Ce sont les légers picotements qu’elle avait au niveau de l’anus qui réveillèrent Béatrice. Elle ouvrit ses magnifiques yeux bleus et se remémora la cause de cette sensation…
Tout avait commencé la dernière quinzaine, Béatrice, 29 ans, rentrait à son appartement de banlieue en prenant le RER. Elle poussa un soupir d’exaspération quand elle constata que la rame dans laquelle elle venait de monter ne comportait déjà plus de places assises et, vu le monde qui montait, cela allait vite se transformer en boîte à sardine. Béatrice s’agrippa à une main courante. Cela allait encore jusqu’à la station suivante ou une masse de personnes vint remplir les derniers espaces libres de la rame. La pauvre Béatrice se trouva compressée entre plusieurs personnes. Agacée, elle leva ses yeux au ciel. La rame repartit et, tout de suite, Béatrice sentit une masse dure peser contre son fessier imposant. Elle essaya de se soustraire à cette présence encombrante sans réellement réaliser ce que cela pouvait être. Rien n’y fit, cela appuyait encore plus contre son cul. C’est là qu’elle commença a se dire que cela n’était pas naturel et elle tourna la tête derrière elle pour voir qui était la cause de cette gêne. Au regard que le type qui était collé derrière elle lui lançait, Béatrice comprit que ce n’était pas un briquet qui pesait contre ses fesses. Toute rougissante, elle essaya en vain de bouger mais cela s’avéra totalement inutile. Ce salaud poussait carrément contre elle.
Jusqu’à la station où elle descendait, Béatrice du supporter le sexe dur posé contre ses fesses. Elle sortit presque en courant de la rame et de la station pour aller s’engouffrer dans sa voiture. Elle démarra en trombe et rentra chez elle totalement furax. Elle n’avait pas plaqué son mec, il y avait trois mois, changé de boulot et de région, pour se faire tripoter comme une pétasse dans le métro. Elle avait coupé les ponts quand elle s’était rendue compte que son mec la trompait avec la voisine. Il faut préciser que ces derniers temps, Béatrice s’était quelque peu laissée aller. Elle avait pris, peu à peu du poids et malgré le fait qu’elle soit toujours charmante, elle s’était retrouvée avec un derrière plutôt imposant et quelques poignées dites d’amour. Dégoûtée, elle avait tout largué. Béatrice était ainsi, il ne fallait pas l’emmerder. Ce tempérament lui avait d’ailleurs joué pas mal de tours. Elle en était d’ailleurs bien consciente, à force de ne pas faire de concession, elle s’était rapidement retrouvée abandonnée de tous. Après tout, elle se sentait bien capable de vivre sa vie seule. « Ni dieu, ni maître ».
Cet incident aurait pu passer au rang des souvenirs peu agréables si trois jours après, alors que de nouveau, la rame dans laquelle elle se trouvait fut de nouveau bondée de monde et que, rapidement, elle sente un truc contre ses fesses. En tournant la tête, elle vit que c’était le même mec qui était venu se coller à elle. Etait-ce le fait qu’elle soit en caleçon qu’elle eut l’impression de sentir plus la forme allongée du sexe contre son cul ? Par réflexe, elle envoya sa main derrière elle. Elle crut bien défaillir en tâtant le chibre du mec. Ce salaud avait carrément sorti sa queue pour la frotter contre elle. Comme si elle avait reçu une décharge électrique, elle retira sa main en regardant autour d’elle. Les gens pressés entre eux ne s’étaient rendus compte de rien. Bizarrement, Béatrice se sentit troublée par la situation.
Elle se surprit à envoyer sa main saisir le sexe de taille conséquente. Elle le garda un instant dans sa main avant d’entamer une masturbation maladroite en se traitant intérieurement de dépravée. Le mec eut l’air d’apprécier et se mit à se frotter dans la raie de ses fesses à travers le caleçon de Béatrice. Elle sentit rapidement le sexe se cabrer avant de tressauter.
Béatrice sentit la chaleur du foutre qui se répandait sur ses fesses à travers l’étoffe de son caleçon. Elle réalisa alors que la rame arrivait à destination. Elle sortit sans se retourner et malgré le fait qu’il fasse un peu sombre sur le quai, elle eut l’impression que tout le monde lui regardait les fesses, apercevant les larges traînées de semence qui souillaient son caleçon. Elle s’assit dans sa voiture sans même se soucier des taches qu’elle laisserait sur le fauteuil et conduisit comme une automate jusqu’à chez elle où, une fois rentrée, elle se masturba comme une adolescente, assise sur les wc, narines pincées, le souffle court. Là, elle s’amena plusieurs fois à la jouissance, excitée par les fortes effluves de semence masculine qui remontaient de son caleçon baissé à ses chevilles.
Quand ses sens furent apaisés et qu’elle reprit pied dans la réalité, les doigts gluants de mouille elle se demanda ce qui se passait, qu’est ce qui l’avait poussée à branler cet inconnu contre ses fesses. Elle ne trouva pas la réponse et, c’est très troublée qu’elle s’endormit ce soir-là.
Le lendemain, elle s’arrangea pour prendre son RER à la même heure. Malgré la foule présente, elle ne sentit pas son inconnu venir se coller à elle. C’est déçue qu’elle rentra chez elle. Ce n’est que le lendemain qu’elle eut la joie de le sentir se presser contre elle. Elle le masturba tout en épiant ses voisins afin de voir si quelqu’un réagissait. Elle crut bien atteindre l’orgasme quand elle sentit le sexe tressauter dans sa main. Elle regretta aussi d’avoir mis un jean car elle ne put sentir la chaleur du sperme à travers l’épais tissu. Elle se masturba encore quand elle arriva chez elle en frottant son cul contre le coin de la table tout en agaçant son clitoris à travers son slip de coton blanc. Elle avait l’impression, en agissant de la sorte que c’était le sexe du mec qui caressait ses fesses et, les yeux fermés, elle s’imaginait dans la rame observée par plusieurs personnes en train de prendre son pied. Cette idée l’amena très rapidement à l’orgasme qui lui coupa les jambes et c’est à genoux par terre qu’elle subit les dernières ondes de plaisir.
C’est pourquoi, le lendemain, c’est en robe qu’elle monta dans le RER et, ô joie, elle sentit très rapidement son inconnu se coller derrière elle. De ses mains, il remonta petit à petit sa robe de façon à placer son sexe entre les cuisses de Béatrice. Celle ci vibrait de désir au contact du sexe raide sur le fond de son slip déjà tout humide. Elle serra ses jambes au maximum, emprisonnant le sexe entre ses cuisses généreuses en cambrant légèrement les reins. Elle sentait le sexe dur palpiter contre le bas de son vagin et cela la poussa à aller plus loin. Elle se mit à rouler imperceptiblement des hanches, aidée par le roulis de la rame, branlant ainsi le sexe entre ses grosses cuisses.
En levant les yeux, elle vit une femme qui la regardait d’un air réprobateur. Béatrice la fixa en serrant les dents pour ne pas gémir du plaisir que lui procurait cette situation plus que croustillante.
Subitement, le mec se répandit entre ses cuisses. Heureusement que Béatrice était enserrée par des personnes car sinon, elle se serait de nouveau effondrée. Le mec se retira et lui saisit la main pour lui glisser un billet dedans.
Béatrice se rendit compte qu’elle avait dépassé sa station depuis un bon moment. Elle descendit et changea de quai pour revenir sur ses pas. Elle sentait la semence lui descendre le long des jambes. Elle ne déplia le papier qu’une fois arrivée chez elle. Elle y trouva inscrit une adresse Internet « [email protected] ». Elle sourit en pensant qu’elle avait bien fait de s’équiper en matériel informatique au début de l’année et de surcroît, de s’être abonné à Internet.
Après avoir pris une douche et dîné, Béatrice s’installa devant son pc et se connecta. Elle envoya un message à l’adresse indiquée, demandant simplement ce que ce fameux Rémy désirait et laissa son adresse « [email protected] ». Elle se doutait bien de ce qu’il espérait et en eut confirmation peu de temps après quand elle reçut un message où il lui demandait si elle était bien celle qui l’avait soulagé dans le RER. Elle répondit par l’affirmative et aussitôt, il lui proposa une rencontre chez elle. Béatrice n’hésita pas à répondre positivement à cette demande. Il lui renvoya un message « Ma petite cochonne, si je viens chez toi ce sera pour m’occuper de tes grosses fesses, m’y insérer profondément pour t’amener à la jouissance. Oui, tu as bien compris, je veux t’enculer… Es-tu d’accord ? »
En découvrant ce message, Béatrice eut comme un haut le cœur et mit précipitamment fin à sa connexion. Comment ça ? Se faire enculer ? Certainement pas !!! Béatrice avait toujours refusé cette pratique qu’elle trouvait avilissante, sale et dégradante pour l’image des femmes. Elle ne comprenait d’ailleurs pas comment on pouvait trouver du plaisir à se faire pénétrer ainsi. Fâchée, elle décida de mettre fin à cette relation étrange.
Dès le lendemain, elle se rendit à son travail en voiture. Le soir même elle se connecta à sa messagerie et constata que Rémy lui avait laissé un message. Elle décida tout d’abord de ne pas le consulter mais, curieuse de nature, elle cliqua. Elle trouva juste un message avec un document joint.
« Regarde, elle a l’air d’aimer et elle te ressemble ».
En ouvrant le document, elle vit apparaître la photo d’une nana en train de se faire sodomiser par un chibre impressionnant, couchée en chien de fusil sur son lit. C’est vrai que la fille avait l’air d’apprécier et qu’elle ressemblait étrangement à Béatrice; Aussi plantureuse, même longs cheveux auburn ondulés, même forme de visage…
Béatrice dut s’avouer troublée par cette image obscène mais elle refusa encore l’idée d’accepter l’offre. Il lui envoya des images de sodomies pendant trois jours avant que Béatrice, finalement excitée, accepte de l’inviter le samedi suivant, se disant qu’elle s’arrangerait pour qu’il ne la sodomise pas. Il arriva à quatorze heures à l’appartement de Béatrice. Celle-ci l’accueillit vêtue d’un ensemble qu’elle avait acheté pour l’occasion. Il s’agissait d’un caleçon de laine hyper moulant et d’un petit pull col roulé de couleur beige. Béatrice avait toujours apprécié le contact de la laine sur son corps. Elle était bien consciente que boudinée dans ces vêtements, elle avait un côté assez vulgaire, voire « grosse salope », mais elle avait envie d’exciter son partenaire de la sorte car il lui avait avoué dans l’un de ses messages, craquer pour les formes mises en valeurs. Là, c’était le cas.
Sans préliminaires, il la poussa jusque dans la cuisine. Il la fit s’appuyer contre la table, et vint se coller derrière elle. Béatrice sentit qu’il avait sortit son sexe et qu’il le frottait contre son cul. Le petit manège dura plus de dix minutes avant que Béatrice ne demande à être pénétrée. » Ca veut dire que tu m’offres ton cul ? ». Béatrice répondit non à cette demande et aussitôt, elle sentit que son partenaire s’éloigner d’elle en disant » C’est dans ton cul ou rien, tout du moins pour l’instant, on verra après. Dans le cul d’abord… »
Béatrice tenta de discuter mais rien n’y fit. Agacé par le refus de Béatrice, il fit mine de partir. Là, Béatrice finit par accepter à condition qu’il s’occupe de son sexe après. Il la fit s’agenouiller sur la table, les fesses au bord. Alors que Béatrice allait baisser son caleçon, il l’en empêcha. Il prit une chaise et vint s’asseoir devant ce cul affolant. Elle tressaillit quand elle le sentit lui malaxer le postérieur à pleines mains. Il envoya sa main lui caresser la vulve à travers le caleçon. Cette caresse lui procura de délicieux picotements de plaisir et elle pensa avoir eu une bonne idée en ayant décidé de ne pas mettre de slip. Il insista à caresser le sexe de Béatrice, si bien que celle-ci espéra qu’il s’était tout de même décidé à la prendre par le sexe. Elle comprit que non en sentant le pouce de Remy appuyer contre son anus à travers l’étoffe du caleçon. Tout en lui caressant la vulve il appuya contre l’anus en un mouvement circulaire. Petit a petit, Béatrice sentait le pouce s’enfoncer dans son petit trou, gainé de laine. La sensation n’était pas désagréable, loin de là. Le contact de la laine contre ses muqueuses intimes rendait Béatrice folle de désir. Il lui rentrait carrément le caleçon dans le cul. Il avait mal au pouce à force de pousser le tissu.
Il retira ce doigt pour le remplacer contre son index. Les yeux mi clos Béatrice sentit le tissu remonter encore un peu plus dans son cul. Cela commençait à devenir douloureux, les fibres, échauffées par la traction lui irritaient l’anus. Il sentit subitement que le tissu allait céder et ne put que lui dire » attention » avant que , en craquant, le fond du caleçon ne rende grâce. Béatrice poussa un petit cri quand elle sentit le doigt lui vriller l’anus. Il se mit alors à jouer avec l’orifice vierge, faisant tourner son doigt, le repliant à l’intérieur. Béatrice trouvait cela divin et regrettait intérieurement d’avoir tant attendu pour goûter à cette pratique. Un deuxième doigt vint s’insérer dans le cul de Béatrice, assouplissant de la sorte l’orifice interdit jusqu’alors. Elle lançait maintenant son sublime fondement à l’avant des doigts de Rémy en gémissant. Elle finit par lui demander’ d’y aller’. Il prit un malin plaisir à lui faire préciser ce qu’elle désirait. Béatrice, rendue presque hystérique par les caresses lâcha » Mais salaud, je veux que tu… que tu m’encules… que… que tu m’enfonces ta bite entre les fesses. J’en ai envie maintenant.
— Ma chérie, c’est toi qui va venir te la mettre dans le derrière. Allez, descend… »
Béatrice descendit de la table et, toujours le dos tourné à son partenaire, elle vint s’asseoir au-dessus du sexe. Il guida sa queue par le trou du caleçon aux pourtours souillés de matières et attendit que Béatrice descende. Ce qu’elle fit sans trop d’hésitation, pressée d’être pénétrée. La belle déchanta rapidement en sentant la douleur provoquée par le fort calibre du sexe sur lequel elle tentait de s’empaler. Mais le désir fut le plus fort et Béatrice insista jusqu’à ce que le gland passe enfin l’anneau de son cul. Elle poussa une sorte de glapissement en sentant le gland passer. Elle resta un instant en suspend, attendant que la sensation de brûlure s’estompe puis elle continua la descente en poussant un gémissement rauque qui ne cessa qu’une fois qu’elle sentit ses fesses s’écraser sur les cuisses de Rémy. Ça y était, elle avait réussi à se l’enfiler jusqu’à la garde. Rémy était aux anges, le sexe comprimé par les entrailles de sa belle conquête. Il envoya une main lui caresser la poitrine à travers son pull et l’autre dans le caleçon pour lui pincer le clitoris. Il la guida dans ses mouvements afin qu’elle tire un maximum de plaisir à cette pénétration. Sous ses conseils Béatrice s’amena à l’orgasme dévastateur qui la fit se crisper convulsivement autour de la barre de chair qui lui fouillait le ventre. Il fut surpris par la violence du plaisir de sa partenaire et son sexe fut si délicieusement compressé par ses spasmes que cela le fit se répandre en grognant au plus profond de son ventre. La chaleur du sperme fusant dans ses entrailles eut raison de Béatrice qui repartit aussitôt dans un nouvel orgasme aussi fort que le premier.
Ils restèrent un instant à reprendre leurs esprits avant que Béatrice ne se soulève pour expulser le sexe de ses fesses. Comme promis, il honora le sexe onctueux de Béatrice sur le lit, le noyant d’une bonne quantité de semence. C’est elle qui, plus tard dans la soirée, demanda à être de nouveau sodomisée. Ce qui fut fait aussitôt. Nue, couchée sur le ventre, Rémy au-dessus d’elle; Béatrice savoura une longue sodomie très lascive, très douce qui l’amena encore à une grande jouissance. Béatrice sombra presque aussitôt dans un sommeil réparateur….
Oui, c’est tout ceci que Béatrice se remémorait, ce dimanche matin. En tournant la tête, elle vit qu’elle n’était pas seule dans le lit, Rémy était resté et il dormait, nu. Elle décida de lui faire une petite surprise. Elle attrapa son caleçon de laine et l’enfila non sans avoir grimacé en constatant dans quel état de souillure il était. Elle vint ensuite à califourchon au-dessus de Rémy qui se réveilla. Elle se frotta le long du sexe qui reprit vite de la vigueur, se souleva et le pointa contre son anus à travers le trou du caleçon. Elle grimaça au passage du gland puis s’empala en deux vives pressions jusqu’à la garde. Elle fit quelques mouvements avant de déculer doucement et, là, elle passa le sexe entre la raie de ses fesses et son caleçon. Elle se mit à monter et descendre doucement, branlant de la sorte le sexe dont le gland passait quelquefois au-dessus de l’élastique. Elle se souleva pour replanter le chibre dans son cul afin de recommencer l’opération précédente. La vicieuse observait l’opération qui se reflétait dans le miroir de l’armoire. Remy ne put résister plus longtemps au traitement divin que lui administrait Béatrice qui s’arrangea pour que le gland sorte par le haut du caleçon, au bas de son dos au moment ou Rémy expulsait de puissants jets de semences qui montèrent très haut dans la pièce, évitant de peu le lustre avant de retomber en pluie sur le couple enlacé…
Béatrice ne put s’empêcher de sourire en pensant à la pauvre vie sans teint qu’elle menait encore il y a quelques jours. Il y avait maintenant du temps à rattraper…
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