Il arriva vers 9 heures ce matin là. C’est Martine, sa belle fille qui vint lui ouvrir, seulement vêtue d’un peignoir blanc. Il fut surpris d’apprendre que son fils serait absent pour la journée. Il était prévu qu’ils réparent ensemble le volet roulant de la fenêtre du salon. Martine s’excusa pour son mari qui avait du partir régler un problème a son boulot. Il décida, tout de même de faire ce pour quoi il était venu.
Il eut beaucoup de mal a se concentrer sur son travail car sa belle-fille restait dans le salon et discutait avec lui. Ce n’est pas que la discution qui le gênait, ce qui le troublait, c’était elle. Il avait toujours trouvé que Martine dégageait un certain charme malgré son embonpoint. Ho, c’est sur, Martine n’était pas énorme, mais elle avait des courbes très généreuses toujours mises en évidence dans des caleçons et des pulls moulants. Certaines auraient préféré des vêtements amples pour cacher cette surcharge pondérale mais pas Martine qui avait su tourner ce léger handicap a son avantage. Martine savait qu’elle plaisait aux hommes et elle en jouait volontiers. Il est bon de préciser, je pense, que Martine avait un visage magnifique sublimé par le bleu de ses grands yeux, le tout encadré d’une chevelure auburn ondulée lui tombant jusqu’au milieu du dos.
Il avait, quelquefois fantasmé sur sa belle-fille, allant jusqu’a se masturber lorsqu’il se trouvait seul chez lui. C’était surtout l’imposant fessier de Martine qui le faisait rêver car il avait toujours en tête ce fantasme de sodomiser, un jour, une femme. Bien sur, il avait tenté l’expérience avec sa femme mais il n’était pas parvenu à insérer son sexe de taille imposante dans les frêles fesses de celle qui partageait son existence depuis plus de trente ans. Il pensait, un peu innocemment, que la réussite d’une sodomie avait à voir avec la taille du fessier de la femme. Que des fesses et un bassin larges étaient égales a un un anus aussi large. On sait tous que cela est faux, mais, lui, s’était imaginé ça…
Cela faisait une heure que Martine lui tenait conversation et, lui, pensant à ses fantasmes commençait à se sentir à l’étroit dans son vieux jogging. Martine s’était aperçue de son état, elle en fut dabord un peu offusquée et songea à aller vite s’habiller mais, bizarrement, elle se ravisa et resta à aguicher son beau-père. Ce n’était pourtant pas dans ces habitudes de jouer a ce petit jeu. Elle, pour qui le mot fidélité, était une de ses valeurs prioritaires, se surprenait à jouer la petite allumeuse. C’est peut être la taille de la bosse qui déformait le jogging de son beau-père qui la poussa a aller plus loin. Elle lui proposa de faire une petite pause et de boire un café. Ce qu’il accepta volontiers. Il la suivit dans la cuisine et s’appuya contre le frigo tandis que Martine s’affairait, devant l’évier a préparer le café. De sa place, il pouvait mater à loisir, la forme généreuse des fesses de sa bru qui remplissaient son peignoir. Ce cul, il en rêvait depuis trop longtemps et c’est sans doute pourquoi, tel un automate, il s’approcha de Martine qui lui tournait le dos. Celle ci sursauta lorsqu’elle sentit les mains de son hôte se poser sur ses hanches.
Ce sursaut le fit revenir à la réalité et il réalisa la gravité de son geste. Il retira ses mains et allait se confondre en excuses lorsque Martine se recula pour se coller à lui. Il crut rêver, cette petite allumeuse semblait consentir à ses avances. Sans un mot, il ’agenouilla derrière elle et, délicatement, comme s’il déballait avec précaution un cadeau qu’il savait fragile, il souleva le peignoir de Martine, découvrant, non sans une certaine émotion, l’imposant fessier a la blancheur laiteuse. D’autres auraient, sans doute, été dégoûtés par ces traces de cellulites qui marquaient le haut des cuisses de martine mais lui, bandait à en avoir mal en caressant les fesses de sa belle fille. Elle allait se retourner, espérant, certainement un cunnilingus ou quelque chose de la sorte mais il lui fit comprendre, d’une pression de ses mains, de rester le ventre appuyer contre l’évier. Martine se pencha alors en avant et ferma les yeux de bien être en sentant la langue de son beau-père parcourir le sillon de ses fesses, remontant du bas de sa vulve en eau jusqu’en haut de ses fesses, s’attardant, au passage, vicieusement, sur son anus.
Bientôt elle fut surprise, puis gênée de sentir cette langue insister sur le petit orifice. Elle allait se dégager de cette étrange caresse quand elle constata, qu’après tout, cette caresse n’était pas si désagréable. Elle poussa un petit cri quand il lui inséra deux doigts dans le vagin en méme temps qu’il dardait sa langue dans l’anus. Martine, les yeux mi-closs, se mit à onduler lascivement du bassin. Dehors, par la fenêtre heureusement situe en hauteur au-dessus de l’évier, elle aperçu son voisin d’en face qui la regardait en lui faisant bonjour de la main. Martine se ressaisit en lui répondant par un sourire crispé. C’est à ce moment qu’elle sentit un doigt s’insérer dans son rectum. Elle serra en un vain réflexe ses fesses pour empêcher cette intromission, tournant la tête vers son beau-père en lui demandant de ’cesser cette cochonnerie’. Rien n’y fit, il se mit à bouger doucement son doigt dans l’orifice soyeux. Martine dut s’avouer rapidement être très troublée par cette pénétration et elle ne broncha pas quand un deuxième doigt vint élargir son petit trou jusqu’alors vierge de toute pénétration. Une douce sensation de chaleur lui montait dans les entrailles. Elle réalisa toute l’obscénité de la situation, là, dans sa cuisine, penchée sur l’évier, le peignoir troussé sur son dos, doigtée du cul par son beau-père et, semblait il, observé par son voisin qui trouvait qu’elle faisait une drôle de tête immobile devant la fenêtre.
Cela faisait un bon moment qu’il lui triturait l’anus, Martine était trop retournée pour se rendre compte que c’était maintenant quatre doigts qui lui assouplissaient le trou du cul. Cela ne lui faisait pas mal, bien au contraire. Elle complétait maintenant son plaisir en s’agaçant frénétiquement le clitoris. Il retira subitement ses doigts des fesses de Martine pour baisser prestement son jogging et son slip, faisant jaillir de la sorte un chibre énorme que Martine aperçut par-dessus son épaule. Elle ne put réprimer un tressaillement d’appréhension a l’idée de prendre un tel engin dans son vagin. Hé oui, même si elle regrettait un peu la présence des doigts dans son fondement, elle était persuadée que son beau-père utiliserait cette voie pour l’amener à la jouissance et s’épancher en elle. C’est d’ailleurs ce qu’il fit, pointant son énorme gland violacé contre la fente dégoulinante de secrétions de Martine qu’il pénétra d’une seule poussée en ahanant. Elle feula en sentant les parois de son sexe se distendre au passage du sexe imposant. Elle fut traversée par un orgasme fulgurant en sentant ce sexe lui écraser l’utérus, elle aurait d’ailleurs voulu s’ouvrir encore plus pour sentir le sexe plus loin dans son ventre. Il se retira une fois les derniers spasmes de plaisirs passés. Elle pensa le soulager de sa bouche quand elle sentit, avec effroi qu’il lui écartait les fesses. Elle se déhancha pour empêcher ce qui se préparerait mais elle se trouva plaquée sans douceur au-dessus de l’évier. Martine supplia, pleura, menaça de tout raconter à son mari mais rien n’y fit. Il poussa contre l’orifice préparé et constata que cela ne se ferait pas sans peine. Martine pleurait et criait de douleur. Elle espéra, sentant les difficultés qu’avait son partenaire a faire pénétrer son vit entre ses fesses qu’il abandonnerait cette tentative de sodomie. Lui, fou de désir estima qu’il était maintenant trop tard pour abandonner. C’est pourquoi il poussa sans ménagement et cela fit son effet. Comme si les sphincters de Martine cédaient, il fut subitement aspiré dans l’antre tant convoité. Il ne prêta pas attention au cri étrange que poussa Martine en se sentant littéralement empalée par le sexe de son beau-père. Il entra en elle jusqu’a la garde et resta immobile un instant, s’inquiétant tout de même de voir Martine pleurnicher. IL regretta immédiatement d’avoir été aussi rustre et décida de se retirer, a regret tout de même du fourreau élastique.
Alors que le gland allait être expulsé des fesses de Martine, il l’entendit dire « non, reste dedans ». La petite vicieuse s’était fait une raison. Il se ré-enlisa dans le rectum de Martine et attendit, fiché profondément dans son ventre, que ce soit elle qui ’mène le danse’. Ce qu’elle fit en roulant tout d’abord des hanches puis en lançant son majestueux fondement a l’avant du pieu de chair qu’elle sentait palpiter loin en elle. Il l’accompagna bientôt en lascifs aller et retours. Martine était maintenant dans un état second, le corps perlé de sueur dont l’odeur forte enivrait les sens de son partenaire, prise de tremblements convulsifs qu’elle ne cherchait plus a contrôler et proférant des suites de mots incohérentes. Elle ne se souciait plus, maintenant de son voisin qui, l’entendant hurler, s’était approché de la fenêtre pour se régaler du spectacle obscène de sa voisine en train de se faire astiquer le fondement par son beau-père. Ce n’était plus, dans la cuisine, que deux êtres, deux bêtes avides de plaisirs, s’amenant mutuellement a une jouissance dévastatrice, cherchant à tirer un maximum de plaisir dans cette sodomie démente, incestueuse et bestiale. Elle sentit le sexe se cabrer avant de tressauter pour lui envoyer une phénoménale quantité de sperme très haut dans son ventre. Cela la fit aussitôt partir dans un orgasme a l’intensité jusqu’alors jamais atteinte qui la fit couiner de façon vulgaire. Il s’écroula sur son dos et ils restèrent ainsi un long moment, reprenant peu a peu leurs esprits. C’est avec d’infinies précautions qu’il se retira de sa bru. Un flot de semence s’échappa de l’orifice totalement distendu pour s’écouler le long des cuisses de Martine qui alla prestement aux toilettes.
Il réalisa alors la gravité de leurs actes et ressentit aussitôt un fort sentiment de culpabilité. Il lui en fit part quand elle ressortit des toilettes. Pour toute réponse, elle lui donna un long baiser langoureux avant de lui glisser un ’merci’ au creux de l’oreille. IL prit congé tandis que Martine prit une douche avant d’aller s’endormir, sur le canapé, repue de plaisir.
C’est dans l’après midi, en allant récupérer le courrier qu’elle remarqua de longues traces humides sur le mur, sous la fenêtre de la cuisine. Le voisin s’était lâché en la matant et cette idée ne fut pas pour lui déplaire. Son beau-père revint un après midi dans la semaine suivante, bien décidé a mettre fin a cette sulfureuse relation. Il commença à lui faire-part de sa décision quand elle s’agenouilla devant lui pour extirper son sexe de son pantalon et le faire se mettre au garde a vous grâce à d’habiles coups de langues. La mâchoire écarquillée, les joues déformés, Martine eut rapidement raison de la volonté a cesser leur relation de son beau-père en lui prodiguant une longue fellation qui le fit exploser en larges giclées de semence dans les cheveux de sa bru. Depuis ce jour, il ne fut plus question d’arrêter, bien au contraire. Ils furent amants pendant plus de trois ans sans que quiconque ne se doute de rien, usant de divers stratagèmes pour se rencontrer sans éveiller les moindres soupçons. Le voisin ? Il fut vite convié aux après midi de débauche qui se déroulaient chez Martine.
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