou elle m’écrase !
Elle est si puissamment femme quand elle me revient, débraillée, souillée de sperme, avec dans l’œil cette arrogance, qui fait que mon cœur s’enfle d’amour, et que je me sens si peu de chose entre ses bras.
Que m’importent alors le regards moqueurs de nos voisins, leurs paroles blessantes, comme celles de cette voisine qui a traitée ma femme de gourgandine, lui conseillant d’aller ce laver son derrière qui traînait partout ! Cela rajoute à mon plaisir.
Sans doute est-ce là une perversion, mais c’est la mienne et elle me comble. Je n’ai pas comme certains l’envie de mater ma femme entre les bras d’un autre. C’est de l’imaginer entrain de baiser quand elle le rejoint, qui me ravit. Mon imagination alors s’enflamme !
Et je ne l’aime que d’avantage.
Cependant ce soir il en est tout autrement.
Elle m’attire contre elle, me caresse. Je la retrouve un peu comme elle était avant ce fameux soir de P.S.G.-O.M., tendre et caressante. Ses mains lestes, se font très précises.
Je suis très gêné par la présence de Belle-Maman.
Je jette un coup d’œil inquiet vers elle. Mais elle est toujours gaie et souriante, apparemment pas très troublée de ce qui se passe. Elle a du avoir chaud, car deux boutons de sont chemisiers sont défaits et laissent largement déborder ses seins.
Elle est généreusement dotée ma Belle-Maman, et la boisson aidant, j’ai perdu tous mes repères et mes yeux se fixent intensément sur sa poitrine.
Elle s’est complètement laissée aller d’ailleurs, ses jambes repliées sous elles, sa jupe largement retroussée! Je reluque avec trouble ses cuisses pleines et laiteuses.
Elle porte son verre d’alcool à ses lèvres et dans le mouvement elle a écartées largement ses jambes. Je peut admirer le fond de sa culotte et je suis un peu honteux de l’ intérêt que je lui porte. Avec difficulté je reporte mon attention vers ma femme. Elle a déboutonné deux boutons de ma chemise et promène ses doigts sur ma poitrine velue. Son plaisir, c’est de les glisser entre mes poils, comme elle aime toujours le faire.
— Mais qu’est ce que tu fais, dis-je ?
— Tu sais bien que j’adore faire ça !
— Mais ta mère est là, soit discrète.
— Ma mère est comme moi, elle adore les hommes poilus. Elle a hésité un moment, puis a repris avec une pointe de méchanceté.
— Tu sais ce qu’elle m’a dit l’autre jour ?
— Non ? ai-je répondu en lorgnant vers ma belle-mère.
Nos regards se sont un instant accrochés. J’y ai lu de l’affolement.
— Non s’il te plaît, tais-toi ! Elle s’agite, gigote, se découvre de plus en plus grandement. Je mate sans vergogne, fasciné par le renflement de son petit slip, maintenant largement perceptible.
— Tu sais, chéri, l’autre jour, à la campagne, pendant que tu jardinais torse nu, elle t’observait par la fenêtre a la dérobée. Elle m’a avoué qu’elle avait trouvé très troublant ton torse velu !
— C’est vrai Belle-Maman?
Pour toute réponse je l’ai vue rougir fortement.
Ma femme a continué le déboutonnage de ma chemise, sa main fourrée dans mes poils.
— Comme c’est doux, comme c’est bon !
— Viens maman, viens voir comme c’est agréable. Touches comme c’est doux !
J’ai lancé un regard curieux vers ma belle-mère; elle avait l’air tentée.
— Allons ne sois pas bête, viens glisser tes doigts !
Ma belle-mère a semblé m’interroger du regard. Je l’ai encouragée d’un sourire.
Elle a quitté sa place alors et s’ est avancée un peu hésitante, le regard troublé désormais.
Ma femme l’a encouragée de la voix.
— Touches comme c’est doux, maman!
Elle a pris sa main timide et l’a portée sur ma poitrine.
Avec émoi, j’ai senti ses doigts fiévreux se crisper sur ma peau, sa main glisser entre mes poils.
La caresse m’a électrisé; je me suis sentir durcir dans mon caleçon.
La soirée avait pris une drôle de tournure ! Comme un pacha je m’abandonnais avec sensualité entre les mains de ces deux femmes.
La chemise entièrement défaite maintenant, je me laissais entièrement aller au plaisir des deux menottes.
Timidement d’abord, puis de plus en plus intrépide, Belle-Maman fourrageait ses doigts graciles entre mes poils. Ma femme avait maintenant avait largement écartés les pans de ma chemise.
Je me laissait aller nonchalamment au trouble qui m’envahissait.
Affalé sur mon siège, je m’abandonnais sans vergogne aux deux femmes. Machinalement je posais légèrement une main sur l’épaule de me belle-mère. Elle releva sa tête, et nos regards s’accrochèrent du coup. J’ai soudain eu envie de sa bouche. Elle partageait à l’évidence le même désir car ses lèvres s’étaient entrouvertes. Je l’ai attirée vers moi, nos langues se sont emmêlées alors. C’était doux et frais. Nous étions comme aimantés, électrisés, soudés, dans un baiser passionné. Mes sens s’embrasèrent.
Étais-je devenu fou, qu’est-ce qui me prenait, j’avais un peu honte.
J’ai regardé avec inquiétude ma femme. Comment le prenait-elle ?
Rien, elle semblait plus attachées à parcourir de ses lèvres mon torse velu, à lécher de sa langue humide ma peau devenue ultra sensible. J’ai alors glissé ma main tout au long du corps pulpeux de la femme que j’étreignais dans une longue caresse jusqu’au bas du dos. Dans un large geste j’ai voluptueusement malaxé ses fesses rebondies. Ça a semblé lui plaire car je l’ai sentie se frotter contre ma main, et sa langue s’est activée encore plus frénétiquement contre la mienne.
Mon épouse quant-à elle s’attachait maintenant à déboucler la ceinture de mon jean. Avec dextérité elle déboutonnait ma braguette, et s’apprêtait à mettre à l’air mon sexe tendu.
En un dernier sursaut de lucidité, j’ai tenté de stopper la tournure que prenaient les évènements. Ma femme allait m’exhiber devant sa mère. Je me sentais coupable de ces jeux troubles. D’avoir étreint ma belle-mère me faisait honte. J’ai tenté de bloquer la main fureteuse de mon épouse. Je me sentais énorme sous le caleçon et me demandais ce qu’allait en penser Belle-Maman ? Il était temps de me reprendre. J’ai repoussé ma belle-mère, et j’ai crié envers ma femme :
— Non arrêtes, tu exagères, pas devant ta mère !
Ce fut en vain, car déjà la main experte avait extrait du caleçon mon sexe tendu, sous le regard curieux et intéressé de ma belle-doche.
— Oh ! comme elle est grosse, c’est exclamée cette dernière, avec dans la voix une vibration admirative.
— Tu trouves a répondu ma femme, plus habituée désormais, au chibre hors normes, de son métisse de basketteur qu’à la mienne, aux 15 cm de français moyen !
— Oh oui !
— Celle de papa était plus petite, oh ma pauvre maman !
— Peut être, mais il s’en servait bien répondit elle quelque peu vexée.
— La preuve, c’est qu’il t’a faite dis-je pour venir au secours de Belle-Maman.
Comme récompense j’ai à nouveau eu droit à sa bouche pulpeuse.
Sans rancune, ma femme s’est du coup penchée vers mon chibre tendu, et ma prodigué alors une de ses spécialités maison. Sans doute n’était elle pas aussi bien servie qu’avec son basketteur, mais n’empêche qu’elle pouvait se l’engouffrer toute entier dans son gosier, et qu’elle ne s’en privait pas. J’avais décidé de ne plus résister aux assauts de mes deux femmes, et désormais je me laissais aller sans remords.
Mes mains parcouraient sans honte le corps pulpeux de ma belle-mère. Je ne me gênais plus pour peloter ses fesses, sa poitrine gonflée. Par moment elle interrompait nos baisers pour contempler la bouche vorace de sa fille qui courrait fébrilement le long de la hampe durcie de mon sexe. J’en ai profité pour extraire de leur logement ses seins pleins. Je l’ai sentie vibrer lorsque j’ai pris entre mes lèvres leurs tétons durcis. Il y avait si longtemps que je les lorgnais, pour être franc. Et voilà que par je ne sais qu’elle folie qui nous prenaient, tous trois, je les avais en bouche et m’en délectais !
Ma femme coulée entre mes jambes, se délectait de ma pine tendue et la léchait, mangeait, avalait, avec une gourmandise évidente.
Très brièvement, par moment, elle s’interrompait pour reprendre son souffle, puis se l’embouchait à nouveau. Elle aimait ça visiblement, et je n’ai pu m’empêcher d’imaginer avec délectation les douceurs qu’elle devait prodiguer, ainsi à son amant.
J’avais fermé les yeux et me suis laissé aller aux douces caresses des deux femmes, car ma coquine de Belle-Maman empoignait maintenant de sa main gauche, mes couilles velues, hypersensibles à cet instant. Instants magiques, de rêves, inespérées, et de plaisirs interdits.
J’osais alors soulever la jupe de ma belle-mère et glisser une main fureteuse sous sa culotte de dentelle. Bon sang que sa peau était douce, et sa chaire élastique !
D’un geste ample j’ai pris connaissance de son derrière rebondi, et comme elle s’était un peu plus cambrée, semblant ainsi apprécier ma caresse, j’ai atteint du bout des doigts, sa fente pulpeuse.
Celle-ci était gluante de mouille, baveuse. Apparemment elle semblait apprécier mon exploration de ses recoins intimes. En me penchant légèrement, j’ai atteint plus profond, son minou trempé.
Il était profondément ouvert, et j’y ai glissé mon doigt fureteur.
— Tu veux le sucer, a demandé alors ma femme, s’interrompant un instant, consciente de ce qui se passait entre sa mère et moi ?
La main jusque là, fort active sur mes couilles, s’est crispée de surprise. Elle a quittée ma bouche, hésitante soudain. Alors d’une main ferme sur sa tête, je l’ai guidée vers mon pieu tendu. Nous étions entrain de perdre la tête, tous trois et l’alcool aidant, toutes nos inhibitions s’en étaient allées. Alors je décidais de m’abandonner à mes instincts les plus primaires, de pousser le jeu aussi loin que possible.
Déjà sa bouche gourmande, engobait ma tige dressée, l’avalait, la léchait, la suçait avec frénésie.
Visiblement ma belle-maman avait été en manque, à la manière qu’elle avait de me la dévorer !
Sous le regard incrédule de mon épouse, sa mère se déchaînait comme une affamée sur mon pieu rigide. Elle me prodiguait, un tel plaisir, que je me suis mis à l’encourager de la voix.
— Allez-y Belle-Maman, continuez, c’est trop bon hurlais-je !
Je haletais, je gémissais sous la caresse buccale. Ma femme d’ailleurs s’excitait aussi du spectacle et en rajoutait.
— Oui comme ça maman, vas-y, il adore ça !
De mon coté je ne restais pas inactif. J’avais largement dénudé le somptueux cul de ma belle-mère, et d’une main agile, j’explorais sa fente trempée. J’excitais d’un doigt son petit bouton d’amour et je crois qu’à un moment, un orgasme fulgurant l’a secouée, son corps entier s’est mis à trembler. Elle s’est affalée comme sans force un moment, sa bouche a délaissé mon pieu, cependant que son corps était pris de tremblements.
Heureusement pour moi ma femme avait vite prit le relais, et à nouveau de délicieuses ondées de plaisir me parcouraient.
Tout en me laissant faire, sous la bouche de mon épouse, j’ai renversé ma belle-mère sur le canapé, jambes en l’air, j’ai ôté complètement sa petite culotte et après avoir contemplé avec ravissement, son chaton pulpeux, j’ai humé avec délice son minou luisant. J’ai glissé ma langues dans les chaires humides et j’y ai retrouvé et l’odeur et le goût de la chatte de ma femme. Ce nectar suprême qui m’enivre et m’affole, si semblable à celui de mon épouse me rassurais. La mère et la fille avaient la même saveur !
J’ai écarté les chaires brulantes avec gourmandise. Je l’ai toute mangée de ma langue fouineuse. Je lui avais relevées les jambes et j’explorais fiévreusement tout le long de sa fente gorgée de sève !
Il y avait longtemps que ma belle-maman n’avait pas subi un tel traitement, et visiblement à la manière qu’elle avait d’onduler les hanches, on devinait qu’elle appréciait bien la caresse.
Elle geignait, elle hurlait, elle semblait presque pleurer de plaisir.
Ma femme l’accompagnait de la voix. Elle avait cessé de me sucer maintenant et encourageait sa mère en lui disant :
— Il lèche bien, hein maman, tu aimes hein ? Tu la sens bien sa langue ?
— Oui, oui… …hurlait ma belle-mère !
— Lèches lui la petite rondelle, a ajouté ma femme.
— Non ! A hurlé ma belle-doche tentant de m’en empêcher d’une de ses mains.
Un coin à explorer ai-je aussitôt pensé. Et sans tenir compte de son opposition, j’ai poussé ma langue agile entre les globes fermes de son derrière somptueux, jusqu’à son petit trou fripé. J’ai largement écarté ses fesses dodues et je l’ai sentie trembler à ce genre de pratique.
Je ne me lassais pas de la brouter ainsi, excité par ses cris de femelle en chaleur !
— Prends là, a dit soudain ma femme, baises-là !
— Oh oui venez a surenchéri la voix surexcitée.
Je me suis levé, et j’ai alors pointé mon sexe hyper durci dans la fente chaude et accueillante de ma belle-maman !
Elle était toute serrée d’avoir été sevrée durant ces deux années de veuvage. Je m’y suis coulé avec un plaisir immense. Elle a poussé un cri d’extase, et je me suis mis à la pilonner fiévreusement.
J’enfreignais des tabous, et cela augmentait mes sensations. Je baisais Belle-Maman sous le regard de sa propre fille !
Et nos orgasmes ont été ravageurs.
Je vous dis pas la nuit qui a suivis. Moi le pacha, comblé par mes deux femmes. Une folie réalisée, une véritable orgie de sexe.
Depuis bien sur, je me régale de l’une et de l’autre. Nous avons mis Belle-Maman dans la confidence, en ce qui concerne l’amant de ma femme.
Choquée dans un premier temps, elle a bien du admettre sans la juger, les écarts de sa fille avec le basketteur, puisque je les acceptais visiblement.
Depuis je ne suis plus seul, quand elle le rejoint. D’autant plus qu’il lui arrive de passer plusieurs nuits d’affilées avec lui. J’aime toujours autant, ses retours de femme adultère, toute souillée de sperme.
Et dans l’attente de ces moments, je ne suis plus jamais seul. D’autant qu’une grande complicité sexuelle s’est établie entre ma belle mère et moi.
Je suis obligé d’admettre que ma femme a bien manœuvré. Elle m’a avoué avoir agit sciemment de la sorte, pour pouvoir filer d’avantage le parfait amour avec son basketteur.
A un moment elle avait craint que mes soirées de solitude, ne m’amène à chercher ailleurs, une compagnie. Voila pourquoi elle avait conçu le plan de me jeter dans les bras de sa mère.
Je lui en suis très reconnaissant, et c’est vrai que le temps me parait moins long quand elle va se faire fourrer par son basketteur hors norme !
Il aurait été bien vu de prendre une jeune maitresse.
Histoire de remettre de la concurrence ,voir de l envie chez madame.
La manipulation est ici a sens unique. Dommage .