Nous avions cette année là loué un gîte dans les Landes. Une dépendance au milieu d’une immense pelouse, séparée par des haies d’arbustes de la maison du propriétaire mais faisant piscine commune. Nous pouvions l’utiliser comme bon nous semblait, elle était suffisamment grande, chauffée et surtout il ne s’en servait guère que lorsqu’il recevait ses enfants.
Nous faisions de grandes ballades dans les pins et un jour nous tombons sur une maison abandonnée. Plutôt une sorte de grange dont les murs sont pleins de graffitis, un point de ralliement pour les jeunes des alentours sans doute. À l’intérieur ça sent le baisodrôme. Des canettes un peu partout, des restes de fast food dans un coin. Quelques revues pornos déchirées dans tous les coins et bien sur cinq ou six vieux matelas étales au hasard dans la pièce. Un petit recoin mène à une sorte de petite pièce à vivre et un petit escalier monte au grenier. Nous montons. Rien de spécial ici, ils ne semblent pas se faire chier à monter jusqu’ici.
Au moment de faire demi-tour des bruits de mobylettes envahissent le silence. Une petite troupe vient de s’arrêter devant la baraque. Par les fissures du mur nous pouvons voir qu’ils sont trois, deux garçons, une fille. Ils posent leurs clycos et entrent dans la grange, l’un d’eux tiens précautionneusement les bières. Nous n’osons plus bouger. Le grenier est en fait une sorte de mezzanine, nous sommes blottis l’un contre l’autre derrière des ballots de paille dans l’obscurité et nous les voyons s’installer sur un des matelas. Ils commencent à boire un coup et très vite l’un des garçons commence à rouler des pelles gloutonnes à la fille. Ses mains se baladent partout sur le corps de sa partenaire, il lui retire son pull, elle n’a rien dessous et sa poitrine se dresse fièrement. Nous sommes à cinq ou six mètres d’eux et je commence à bander. Il l’embrasse de nouveau et de sa poitrine sa main se glisse sous son jean et il commence à lui caresser le minou sans ménagements. Il se lève, lui retire son pantalon et se rallonge sur elle. Elle porte un string blanc et la main de son compagnon vient se glisser sous le petit bout de dentelle pour reprendre ses caresses. Je vois la main de la fille entre les cuisses du garçon qui lui malaxe le paquet. Il détache sa ceinture pour lui faciliter la tache et je devine qu’elle a glissé sa mimine dans son caleçon car il se met à onduler du bassin. Son copain continu de siroter sa bière en se caressant l’entrejambe, lui aussi a défait sa ceinture et sa main disparaissait dans sa braguette.
Jakie se serre un peu plus contre moi et naturellement ma main vient se poser sur sa croupe et je cherche moi aussi l’élastique de son pantalon pour l’y glisser et sentir sa peau. Elle frisonne mais se retient pour ne pas faire de bruit. En bas le garçon s’est mit à genoux, il sort son sexe et le propose à la fille qui aussitôt se met à quatre pattes et commence à le sucer. Elle a le cul tourné vers l’autre gars qui, continuant à se toucher, mouille le goulot de sa bouteille et lui passe doucement entre les fesses. L’autre s’excite et attrape la tête de la nana et la guide en cadence sur son membre.
« T’es vraiment une sacrée salope, t’aime la bitte toi au moins. Vas-y Franck met lui ! »
L’autre écarte le string sur le côté et lui enfonce le goulot, elle pousse une sorte de cris rauque et se cambre d’avantage. Apres quelques minutes de ce traitement, elle se tourne, offre son cul à son premier amant et baisse le jean du second. Elle se le plante dans la bouche tandis que l’autre la baise sans ménagements. Il ne tarde pas à jouir et son copain le remplace. Lui aussi la défonce brutalement mais aux cris qu’elle pousse, il semble que ça lui plaise. Il se vide lui aussi et tous trois se rhabillent très vite. Une autre canette et les voilà repartis. Des que le bruit des moteurs s’éloigne, je me dresse et sort ma queue devant Jakie encore accroupie, elle se précipite pour m’engloutir. Elle se déchaîne et je la vois se caresser tout en me suçant. Je l’arrête et la pousse sur une botte de paille, j’écarte le string et l’enfile. Elle aussi était son l’emprise du spectacle car elle est trempée et jouie très vite provoquant mon plaisir par la même. Nous aussi nous nous rajustons très vite et nous voilà dehors sur le chemin du retour. Je m’arrête, la regarde et nous nous embrassons amoureusement. Elle me glisse à l’oreille.
« J’ai envie de faire l’amour à trois. »
Je ne vois aucun inconvénient à la chose mais ici nous ne connaissons personne et à moins d’aller sur la place du village pour retrouver les deux jeunes et pourquoi pas la fille, je n’ai pas d’idée pour y arriver. Nous avons toujours fait ca avec des partenaires que nous avions rencontrés avant et avec qui le courant passait bien. La chance allait une fois de plus nous aider. Trois jours après, au réveil nous allions prendre notre bain matinal, en fait, il était dix heures passées. Au moment de sortir je vois a la télé un résumé des matchs de foot de la veille. Je lui dis d’y aller que je regarde un peu les résultats et que j’arrive. Ce qui se passe ensuite, du moins le début, je vous le raconte d’après le récit que Jakie m’en a fait plus tard.
Elle arrive au bord du bassin et elle a la surprise de voir un homme nager. Il s’agit sans doute du fils du proprio, pompier volontaire au village il doit être de repos, il a vingt ans et est taillé comme un athlète. Elle s’allonge sur un transat, comme d’habitude, croyant qu’elle serait seule elle n’a pas mis de haut. L’homme continu de faire des longueurs sans vraiment prêter attention a ma femme puis il sort de l’eau et se dirige vers la douche à quelques mètres de Jakie. Il commence à se rincer puis retire son maillot pour le rincer aussi. Il a de magnifiques petites fesses, son dos est superbement dessiné et l’eau qui coule souligne sa musculature. Il se retourne sans ouvrir les yeux faisant couler l’eau sur son visage, son sexe au repos est déjà de fort belle taille. Jakie passe une main sur sa poitrine pour sentir que déjà ses pointes se dressent. Il ouvre enfin les yeux et lui sourit. Elle écarte très doucement les cuisses en le fixant, elle aussi. Sa queue commence à se redresser pour bientôt être à l’horizontale, secouée de pulsations prometteuses. Elle écarte encore plus les jambes.
C’est à ce moment que j’arrive, l’homme sort du bac à douche et s’approche très doucement d’elle. Lorsqu’il est tout prêt elle se lève, se retourne et lui offre son dos. Il se colle à elle et commence à l’entourer de ses bras, l’embrasse dans le coup et referme ses mains sur sa poitrine. Les bras le long du corps Jakie glisse ses mains entre eux et, je suppose, caresse son sexe. Il se décale légèrement sur le côté et vient l’embrasser, elle tient toujours sa queue et lui laisse descendre sa main sur la croupe de Jakie. Il masse les deux globes à tour de rôle puis glisse entre les cuisses vers sa chatte. Je m’approche en retirant mon maillot, moi aussi j’ai la queue à l’horizontale et je me colle de l’autre coté. Je lui souris, il me sourit, Jakie m’embrasse, je l’aime. Nous la caressons de longues minutes, sa peau réchauffée par le soleil et par l’excitation est douce, nos mains explorent chaque centimètres de son corps. Parfois je rencontre celle de l’autre, je la suis un instant avant de reprendre mes caresses. Je la glisse entre ses cuisses, l’autre est déjà là. Je plaque ma main sur la sienne et il commence à la caresser, je suis le mouvement, je sens un de ses doigts disparaître, j’appuie plus fort et Jakie se met à soupirer plus fort.
Nous la branlons ainsi à deux, il prend ma main et reprend sa caresse, c’est moi maintenant qui enfile mes doigts dans le sexe humide de ma femme. Il retourne ma main et vient poser sa queue au creux de ma paume, naturellement je mes doigts se resserrent sur sa verge et je le branle un instant. Ça me trouble de sentir sa verge palpiter entres mes doigts, lui il remet les siens au chaud entre les cuisses de Jakie. Nom autre main descend sur ses reins, elle se cambre un peu plus et je descends jusqu’à sa raie. Je rejoins son sexe dans lequel les doigts de l’autre homme s’activent toujours, je les sens s’enfoncer doucement mais profondément en elle. Il retire un instant sa main et j’en profite pour mouiller mon index dans son jus puis, je reviens vers son œillet. Je le masse doucement et ses soupirs deviennent plus rauques, elle se cambre un peu plus offrant son petit trou a mes caresses. J’entre une phalange puis d’un poussé lente je vais à la rencontre de son cul qu’elle pousse vers mon doigt. Je fais quelques aller-retour, je me redresse et je l’embrasse. Nos langues se mélangent, gourmandes et surexcitées.
L’homme passe derrière elle et je me colle contre son ventre, je sens qu’il la caresse partout, il prend ses seins à deux mains et je plaque mon torse contre elle, ses mains frottent contre ma poitrine en malaxant celle de Jakie, elles descendent vers son ventre, elles se glissent entre nos pubis collés et l’une d’elles saisit mon sexe. Je fais pareil, je glisse mes bras autour de ma femme et lui emprisonne les fesses à deux mains, aussitôt je sens la verge de l’autre se frotter elle aussi sur le cul de Jakie. Je l’attrape et il commence un lent vas et viens, mes doigts serrés sur sa tige raide. Nous restons un long moment, chacun le sexe dans la main de l’autre, couvrant Jakie de baisers bruyants et gourmands. Jakie se dégage doucement, elle se met à genoux entre nous et commence à nous sucer à tour de rôle.
Tandis qu’elle a la bouche remplie par une bitte elle masturbe l’autre. Parfois elle nous suce tous les deux en même temps, s’amusant à frotter nos glands l’un contre l’autre tandis que sa bouche essaye de nous avaler, mais c’est trop gros. Elle se caresse les joues avec nos deux sexes, elle les tiens tous les deux dans ses mains, collés l’un contre, les masturbant en même temps l’un contre l’autre, je sens la peau de son sexe glisser sur la mienne. Nos tiges se frottent et c’est très excitant. Elle se relève et je recommence à m’embrasser. Maintenant l’homme est à genoux devant ma femme et lui lèche le minou. Elle presse sa tête contre son pubis et est parcourue de frissons.
Je me place derrière elle et sans effort tant elle est mouillée ma queue descend le long de sa raie et je la glisse entre ses cuisses. Parfois mon gland ressort légèrement devant et le mec y donne des petits coups de langue, c’est comme une décharge électrique qui me parcoure le sexe, chaque fois je le sens gonfler un peu plus. Je pousse plus fort, mon gland dépasse suffisamment et il me suce de nouveau. Je sens ses lèvres aspirer mon bout et sa langue me téter, frottant de temps en temps sur la petite ouverture au bout du gland et je manque de jouir tellement c’est bon. Elle écarte un peu plus les jambes et c’est lui qui la guide vers l’entrée de Jakie. Je la prends debout avec délectation. Elle est complètement ouverte. Mon sexe s’enfonce bruyamment et sans effort jusqu’au fond.
Le mec s’est relevé et l’embrasse tout en lui massant les seins et descendant jusqu’à sa toison qui dégouline de plaisir. Parfois je sens ses doigts sur ma queue et de temps en temps il me titille les bourses. Il se recule un peu, Jakie se penche pour le sucer. Son sexe est plutôt long et il l’enfile doucement de plus en plus loin dans sa bouche. Il se met à aller et venir dans sa bouche, parfois il ressort lui-même son sexe le tenant du bout des doigts, il tapote ses joues avec son gland, elle lèche toute la hampe luisante de salive et il se renfonce dans sa gorge. Comme Jakie fatigue un peu je propose au mec de s’asseoir sur le transat. Jakie se retourne et s’empale en lui tournant le dos. La soulevant par les fesses il rythme la cadence, toujours lentement mais jusqu’au fond. Par moment elle s’arrête, empalée jusqu’à la garde et se met à se déhancher sur ce pieu, lui il se cambre et pousse son engin le plus profond possible. Jakie feule comme une lionne et reprends ses mouvements de bas en haut. Je m’approche et donne à ma femme de quoi s’occuper. Tenant sa tête a deux mains je me fais sucer longuement. Jakie se laisse aller en arrière et s’allonge sur lui, il l’agrippe par les seins et continu ses allers retours.
Je m’agenouille entre leurs cuisses, il accélère les mouvements puis alterne avec de lentes et longues poussées, sortant presque entièrement d’elle, avant de disparaître à nouveau. Je commence à sucer le petit bouton de Jakie, les couilles de notre ami s’écrasant sous mon menton. Il sort un peu trop sa queue et elle glisse hors de sa chatte. Je la prends et la renfile à sa place, il recommence à la limer. Encore une fois elle s’éjecte tant Jakie mouille, cette fois je la prends mais avant de la remettre en place je ne peux pas m’empêcher d’y goûter, je la suce, j’adore, cette queue a le goût de ma femme. Je le remets en place et il reprend de plus belle.
Maintenant il la maintient solidement par les hanches et se déchaîne. Jakie se met à crier, lui s’arrête une seconde puis explose, il sort sa queue et arrose le ventre de ma femme. Je n’en peu plus, Jakie se relève, je l’attrape par le bras et la pousse sur la table de jardin, l’allonge sur le dos et l’enfile. Je la lime avec fougue. La tenant par les mains je la comme ai chaque poussée contre mon ventre, je sens que je bute au fond de son sexe et à chaque fois elle gémit plus fort. Notre ami qui bande encore un peu reviens se faire sucer. Elle l’engloutit sans se faire prier. Je la tiens maintenant par les cuisses et je m’enfonce aussi profond que possible, elle est secouée par la violence des mes coups de reins et ne tarde pas à jouir de nouveau. Dans un dernier coup je me plante en, elle et me vide en criant. Le mec lui aussi se remet à jouir, il se vide sur la poitrine de Jakie qui s’enduit es seins avec ce sperme tout chaud. J’adore la voir faire ca, moi aussi je ressors ma queue et un dernier jet vient s’écraser sur son ventre, elle l’étale aussitôt. Le mec retourne vers la douche et récupère son slip de bain et le tenant à la main retourne vers la maison. Nous restons là, le regardant s’éloigner, il n’a pas dit un mot Les deux matins suivants nous avons essayé de rééditer cette aventure mais il était parti en intervention sur un feu et nous ne l’avons pas revu avant notre départ. C’est sur le chemin du retour que Jakie met fit remarquer que nous ne savions même pas son prénom.
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