J’ai rencontré ma femme, j’avais 34 ans et elle 40. Au début de notre vie de couple, notre sexualité était débordante mais peu variée. Nous faisions l’amour tous les jours, souvent plusieurs fois même. Parfois nous rentrions manger ensemble le midi mais il était inutile de mettre le couvert. À peine rentrés nous commencions à nous embrasser et très vite nous étions sur le lit et nous faisions l’amour jusqu’à être presque en retard pour retourner au boulot. Mais cela manquait de sel à mon goût et à celui de Jakie mais je n’en savais rien à l’époque.
Un jour en rangeant du linge, j’étais seul à la maison, je sentit sous la pile de ses tee-shirts, au fond de l’étagère, quelque chose de solide. Je l’attrape et quelle surprise il s’agit d’un gode. J’habitais avec elle, mais chez elle et c’était peu être là depuis longtemps. Malgré tout je ne pus m’empêcher d’ouvrir la boite et de le sortir. C’était un gode classique, recouvert d’une enveloppe de latex avec des petits picots tout autour, il était plutôt petit. Instinctivement je le sentis mais rien d’autre que l’odeur du latex, il ne semblait pas avoir été utilisé récemment, cela dit les piles fonctionnaient, c’était donc un « vibro » masseur. Je remit tout en place mais de manière à ce qu’elle s’aperçoive assez facilement que je l’avais vu. Quelques jours plus tard nous commencions à faire l’amour, après de nombreuses caresses elle avait sortit mon sexe de mon caleçon et commençait à me sucer. J’étais à genoux à côté d’elle et je lui demandais de se branler et en même temps, doucement j’appuyais sa tête en cadence sur ma queue. Visiblement elle se branlait bien car elle commença à gémir et à onduler du bassin. Ma main pris la place de la sienne et sans effort un de mes doigts s’enfonça doucement dans son sexe déjà plus qu’humide. Elle sortit ma queue de sa bouche et arrêta ma main entre ses cuisses.
« Regarde dans le placard, sous mes tee-shirts, il y a un gode, tu vas me l’enfiler pendant que je te suce »
Je faillis jouir tellement mon excitation montait d’un coup. Elle avait vu que j’avais trouvé la boite. Elle me proposait ca comme si de rien n’était, comme une surprise qu’elle me ferait. D’un bond je pris la boite et fis l’étonné.
« C’est à toi, ben dis donc je savais pas, tu t’en sers souvent ? »
« Non, c’est un cadeau de mes anciens collègues lorsque j’ai été mutée, c’est une blague. »
« Tu ne l’as jamais utilisé ? »
« J’ai essayé une ou deux fois mais je préfère les vraies bites, ca c’est froid et trop dur mais là à la place de tes doigts c’est quand même un peu mieux je suppose, surtout si c’est toi qui me le mets. »
Je la découvrais comme je la rêvais dans mes fantasmes. Elle parlait comme une gourmande de sexe, son excitation se sentait dans ses paroles et dans son regard. Lubrique, voilà c’est le mot elle était lubrique, elle voulait du sexe mais pas de l’amour, de la baise. Je revins me placer à côté d’elle et elle reprit immédiatement mon sexe dans sa bouche. De l’autre main je frottais doucement la pointe du gode sur sa raie. Enduit de ma salive au début, il se nappait maintenant lentement de sa cyprine. Je l’avais mis dans ma bouche pour le mouiller et j’avoue que ca m’a fait bizarre de sucer un faux sexe d’homme, j’avais trouvé ca plutôt agréable et troublant malgré le goût du latex. Peu a peu son sexe s’ouvrait à la caresse de l’engin, je le mis sur la pointe et d’une longue poussée, l’enfonçait jusqu’à la garde. Elle était complètement ouverte, le vas et viens du gode faisait des bruits de sucions tellement elle mouillait. Elle enfournait mon sexe plus profond qu’elle ne l’avait jamais fait, elle me malaxait les couilles et mouillant elle aussi son doigt me le baladait dans la raie, s’arrêtant de temps en temps sur ma rosette pour y enfiler juste une phalange. C’était terriblement bon. À chaque fois une décharge électrique venait jusque dans mes couilles et je devais me retenir pour ne pas exploser.
« Ca te plaît on dirait, c’est pas resté froid longtemps, t’as le feu au cul ma parole, je t’ai jamais vu comme ca, ca t’excite de te faire prendre par les deux bouts. »
« C’est trop bon mais je préfère ton sexe, enfile-moi bébé, enlève ce truc et met moi ta queue. »
Sans me faire prier, je pris place entre ses cuisses et sans effort ma queue remplaça le gode. Elle coulait, mon sexe faisait du bruit a chaque poussée. Je pris l’engin et, sans rien dire, lui mis devant la bouche.
« On échange, je prends sa place il prend la mienne, regarde, il est encore tout dur. »
En me fixant droit dans les yeux elle écarta lentement les lèvres et vint les poser sur le bout du vibro. L’entourant de sa langue elle l’engloutit doucement. Une salope, à ce moment c’était le mot, une grosse salope et il fallait que j’en profite.
« C’est ça, suce, suce là cette fausse queue, c’est ca qui te plaît, par les deux trous a la fois hein ? T’aimerais pas que ce soit une vrai a la place ? »
Elle me serra ses jambes dans le dos pour m’approcher d’elle, elle sortit le sexe en latex de sa bouche et me roula une pelle. Elle plaça le gode entre nos deux bouches, nous l’embrassions à deux.
« Et toi ? Ce te ferait quoi si c’était un vrai, avec un mec au bout. »
« Je crois que ca me plairait mais si c’était un mec il ne se contenterait sans doute pas d’une pipe, il faudrait aussi qu’il te baise. »
« Tu serais jaloux ? »
« Pas du tout il ne s’agit pas d’amour, je serais très excité que tu me suce secouée par les coups de reins d’un autre homme entrain de t’enfiler. Vraiment ca me plairait mais toi ? »
« Pourquoi tu crois que je te demande ? Je l’ai déjà fait avant de te connaître et j’adore ca mais je ne savais pas comment tu réagirais. Mais en voyant que tu avais trouve la boite j’ai saisie l’occasion, d’ailleurs quand tu l’as sucé pour me l’enfiler ca ta plut non, je l’ai bien vu. Si on trouvait un homme qui soit à voile et à vapeur ce ne serait pas pour te déplaire. »
Je devais avouer qu’elle avait raison, il fallait qu’on trouve un mec bi. Ce soir-là, nous avons fait l’amour des heures, mon excitation ne retombait jamais et, même après avoir éjaculé, je restais dur et prêt à la baiser de nouveau. Mais elle refusa la sodomie, c’était sans doute encore un peu tôt ? Les jours qui suivirent furent une pure merveille. Nous surfions à deux sur le net, sur les sites de rencontre ou d’échangisme. Sur ces sites, nombreux sont les hommes qui tentent leur chance. Il n’était pas difficile de prendre contact, les échanges de photos furent nombreux et Jakie s’excitait à chaque fois que dans un mail il y avait une pièce jointe. Nous avions évidement commencé par nous prendre, nous, en photo et j’avais découvert une autre facette de sa sexualité, elle aimait se montrer, a un appareil photo en tout cas. Nous avons fait des séances mémorables, je la faisais se changer, elle sortit d’une cachette une boite de lingerie qu’elle avait et je jouais à la poupée. Elle prenait toutes les poses que je voulais. Je la fis sa branler devant l’objectif, me sucer et même j’ai une photo de ma queue plantée dans son sexe.
Lors de nos séances sur le net, on finissait à poil devant l’écran, pendant qu’elle lisait des annonces ou regardait des photos je la caressais à chaque fois je pouvais constater son excitation, quand c’était mon tour elle finissait par s’agenouiller sous le bureau pour me sucer, plusieurs fois je la fit asseoir et s’empaler sur moi tandis qu’elle continuait de pianoter, c’était génial. Au final un homme fut retenu et après l’avoir rencontré, moi seul d’abord puis a deux, dans un bar nous avons sympathisé et prit rendez-vous pour un dîner le vendredi soir suivant. Inutile de dire que les deux jours qu’il restait, je ne débandais quasiment pas. Sans cesse je voyais Jakie empalée sur ce mec dont la queue que nous avions en photo était plus longue que la mienne mais moins large, encore que ?.
Enfin arriva le vendredi soir et il était là sur notre canapé, un verre a la main et nous parlions de foot tous les deux, Jakie finissait les préparatifs du dîner. Elle s’était habillée comme si nous avions été seuls, un tee-shirt long, a mi-cuisses, je savais qu’elle portait un string noir en dentelles, mon préféré. Pas de soutient gorge et comme elle était déjà chaude ses tétons pointaient eu travers du tissu et des socquettes blanches, sans chausson, là encore comme je l’aime, j’adore lui faire l’amour quand elle grade ses petites chaussettes blanches. Nous ne parlions plus pour la regarder. Elle fit tomber quelques biscuits et, en se penchant pour les ramasser, elle nous dévoila juste les haut des ses cuisses a la naissance des fesses, magnifiques Elle vint s’asseoir entre nous et pris son verre. Nous parlions comme de vieux amis, chaque fois qu’elle se penchait pour attraper des biscuits elle relevait un plus son tee-shirt et découvrait ses cuisses. Dès que le triangle noir apparut, ce fut comme le signal du départ. Hervé, c’était son prénom posa la main sur ses cuisses, elle les écarta un peu. Ma main vint rejoindre celle d’Hervé, elle les ouvris encore plus.
Tandis que je l’embrassais, profondément, mélangeant ma langue à la sienne comme un collégien amoureux, il entrepris de remonter sa main vers son sexe. Elle écarta encore ses jambes pour lui offrit l’accès total. Il écarta le tissu en enfila doucement un doigt dans sa chatte. Elle faillit me mordre tant elle éprouvait du plaisir. De son autre main il était en train de lui caresser les seins, je ne pouvais pas le laisser tout faire. Je pris donc ses seins et, tout en en pinçant un, je lui mordillais l’autre, elle adorait ca. Hervé était maintenant à genoux entre ses cuisses et le dégustait du bout de la langue. Lentement il remontait entres les lèvres qui s’ouvrait un peu plus a chaque passage. Très vite son clito apparu et il se mit à la téter. Elle projetait son bassin vers lui par saccades. N’y tenant plus j’ouvris ma braguette et a genoux a côté d’elle lui mis mon sexe dans la bouche, je tenais sa nuque pour donner le rythme et elle, elle avait saisi Hervé par les cheveux et le frottais littéralement sur son sexe. Lorsqu’il lui remit un doigt dans la chatte, elle se mit à gémir, c’était ca qu’elle voulait, comme l’autre jour elle avait maintenant envie de deux sexes pour la travailler. C’est ce qu’elle cherchait, elle allait en avoir. Hervé s’était redressé, lui aussi avait baissé son pantalon, mis une capote, et son sexe pointait entre les cuisses de ma femme qui n’attendait que ca. Il allait enfiler ma femme et moi ca m’excitait au plus haut point. Je voyais cette bite s’approcher de son sexe et je crois que si je ne m’étais pas retiré de sa bouche j’aurais jouis tout de suite. Elle attrapa sa queue et le tira vers elle. Il la prit par les jambes et c’est elle qui le guida en elle. À genoux a côté d’eux, je la regardais se faire prendre, je fus pris d’un élan d’amour, je me mis à les caresser tous les deux.
« Vas y prends la, fait toi plaisir, baise-la ! »
Des qu’il fut en position elle donna un violant coup de reins pour se l’enfoncer, il n’eut aucun mal à la pénétrer jusqu’au fond. Elle poussa un râle presque animal ses hanches se soulevaient à la rencontre du bassin d’Hervé et elle s’empalait à chaque fois avec plus d’ampleur. Elle me fis signe me repris en bouche mais elle me suçait avec plus de fureur, elle me malaxait les couilles presque à ma faire mal. Jamais elle ne m’avait sucé comme ca, elle frottait mon sexe sur ses joues, enfouissait sa tête entre mes jambes et me léchait les couilles. Hervé proposa d’échanger nos places mais ce fut elle qui nous devança, elle se mit à quatre pattes sur le canapé. À genoux derrière elle, je l’enfilais profondément et Hervé vint se placer devant elle. C’était aussi excitant dans ce sens là, à chaque coup de reins je la poussais vers le sexe d’Hervé qu’elle avalait à moitié. Je devenais jaloux, depuis l’autre jour ou j’avais sucé le gode j’avais des sentiments bizarres et là avec ce sexe à portée de mains ca revenait. Je le voyais disparaître dans la bouche de Jakie et j’avais envi que ce soit dans la mienne. Je m’assit sur le canapé demandant à Jakie de m’enfourcher. J’aimais la prendre de cette façon car je pouvais l’embrasser en la baisant, ce que nous fîmes.
Lorsque Hervé se présenta de nouveau pour se faire sucer, sa queue était à dix centimètres de ma bouche. Je voyais les joues de ma femme se déformer chaque fois qu’il s’enfonçait, elle sortait son gland et le suçait comme une friandise, elle passait sa langue juste dans la petite fente au bout et le replongeait entre ses lèvres. Elle le suçait comme elle me suçait moi et je savais comme c’était bon. Jakie surprit mon regard d’envie et me proposa la queue d’Hervé. Ça y était, j’étais au pied du mur. Je pris son membre à pleine main. Il était dur, chaud, doux, je le sentais palpiter dans ma main, je le serais et il gonflait, je commençais à le branler. Je le décalottais et tirais la peau en arrière, comme j’aimais me le faire, à chaque fois il soupirait de plaisir. Il reprit son sexe d’une main et posa l’autre sur ma tête, son gland approchait de mes lèvres sans y penser j’ouvris la bouche et il s’enfonça. D’instinct je me mis à sucer, c’était salé puissant et j’étais parcouru de frisson. Je le sentais aller et venir entre mes lèvres, j’enroulais ma langue autour, je suçais moi aussi le bout et du bout de la langue je recueillis une goutte brillante de son plaisir. Il replongeât dans ma bouche, Jakie repris son tour, pendant qu’elle le suçait, je la caressais, mes doigts s’enfonçaient dans son sexe, Hervé s’allongeât et elle l’enfourcha. Je vint au-dessus de sa tête et lui mit mon dard sous le nez. Il l’aspira sans se faire prier, il était bi et c’est pour ca qu’on l’avait choisi, actif et passif avait il écrit, j’étais si excité que j’avais très envi de le vérifier. Comme a cette époque Jakie me refusait son cul je comptais bien me rattraper avec celui d’Hervé. Ils changèrent de position, elle se mit sur le dos et Hervé s’allongeât sur elle. Comme s’il avait compris ce que je voulais. Mouillant un doigt je lui fis passer entres les fesses et je commençais à lui masser la rondelle, comme je faisais avec ma femme. À genoux derrière lui, j’enfonçais une phalange puis reprenais mes allers retours dans sa raie.
« Vas-y mets ton doigt »
Comme j’aurais aimé que Jakie me parle comme ca, je fis donc comme avec elle et écartant ses fesses je vint déposer un baiser sur son œillet. Du bout de la langue, je badigeonnais son anus de salive. Je poussais pour faire entre un petit bout de langue et lui gémissait. Lorsque j’arrêtais, il se mettait à enfiler Jakie avec fureur. Des que je le touchais de nouveau il se calmait et se concentrait sur son plaisir. Maintenant mon doigt entier entrait dans son cul et ressortait dans un va-et-vient lent et profond..
« Ta queue, c’est ta queue que je veux »
Je me suis redressé mis une capote et doucement pour profiter au maximum je l’ai enculé. J’ai vu mon sexe pénétrer millimètres par millimètres jusqu’au fond de son cul. J’étais serré, c’était chaud, comme il s’était remis à limer Jakie, je sentais les contractions de son cul chaque fois qu’il s’enfonçait en elle. Je l’accompagnais dans son mouvement comme si je baisais les deux a la fois. D’un coup, il se mit à jouir et il déclencha mon orgasme. Nous étions tous les deux en train de nous vider, Jakie jouis à son tour en poussant un long cri. Jamais je n’avais eu un tel plaisir, la tête me tournait, j’avais chaud, j’étais bien. Apres avoir récupéré un peu nous décidâmes d’aller prendre une douche. Jakie se leva en premier, des que nous entendîmes l’eau couler nous nous levâmes pour aller la rejoindre. Elle ne fut pas surprise de nous voir et nous fîmes l’amour sous la douche en nous lavant. Mais ce ne fut rien comparé à ce que je venais de vivre. Nous avions découvert un nouveau terrain de jeux et par la suite nous aurions tout loisir de modifier les combinaisons. Nous revîmes Hervé souvent durant les mois qui suivirent. Grâce à lui nous allions découvrir les parties carrées mais ceci vaut un autre chapitre.
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