Clara, ma copine, est une femme douce et attentionnée, les cheveux châtains et les yeux noisette qui s’illuminent quand elle sourit. C’est une beauté naturelle qui n’a pas besoin de maquillage pour briller. Un jour, Clara me parle de son amie de la même rue qui a besoin d’aide pour garder son garçon de treize ans, Maxime, pendant les vacances scolaires. Je suis d’accord sans hésiter. Nous aimons les enfants et avons une connexion particulière.
Maxime est un gamin mince, les cheveux bruns hérissés et les gencives rouges à cause de son appareil dentaire. Il arrive à la maison les joues roses et les dents serrées à cause de son dispositif orthodontique. Clara l’accueille à bras ouverts, l’emmenant directement vers la salle de bains pour qu’il puisse se laver et se changer. Je suis dans la cuisine, en train de préparer des sandwichs pour le goûter, quand j’entends les bruits de l’eau dans les tuyaux.
Au bout d’un moment, Clara m’appelle pour que je vérifie si tout se passe bien. Je suis surpris de trouver la porte de la salle de bains ouverte. Je suis sur le point de frapper quand je me rends compte que Maxime est en train de sortir, tout nu, se frottant la tête à l’aide d’une serviette. Je suis choqué par sa maturité physique. Son corps est déjà musclé et son sexe est… impressionnant. Je me retiens de le regarder trop longtemps, me sentant mal à l’aise.
Clara rentre dans la pièce, les mains dans les poches de son jean. « Ça roule ? », je demandai en essayant de ne pas montrer mon étonnement. Maxime me regarde, sans gêne, et sourit. Clara rit et me glisse à l’oreille : « Il a grandi, n’est-ce pas ? ». Je hoche la tête en essayant de ne pas montrer mon malaise. Je suis inquiet de la situation, ne sachant pas comment agir. Clara, sans se soucier de la nudité de Maxime, continue de discuter de la journée à venir. Je suis figé, les sandwichs à la main, en train d’essayer de comprendre pourquoi je suis soudain si mal à l’aise.
Puis Clara, dans un geste de familiarité, se penche vers Maxime et lui soupèse les couilles. Je suis abasourdi, les sourcils froncés. Je n’ai pas l’habitude de voir ça. Maxime rit, rouge d’embarras. Clara se relève, les joues roses à cause de son rire. « Ça pousse, hein, le garçon ? », s’amuse-t-elle. Ma copine a toujours aimé les blagues un peu osées, les gestes tactiles pour marquer sa proximité. Je me suis habitué à son tempérament, et je sais qu’elle ne veut pas de mal.
Je suis dans la cuisine à essayer de reprendre mes esprits, à essayer de digérer ce que je viens de voir. Clara est si à l’aise, si naturelle dans les situations les plus gênantes. Je me souviens de notre relation, de la façon dont elle aime toucher les gens, les taquiner pour les mettre à l’aise. C’est une des choses que j’aime le plus en elle, d’habitude.
Mais la journée continue, et Maxime s’installe dans le salon, nu, sans se couvrir. Il allume la console et commence à jouer à un jeu vidéo. Clara me rejoint dans la cuisine, les mains dans les cheveux, en souriant. « Ça ne te dérange pas ? », je finis par demander, les doutes me rongeant. « De quoi parles-tu ? », me répond-t-elle en haussant les épaules. « De Maxime qui est tout nu dans notre salon. » Son regard se plisse et je sens qu’elle se moque un peu de moi. « C’est juste un gamin qui est à l’aise dans sa peau, c’est tout. Et si tu veux savoir, il m’a demandé si c’était ok avant de se mettre à l’aise. » Je suis interloqué. Je n’avais pas pensé à ça de la même façon. Clara m’observe, amusée, en attente de ma prochaine question.
Plus tard, je suis dans le salon en train de regarder les infos quand je remarque que Maxime commence à bander. Je suis gêné et ne sais pas quoi dire, quoi penser. Clara, qui est assise à côté de moi, me regarde et sourit. « Ça t’embête ? », me demande-t-elle d’un ton badin. Je suis sur le point de changer de sujet, de prétendre que tout est normal, quand je me rends compte qu’elle a déjà vu. « Non, c’est juste… surprenant. », dis-je en essayant de rester calme.
Elle se tourne vers moi, les mains sur les genoux. « C’est normal pour un garçon de son âge. Il n’y a pas de quoi s’inquiéter. » Je suis un instant sans mot. Je suis adulte, je devrais savoir ça. Pourtant, je suis troublé. Clara peut sentir ma gène et s’approche de moi, me prenant la main. « Il est juste en train de grandir, c’est tout. Tu devrais en parler à tes amis, tu verras, c’est la même chose pour tout le monde. » Je hoche la tête, essayant de me convaincre.
Maxime, sans se rendre compte de la situation, continue son jeu, même si son sexe s’allonge. Son érection est de plus en plus importante. Je ne sais pas si c’est la chaleur de la pièce ou les hormones qui le poussent, mais je suis incapable de détourner les yeux. Clara remarque mon malaise et me regarde en riant. « Tu devrais t’habituer, ça risque de devenir plus fréquent à la puberté. » Je suis abasourdi par sa franchise.
D’un geste rapide, il pose la manette de la console et se lève, laissant tomber son jeu. Clara me regarde, les sourcils levés, avant de se lever à son tour. « Maxime, tu veux mettre un caleçon ou un short au moins ? », propose-t-elle, sans aucune trace d’embarras dans la voix. Maxime la regarde, les joues rouges, avant de secouer la tête. « Ça me gène pas. », marmonne-t-il avant de se diriger vers l’ordinateur familial.
Il navigue sur des sites pour adultes et commence à se masturber, les yeux fixés sur l’écran. Clara me pousse doucement pour que je la suive dans la cuisine. « Laisse-le, c’est normal. C’est juste son chemin pour explorer son corps. On a tous fait ça à son âge. » Je suis choqué, les pensées qui se bousculent dans ma tête. Je n’ai jamais vu un gamin si jeune agir de la sorte, et encore moins dans ma propre maison.
« Mais Clara, c’est… », je commence à protester. « Chéri, c’est juste une phase. On peut en parler si ça t’inquiète vraiment, mais pour l’instant, laisse-le tranquille. » Je suis perplexe, ne sachant que penser. Je suis habitué à la franchise de Clara, à son ouverture d’esprit, mais ça me met mal à l’aise. Je me rends dans la chambre pour me changer les idées, la tête pleine de questions et d’incertitudes.
J’entends les bruits de la vidéo et les gémissements lointains de Maxime. Je suis tiraillé entre le respect de sa vie privée et ma curiosité. Je me rends dans le couloir et regarde Clara qui le surveille à distance, un sourire en coin.
« Il a presque fini. », me chuchote-t-elle en m’attrapant par la main. Je suis son regard et je le vois, debout, les pieds ancrés dans le tapis, les mains qui se déplacent rapidement le long de son sexe dressé. Je suis hypnotisé par la scène, par les muscles qui se tendent dans son dos, par les gouttes de sueur qui perlent sur son front.
Clara m’emmène dans la cuisine à nouveau, me laissant un instant pour digérer tout ça. « Tu n’as pas à t’inquiéter. », me rassure-t-elle. « C’est une étape normale. Nous avons tous traversé ça. »
J’avale une gorgée d’eau, les mains tremblantes. « Clara, il a une plus… une plus grande bite que moi. », dis-je enfin. Clara me regarde, surprise, avant d’éclater de rire. « Oh, chéri, c’est une compétition ? » Je suis rouge de honte. Je ne sais pas pourquoi je suis si obsédé par ça.
« Non, ce n’est pas une compétition. », dis-je, en essayant de me justifier. « C’est juste que… je suis surpris. » Clara m’enlace et pose sa tête sur mon épaule. « Ça peut arriver. Les garçons à son âge ont des tailles différentes. », me rassure-t-elle. « Et la taille ne veut pas tout dire, tu sais. » Je suis conscient de ça, pourtant, je suis incapable de me sentir à l’aise.
Pendant ce temps, les gémissements de Maxime dans le salon s’intensifient. Clara sourit. « Il y est presque. »
Elle me ramène dans le salon, m’invitant à m’asseoir.
Maxime jette un coup d’œil dans notre direction, les pupilles dilatées, avant de se raviser et de se concentrer à nouveau sur son écran.
Maxime finit par éjaculer, son corps se raidissant avant de se détendre dans un soupir. Clara se lève et le serre dans ses bras, le câlinant tendrement. « Alors, c’était bon, Maxime ? »
Je suis encore assis, les jambes tremblantes, la gorge sèche. Je n’ai jamais vécu ça avant, pas dans les films, pas dans les conversations à la machine à café, et certainement pas dans ma propre vie.
La pièce est soudainement remplie de l’odeur de la semence de Maxime. C’est une odeur piquante, animale, qui m’envahit les narines et me laisse sans voix. Clara ne semble pas y prêter attention, continuant à parler de la journée, à rire et à s’occuper de Maxime qui est encore tout rouge, la tête ailleurs. Je suis paralysé, les pensées s’accumulent dans ma tête.
Clara me regarde et je suis sûr qu’elle peut deviner ce qui me trouble. « Ça sent la testostérone ici. », plaisante-t-elle en passant dans mon chemin pour aller chercher des lingettes.
Je suis encore assis dans le canapé, à essayer de digérer les images et les odeurs. Clara revient dans la pièce, les lingettes à la main, et commence à nettoyer la tache laissée par Maxime sur le bureau. « Tu devrais voir ça… », dit-elle, admirative. « Il est en forme le Maxime. »
Je suis sur le point de parler, de demander si c’est vraiment normal tout ça, si je ne dois pas mettre des limites tout de suite, quand la sonnerie de la porte retentit. Clara se tourne vers moi, les sourcils froncés. « Bizarre, qui ça peut-être à cette heure-ci ? », dit-elle avant de se diriger vers la porte.
J’entends les bruits de la serrure, les pas dans le hall, et je suis soudainement envahi par une vague d’anxiété. Je me lève, à la recherche d’un endroit pour me cacher, pour me protéger de ce que je ne comprends pas. Clara ouvre la porte et je suis figé sur place, les pieds collés au sol.
Carmen notre voisine de palier est une femme grande et mince, les cheveux blonds et les lèvres pulpeuses. Clara l’accueille dans le couloir, les bras ouverts. « Comment vas-tu Carmen ? », s’enquiert-elle. « Très bien, merci. Je ramène les assiettes. », lui répond-elle en me jetant un coup d’œil rapide. Je suis soudainement conscient qu’elle m’ignore.
Elle ne semble pas remarquer ma présence, trop occupée à discuter de la soirée qu’elle a passée. Je suis dans ma bulle, les pensées qui s’entrecroisent dans ma tête. Je suis à la fois excité et gêné, choqué et fasciné. Je suis juste là, à essayer de respirer à travers les relents de sperme qui flottent dans l’air, à essayer de comprendre ce qui se passe.
Clara me regarde et sourit, avant de se tourner vers Carmen. « Laisse-moi ranger les assiettes dans la cuisine. Tu veux un café ? »
Carmen, me jette un regard furtif avant de refuser poliment. « Non, ça ira, merci. »
Maxime est encore nu, assis sur une chaise, les jambes écartées. Il semble à l’aise dans sa nudité, sans aucun complexe. Malgré son orgasme récent, il bande toujours plus et joue avec ses testicules pour patienter. Je suis assis à l’opposé, les mains sur les genoux. Clara me regarde avec son plus beau sourire, avant de se tourner vers Carmen.
« Au fait, je te présente Maxime », commence-t-elle. « Le jeune, à côté de l’ordi ». Carmen se décale et ouvre les yeux en grand, le regard posé sur l’entrejambe de Maxime. « Wow… il est vraiment grand… pour son âge. », s’exclame-t-elle avant de se tourner vers Clara. « C’est ton neveu ? »
Clara rit doucement. « Non, c’est juste un gamin que je garde de temps en temps. » Carmen me regarde, les lèvres pincées. « Et ton copain n’a pas de problème à ce que tu gardes un ado nu dans ton salon ? »
Clara me regarde, les yeux brillants. « Pas vraiment. », dit-elle, souriante.
Carmen entre soudainement dans le salon, sans y être invité, et s’approche de Maxime. « Il a quel âge ? », nous questionne-t-elle en le fixant. Je suis incapable de parler. Clara intervient. « Treize ans. »
Carmen s’approche de Maxime et pose sa main sur son genou. « Ça t’arrive souvent d’être… dans cet état ? », questionne-t-elle, les yeux rivés sur son entrejambes. Maxime roule les yeux. « Ouais, tout le temps. », murmure-t-il, les joues rouges. Clara et Carmen se regardent et rient ensemble, une complicité dans les regards qui me laisse perplexe.
Je suis à la marge de la conversation, les mains moites, à essayer de ne pas regarder la bite toute raide de Maxime. Je suis mal à l’aise, gêné par la situation, et je me rends soudainement compte que les deux femmes semblent apprécier la vue.
Carmen s’installe à côté de moi sur le canapé, les jambes croisées. « Finalement, je vais peut-être le prendre ce café. »
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