La vie sexuelle de Clara (2) – Les confessions de Maxime

Clara s’éloigne dans la cuisine et je suis incapable de m’empêcher de jeter des coups d’oeil à Maxime. Son érection est a son apogée, les veines bleutées de son sexe sont d’autant plus visibles à travers sa peau. L’odeur du café qui se diffuse dans la pièce commence à masquer l’odeur du sperme, apportant une note plus chaleureuse dans l’atmosphère. Carmen semble tout à fait à son aise, les doigts qui tapotent le rythme d’une mélodie invisible sur son genou.

Elle me regarde de temps en temps, un sourire en coin. Je me sens transparent, exposé. Je suis incapable de cacher mon malaise, et pourtant, elle ne semble pas s’en inquiéter.

Maxime se lève et s’approche de Carmen. Nu, le sexe à l’air, et je suis surpris de constater qu’il n’a pas l’air gêné. Il se penche vers la table basse et attrape un magazine qui traînait. Je suis tétanisé.

Clara revient dans la pièce, deux tasses de café fumantes dans les mains. Elle les pose sur la table avant d’aller s’assoir à l’extrémité du canapé, à l’opposé de moi. Je suis coincé entre les deux.

Maxime se met à tourner les pages du magazine, sans cacher les parties intimes de son anatomie. Clara me lance un regard amusé et je suis soudainement conscient que les deux femmes me regardent.

Carmen se tourne vers Clara. « Tu es sûre que c’est normal ? Qu’il bande sans arrêt comme ça ? Je veux dire, si j’étais sa maman, je serais censé m’en soucier, non ? » Clara hausse les épaules, un sourire malicieux aux lèvres.

La conversation se poursuit, Clara et Carmen riant et discutant de choses et d’autres, tout en jetant des regards furtifs à Maxime qui continue de lire, les jambes écartées. Je suis tiraillé entre la gêne et une excitation inavouable. Je ne suis pas sûr de ce que je suis en train de vivre, de ce que je suis en train de regarder.

Clara me regarde à travers les mèches de ses cheveux châtains. Son regard est doux, presque tendre. Je suis incapable de déchiffrer les sentiments qui se cachent derrière son sourire.

Soudain, les rires s’arrêtent et le silence s’installe. Je suis en proie à une angoisse soudaine, à une peur irrationnelle d’être découvert, d’être puni pour les pensées qui traversent ma tête. Maxime se lève, le sexe tendu, et s’approche de nous. Il reste là, sans bouger, prenant surement un malin plaisir à s’exhiber.

Puis, il s’éloigne, les pieds nus claquant sur le parquet. Il disparaît dans la salle de bain, laissant encore une fois, la porte entrouverte.

Clara me regarde et se lève à son tour. « Je vais vérifier ce qu’il fabrique. »

Elle se déplace dans le couloir, la silhouette gracieuse, les pas assurés. Je suis son chemin du regard, les oreilles aux aguets, à l’affut du moindre son.

La salle de bain est dans un coin à gauche du salon, les murs de la pièce ne parvenant pas à tout masquer. Je l’entends qui discute à mi-voix, les mots incompréhensibles à travers les murs.

Clara revient, les joues rosies. « Il a juste oublié de se laver les mains. », explique-t-elle en souriant.

Je suis soulagé, me sentant bête d’avoir cru à une situation gênante.

Carmen me regarde, les paupières lourdes et le sourire narquois. « Vous avez de la chance, Clara et toi, de vivre ça. Moi, j’ai deux filles et elles sont trop pudiques. »

Clara observe Maxime avant de s’adresser à Carmen. « Vas-y, pose-lui les questions que tu veux, il n’y a aucun tabou ici. »

Carmen le regarde, avec un air beaucoup trop sérieux. « Dis-moi, Maxime, ça t’arrive souvent de te toucher ? »

Maxime hausse les épaules, sans aucune trace d’embarras. « Ça dépend des jours. », il me jette un regard complice.

Le silence s’installe à nouveau, les regards qui s’échangent entre les deux femmes, les regards qui me traversent. Je suis au milieu d’un terrain de mine, sans savoir ou mettre les pieds.

Carmen reprend la parole, les mots sortant de sa bouche me surprennent. « Quand est-ce que tu as commencé à te masturber ? »

Maxime, sans se démonter, lâche un soupir. « Ça fait un moment. »

Maxime s’installe de nouveau sur la chaise, en face de nous, le sexe encore dressé. « J’ai commencé à sept ans. », il avoue, les yeux dans les siens. « C’est pas trop tôt ? », questionne Carmen, septique.

« C’est l’âge moyen pour les garçons je pense. », intervient Clara. Je suis abasourdi par la façon qu’elles abordent le sujet, si naturellement.

Carmen me fixe étrangement. « Et toi, quand t’as commencé ? »

J’hésite avant de bafouiller. « Onze ans. », je dis enfin. Clara me sourit, fière de mon honnêteté.

Maxime rigole. « Un vrai retardé. », il plaisante.

Clara rit, les larmes aux coins des yeux. « Arrête, Maxime, c’est pas gentil de dire ça. Tu sais très bien que tout le monde est different. »

Mais Carmen est de plus en plus curieuse. « Tu fabriquais déjà su sperme à sept ans ? »

Maxime, sans se sentir gêné, secoue la tête. « Non, c’étaient juste des petites giclées de liquide transparent. Le vrai truc, c’est arrivé plus tard. »

J’observe les deux femmes, bouche bée. Je n’ai jamais entendu parler de ça, de gosses qui se masturbaient à sept ans.

Clara remarque ma gueule d’ahuri. « Alors, chéri ? », me pousse-t-elle. « T’as une question à poser à Maxime ? »

J’hésite avant de me lancer. « Euh, Maxime, t’as déjà eu des orgasmes à sept ans ? »

Il me regarde, les sourcils levés. « Non, pas vraiment. », il hésite. « J’ai compris plus tard ce que c’est. »

Carmen se penche en avant, les mains en appui sur les genoux. « Ah, je suis rassurée. », s’exclame-t-elle avant de me regarder à nouveau. « Mais dis-moi, c’est quoi un orgasme pour toi ? »

Ma bouche est sèche. Je me sens tout à coup très con. Je suis incapable de répondre. Clara me vient à la rescousse. « C’est une sensation très agréable. », me sauve-t-elle.

Maxime rigole. « C’est le top. », il confirme. « Ça me détend. »

Tout à fait à l’aise dans sa nudité, Maxime se lève pour aller chercher un verre d’eau. Son sexe pend, dur et veineux, à l’air libre. Clara le regarde sans ciller, les lèvres entrouvertes.

« Il est vraiment en pleine puberté. », souffle Carmen, les seins se soulevant à chacune de ses respirations.

Maxime revient dans la pièce, les pieds nus, pose le verre sur la table basse et s’assied à nouveau.

Carmen l’observe attentivement. « Aucun poils, c’est dingue. », s’étonne-t-elle en pointant son menton vers les parties intimes de l’adolescent. Clara se tourne vers Maxime.

« Ça veut dire qu’il est encore tout lisse, c’est cool. », elle commente, les yeux brillants d’amusement.

Maxime roule les yeux, gêné. « Je suis encore jeune. », il se justifie.

Carmen semble fascinée par la situation. « C’est plus hygiénique. Et on connait la propreté douteuse de certains garçons. ». Clara opine de la tête.

« Maxime, vu ton état, est-ce que tu pourrais… », Carmen commence, les mots sortant lentement de sa bouche.

« …me montrer comment tu te masturbes ? », Carmen continue, les joues rouges. Clara se tord les mains. « Je suis pas sûre que ça soit une bonne idée. »

Maxime hésite avant de hausser les épaules. « Ok, je veux dire, si tout le monde est d’accord. »

« Ouais, vas-y. », dis-je.

Maxime se lève de sa chaise, la main droite sur sa queue, prêt à tirer. Je suis incapable de détacher les yeux de son sexe qui semble encore plus énorme de près. Clara se colle à moi, le spectacle peut commencer.

Maxime commence à se masturber, les gestes lents et mesurés. Je suis hypnotisé par les coups de poignet qui font bouger son sexe. Clara le regarde, les lèvres entrouvertes. Je suis conscient que les deux femmes se régalent.

Clara interpelle Carmen. « En plus, il vient juste d’éjaculer avant ton arrivée. Tu as raté le feux d’artifice. », dit-elle en gloussant.

Maxime accélère, les gémissements montant dans les aigus. Clara me serre la main. « Ça m’excite, c’est normal ? »

La tension dans la pièce est palpable, les bruits de la circulation dans les veines de Maxime se mélangeant au son de la bouche de Clara qui me souffle des trucs cochons à l’oreille.

Carmen, les genoux serrés, les mains agrippées à son verre de café, est bouche bée. « Il fait pas semblant. », s’exclame-t-elle. Clara rit doucement. « Oui, c’est un spécialiste on dirait. »

Maxime, sans aucun complexe, continue de se masturber sous les regards avides des deux femmes adultes. Je suis incapable de m’empêcher de bander, la pression dans mon pantalon de plus en plus intense.

Clara me pousse doucement les mains dans les cheveux. « La prochaine fois, ce sera peut-être ton tour. », dit-elle à voix basse, avant de se pencher pour m’embrasser.

Nous sommes interrompu par les gémissements de Maxime qui s’intensifient. Puis, sans crier gare, il éjacule dans son verre d’eau, les jets de sperme traversant l’air avant de retomber dans les profondeurs du liquide transparent. Je suis un peu gêné, incapable de croire à ce qui se passe. Clara le regarde, une lueur de plaisir dans les yeux.

On peut apercevoir les filaments de sperme qui flottent à la surface, se mélangent à l’eau et forment des motifs étranges. Je suis partagé entre la fascination et la dégoût. Carmen semble partagé. « Et voilà, c’est tout. », commente Maxime, sans aucun complexe, avant de reposer son verre sur la table.

Clara, essaye de détendre l’atmosphère. « C’était très instructif. », affirme-t-elle en souriant.

« Pas mal pour un gamin de treize ans. », glisse Carmen, les lèvres humides. Je suis choqué par ses propos.

Elle se lève, le visage concentré, et s’approche de Maxime. « Laisse-moi faire. », et d’un geste rapide, elle enlève les dernière traces de sperme restant sur le gland de Maxime.

Maxime rit nerveusement, les jambes qui tremblent. « Ca chatouille. »

Carmen renifle ses doigts encore humides et grimaçe légèrement. « Ça devait être plus pratique quand tu n’éjaculais pas encore. », ajoute-t-elle en frottant ses doigts visqueux.

Maxime hoche la tête. « Ouais, c’était moins salissant. », il admet. Clara et Carmen s’échangent un regard complice.

« Mais à sept ans, c’était comment ? », insiste Carmen.

« Bizarre. », il commence. « J’ai commencé à me masturber vraiment tôt, genre deux ans avant les autres mecs de ma classe. Et les orgasmes, c’étaient pas les mêmes. »

Il se gratte le cou en cherchant les mots. « C’est dur à expliquer, c’est juste que je pouvais jouir sans m’arrêter. », il me regarde. « Pendant des minutes, même. Et je pouvais recommencer tout de suite après. »

Clara s’approche du verre, les coudes sur les genoux, les mains sous le menton. Les deux femmes semblent abasourdies par les confessions de Maxime.

« C’est vraiment incroyable. », ajouta Carmen.

Voulant montrer que je n’étais pas à la traine dans les discussions sur la puberté, je dis: « Vous savez, à cet age-là, les garçons n’ont pas de période réfractaire. Ça veut dire qu’ils peuvent continuer à jouir sans pause. »

Clara me regarda étonné, avant de se pencher vers Maxime. « C’est vrai, Maxime ? Tu peux tout de suite recommencer ? »

Maxime me jeta un regard noir. « Bien sûr que non. Plus maintenant, je suis trop vieux. », il grogna avant de se rasseoir, les jambes écartées.

« Ça veut dire que les jeunes garçons ont une capacité de plaisir infinie. », soupira Clara, l’air rêveuse.

Carmen sourit, les lèvres brillantes. « Oui, c’est ce que certains sexologues controversés disent. Je suis contente d’apprendre que c’est vrai. », avant de me fixer à son tour. « Et toi, c’était pareil ? »

« Moi, je me suis branlé trop tard, après la puberté. » ajoutais-je tout penaud.

Clara me regarde, songeuse.

Maxime intervient, tout excité. « Un copain de sport m’a apprit une nouvelle technique. On peut se masturber sans jouir et ça peut durer très longtemps. »

Carmen s’approche, curieuse. « Ah oui ? Et qu’est-ce que ça change ? »

Maxime sourit. « Ça peut tout changer. », il me regarde. « C’est beaucoup plus intense quand ça sort. »

Clara fronce les sourcils, intriguée. « T’as essayé ? », me demande-t-elle.

Je suis gêné. Je ne suis pas sûr de ce que je suis en train de dire. « Non, pas vraiment. »

Maxime me regarde, moqueur. « T’as raté le truc le plus cool. », il me nargue.

« Explique-nous, Maxime. », Clara semble très intriguée.

« Le truc, c’est de te retenir. Plus longtemps tu attends, plus c’est intense quand t’y arrives. », Maxime me regarde. « Mais c’est dur, il faut beaucoup de courage. »

« Ça veut dire que tu ne te masturbe pas avant de jouir ? », je me renseigne.

« Non, c’est pas ça. », il m’explique. « Je suis capable de me retenir des jours entiers mais je me masturbe quand même. », il me fixe, sans ciller. « Et quand je lâche, c’est une explosion. »

Carmen est fascinée. « Mais comment tu fais pour pas craquer ? », s’interroge-t-elle.

« C’est un secret de champions. », il sourit.

Clara rit à gorge déployée. « Oh, la la, Maxime, arrête de te vanter. », avant de se pencher vers Carmen. « Mais oui, c’est vrai, c’est très difficile, j’imagine. », elle me regarde. « Mais le résultat en vaut peut-être la peine. », me glisse-t-elle à l’oreille.

Carmen s’assied à nouveau sur le canapé, les jambes croisées. « Et quand est-ce que t’as commencé à retenir ton sperme ? »

Maxime hésite avant de se confier. « J’ai essayé la première fois à onze ans. », il avoue.

« Et ça a marché ? », Clara s’enthousiasme.

« Non, pas vraiment. », il sourit, « J’ai dû me retenir minimum deux semaines pour que ça marche. »

La pièce est silencieuse.

« Et la quantité ? », je pose la question du mec de base.

Maxime se caresse le sexe, encore tout rouge. « Oh, oui. », il me confirme. « Il y en a beaucoup plus que d’habitude. »

Clara et Carmen le fixe. Il est conscient d’être le centre de l’attention.

« La prochaine fois, je vous montrerai. », dit-il d’un air supérieur.

Clara me regarde, amusée. « Wow, deux semaines sans jouir, c’est vraiment un sacré record. », s’exclame-t-elle.

« Pour un mec, oui. », je suis incapable de cacher ma jalousie.

Carmen se lève, les mains sur les hanches. « Eh bien, les filles, c’est pas tout ça, mais je dois rentrer. », avant de boire une gorgée de son café froid.

« Merci encore pour les assiettes Clara. », s’exclame-t-elle.

Maxime est à nouveau excité. Il est en train de bander à nouveau. Clara se lève pour raccompagner Carmen qui a du mal à avancer toute seule.

« C’est normal à son âge. », nous dit Clara.

Carmen se tourne vers Maxime. « Au revoir, Maxime. Prends bien soin de ton joujou. », elle le salue en souriant.

Maxime me jette un coup d’oeil avant de me lancer. « Elle est cool Carmen, hein ? »

Je suis incapable de dire un mot. Au même moment, on entend la porte se refermer.

Clara revient. « Pourquoi elle t’ignore comme ça ? », me questionne-t-elle.

« La semaine dernière, Carmen m’a demandé si je pouvais l’aider à porter ses courses et j’ai refusé. », je l’avoue.

Clara me regarde. « Ah. », elle hoche la tête. « Je comprends mieux. », avant de sourire. « Mais bon, c’est pas si grave. »

Maxime s’installe sur le canapé, les pieds se balançant dans les airs.

Clara sourit. « Encore ? », dit-elle en pointant l’érection avec son doigt.

Maxime s’allonge, les mains sous la tête. « Pas besoin, ça va descendre tout seul. », il me rassure. « Je me suis bien vidé aujourd’hui. Je suis crevé. »

Clara s’approche du verre d’eau souillé et le soulève. « On ne peut pas gaspiller ça. », dis-t-elle avant de le porter à ses lèvres.

Je suis incapable de bouger. Clara boit le sperme de Maxime sans sourciller, les lèvres qui frôlent les traces laissées par les jets.

Elle repose le verre, les lèvres brillant d’excitation. « Ça a bon goût. », sourit-elle.

Je suis abasourdi. Je ne sais pas quoi penser. Clara me regarde. « Ça t’as tout secoué ? », me taquine-t-elle.

Maxime la regarde. « C’est une expérience à essayer. », il me nargue.

« Surement. », j’avoue à contrecœur.

Clara rit doucement. « Ça me fait plaisir. », avant de poser les lèvres sur les miennes, les traces de sperme encore chaudes sur les siennes. Je suis emporté dans son baiser, dans les saveurs de Maxime.

Maxime, de son côté, s’est endormi dans son coin, les jambes encore écartées, le sexe à l’air. Clara me regarde, les sourcils froncés. « On devrait peut-être le couvrir. », propose-t-elle.

On s’approche de Maxime, Clara me glisse une couverture. « Fais gaffe. », me chuchote-t-elle avant de soulever les genoux de l’adolescent. Je suis tout à coup face à son sexe encore bandant. Clara me pousse gentiment.

« Vas-y. », me souffle-t-elle.

Clara me regarde, amusée.

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