La partie de Golf

J’ai 34 ans et je joue au golf depuis plus de 8 ans. Au cours du mois de mars dernier, j’ai profité des belles journées pour faire quelques parties en semaine ayant plusieurs RTT à prendre.

Je me rends donc dans un club de région parisienne, le parcours est assez dur car fortement boisé mais mon niveau me permet de mettre de côté ces difficultés la plupart du temps, comme il me permet aussi d’analyser mes défauts ainsi que ceux des autres.

Je joue fréquemment seul mais je fais à l’occasion quelques parties avec d’autres golfeurs lorsque la fréquentation des clubs est plus importante.

Aujourd’hui, il n’y a personne sur le parcours devant moi, hormis une femme deux trous plus loin, et personne non plus n’est prévu au départ derrière moi. Quel plaisir de jouer en semaine et non le week-end, surtout par un temps aussi clément qui me permet de jouer en pantalon léger et en polo.

J’entame la partie sur un bon rythme, mon jeu se révélant très bon. Arrivé au quatrième trou, je rattrape la femme qui me précède et elle me fait signe de passer car elle est en train de chercher sa balle dans les buissons.

Je la remercie de la main et me retrouve le coup suivant auprès d’elle. Elle a la quarantaine et la silhouette très attirante. Elle est vêtue d’un pantalon foncé un peu trop moulant pour jouer au golf à mon goût mais qui met terriblement en valeur sa ligne et son postérieur, sa culotte se dessinant sous la toile du pantalon. En haut, elle porte un polo débardeur large mais enserré dans son pantalon ce qui fait ressortir devant sa bonne poitrine retenue par un soutien-gorge en dentelle comme l’atteste la partie visible de ce vêtement sous ses bras.

Je lui propose de continuer la partie ensemble plutôt que de jouer seuls chacun de son côté.

— Si vous voulez, mais je ne suis pas très douée et j’envoie souvent mes balles dans les buissons, me dit-elle.
— Ce sera un plaisir pour moi et cela m’étonnerait que je n’aille pas non plus chercher mes balles sous les arbres. Je m’appelle Laurent, lui dis-je en lui tendant la main.
— Caroline.

La poignée de main est échangée et me révèle une main fluette et douce au toucher.

Nous reprenons la partie et bavardons de choses et d’autres sur les trois trous suivants. J’observe son jeu et remarque des erreurs de positionnement qui explique sa tendance à tout envoyer « à droite ».

Après un nouveau mauvais coup elle s’irrite légèrement :

— Je n’y comprends rien. Aujourd’hui rien ne va.
— Vous êtes mal installée devant la balle avant la frappe.
— Ha ?
— Oui vous êtes trop droite et trop près.

Elle se met en position et me dit :

— Il faut se mettre comme cela ?
— Avec votre permission je vais vous montrer.

Je lui explique qu’elle doit légèrement fléchir les jambes, mettre le postérieur bien en arrière, garder le dos bien droit… Ce faisant je ne me prive pas de la positionner de mes mains. Quel plaisir de lui faire rentrer le ventre en posant ma main dessus, effleurant au travers de son polo le bas de ses seins et touchant l’armature de son soutien-gorge, de lui faire avancer légèrement les fesses qu’elle a trop reculées en la guidant par les hanches. Bref je me régale tout en restant très correct et sans dévoiler mon intérêt pour son corps que je commence à vouloir découvrir.

Une fois dans la bonne position, elle effectue un coup d’essai. La montée est une catastrophe et je m’empresse de lui apporter de nouveau mon aide. Je me propose de la guider à la montée du club. Pour cela je la remets en position et me place derrière elle, tout contre elle afin de poser ma main droite sur ses mains. Mon autre main se positionne par dessous son bras gauche sur le haut de son sein gauche, par dessus le polo, la paume étant en partie posée sur sa peau dénudée.

Le contact et la position m’électrisent et je sens une belle érection apparaitre dans mon pantalon. J’amorce le mouvement de montée en tirant ses mains vers la droite tout en maintenant fermement son buste de l’autre. La montée est bonne et je lui dis de recommencer plus vite. Elle entame un mouvement trop rapide et désunit l’ensemble de son corps. Pour maintenir la bonne position j’appuie cette fois fermement ma main gauche sur son torse pour la retenir, mais son geste brusque de départ a fait glisser ma main qui n’a d’autre accroche que le sein gauche de Caroline. Rouge de confusion je lui demande si elle a compris le geste et je repars rapidement jouer ma balle avec ses remerciements.

Les trous suivants, je ne peux m’empêcher de détourner son regard de son corps. Peu après, une bâtisse propose une fontaine à eau et des sanitaires sur le parcours et elle s’arrête quelques instants pour une pose pipi. Nous sommes au 11e trou et reprenons rapidement la partie. Je remarque alors qu’elle ne porte plus de soutien-gorge ce qui à le don de m’exciter fortement. En même temps, sans me faire d’idées fausses, cela ressemble beaucoup à une invitation.

Pendant trois trous, notre conversation reste très courtoise et les échanges de rires et de sourires sont de plus en plus fréquents. Je ne joue pas bien du tout, cherchant désespérément un moyen d’aborder plus ouvertement Caroline. Son corps m’excite énormément et j’ai envie de le caresser à nouveau, plus longuement et de partager ces instants avec elle.

La partie continuant, au 14e trou, elle frappe de nouveau une balle complètement à droite dans les arbres, au milieu d’énormes feuillus. Elle soupire après cette nouvelle erreur et me regarde en me disant :

— Je suppose que j’ai recommencé les mêmes bêtises.
— Oui, c’est exactement le même problème.
— Enfin c’est assez dur de tout retenir : le buste droit, le dos pas cambré, les fesses en arrières. Je suis sur que j’en oublie encore.
— Ca c’est le plus dur au golf (enfin vu l’état de mon pantalon, je n’en suis pas si sur). Mais votre défaut principal se situe lors de la montée. Vous partez dans tous les sens en faisant un geste beaucoup trop lent. Tenez regardez.

Ce faisant je la remets en position et me replace derrière elle comme précédemment, une main sur les siennes, l’autre passant sous son bras et se posant sur son torse, directement sur sa peau en dessous du polo débardeur. Elle a en effet ôté son soutien-gorge (même si cela se voyait très bien) et j’ai le plaisir de lui caresser ainsi le haut d’un sein sans aucune entrave.

J’amorce le mouvement de montée en tirant ses bras vers le haut de ma main droite, mais au lieu d’accompagner son corps de la main gauche, je laisse celle-ci à la même hauteur. Le buste de Caroline s’étant redressé, j’ai maintenant ma main posée sur son sein. La position haute est maintenue pour lui montrer où elle doit finir l’amplitude de son geste. Tout en le lui expliquant à l’oreille, ma main gauche caresse délicatement son sein, en en suivant le galbe et s’attardant à titiller le téton. Celui-ci réagit immédiatement et se dresse de plaisir. Je pose un baiser dans le cou de Caroline et lui fait reprendre la position de départ.

Toujours de dos face à moi, elle se recule complètement et vient coller son corps, et plus particulièrement son postérieur, contre moi. Je la laisse préparer la montée toute seule en la tenant par les hanches.

— Vous êtes trop serrée dans vos vêtements. Votre polo ne vous donne pas suffisamment de liberté de mouvement pour vos bras. Vous ne devriez pas le glisser dans votre pantalon.

Joignant une interrogation du regard et le geste, je tire son polo hors de son pantalon et pose de nouveau mes mains sur ses hanches… dénudées. Sa peau est merveilleusement douce et sa taille très fine met encore plus sa poitrine lourde.

Elle entame une nouvelle montée que j’accompagne en relevant doucement mes mains sous son polo. J’ai maintenant l’ensemble de sa poitrine entre mes mains et je lui prodigue de nouvelles caresses. Elle, les mains toujours levées, ondule du postérieur sur mon bassin. Je glisse alors ma main droite sur son ventre, rejoignant le haut de son pantalon. Elle rentre son ventre au maximum tout en baissant les bras et en lâchant le club. Ma main s’insinue ainsi dans son pantalon et atteint sa culotte sous laquelle elle se glisse doucement. La toison est soyeuse et semble bien entretenue, peu drue. Ma main s’engage alors dans son entre-jambe et je m’efforce de la titiller en lui caressant le haut des jambes. Mon autre main continue ses caresses sur sa poitrine.

De son côté, elle a rejeté la tête en arrière contre mon épaule et glissé sa main gauche entre nos deux corps. Elle caresse mon sexe au travers de mon pantalon effectuant des semblants de va-et-vient.

Je retire ma main de son pantalon et tourne doucement Caroline vers moi pour l’embrasser. Notre baiser est fougueux et je sens qu’elle veut être prise immédiatement. De mon côté, si je pouvais faire plus vite…

— Si nous allions chercher votre balle ?
— Avec plaisir.
— Ne traînons pas, tant que nous savons où la trouver.
— On en trouvera d’autres sinon.

Cette dernière remarque est accompagnée d’un baiser et d’une pression sur la bosse de mon pantalon. Sans équivoque. Délicieux.

Nous emmenons rapidement nos chariots et nos sacs dans le sous-bois et nous nous y enfonçons assez loin. Nous trouvons une zone assez dégagée et sans ronces (ça pique !), et bien entendu discrète. Je pose sur le sol mes vêtements contre la pluie afin de bénéficier d’un espace propre et convivial, et me tourne vers Caroline.

Elle est devant moi les seins nus, son polo déposé sur son sac, les chaussures enlevées, et est en train de déboutonner son pantalon. Je l’imite en retirant mon polo et mes chaussures et m’apprête à défaire mon pantalon quand elle vient se coller à moi entièrement nue. Elle me serre dans ses bras et m’embrasse fougueusement. Mes mains parcourent son dos et ses fesses, revenant sur le devant et pétrissant ses seins. En retour elle me caresse aussi le dos d’une main, l’autre s’insinuant au travers de ma braguette et saisissant mon sexe à pleine main dans mon slip.

Nous nous séparons un instant de notre étreinte et elle me fait m’allonger sur le sol. Elle pose ses pieds de part et d’autre de mon torse et, me toisant les mains sur les hanches, m’offre ainsi une vue magnifique de son corps et de son abricot que je veux posséder. Elle se met alors à genoux, positionnant son sexe à quelques centimètres au dessus de mon visage et m’enjoint de la faire jouir de ma langue.

Je joue quelques instant avec ma langue autour de sa vulve, humectant son odeur qui accentue si cela est encore possible mon érection toujours contenue dans mon pantalon. Ma langue passe et repasse à côté de sa fente, puis s’attarde quelques secondes sur son clitoris, arrachant quelques gémissements à Caroline. Puis elle descend le long de sa vulve et s’insinue progressivement de plus en plus profondément.

Caroline me demande de tendre la langue au maximum et par un léger mouvement de son corps de bas en haut, mime un ersatz de pénétration qui l’amène cependant rapidement à la jouissance. Mon visage est inondé de sa mouille au parfum suave et teinté de miel.

Elle se redresse et se retourne toujours sur moi, me présentant sa croupe, et commence à s’attaquer à mon pantalon qu’elle déboutonne assez facilement. Elle s’attache à m’enlever mes derniers effets tandis que je recommence mon travail sur son sexe, lui faisant de nouveau onduler du bassin. Sa tâche terminée, elle reporte son attention sur mon sexe dressé à la verticale sous ses seins que je caresse et dont je pince délicatement les tétons.

Elle prend ma verge dans sa main et commence doucement à me masturber, son autre main venant me caresser les couilles. Elle passe quelques coups de langues le long de ma verge et embrasse mes testicules. Sa main se fait de plus en plus rapide sur ma verge et je sens que je ne vais pas tenir longtemps à ce rythme.

— Avale-moi, lui dis-je.
— Suce-moi vite.
— Désolé, je n’aime pas sucer et je n’aime pas le goût du sperme.
— (MERDE)
— Par contre j’adore qu’un homme jouisse sur mes seins.

Joignant le geste à la parole, elle frotte maintenant ses tétons sur le haut de ma verge. Puis elle cale mon sexe entre ses seins et termine sa masturbation ainsi. Je ne met pas longtemps à jouir et répands ma semence sur sa poitrine et son torse, une grande partie me retombant dessus.

Haletant et pas entièrement satisfait, je continue de la lécher et l’amène presque à un nouvel orgasme. De son coté, elle continue à me masturber et me redonne bientôt une nouvelle érection.

Prenant les choses en main, je la relève et l’installe debout de dos devant moi. Je lui redonne un club de golf et lui demande de se mettre en position pour frapper une balle imaginaire. Une fois en place, je me glisse comme précédemment derrière elle, le sexe tendu en avant. Je titille l’entrée de son sexe de mon gland en lui tenant les hanches.

— Vous n’êtes pas assez cambrée en arrière. Votre frappe va partir à droite. Ressortez moi ce postérieur.

Elle exécute rapidement mes conseils et j’engage doucement mon sexe au fond de son vagin. Il est aussi doux et chaud que la peau de son corps. Cette femme est un véritable délice. Mon sexe est maintenant complètement en elle et j’imprime des mouvements lents d’avant en arrière. Cela lui arrache des grognements et des soupirs de plaisir. Sa jouissance ne va pas tarder. J’accélère le rythme et immédiatement elle manifeste bruyamment son orgasme.

Je continue ma tache avec un acharnement redoublé, la pénétrant maintenant sauvagement, mon pubis claquant sur ses fesses. Mon plaisir grandit petit à petit. Caroline repart dans un nouvel orgasme lorsque je lui caresse et pince de nouveau les seins, toujours couverts de mon sperme. J’en ramasse un peu et porte ma main contre sa bouche. Elle me mordille les doigts et les embrasse, puis laisse glisser l’un d’entre eux dans sa bouche. Je jouis pour la seconde fois et déverse toute ma semence en elle. Dieux qu’elle est formidable.

Nous restons quelques secondes emboîtés puis je me retire. Elle se retourne et m’embrasse à nouveau.

— Tu es un très bon amant, très attentionné. Ne bouge pas je vais te faire un petit cadeau, me dit-elle.

Elle se baisse et se met à genoux devant moi, saisit ma verge dans sa main et recommence à me masturber. Elle frotte délicatement ma verge sur ses seins, puis entre eux en les comprimant de ses deux mains. Elle reprend ensuite sa masturbation en effectuant quelques baisers sur la verge et les testicules. Elle remonte le long de mon sexe de nouveau tendu en le parcourant de sa langue, le léchant comme une glace en été et titille mon méat avec le bout de sa langue.

— Tu aimes ?
— Oh oui.
— Alors regarde.

Tout en me fixant droit dans les yeux, elle ouvre la bouche en grand et entoure mon gland de ses lèvres. Sans effectuer de mouvements d’avant en arrière, juste en parcourant mon gland de sa langue, elle exacerbe mon désir et je sens ma sève monter à nouveau.

— Préviens-moi quand tu vas jouir.
— Maintenant.

Elle arrête de me sucer et met ma verge tout contre son visage. Je jouis intensément en la maculant de mon sperme qu’elle laisse dégouliner sur sa poitrine.

Utilisant les serviettes accrochées à nos sacs, nous nous prodiguons une toilette légère avant de retourner sur le parcours.

— Qu’est-ce que vous faîtes après le parcours ? Lui dis-je.
— Je vais retrouver mon mari, mes enfants, ma famille, me répond-t-elle avec un sourire.
— Moi de même. Vous jouez souvent ici ?
— Je suis membre du club et je joue quand j’en ai l’occasion, et toi ?
— Je crois que je vais venir plus souvent. L’accueil des membres est des meilleurs.

Nous devons prochainement nous retrouver pour un prochain parcours… …de nos corps respectifs.

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