Nous avons loué un gîte cet été, perdu en pleine campagne mais voisin d’un autre gîte occupé par un couple. Le premier soir ils nous invitent à prendre l’apéro. Sympas, lui plutôt cool, elle plutôt speed. Nous avons discuté et rigolé une petite heure et sommes allés nous coucher. Nous dormions la fenêtre ouverte à cause de la chaleur. Très vite nous nous sommes aperçus que les voisins faisait de même. Les gémissements de madame étaient tout ce qu’il y à de plus audibles. À cause du silence de la nature c’était comme s’ils étaient dans la pièce. Visiblement elle aimait ce qu’il lui faisait et en redemandait. Lui était sans équivoque quant à ses agissements puisqu’il les décrivait au fur et à mesure. C’est en l’enculant qu’il finit par jouir suivit de sa femme. Le silence revenu Jackie n’avait plus sommeil, ni moi non plus. Sa main vint vérifier que sur moi aussi la séance avait eu de l’effet. C’était les cas, rassurée elle me fit une pipe magistrale qui faillit même me faire partir. Ensuite je l’ai prise par derrière elle adore ça mais là, c’était le pied tellement elle semblait excitée par la séance des voisins. Ses gémissements ont eu pour effet de redonner des forces aux voisins et les gémissements reprirent dans la maison d’à côté.
— Ça t’excite de les entendre hein, allez viens !
Je la fis se mettre à la fenêtre. Elle comprit, s’appuya à la rambarde et me tendit son cul. Elle aussi en redemandait. Je l’enfilai de nouveau, son sexe n’était qu’une fontaine et chaque coup que je lui mettais faisait gicler son plaisir avec un bruit de succion qui m’excitait de plus en plus. Je lui donnais des coups de plus en plus profonds et elle projetait ses fesses vers mon ventre. Je sentais le fond de son sexe écraser mon gland. Les mains serrées autour de sa taille je l’enfilais comme une perle, c’était divin. Tout à coup je vis à ma grande surprise que le voisin avait eu la même idée. Il ramonait sa femme dans la même position. Nous étions quasiment face à face. Malgré l’obscurité et comme leur lumière était allumée nous étions comme au spectacle. Jackie s’était figée, comme hypnotisée par ce qu’elle voyait. Nous étions dans le noir et ils ne pouvaient sans doute pas nous voir, du moins nous le pensions. Le voisin se mit à jouir, sa femme aussi en se secouant agrippée à la rambarde. Cette vision me fit jouir sans bouger et les jets de sperme déclenchèrent l’orgasme de Jackie. Elle se mordit le doigt pour ne pas crier.
Le lendemain matin nous étions encore tout remués par la nuit agitée que nous venions de passer. Persuadés qu’ils ne nous avaient pas vu nous étions tout de même hésitants sur la conduite à tenir.
— Mieux vaut faire comme si on n’avait rien entendu.
— Ni rien vu rajoutai-je – Comme ça ils recommenceront peut être, ça t’a plu il me semble. S’ils recommencent je te jure que je t’encule à la fenêtre comme lui, rien que d’y penser je bande déjà, regarde.
Je remontai mon tee-shirt pour lui faire voir que je ne mentais pas.
— C’est moi ou le spectacle d’hier soir qui t’excite tant.
— Les deux mon amour, l’idée de t’enfiler en voyant les voisins faire pareil c’est comme si on baisait à quatre. Ne me dis pas que ça ne te fait rien, hier soir je crois que j’aurais pu t’éclater la rondelle et tu en aurais redemandé, je me trompe ?
Pour toute réponse elle me prit dans sa bouche et me tailla une pipe magistrale.
Dans la journée nous nous sommes baladés mais j’avais en permanence dans la tête l’image de cette femme secouée par les coups de boutoir de son mec. Si seulement elle avait pu nous voir, et c’est la que germa cette idée : il faut que je m’arrange pour qu’on finisse ensemble à quatre ces vacances. En roulant je pensais à ça et j’avais le gaule. Jackie finit par s’en apercevoir.
— C’est le paysage qui t’excite ? dit elle en me caressant au travers de mon short.
— Non, en fait je pense à ce soir j’ai hâte d’être au lit, ton cul plus le spectacle des voisins je sens que ça va être génial.
— S’ils font ça tous les soirs on ne va pas tenir, ils sont jeunes en sans doute plus endurants que nous.
— On va faire des efforts, et puis qui sait.
— À quoi tu penses ?
Ses caresses étaient de plus en plus précises, en fait elle me branlait, elle avait enfilé sa main dans ma poche pour un contact plus précis.
— Je ne sais pas bien, une sorte de pressentiment. L’ambiance, la maison, les voisins, je sens qu’il y à une drôle d’atmosphère autour du gîte, comme si nous étions excités plus que d’habitude. Ce doit être l’air pur ou l’isolement, je n’en sais rien mais j’ai envie de baiser en permanence, surtout si tu continue à me branler.
Elle s’arrêta aussitôt.
— J’en garde pour ce soir dit-elle avec un je ne sais quoi de lubrique dans le regard.
Le soir venu, à notre tour nous les avons invités à l’apéro. Malgré ce que nous avions vu, nous étions curieusement à l’aise. Rigolades, discussion banales, tout était comme s’il ne s’était rien passé d’extraordinaire. À une seule reprise alors que nous parlions de la chaleur le voisin nous dit que surtout la nuit, c’était un peu pénible et que malgré les fenêtres ouvertes ils avaient chaud, – même à poil et sans les draps rajouta-t-il. À ce moment et à la lueur de son regard je compris qu’ils nous avaient vu et que lui non plus, ça ne lui avait pas déplu. Chacun rentra ensuite chez lui et après le repas nous sommes allé au lit. Nous attendions tous les deux que la sérénade commence. Je me régalais à l’avance de ce que nous allions faire et bien sûr je me suis mis à bander. Je finis par rompre le silence et en attendant j’expliquai à Jackie comment j’allais la prendre. Je me délectais des détails que je lui donnais. Peu à peu, elle se mit elle aussi à me décrire ce qu’elle ferait et elle aussi me donna des détails très crus. C’était très spécial, nous étions là, nus, côte à côte et tous les deux nous nous caressions en attendant mieux. Comme le temps commençait à être long et que ma queue me faisait presque mal tant elle était raide, je m’allongeai tête bêche le long de Jackie, ma main vint se poser sur la sienne qui caressait toujours son sexe. Elle me laissa la place et tout naturellement la posa sur mon sexe et commença tout doucement à aller et venir le long de ma verge. Évidemment, après quelques minutes je ne pouvais plus attendre. Un doigt puis deux se glissèrent dans sa chatte et du pouce je lui massai le clitoris. Doucement elle se mit à gémir. À cet instant j’eus comme une vision, et si eux aussi attendaient que nous commencions ? Je dis à Jackie de gémir plus fort en lui expliquant mon idée. C’est ce qu’elle fit et deux minutes plus tard la voisine à son tour nous signalait qu’ils avaient pris le train en marche mais apparemment elle semblait vouloir rattraper son retard.
Cette fois, je fis tout de suite mettre Jackie en position cambrée à la fenêtre. Contrairement à la première fois ils n’avaient pas allumé la lumière.
— On ne va pas les attendre cette fois.
Et d’un coup je lui plantai mon membre entre les fesses. Elle mouillait tellement que mon gland glissa de son anus à sa chatte et que je le sentis buter au fond de son sexe. Elle cria mais plus de surprise que de douleur. Elle se cambrait autant qu’elle pouvait comme si elle voulait que je la traverse. Elle était de nouveau déchaînée. En levant la tête je vis se découper dans la fenêtre les silhouettes des voisins. Ils se mettaient dans la même position que nous. Nous baisions quasiment face à face. Je pouvais sentir chaque coup de reins qu’il lui mettait.
— Tu as intérêt à faire attention, on nous regarde.
Elle se crispa légèrement mais n’abandonna pas son rythme. La voisine regardait elle aussi. Malgré la pénombre je les voyais sourire. Nous restâmes ainsi sans rien dire, il n’y avait que les gémissements des filles. Chaque fois qu’il lui arrachait un cri je faisais de même avec Jackie, une poussée plus profonde lui faisait répondre à la voisine. Et lui faisait de même. Au milieu des soupirs nous l’entendîmes clairement réclamer.
— Encule moi !
Et aux plaintes qu’elle poussa nous comprîmes qu’il l’avait fait. J’étais figé, planté au fond de Jackie sans bouger. Pourquoi lui ! !
— Et bien qu’est ce que tu attends ! Fais pareil !
Je croyais rêver. Je me retirai d’elle et de ses eux mains elle écarta ses fesses pour me présenter son anus.
— Avec un doigt d’abord, ne me fais pas mal.
Aussitôt mon index mouillé s’enfila dans sa rosette, c’était beaucoup plus accueillant que d’habitude. Puis deux, j’allais et venais en écartant les doigts et elle ne rechignait pas. Au contraire elle ne tenait plus qu’une de ses fesses, de son autre main elle se caressait vigoureusement.
— Vas-y maintenant, doucement, je suis prête
Dire que ma queue allait éclater n’est rien en comparaison de la vérité, il me fallut attendre un peu car sinon au simple contact de son anus j’aurais explosé. Je finis par poser mon gland sur son anneau et lentement, d’une seule poussée très très longue, je fis entrer le gland et toute la hampe de mon sexe entre ses fesses. Mon pubis s’écrasait sur son cul et elle ne faisait que dire – oh oui, oh oui ! Une fois au fond je commençai un lent va-et-vient. Il me semblait que mon sexe faisait un mètre tant c’était serré d’un bout à l’autre. Je m’enfonçais et je ressortais en cadence doucement, profitant de chaque centimètre qui disparaissait en elle. Peu à peu la cadence augmentait, elle me donnait de légers coups de bassin pour m’inviter à aller plus profondément et plus vite. Bientôt ce fut comme par-devant, je l’enfilais sans retenue. Ses cris déclenchèrent ceux de la voisine et je crois que j’ai poussé un râle en même temps que le voisin.
Nous nous sommes réveillés à midi le lendemain !
Petit déj. plein de sourires, nous étions encore plus amoureux, moi parce que je l’avais enfin possédé par tous les trous et sans retenue, elle parce qu’elle avait pour la première fois joui par la sodomie. Nous sortîmes sur la terrasse et là le spectacle fut ravissant. Les voisins déjeunaient eux aussi, lui n’avait qu’une toute petite serviette autour de la taille et elle avait un peignoir qui, largement ouvert ne cachait rien de son corps magnifique. Ne sachant trop quoi dire nous fîmes juste un sourire. La voisine nous répondit en écartant largement les cuisses.
— Tu vois je savais bien que ça ne les gênait pas d’être vus.
Je caressais la croupe de Jackie qui, fixant le spectacle, ne bougeait plus. Elle portait un tee-shirt long mais rien dessous. Je glissai ma main entre ses fesses, décidément je ne la reconnaissais pas, elle était déjà humide, ma main glissait entre ses cuisses sans effort. En deux minutes elle était comme une chienne en chaleur. Voyant mon manège le voisin se leva, ce qui eut pour effet de faire tomber sa serviette. Sans aucune gêne il se plaça à côté de sa femme, il ne bandait pas vraiment mais son sexe paraissait déjà énorme. On aurait dit une queue de black. Il embrassa longuement sa compagne et commença lui aussi à la caresser. Vu comme ses doigts rentraient facilement entre ses cuisses, elle était aussi excitée que la mienne. Je me mis derrière Jackie et lentement je relevai son tee-shirt. Elle m’arrêta une seconde mais un tendre baiser dans le cou la fit céder. Je le levai doucement dévoilant son sexe nu et humide aux regards gourmands de nos voisins. Le tee-shirt était maintenant roulé au-dessus de sa poitrine. Mes deux mains s’activaient symétriquement des ses seins à son ventre. Elle se cambrait légèrement et appuyait ses fesses sur mon sexe. Abandonnant la symétrie d’une main je commençai à la caresser, écartant ses lèvres pour enfiler un doigt dans sa chatte. Le sexe du voisin était maintenant bien raide et non seulement il était épais mais aussi très long. Comme il était à sa portée, sa compagne le prit dans sa main et après quelques secondes de masturbation elle referma ses lèvres autour du gland comme si c’était un bonbon et le suça tendrement. Il fallait faire quelque chose et le faire maintenant. Ou partir et on oublie tout, ou rester mais si on restait il fallait qu’on s’approche et qu’on passe à autre chose.
— Elle est belle non ?
— Il n’est pas mal.
Jackie m’avait répondu comme en râlant.
— Ça te plairait si on s’approchait ? Sa queue ne te fais pas envie ? à moi si !
— Pas la fille ?
— Si son cul surtout mais j’avoue que c’est cette grosse queue qui m’attire et que si ton doigt me donne du plaisir qu’est ce que ça doit être avec ça.
— Alors on y va ? mais c’est toi qui parle
— Je pense qu’on aura pas besoin de parler
Et nous descendîmes vers eux. Ils étaient tout sourire, machinalement les mains se serrèrent, le voisin retint celle de Jackie et la posa doucement sur son sexe. D’un regard Jackie m’interrogea. Je lui fis un clin d’œil pour qu’elle comprenne qu’à partir de maintenant c’était à elle de décider de ce qu’elle voulait, il fallait qu’elle se lance. Elle resserra les doigts autour de la verge et commença à la branler en me fixant au fond des yeux. J’étais face à la voisine encore assise et tout en fixant moi aussi Jackie j’enlevai mon caleçon et mon sexe apparut, raide et palpitant. Je sentis les lèvres de la voisine comme une brûlure sur mon sexe, puis sa bouche comme un puits de délice. Ne voulant pas être en reste le voisin poussa Jackie vers la table et l’y allongea sur le dos. Sa tête était à la bonne hauteur et il pénétra sa bouche sans aucune résistance. Elle referma une de ses mains autour de ses couilles et il commença son va-et-vient. Aucun mot n’avait été prononcé, je continuais moi aussi de glisser dans la bouche accueillante de la voisine mais je ne pouvais détacher mes yeux du visage de Jackie Sa bouche était déformée à chaque fois que cette longue tige s’enfonçait dans sa gorge ? Le voisin lui aussi regardait sa femme en souriant. Ma suceuse se leva et écarta les jambes de Jackie qui les yeux fermés continuait d’aspirer la queue du voisin, sa bouche salivait autant que sa chatte. La voisine posa ses lèvres sur le petit bouton et commença lentement à le suçoter, elle passait sa langue tout long de la fente et Jackie roucoulait de plaisir. D’un mouvement de tête j’eus l’impression que le voisin m’invitait à ne pas rester inactif. Il pensait sans doute que j’allais m’occuper de sa femme. Au contraire, je contournai la table et vint m’approcher du visage de Jackie Je l’embrassai tendrement sur la joue. Elle ouvrit les yeux et constat à cet instant que c’était la voisine qui lui procurait autant de plaisir. Du coup elle releva la tête pour voir celle de la voisine entre ses cuisses. Le sexe du voisin était là tout près, je sentais son odeur. Je ne pouvais pas résister. J’entrouvris la bouche en même temps qu’il avançait vers moi. Je le sentis glisser entre mes lèvres, lui arrachant un râle de plaisir. Il se retira pour replonger dans la bouche de ma femme.
— Et moi ! soupira la voisine, du coup son mari se redressa et alla s’agenouiller entre les cuises de sa femme. Elle s’allongea sur la table et ils semblèrent ne plus se soucier de nous. Jackie se releva et nous rentrâmes chez nous.
— À plus ! c’est tout ce que je dis en partant. Arrivés dans la maison Jackie alla directement dans la chambre. Elle s’allongea, sur le dos, les cuisses ouvertes.
— Tu deviens une vraie chienne.
— Si tu veux, tout ce que tu veux.
Elle recommençait à se caresser.
— Ça ne te tentait pas de rester ? deux queues ça te fait peur ?
— Non mais plus tard, c’est super comme ça, ne brusquons pas les choses.
— Tu as raison, d’autant que j’ai de quoi la remplacer.
Je sortis d’un coin de la valise, une chaussette contenant le gode, qui est d’ordinaire dans la table de nuit et que j’ai du mal à utiliser aussi souvent que je le souhaiterais. Je me doutais bien que là ce serait une autre histoire.
— Je ne le crois pas, tu as amené ça ?
— Je sais que les vacances ont tendance à te relâcher côté sexe et je me suis dit que ça ne te déplairait pas. Vu l’ambiance maintenant j’en suis sûr.
— Tu as eu raison mon amour, enfile le moi, vas y, je sais que ça te plaît.
Je poussai le bouchon aussi loin que je pouvais.
— Non, mets le toi toute seule, tu dois savoir comment on fait. Imagine que tu es seule et que tu penses au voisin. Le gode a la même taille que sa queue.
— Donne, mais toi que vas-tu faire ?
— Te regarder, me branler et ensuite tu vas me sucer. Après, je vais te lécher et te l’enfoncer dans le cul. Pour finir je t’enculerai moi-même. Autre chose ?
Elle avait dans le regard de la soumission, du plaisir et de la provocation. Visiblement elle gardait sa fierté mais aimait être traitée comme une chienne. Elle commença par se frotter le bouton avec l’engin. Debout entre ses jambes je me branlais. Le gode était maintenant luisant et d’une lente poussée elle se l’enfonça. Un profond soupir accompagna son geste. Elle se pénétrait profondément, le gode sortait entièrement à chaque fois et replongeait jusqu’à la garde. J’approchai ma bitte de sans bouche et elle l’engloutit, elle aussi jusqu’aux couilles. Elle me pompa ainsi un moment puis se mit à quatre pattes.
— Il est temps de passer à la suite non ? J’espère que ce n’était pas des promesses en l’air.
Elle me tendit le gode.
— Cette fois c’est toi que me l’enfonce.
Cette maison était un paradis. Je lui mis tout d’abord un doigt, puis deux. Un léger craquement attira mon regard vers la porte. Le voisin était là, nu et bandant toujours comme un taureau.
Jackie lui tournait le dos et ne pouvait pas le voir. D’ailleurs elle se souciait plus de mes doigts dans son cul et des siens sur sa chatte. Je fis pénétrer le bout en prenant bien soin de dégager la vue pour le voisin. Celui ci s’approcha doucement le sexe en avant. J’avais une idée précise de l’endroit où il se dirigeait. Je fis entrer le gode plus profondément et fis quelques mouvements de va-et-vient. L’homme était en position, le gland à quelques centimètres de l’anus de ma femme. Je retirai le gode et remis un peu de salive sur sa rosette.
— Remets le, remets le.
— Tout de suite ma chérie.
Je fis un signe de tête au voisin et sans la toucher il déposa le bout de sa queue sur son trou. Il poussa lentement, quand ses couilles touchèrent les fesses de Jackie elle comprit que je l’enculais. Elle se retourna et vit que je me caressais à côté d’elle mais que le sexe qui lui ramonait les reins n’était pas le mien. Ça n’avait pas l’air de la surprendre plus que ça.
— C’est bien meilleur que le gode, merci mon chéri.
Ils n’avaient semble-t-il plus besoin de moi pour l’instant et j’eus une autre idée. Discrètement je les laissai à leurs occupations et sortis de la chambre. Je traversai la terrasse et me rendis à côté. Décidément nous faisions tout en parallèle. La voisine était dans le salon, allongée à plat ventre sur le canapé, elle lisait une revue. Elle non plus ne sembla pas surprise de ma venue. Elle ne portait qu’un petit string noir. Je vins m’asseoir à côté d’elle et sans un mot je commençai à caresser ses fesses. Sa peau frissonna et elle laissa tomber son journal, la tête sur l’accoudoir elle était toute à moi. Je parcourus son dos et ses épaules comme je le faisais avec Jackie mais l’effet n’était pas le même. Avec Jackie je me concentrais pour lui donner du plaisir et souvent je la massais longuement. Là, une chose seule importait : mon plaisir. Très vite je revins à son cul, elle écarta les jambes légèrement pour me permettre de voir la bosse de son sexe sous la fine étoffe du string. Je voyais nettement la tache humide qui collait le tissu sur sa vulve. Mes doigts s’insinuèrent entres ses cuisses, elle se cambra pour m’offrir plus de liberté d’accès à sa chatte. Le string devenait gênant, je l’écartai sur une de ses cuisses. Cette vision était terriblement excitante. Elle était offerte, les cuisses écartées, le cul bombé et le slip en travers d’une fesse. Je mis ma main à plat sur son sexe un doigt enfoncé en elle, d’une main elle prit mon sexe à travers mon caleçon. Je sentais ma main couler de son plaisir. Maintenant deux doigts puis trois lui écartaient la chatte. Comme elle s’offrait de plus en plus aux caresses je me dis que je serais bête de ne pas en profiter. Utilisant mes doigts pleins de foutre je lui écartai la rondelle et lui en mis deux bien profond.
— Et bien vous au moins, c’est direct, on voit tout de suite ou on va.
— En fait comme votre mari est en train d’enculer ma femme je n’y vois là qu’un échange de bons procédés.
— D’accord, je pensais bien qu’il mijotait quelque chose quand il m’a dit qu’il sortait mais sans s’habiller. Cela dit s’il l’encule je vous invite à en faire autant !
C’était si gentiment proposé, je ne pouvais pas lui refuser. D’un geste je sortis ma queue pendant qu’elle se redressait et prenait appui sur le dossier du canapé. Elle était visiblement une habituée. Je n’eus presque pas à forcer et jusqu’à fond je la pénétrai. Après quelques instants elle me demanda de m’installer confortablement et c’est elle qui s’assit sur ma queue. Elle donnait le rythme et croyez moi elle aimait ça. Elle écrasait mes couilles et je sentais que je m’enfonçais dans ses entrailles. Elle enfonçait ses doigts dans sa chatte et je les sentais bouger sur mon sexe à travers la peau fine qui sépare les deux orifices. Elle jouit plusieurs fois mais j’étais si excité que je faisais un blocage. Je jouissais mais sans décharger. Mon sexe restait dur comme un pieu, il me semblait que je pourrais baiser toute la journée sans me vider les bourses. Elle décida qu’il fallait faire quelque chose. Elle me prit la main et retourna chez nous.
— Viens on va te finir à trois, je suis sûre que tu ne résisteras pas.
Arrivés dans la chambre, la scène était il est vrai des plus excitantes. Jackie était assise, tournant le dos au voisin et elle aussi s’empalait sur sa queue mais pas dans le cul. En tut cas pour l’instant. En nous voyant elle sourit et se retourna vers son partenaire.
— Tu avais raison, ils n’ont pas tenu bien longtemps. On va pouvoir s’éclater.
Elle me regarda avec un sourire épanoui.
— Pas vrai mon amour ?
— Je crois qu’on à déjà bien commencé. Et on ne va pas s’arrêter là.
Nous rapprochâmes les deux lits de façon à avoir un plus grand terrain de jeux. Nous avons tout essayé je crois, dans toutes les combinaisons, à deux, à trois, à quatre, par tous les trous. Nous étions ivres de sexe. Rien n’était interdit, il suffisait de demander. J’avais toujours la même érection et toujours les couilles pleines. Mes partenaires avaient tous joui plusieurs fois, moi aussi d’ailleurs mais sans me vider. Nous commencions à fatiguer et la voisine prit les choses en main. Le sexe de son mari en l’occurrence.
— Jackie viens m’aider, il faut qu’il bande une dernière fois.
Elles se mirent à le sucer, chacune leur tour, ensemble, en quelques secondes il était raide.
— Pourquoi une dernière fois – demanda Jackie
— Pour ton mari. Je veux qu’il jouisse alors Didier va l’enculer et nous, on le sucera. Je suis sûre que c’est ça qu’il attend inconsciemment et que ça le bloque. Depuis que je l’ai vu sucer mon mari ce matin j’en suis persuadée.
— Je veux bien te croire, quand je le suce je lui mets un doigt et ça le fais jouir.
— Didier c’est pareil, sauf que lui quand il à l’occasion il n’hésite pas à se faire un mec
Jackie abandonna la voisine pour venir vers moi. Elle me fit mettre sur le dos, les fesses au bord du lit. Didier vint se mettre entre mes jambes, les tenant écartées par les chevilles. Sa femme guida son sexe vers mon cul et posa le gland sur ma rosette. Elle s’adressa à son mari.
— Regarde comme il bande. En principe un mec qui se fait enculer ne bande pas. Pas vrai ?
— Exact, c’est très rare, et quand il bande au début ça s’arrête quand on fait ça !
Il s’enfonça d’un coup. Curieusement je ne pouvais pas dire que ça m’avait fais mal. Je sentais ma peau tendue et je distinguais le contact de sa chair avec précision. Très vite ce fus un immense plaisir de le sentir s’enfoncer doucement jusqu’au fond puis ressortir à la même vitesse. Je sentais sa peau qui glissait dans mon anus, le frottement me procurait un plaisir intense. J’eus envie d’être maltraité, puis cajolé, je ne savais plus où j’étais.
— Tu vois il ne débande pas, c’est extraordinaire, quand ça va partir ça va être impressionnant.
— Sucez le, fais toi lécher qu’il soit coupé de partout.
Jackie se mit à l’ouvrage et la voisine enjamba ma tête et présenta sa foune sur mes lèvres. Ensuite elle se coucha sur moi et vint aider ma femme dans sa tâche. Ils avaient raison, comment résister ? Mais je voulais encore un peu profiter. J’écartai mes jambes au maximum. Didier comprit le message et me bourra plus violemment. Maintenant je sentais ses couilles s’écraser sur mes fesses. Son gland forçait le passage je sentais le passage s’écarter pour le laisser aller. Deux bouches me pompaient goulûment. Jackie surtout en même temps me malaxait les couilles. Le sexe de la voisine qui se frottait sur ma langue. Elle était salée et avait presque le même goût que Jackie C’était le summum. J’avais une dernière envie, je voulais éclater dans la bouche de ma femme. Si avec l’excitation elle m’avalait alors là ce serait le nirvana. Je sentais que ça venait. Comme une vague que l’on verrait à des kilomètres et qu’on regarderait s’approcher grandissant de plus en plus. À cet instant je sentit le sexe de Didier grossir encore c’était comme s’il vibrait, il allait jouir. Je pris la nuque de Jackie et l’embrochai sur ma verge. Et tout explosa. Lui en moi, je sentis la pression des jets de sperme dans mon ventre. Une première giclée dans la bouche de ma femme qui se releva aussitôt, la bouche pleine et poussa la voisine pour venir m’embrasser pour me prouver qu’elle avait tout avalé. La seconde giclée s’écrasa sur le visage de la voisine qui n’avait pas eu le temps de me happer. Elle avala les suivantes jusqu’à ce que Jackie la remplace et me téta jusqu’à la dernière goutte. L’homme se retira ce qui eut pour effet de m’arracher une giclée supplémentaire qu’à son tour Jackie prit en plein visage. Elle se mit à rire et la voisine à l’embrasser pour ne pas en perdre une miette. Jackie faisait de même et pour finir recommença à me sucer, mon sexe était encore gros mais relâché et elle me soutira encore quelques gouttes dont elle se délecta. Elle embrassa longuement le voisin, puis la voisine et alla dans la salle de bain.
— Je vais me laver.
Nos nouveaux amis firent de même. Il ne restait que moi sur le lit. Les couilles enfin vides. Le cul éclaté mais de plaisir, il me semblait que je sentais encore cette queue me travailler. J’étais bien et le sommeil vint très vite.
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