En avance, comme d’habitude, j’arrive chez Philippe et Stéphanie pour leur rendre une petite visite. En cette fin d’après midi d’automne, le jour se couche tôt, j’allume donc le plafonnier. Un petit coup d’œil dans le rétro, tout va bien, ma coupe de cheveux n’est pas trop en bataille malgré ma fenêtre ouverte durant tout le trajet et… Une lumière vient de s’éclairer dans la chambre détournant mon attention de mes cheveux. Sans y prêter d’abord trop attention, je sors de la voiture et me dirige vers la porte d’entrée pour sonner lorsque je m’aperçois que, derrière les rideaux, c’est Stéphanie qui a allumé la lumière. Je jette donc un coup d’œil mateur comme n’importe quel homme qui serait passé par là, et je profite d’un spectacle digne des meilleurs sites :
Stéph jusqu’alors habillée d’un survêtement quelconque retire son pantalon pour me donner la chance de profiter de la vue de ses jambes et de son cul magnifique, elle est blonde, relativement petite, ce qui a pour effet de mettre en évidence ses fesses et ses seins qui sont effectivement bien présents. Ce qui se remarque d’autant plus que sa fine taille les fait encore plus ressortir. J’en étais donc à son superbe cul qui se trouve soudain tendu vers la fenêtre et par la même occasion vers moi. Elle se débarrasse de ses chaussettes et elle se décide enfin à retirer cette culotte de sport que je trouve personnellement assez moche. Dans la même position, elle se saisit des côtés pour les descendre dans un mouvement de flexion du bassin et deux fesses blanches et rebondies sortent de cette prison de tissus.
Lorsqu’elle arrive aux pieds et lève une jambe pour retirer sa culotte, je distingue clairement son anus et ses lèvres. N’y tenant plus, je sors ma bite sans réfléchir – quand on dit qu’un homme a son cerveau dans son sexe, on a vraiment raison ! – Heureusement que le jour est tombé tôt car je me fous royalement que l’on me voie ! Je me branle donc allègrement en regardant Stéph se diriger vers une chaise pour y déposer ses habits et lorsqu’elle se retourne pour venir à nouveau vers moi, je crains qu’elle ne me voie, mais l’excitation est trop forte quand je découvre sa chatte, des lèvres charnues lisses, les seuls poils blonds qui restent sont nettement taillés en triangle au-dessus du clitoris, une vraie œuvre d’art !
Je me concentre sur ma branlette qui me procure un bien fou et qui atteint son paroxysme lorsque Stéph retire son top en lycra qui maintenait avec peine ses seins lourds mais fermes, les larges auréoles roses s’étalent au bout de ces seins clairs, je pense que je vais jouir lorsque tout à coup, je fais un bond quand une main se pose sur mon épaule : « Elle est bandante, hein ? » Philippe vient de m’attraper en train de me branler devant sa copine !
Contrairement à ce que vous pouvez croire, loin de m’en vouloir, Philippe sort sa bite et m’accompagne dans mon occupation… Je dois juste préciser que Philippe est mon meilleur ami, que je le connais depuis que je suis gamin, que l’on a découvert la sexualité ensemble et que compter le nombre de films de cul devant lesquels on s’est branlés ensemble est mission impossible ! Mais bon, là, c’est quand même différent, ce n’est pas un film de cul, mais le cul de sa copine… Même si j’ai participé à des trucs sans qu’elle ne soit au courant (je vous raconterais un peu plus tard), là, c’est quand-même différent.
Bref, on se branle maintenant en matant sa copine, mais sans dire un mot, il ne faut pas oublier que seul un rideau nous cache et que, même si la fenêtre est fermée, je ne crois pas que Stéph soit autant compréhensive que Philippe ! Elle, sans se douter de quoi que ce soit, attrape des bas blancs, s’assied sur le lit pour les enfiler – Tiens, moi, j’enfilerais bien autre chose… Mais bon, là, je m’égare… – Quel délice de la regarder, à chaque fois qu’elle soulève une jambe, son intimité se révèle et son petit clito rouge me donne une furieuse envie de le prendre entre mes lèvres !
Elle attrape ensuite un bustier blanc qu’elle referme autour d’elle et agrafe avec quelques difficultés tant il est serré. Elle le retourne pour faire passer les attaches derrière et ses seins, pressés fortement l’un contre l’autre forment un décolleté vertigineux. Perdus dans nos contemplations, on ne se rend pas compte qu’elle enfile prestement une minijupe, une fine chemise transparente et se dirige vers la porte de la chambre. Lorsqu’on s’en rend compte, on se dirige précipitamment vers le palier où Philippe fait mine de m’accueillir comme si j’arrivais justement à ce moment là.
Nous rentrons dans l’appartement avec devant nous nos bites qui semblent indiquer la direction que nous suivons… Stéph est déjà assise dans un fauteuil et je ne peux m’empêcher de bander comme un âne en voyant en filigrane les images dont ma tête est remplie et en me rappelant qu’elle ne porte pas de culotte… Mon regard fouille entre ses jambes alors qu’elle se lève pour venir m’embrasser, je n’arrive à distinguer que le haut de ses bas, mais cela suffit pour me porter au bord de l’éjaculation en sentant ses joues sur les miennes, et lorsqu’elle me serre dans ses bras pour me faire la bise, j’ai l’impression que je vais la perforer ! Je suis certain qu’elle a senti mon désir à la rougeur qui s’installe sur ses joues.
Elle m’invite à m’asseoir dans le canapé à côté de Philippe et nous apporte l’apéro. Elle se place en face de nous dans le même fauteuil, mais cette fois, avec plus de chance, je distingue nettement la couleur de ses poils pubiens. Ma bandaison reprend donc comme un seul homme. Philippe se rend compte du manège mais, le connaissant, je sais que la situation doit l’exciter plus qu’autre chose, il m’a souvent parlé des envies de partager sa copine avec moi… Mais le fait est que Stéph est très timide et doit penser être très discrète. La discussion passe gentiment et je me rends compte que l’heure est venue de rentrer à la maison où Nath doit commencer à se faire du souci. Ne voulant pas couper court à ce qui se passe entre nous trois, je les invite à souper à la maison, et après quelques excuses bidon que je réfute, ils acceptent.
On part donc vers chez moi en deux voitures : je suis tout seul, mon esprit vagabondant à des scénarios dont je sais que ma future ne voudra pas, connaissant sa gêne et son côté exclusif dans le sexe, Philippe et Stéph dans la leur. Après ce trajet, on arrive à la porte de l’appartement où, contrairement à mon habitude, je sonne pour faire comprendre à Nath, ma future épouse, que je ne suis pas seul. Lorsqu’elle ouvre la porte, je me rends compte qu’elle n’a pas compris le message.
En effet, elle se tient appuyée contre la porte à la manière d’une pute en tenue de soubrette, elle a du vouloir me faire une surprise en me gratifiant d’une tenue hyper sexy: Dans ses cheveux blonds noués en chignon, une coiffe blanche; à ses pieds, des talons aiguille noirs très hauts que je n’ai jamais vus, elle porte des bas blancs à couture sur des collants noirs que je lui ai achetés (et oui, c’est mon fétichisme) ces collants noirs sont du type nu absolu de DIM pour les initiés, c’est-à-dire qu’ils n’ont absolument aucune couture et, grâce à la lumière du couloir, on voit donc les lèvres de sa chatte épilée pour l’occasion qui dépassent de sa micro jupette noire plissée recouverte d’un tablier blanc.
Comme si ce n’était déjà pas suffisant, en haut, elle porte un collant noir troué à l’entrejambe dans une sorte de t-shirt à manches longues, diablement transparent et sexy, elle ne porte pas de soutien-gorge, le collant serrant ses gros seins fort sans pour autant empêcher ses tétons de pointer fièrement. Son maquillage exagéré dans le pourpre de son rouge à lèvres, dans le fard de ses joues ou dans la longueur de ses cils, elle me regarde dans les yeux en se passant la langue sur les lèvres de manière provocante, l’air de dire: Toi, mon grand, tu vas passer une chaude soirée… Malheureusement, elle voit à ce moment là le couple qui arrive sur le palier et son visage change de style : de la provocatrice, elle devient hyper gênée et ses joues deviennent rouges malgré la couche de fond de teint et encore pire lorsque Philippe siffle sa beauté ! Elle me dit en rageant à travers un sourire forcé : « Salaud, tu aurais pu me prévenir, je cours me changer » et elle se retourne.
— « Attends, lui dis-je, voyant se profiler une soirée qui pourrait devenir vraiment chaude, si Philippe et Stéph ne sont pas gênés, ça ne me dérange pas que tu reste comme ça, on est déjà allés à la plage ensemble et tu ne montre pas plus qu’en topless… (en espérant qu’elle ne sait pas que sa chatte recouverte de lycra se voit comme si elle était nue sous sa jupette)
— « En ce qui me concerne, j’en serais flatté ! » Ca ne m’étonne pas de Philippe…
— « Euh… Moi non plus » dit Stéph en rougissant aussi…
— « Bon, alors si vous vous y mettez tous… » Nath semble résignée.
Elle sort faire la bise à nos invités et je me rends compte alors à quel point sa tenue est indécente. Lorsque Nath se met sur la pointe des pieds pour embrasser Philippe, sa jupette se soulève assez pour que Stéph voie clairement la raie de ses fesses. Je me réjouis de ce regard silencieux car je craignais que la solidarité féminine ne lui dicte d’avertir Nath de son exhibition involontaire, mais non, pas un mot, seul un regard… assez soutenu. Philippe, lui, se délecte et m’adresse un clin d’œil de remerciement.
Nous rentrons donc en suivant Nath qui va augmenter l’intensité lumineuse car elle avait prévu une lumière tamisée pour créer l’ambiance sexy. Philippe s’installe sur le canapé mais je lui dis qu’il faut laisser la place aux dames. Il s’exécute un peu étonné, mais comprend en voyant nos compagnes s’asseoir dans le canapé profond et nous offrir une vue magnifique sur les culottes qui brillent par leur absence ce soir. Quel spectacle, je ne sais plus où donner de l’œil !
D’un côté, les poils de Stéph et son décolleté plongeant, d’un autre, ma chère et tendre, dans une tenue que je n’ai encore jamais connue, ses seins fièrement dressés, son allure décalée entre sa timidité manifeste et son costume provocateur, sa chatte clairement visible… Quelle chaleur ! On prend un nouvel apéritif, histoire de se détendre un peu, ce qui serait difficile pour ma part étant donné la rigidité de mon membre. Je laisse Nath se charger de nous servir, histoire de profiter encore de sa tenue, un coup de face lorsqu’elle se penche pour me servir et que je bloque sur ses seins, un coup de pile lorsqu’elle sert Stéph et qu’avec Philippe, on se délecte de découvrir son anus serré entre ses deux belles fesses, l’alignement de ses lèvres, l’ouverture de son vagin, mmmm… Tout cela à travers ses collants… J’ai l’impression qu’elle se sent cachée ou habillée par ses collants, ou alors, elle a envie de sexe comme jamais, mais je ne crois pas…
Alors qu’elle passe à portée de main pour s’asseoir, je lui mets une main aux fesses, et elle me jette un regard que j’appèle maîtresse-d’école-qui-fait-une-remontrance-à-un-élève. Bref, une fois assise, nous prenons ensemble l’apéritif et même si je vois à la bosse qui déforme que Philippe est dans le même état que moi, la conversation reste sage. Je sens que ma moitié se sent de moins en moins gênée et qu’elle oublie peu à peu sa tenue surtout à la manière de s’asseoir: Au début essayant de cacher ses seins, même si ses bras n’en cachent que la moitié… maintenant, elle se lâche et même ses jambes se décroisent sans retenue, l’alcool, sans doute…
Nous passons donc à table et même si le repas était déjà prêt, la quantité est largement suffisante et le repas n’est pas sujet à des conversations osées, malgré le vin qui commence à nous faire gentiment tourner la tête, si ce n’est lorsque Nath laisse tomber une goutte de sauce sur son téton gauche, cette goutte blanche coule le long du mamelon, tachant le collant suivant une longue traînée, et comme elle a les mains occupées par le plat, c’est Stéph assise à côté qui arrête la coulée avec le doigt d’un geste rapide. Elle remonte lentement le long du téton pour tout récupérer sur le doigt et lèche le tout. Une scène lourde de sens et qui réveille chez moi une érection fulgurante. Je ne peux m’empêcher de dire :
— « Tu m’as l’air gourmande !!! »
— « Oui, pourquoi, ça te gêne ? »
— « Non, mais je me dis que Philippe est chanceux ! »
— « Pourquoi, demande Stéph, Nath n’aime pas la crème blanche ? »
— « Beurk, non ! » Nath ne laisse aucun doute sur sa réponse !
— « C’est bizarre, moi, je pourrais en boire… beaucoup… » Stéph s’interrompt en se rendant compte de ce qu’elle vient de dire et elle devient rouge.
— « Oh, ne t’en fais pas, j’étais déjà au courant… » Je lâche ça conscient de l’effet que cela peut produire.
— « ??? » Stéph rougit encore plus et regarde Philippe furieuse.
— « Ne lui en veux pas, on se connaît depuis si longtemps qu’on partage tout… euh… comme des frères. » J’ai eu peur qu’elles se doutent de quelque chose…
— « Mais… euh… Vous ne vous dites pas… tout ??? » Nath pose la question très troublée par notre complicité.
— « Si, je crois. » Philippe répond fermement, jetant le doute dans l’esprit des deux femmes qui se sentent en porte-à-faux, ne sachant pas ce que l’on sait d’elles…
La conversation change donc de sujet pour revenir à quelque chose de plus anodin et le repas se finit dans cette série de conversations très banales. Par la suite, nous allons tous dans le salon.
A nouveau, nous buvons quelques digestifs en parlant de tout et de rien, la chaleur monte et Stéph retire sa chemise transparente. On voyait tout à travers, mais je trouve ça bien plus excitant de tout voir en direct… Ce bustier en dentelle blanche a un effet instantané sur mon sexe qui n’en peut plus de se durcir sans se vider ! Je dois rester bloqué sur ce décolleté pigeonnant un peu trop longtemps car quand je relève les yeux vers Stéph, elle est toute rouge et fuit mon regard. Si seulement elle savait…
Nathalie complimente les formes de Stéph :
— « Tu es vraiment superbe ! »
— « Oh, mais toi aussi… » Et Stéph scrute Nath avec insistance.
— « Merci, mais là, je ne suis pas vraiment à l’aise dans ce costume ! J’ai l’impression de me trouver toute nue devant vous… »
— « Ne t’en fais pas, dit Philippe, tu es vraiment magnifique, et puis, tu devrais savoir que tu es vraiment faite pour porter des costumes, que ce soit celui-ci de soubrette ou alors en lapin, ou rien qu’en collants… » Il s’arrête brusquement, cette fois, il n’y a plus de doute, Nath a compris qu’il a vu les photos que je prends d’elle avec l’appareil numérique… Je ne sais pas quoi faire, et je fais comme si je n’avais rien remarqué et j’en profite pour mater Stéph qui rajoute à mon grand soulagement :
— « C’est vrai que ça te va bien, tu peux nous faire un petit défilé, pour voir ? »
Nath ne comprend visiblement plus si Stéph est aussi au courant ou quoi… Elle se lève et commence à marcher. Stéph semble découvrir à peine que lorsque sa jupette plissée se balance au rythme de ses pas, on voit très bien son intimité, elle rougit à nouveau, c’est à croire que c’est sa couleur naturelle ! Comme nous applaudissons à son passage, Nath gonfle la poitrine – qui n’en a pourtant pas tant besoin – cambre les reins et fait ressortir ses fesses. Elle prend quelques poses aguichantes, et je suis fier d’elle, elle est diablement sexy !!! Je suis tellement excité par le fait que Stéph découvre son corps. Je suis franchement exhibitionniste et le fait qu’elle soit là, sa timidité gommée par l’alcool, en train de prendre des poses de plus en plus osées devant Stéph qui n’en perd pas une miette, ça me rend dingue !
La manière dont Stéph, après des petits coups d’œil timides regarde maintenant directement la chatte et les seins de ma copine, Je n’en crois pas mes yeux et visiblement, Philippe non plus… Il ne sait pas où donner de l’œil: Entre sa copine qui mate littéralement la mienne et ma copine qui se lâche, il donne l’impression de regarder un match de tennis ! Nath retourne (déjà) à sa place et reçoit fièrement des compliments de nous trois au sujet de sa plastique. Elle rougit de plaisir. Après son moment de gloire, elle rajoute, à mon avis sur un ton de défi :
— « Mais tu sais, Stéph, tu n’as rien à m’envier, tu es vraiment belle… Ta poitrine, tes jambes, rien à dire, tu es vraiment bien foutue… »
— « C’est gentil… » Stéph gonfle aussi la poitrine, on dirait que le bustier va exploser.
— « Tu n’as qu’à nous faire un petit défilé aussi, ce serait sympa, qu’en pensez-vous, les garçons ? »
— « Oh, oui !!! » On répond en cœur.
Stéph se lève alors sans se faire prier et commence à faire le même défilé que Nath, en un peu moins sexy, à cause des habits, mais, au moment des poses, elle a la bonne idée de s’appuyer le dos au mur et descendre à la manière des strip-teaseuses contre les piliers métalliques, et lorsque son bassin arrive au niveau des genoux largement ouverts, sa chatte apparaît, et tellement ouverte que l’on peut voir l’entrée de son vagin !
Elle a du oublier son absence de culotte, mais Nath, elle a les yeux exorbités, je me régale de voir son visage étonné, intéressé, et même excitée ! Après s’être frottée de manière suggestive contre le mur, elle serre ses seins entre ses bras, même s’ils n’en avaient pas besoin, on dirait que le bustier ne pourra plus tenir longtemps et qu’ils vont bondir !!! Elle revient à sa place alors que l’atmosphère se charge en… sexualité !
— « Alors ??? » Stéph attendait peut-être un accueil plus… démonstratif.
— « Et bien, c’est superbe, tu es très… euh… sensuelle ! » dit Nath
— « Comment ça ? »
— « Et bien, si tu veux savoir, on a pleinement profité du temps que tu as du passer à tailler le contour de ta chatte ! » dit Nath avec un clin d’œil.
A ces mots, Stéph croise les jambes à la vitesse de l’éclair, elle rougit et s’enfonce dans son fauteuil.
— « Non, c’était vraiment super, en tous cas, moi, j’ai apprécié ! » Je ne peux me retenir de l’encourager, je n’ai en tous cas pas envie qu’elle se renferme !
— « C’est vrai, chérie, tu as montré de quoi tu es capable… » Philippe m’aide à la remettre à l’aise.
— « Oh, mais ne le prends pas mal, j’ai aussi apprécié ce que tu as fait… » Nath s’y met et c’est elle qui parvient le mieux à détendre Stéph.
Je sers à nouveau un verre quand Nath, ayant visiblement pensé à ça toute la soirée demande :
— « Mais… Quand tout à l’heure vous avez dit que vous partagiez tout, c’est tout… jusqu’à quel point ? »
— Philippe répond simplement « Tout. »
— « Mais vous avez déjà partagé… Je ne sais pas, moi… Une fille ? » Stéph s’intéresse visiblement à notre passé.
— « Non, ça a été notre PLUS GRAND FANTASME quand on était jeunes, mais jamais nous n’avons réussi… » Je laisse la porte ouverte sans forcer…
— « Ah… » Stéph semble soulagée, mais Nath demande encore :
— « Mais encore, maintenant, vous partagez quoi ? »
— Même réponse simple de Philippe « Tout. »
Stéph et Nath se regardent interloquées. Nath ajoute :
— « Ca se passe comment ? »
— Je prends la parole : « Et bien, depuis qu’on est gamins, on se confie tout : nos secrets, nos expériences, nos joies comme nos peines, alors on a continué malgré les années, c’est aussi simple que ça »
— « Mais quand vous vous racontez tout, c’est même vos… expériences sexuelles ? » Nath retourne à l’attaque face à une idée qui semble très précise.
— Réponse toujours aussi simple de Philippe : « Oui »
— « Pourquoi ? Comment osez-vous dévoiler de telles choses !!! » Elle commence à s’énerver.
— « C’est très simple, on a toujours pensé que les expériences de l’autre nous servent à éviter les erreurs ou à profiter de ses avantages. » Philippe répond bien et calme Nath.
— « Aaaaahhh, je comprends, dit Stéph, quand tu as dis que tu savais, tout à l’heure, pour le fait que j’aime le sperme, tu étais sérieux, Philippe te l’a dit… »
— « Oui, et j’en sais encore bien plus… »
— « Comme quoi ? »
— « Comme le fait que tu avais envie que Philippe garde un récipient pour toi dans le congélateur et le remplisse peu à peu de sperme pour que tu te le verses dessus et que tu le boives… Et il l’a fait… Et plus vite que tu ne le croyais… »
— « Euh… Oui… » Elle rougit en regardant le visage un peu dégoûté de Nath. « C’est tellement excitant de jouer avec tout ce sperme, c’est comme si plein de mecs m’avaient joui dessus et que je me masse avec leur sperme, je m’en renverse sur les seins, le visage, je le bois… Tu devrais essayer, c’est hyper excitant, rien que d’y penser, de me rappeler la chienne que je deviens, je suis toute excitée ! »
— « Non, je ne crois pas que ce soit mon truc… »
— « Je sais, dit Philippe, par contre, toi, tu préfères la sodomie et tu acceptes de porter les costumes que ton homme te propose pour te photographier, n’est ce pas ? »
— « Oui » Elle lance un regard furieux à Olivier.
— « Ce que tu ne voies pas, c’est qu’à travers mes récits, Philippe vit des expériences que Stéph ne veut pas lui offrir, même excitée ! »
Et c’est là que la tournure dépasse complètement tout ce que j’espérais de plus fou !!! L’alcool et l’excitation des exhibitions aidant :
— « Ca, c’est vrai, dit Stéph étonnée que je sois au courant, la sodo, c’est pas mon truc, j’ai peur d’avoir mal ! »
— « Non, dit Nath, le principal, c’est d’être détendue et d’avoir confiance, après, c’est que du plaisir… Avoir une bite dans le cul… Celle d’Olivier a beau être grosse, c’est bon et excitant ! »
— « Je ne sais pas ce qui pourrait me donner assez confiance… » Elles parlent alors comme si on n’était plus là…
— « Si tu me voyais faire, peut-être que… »
— « Oh, super, et je te montrerai que le sperme n’est pas si horrible que ça ! »
— Je ne peux m’empêcher d’ajouter : « D’autant plus que Philippe m’a raconté que tu as apprécié le mélange de nos spermes ! » Elle me regarde interloquée. « Mais oui, tu ne croyais pas que ton homme aurait pu remplir le flacon aussi vite tout seul ! » Elle me regarde cette fois-ci choquée, s’apprête à me répondre, mais j’ajoute : « Et puis, si tu veux, tu pourras en avoir du chaud, sorti à l’instant… » Elle change de visage et l’excitation fait place au choc, Nath, elle n’en revient pas et me demande :
— « Mais moi, je n’ai rien… euh… reçu de Philippe ? »
— « Pas tout à fait, répond Philippe, en plus de m’être branlé en regardant tes photos, qui sont d’ailleurs sublimes, tu te souviens de la fois où Olivier t’a attachée les yeux bandés et qu’il t’a léchée et éjaculé sur la chatte ? » Nath acquiesce. « Et bien, j’étais aussi dans la pièce et on a été deux à t’éjaculer dessus… »
— « Salaud !!! »
— « Ne dis pas que tu n’as pas apprécié, vu comment tu as crié en recevant tout ce sperme ! »
— « Oui, mais je, je euh… »
— « Tu rien, si tu veux, on recommence, vous avez parlé sans nous demander jusqu’à maintenant en faisant de jolis plans, mais je ne crois pas qu’on soit disposés à vous laisser nous exciter comme ça sans passer à quelque chose de plus concret ! » Philippe m’étonne de sa fermeté, mais contre mon attente, il sort sa bite, se branle, regarde les filles dans les yeux et les filles le regardent sans le remettre en place…
Je l’imite donc de bon cœur et débute l’orgie la plus improbable que j’aie jamais rêvé… Connaissant ces filles, je n’aurais jamais parié le moindre centime qu’on arriverait à les faire participer à nos jeux !!! Du moins de manière consentante !
Stéph attrape la bite de son homme et commence une pipe d’anthologie, elle semble vouloir étaler son talent et branle, suce, enfonce au plus profond de sa gorge comme si sa vie en dépendait… Nath, elle, fidèle à son habitude, prend son temps, crache bien sur mon sexe qui se recouvre de salive et fait des fils quand elle le frotte sur son visage… Je regarde Philippe et nos sourires béats ne laissent aucun doute sur le plaisir qui nous est procuré et sur les idées qui nous trottent par la tête… Je caresse enfin les seins de Nath à travers les collants, c’est si doux, je me régale… Ma main court sur sa croupe, ses jambes alors que Philippe tend sa main et dit :
— « Je peux ? »
Je vois Nath qui se tourne de manière à lui proposer ses seins qu’il commence par caresser et pincer puis qu’il masse carrément avec force. Stéph, elle, se tourne pour me proposer ses fesses que j’accepte volontiers, délaissant ma femme au grand plaisir de Philippe, je soulève donc la mini pour profiter en direct de ce que je n’ai vu que de loin et un peu caché… Je caresse donc ses jambes depuis les pieds jusqu’au haut des bas, je la vois qui remue ses fesses et je commence donc à les masser gentiment tout en regardant s’ouvrir ce joli petit trou que je me vois bien inaugurer d’ici peu… c’est donc par les mains qu’on s’échange d’abord nos copines, puis Stéph vient aider Nath qui descend alors me lécher le trou du cul, je suis au paradis alors que je me délecte de voir ce tableau… Je suis si fier que Philippe profite de Nath et commence à la branler doucement, elle me laisse donc et attrape le sexe de mon ami en le regardant dans les yeux et nous profitons tous du changement de méthode. J’ai l’impression que Stéph va me dévorer le sexe, Philippe guide Nath sur son sexe puis vers son anus, visiblement intéressé par ce qu’elle m’a fait un peu avant. Il ferme les yeux sous la caresse et je suis au bord de l’explosion lorsque je retire la tête de Stéph qui fait la moue, déçue que je la prive de son jouet :
— « Attends, je m’occupe de toi… »
Je l’allonge sur le dos pour lui manger le sexe en essayant de lui mettre le visage entre les jambes écartées de Nath, mais elle ne veut pas comprendre… Bref, je lui lèche le contour des lèvres, elle gémit et m’encourage en attrapant ma tête à pleines mains et en la plaquant fort contre sa chatte. J’aspire son clitoris et je le lèche dans ma bouche alors que j’entends maintenant que Philippe déchire le collant de Nath et je pense qu’elle va subir le même traitement… Je me sers de ma langue comme d’un gode et force son vagin. Comme elle apprécie ce que je lui fais, je salive un peu plus pour lubrifier jusqu’à ses fesses, je descends alors et lui masse l’anus de la langue et je le sens se contracter puis se relâcher successivement de plaisir. Bon, me dis-je, elle n’est pas complètement insensible à ce type de plaisir…
J’utilise à nouveau ma langue pour pénétrer cet orifice et elle laisse s’échapper un soupir… après un moment, je reviens à sa chatte en massant son anus de l’index pour le rendre plus élastique. Je lève le regard pour découvrir que Stéph a la tête en arrière et regarde comme moi Philippe mettre trois doigts dans le cul de ma copine. Il lui lèche la chatte comme Stéph l’a fait à ma bite: Avec une envie de tout avaler qui m’impressionne ! En voyant ça, Stéph pousse sur mon doigt qui pénètre de deux phalanges. Elle se saisit de sa bite et lui prodigue de magnifiques caresses buccales. J’en profite pour glisser un second doigt et lécher autour, la chaleur dilatant l’anus et la salive facilitant la pénétration…
Nath se masse les seins en regardant le spectacle à la manière d’une vraie salope, elle remue le bassin comme une furie et ça me rend dingue d’excitation. Je lâche le cul de Stéph pour forcer ma bouche avec ma bite pour rejoindre Philippe : depuis le temps qu’on rêvait de se faire sucer ensemble… Nos deux glands rentrent avec peine dans la bouche de Stéph qui y met pourtant tout son cœur, elle ouvre grand sa bouche et force sur nos sexes, c’est vraiment génial !!! Je baisse les balconnets du bustier pour libérer ses seins que je pétris avec fougue et réalise un autre fantasme en me plaçant à cheval sur elle entre ses superbes globes pour une branlette espagnole de la copine de mon meilleur pote !
Elle me regarde droit dans les yeux alors que mon gland fait des allers-retours entre ses lèvres pulpeuses… Je retire alors Philippe de Nath et tente à nouveau de placer la tête de Stéph entre ses jambes, sachant que c’est un de leurs fantasmes communs. Nath se laisse faire mais Stéph proteste :
— « Je suis pas gouine… Je sais pas… Vous le feriez, vous ? »
— « Bien sûr ! » Je réponds sans hésiter.
— « Chiche ! »
Sans autre forme de procès, je regarde le sexe de Philippe qui se dresse à côté de mon visage vu que je suis encore à califourchon sur les seins de Stéph et je le prends dans ma bouche. Je regarde les yeux ébahis des filles et je lis sur leurs visages l’étonnement et l’excitation créée par la surprise… Nath, s’assied littéralement sur le visage de Stéph qui ne se retient plus et lui donne du plaisir… Je retrouve personnellement le goût d’un sexe d’homme, chose qui ne m’était pas arrivée depuis mes quatorze ans, un soir où, en manque de filles, nos sexes s’étaient contentés de nos bouches… Bref, si c’était la condition pour voir nos copines se gouiner, je l’ai accepté et vu la pression des mains de Philippe sur ma tête, je dois encore savoir comment m’y prendre. Je m’arrête somme toutes assez vite pour profiter du spectacle de ces deux chiennes en position de 69 en train de se régaler et je fais signe à Philippe de prendre Nath.
Philippe se place donc derrière elle et Stéph le guide dans le vagin de sa maîtresse. Elle continue à lui lécher le clito et je vois ma future femme se faire prendre dans une position que je rêvais depuis longtemps. Je me branle en profitant de la scène pour attraper mon appareil photo numérique, le mettre en position et le régler sur une photo par minute. Je reviens alors que Phil sort de ma copine et Stéph reprend sa bite pour le guider, mais je la vois présenter le sexe vers le cul de Nath qui se cambre pour recevoir l’engin. Stéph s’arrête de lécher pour profiter de la vue et tirer les fesses de son homme pour qu’il encule mieux ma femme… Quel délire !!! Il rentre doucement, puis voyant que le chemin était déjà fait, commence à limer gentiment. Stéph reprend sa séance de léchage alors que Nath commence à crier de plus en plus fort, et elle rentre deux doigts dans son anus qui commence à être de plus en plus réceptif à ce traitement. Je me dirige donc vers cette invitation, j’embrasse Nath au passage et je lui fourre ma bite dans la bouche pour la lubrifier avant de me diriger vers le dépucelage anal de Stéph.
Des fils relient encore mon sexe à la bouche de Nath lorsque les doigts de Stéph me libèrent le passage. Nath me prend le sexe et le rentre tout doucement dans le cul étroit en lubrifiant abondamment. Je regarde Philippe qui me fait un large sourire, je le sens prêt à éjaculer. Je ne force pas et agit par petites progressions puis pauses et me voici en entier dans le cul de Stéph qui n’en croit visiblement pas ses yeux… Elle me tâte les bourses puis vérifie que je suis complètement rentré et elle lâche les cris qu’elle retenait, elle me crie comme dans les films les plus hards :
— « Vas-y, encule-moi !!! J’aime sentir ta bite dans mon cul !!! Regarde-moi, Philippe, je suis une salope, hein ??? »
— « Oui, t’es une vraie pute ! »
Nath mange maintenant la chatte de Stéph qui se libère et décontracte complètement son cul, je sens la salive de Nath glisser sur ma bite et je me délecte de cette sensation. Les cris des filles contrastent avec nos visages calmes et le ralentissement dont nous faisons preuve est un signe qui ne trompe pas: Le sperme commence à vouloir faire son apparition. On s’arrête donc après ces quelques minutes de folie et on laisse les filles se lécher partout : le collant de Nath est trempé sur ses seins et entre ses jambes coule un long filet de salive et de jus de femme… Stéph que l’on voit de dos nous offre un anus de toute beauté, encore dilaté après mon passage.
On place les filles dans les bras l’une de l’autre, seins contre seins, elle s’embrassent maintenant à pleine bouche et on se place avec Philippe d’un côté et de l’autre pour préparer nos éjaculations… je passe la main dans les cheveux de Stéph et Philippe laisse échapper un « OUIIIII » qui fait se retourner les têtes pour voir arriver le premier jet de foutre sur les cheveux de Nath et sur ma bite. Le deuxième, mieux visé rentre dans le nez de Stéph mais ce n’est pas encore ça et le troisième arrive enfin dans sa bouche. Stéph referme ses lèvres sur le gland de son homme et nous prive du spectacle de la fontaine de sperme…
Je suis déçu et dois me contenter de voir le visage de Philippe se crisper et profiter enfin de son plaisir. Alors que je croyais ce sperme avalé, Stéph allonge Nath et se place au-dessus de sa tête, ouvre la bouche et laisse couler un filet de sperme jusqu’à la bouche grande ouverte de Nath. Je reste stupéfait de constater que Nath avale ce sperme alors qu’elle a toujours refusé de goûter le mien, mais tellement excité que je ne peux me retenir d’éjaculer à grandes et longues giclées sur le corps de ma copine toujours recouvert de collant. Le fait que je n’aie pas éjaculé depuis une semaine me permet de lui en mettre une quantité respectable sur les seins, puis, après une rotation, je me place dans la raie des fesses de Stéph et même dans son anus encore dilaté… les dernières gouttes finissent sur la chatte de Nath et elle se masturbe avec alors qu’elle finit d’avaler le sperme de Philippe.
Elle se saisit délicatement du visage de Stéph pour lui nettoyer le nez alors que celle-ci me rejoue la scène du repas, elle passe son doigt sur les seins maculés de Nath, remonte sur le téton, me regarde dans les yeux comme pour dire : « tu ne te doutais pas que je le ferais pour de vrai pendant le repas, hein ? » et une fois que cette giclée de sperme est récupérée sur ce doigt, elle l’enfonce dans sa bouche pour l’avaler… Quelle salope ! Nath jouit à ce moment là en étalant encore le sperme sur sa chatte. Stéph se branle à quatre pattes de toutes ses forces et Nath se rend compte qu’il reste du sperme dans son cul, telle une affamée qui le ferait pour sauver sa vie, elle se jette dessus, écarte ses fesses autant que possible, et alors que celle-ci se fait jouir, elle mange tout mon sperme dans cette raie couverte de foutre…
Nous reprenons doucement nos esprits, sans avoir prit la peine de nous rhabiller, nous profitons du moment, Nath appuyée sur mon épaule, Stéph dans les bras de Philippe et après un dernier verre… pour la route, on les raccompagne, tellement déboussolés par ce qui vient de se passer que Nath ne s’habille pas non plus quand on les raccompagne à leur voiture et qu’un gamin se casse la figure en la matant depuis son vélo. Je ne sais pas encore ce que je vais faire des photos, mais je pense que nos liens avec ce couple vont se … resserrer, non ?
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