J’avais 27 ans et ma femme Sylvie 24. Après plusieurs essais infructueux pour avoir des enfants, nous avons fait appel à une clinique de fertilité. À la conclusion du premier rendez-vous, nous sommes revenus à la maison, ma femme et moi, avec un peu d’espoir… et un petit contenant vide à remplir de ma semence, pour ensuite l’expédier au labo pour fin d’analyses…
Je devais envoyer un échantillon de mon sperme pour savoir si mes spermatozoïdes étaient hors de combat. J’avais glissé le mot à Sylvie en lui demandant si on pouvait joindre l’utile à l’agréable, à savoir si elle ne pouvait pas me « donner un petit coup de main » (jeu de mots subtile ici…) pour venir à bout de cette difficile tâche. Elle m’avait répondu qu’on en discuterait un peu plus le moment venu.
Or, le matin arrivé, comme d’habitude, nous étions à la course. Je devais aller porter mon échantillon avant 8 h 30, qui devait avoir été prélevé dans un délai maximum d’une heure. Le temps de sortir du lit et Sylvie m’annonça qu’elle était déjà en retard pour le travail et ajouta avec un grand sourire moqueur :
— Tu vas devoir t’arranger seul mon chou, je dois vraiment te quitter. Je suis vraiment désolée et puis, tu devrais savoir comment t’y prendre, je suis certaine que tu as déjà pratiqué, me dit-elle en m’embrassant et me tapotant doucement le sexe.
Puis, elle fila en coup de vent, me laissant seul avec mon contenant vide. J’en avais l’air idiot et surtout, je n’en revenais pas. Je gardais espoir qu’elle revienne, pour qu’on en rigole et qu’on passe aux choses sérieuses, jusqu’à ce que je la voie passer devant la fenêtre avec sa voiture et disparaître dans la circulation. J’allais effectivement devoir me débrouiller seul. Si au moins j’avais eu quelques minutes pour aller surfer sur le Web, histoire de m’inspirer un peu, mais non, je me devais d’être productif et sur le champ en plus, il était déjà 7 h 25. Et je ne comptais même pas les 15 minutes que je devais sacrifier pour effectuer le trajet jusqu’au labo. Bon, il fallait être rapide.
7 h 25. Drôle d’heure pour une branlette en solitaire. J’allais monter pour me diriger dans notre chambre, lorsqu’on sonna à la porte. Ah la petite comique ! Elle m’a fait vraiment peur la coquine ! Je me dirigeai à la porte pour ouvrir lorsque j’aperçu Christine, la sœur Sylvie.
Christine était assez grande, les cheveux longs bruns, avec un corps respectable et des seins vraiment jolis (du moins en apparence), pas trop gros. Bref, comme je les aime. Après les salutations d’usage, Christine me demanda si elle pouvait emprunter notre ordinateur, chose qu’elle faisait régulièrement, car elle n’en possédait pas un chez-elle.
— Aucun problème, Christine. Tu fais comme chez toi.
— Merci David, tu es vraiment gentil, j’avais vraiment peur que la maison soit déjà vide.
— Non, je commence un peu plus tard ce matin, car je dois…
Et c’est à ce moment précis que je me rendis compte que j’avais encore mon petit contenant vide à la main.
— Oh, je vois, tu sembles un petit chanceux qui doit apporter un échantillon d’urine, me répondit-elle.
C’est alors que je me mis à bafouiller en tentant de sauver la face. Bien sûr, Christine se rendit immédiatement compte de mon malaise et ajouta :
— Attends une minute, me dit-elle, tu n’étais pas sur le point d’aller passer ton spermogramme au moins ?
(Petit comique que je suis, j’avais évoqué mon spermogramme, quelques semaines auparavant en rigolant – en compagnie de Sylvie, Christine et son copain Alex – que je devais me branler dans un petit contenant en plastique. Je blaguais même sur la grosseur du contenant en le prétendant trop petit, et bla bla bla et bla bla bla).
Mais là, c’était autre chose. Je ne rigolais plus du tout. J’étais en quelque sorte victime de mes conneries de gars stupide. Christine pouffa de rire. Elle se payait vraiment ma tête.
— Tu peux bien rire, lui dis-je. Je dois t’avouer qu’au début, je trouvais ça très drôle, et maintenant que je dois le faire, sans Sylvie en plus et dans un temps record, la situation est beaucoup moins comique. Disons que le contexte ne se prête pas très bien à la situation. Je t’avoue que ça ne m’inspire pas du tout.
— Je vois, me répondit-elle. Tu veux que je t’assiste ?
Puis, elle se remit à rire à gorge déployée.
— Je vais te prendre au mot alors, lui répondis-je, mi-sérieux mi-blagueur.
Un silence suivit. Elle me fixa, toujours un sourire aux lèvres.
— Tu es sérieux ? me demanda-t-elle.
— Je dois aller porter mon échantillon de sperme dans moins d’une heure et je suis même pas sûr de pouvoir bander tellement la situation est stressante.
Christine sembla réfléchir en me regardant. Ses yeux laissèrent mon regard pour se poser sur le contenant vide.
— Écoute, me dit-elle. Si tu sais rester discret, je peux « t’aider » si on peut dire. Au fond, ce n’est rien de sexuel et si ni Alex, ni Sylvie n’apprennent ce que je m’apprête à te faire, je ne crois pas qu’on puisse classer ça dans la catégorie « infidélité ». Qu’est-ce que tu en dis ?
Un autre silence s’en suit. Plus long celui là. Alors là, j’étais K.O. J’en revenais pas. Il y a quelques minutes, je croyais devoir me branler seul dans un contenant de plastique, mais voilà que Christine, qui n’était vraiment pas piquée des vers, ma belle-sœur par surcroît, me proposait de me branler pour me venir en aide, si l’on peut dire.
— Et bien, je ne sais pas trop quoi te répondre, lui dis-je en me remettant à bafouiller.
— Si je ne me trompe pas, le compteur tourne et chaque minute compte, non ? Je t’offre ce service, sans aucune pensée perverse. Si tu acceptes, rien ne doit transpirer de ce qui va se passer. Tu es d’accord ?
Je déglutis avant de m’entendre répondre un « d’accord » pas très convaincant.
— OK… Ben alors, tu attends quoi ? Que je baisse ton pantalon ? Rappelle-toi, il n’y aura rien de sexuel, ça ne sera que mécanique…pour t’aider à sauver du temps.
— Ça me va.
Mais je n’arrivais pas à me décider à baisser mon pantalon. Et si ce n’était qu’une blague ? Qu’un fois mon pantalon aux chevilles, Christine allait se rouler par terre en se moquant de moi encore plus qu’elle venait de le faire ?
— Allez David, tu n’as pas de temps à perdre et moi non plus. Je dois aller taper ce texte à l’ordinateur et comme ce n’est pas ma spécialité, faudrait pas s’éterniser.
Bon, c’était du sérieux. J’étais sur le point de me faire branler par ma belle-soeur. Plein de choses se bousculèrent dans ma tête.
— Bon, on va pas rester dans l’entrée, on peut aller à la salle de bain au moins, lui répondis-je.
— En effet oui, acquiesça Christine.
Une fois à la salle de bain, je me retournai pour être bien certain que Christine m’avait suivi. Elle était bel et bien là, prête à s’acquitter de sa tâche. Alors, je pris une bonne respiration et baissai mon pantalon, marquai une pose, puis fit descendre mon boxer. Je me retrouvai le pantalon aux genoux, avec une semi érection, car, je dois l’avouer, la situation devenait beaucoup plus excitante que ce qu’elle devait être au départ.
C’est alors que Christine s’approcha de moi pour venir se positionner à mes côtés et, sans trop attendre, empoigna ma queue pour commencer à me branler avec un léger va-et-vient. Je cessai presque de respirer. Le contact de sa main sur ma queue eut tôt fait de me donner une érection optimale. Une fois ma queue dure comme du bois, elle accentua franchement la cadence, à mon plus grand plaisir.
Elle portait une camisole serrée blanche et je devinai ses mamelons durcis sous le tissu. La situation semblait ne pas lui déplaire non plus. Mais je n’osai pas m’aventurer sur ce terrain qui pouvait être très glissant, me considérant déjà assez chanceux au moment présent.
— Tu aimes te faire masser les couilles ?
Cette question me fit sortir de ma contemplation.
— Euh, oui beaucoup même, lui répondis-je avec une voix essoufflée.
Passant de la parole aux actes, Christine commença à me masser les couilles tout en continuant sa branlette. Elle tenait ma queue fermement en me masturbant rapidement, tout en me malaxant les couilles. On aurait dit qu’elle savait ce que j’aimais. Je me demandais même si Sylvie n’y avait pas été de quelques confidences.
À ce moment précis, cela n’avait aucune importance, car cette masturbation imprévue était divine et je n’en avais pas pour beaucoup de temps avant de tout lâcher. Christine gardait son regard sur ma queue, concentrée sur ce qu’elle avait à faire. Allez savoir pourquoi, cette masturbation mécanique, dépourvue de romantisme, m’excitait au plus haut point. Il fallait que je m’appuie sur quelque chose, car je sentais mes genoux défaillir.
Je posai une main sur le sèche-linge et commençai à haleter. C’est à ce moment que Christine arrêta de me masser les couilles et me prit le contenant des mains pour l’approcher de mon gland. J’allais oublier le but de l’opération. Recueillir ma semence ! Heureusement que Christine y avait pensé, car j’aurais été vraiment dans de beaux draps ! Sentant venir mon éjaculation, elle posa mon gland à l’entrée du contenant, lui donnant l’inclinaison nécessaire, puis poussa le rythme de sa masturbation à un niveau supérieur. Mais au moment de ma jouissance, un spasme me fit reculer légèrement et la première giclée de sperme éclaboussa la main de Christine qui tenait le contenant.
Elle rectifia la situation pour presque y faire entrer mon gland à l’intérieur du récipient, tout en ralentissant le rythme. J’éjaculai une deuxième rasade directement au fond du contenant, avec un jet puissant, suivit de plusieurs autres giclées d’un sperme épais. J’étais dans les vapes, toujours pris de violents spasmes, mais Christine continuait de me branler, diminuant le rythme, serrant ma queue un peu plus fort, comme pour me vider jusqu’à la dernière goutte, mais le sperme sortait et sortait en quantité phénoménale.
Habituellement, je peux éjaculer une quantité de sperme étonnante, mais cette fois-ci, il s’agissait d’une performance digne du Top 10 ! La giclée de sperme qui avait atterri sur sa main commença à dégouliner sur son poignet. Alors, Christine me rendit le contenant, puis s’essuya les mains avec du papier hygiénique.
— Wow, impressionnant ! me dit-elle. Je n’ai jamais vu autant de sperme ! Mais faudrait pas que tu sois en retard, sinon tout serait à recommencer, dit-elle me faisant sortir de ma transe.
— Oui, tu as raison, répondis-je. Et euh, bien merci.
— Plaisir. Mais n’oublie pas, hein ? Tout ça est entre nous deux. Bon, moi, je file sur ton ordinateur, j’ai du travail. Bonne journée !
Christine me laissa comme ça, le sexe encore raide et maculé de sperme, mon petit contenant à la main.
Quelques minutes plus tard, je me dirigeais vers le labo avec mon échantillon de sperme bien chaud et tout ça grâce à Christine.
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