— Et si tu venais avec nous camper, la semaine prochaine ?
À son âge, 22 ans, Sophie, blonde, cheveux au carré, lunettes double-foyers cachant ses grands yeux bleus aurait, en temps normal, refusé l’invitation de ses parents. Mais là, c’était pas la forme. Sophie venait de rompre avec son petit ami. Eh oui, avec son physique plus que moyen, ses rondeurs quoique plutôt légères et son air nunuche, Sophie avait un petit ami depuis presque un an. Il l’avait quittée parce qu’elle se refusait à lui céder la primeur de son sexe. Cela ne se faisait pas dans la famille de Sophie : une femme se devait d’être pure jusqu’au mariage. Sophie ne se sentait pas capable de désobéir à ses parents, surtout sa mère, une femme autoritaire et très croyante, genre « famille de France », limite catholique intégriste, voire facho sur les bords.
C’est pourquoi elle accepta d’accompagner ses parents à l’unique condition – afin de se préserver un peu d’intimité – de planter sa toile de tente à côté du mobil-home des parents.
Ils arrivèrent à la mi-août au camping du Bois-Joli, situé sur l’île de Noirmoutier. Un super camping trois étoiles avec piscine et tout ce qui va avec.
Sophie remarqua tout de suite le couple qui était installé dans la caravane face à l’entrée de sa tente. Ils devaient avoir tous deux la cinquantaine : lui, plutôt grand et quelque peu bedonnant, yeux bleus, cheveux gris et elle, grande mince aux cheveux châtains coupés court, lunettes sur ses yeux marrons. Sophie était étrangement attirée par ce couple somme toutes très banal.
Elle eut l’occasion de les connaître un peu mieux dès le premier soir car ils s’approchèrent au moment de l’apéritif afin de se présenter à leurs voisins de vacances. Lui s’appelait Jacques et elle, France. Ils étaient très sympathiques et s’entendirent très bien avec les parents de Sophie, à un tel point que sa mère les invita à dîner avec eux. Pendant le repas, Sophie remarqua que Jacques la regardait d’une drôle de façon. Cela la mit un peu mal à l’aise, mais cela passa assez vite lors du repas.
Ils partirent vers 23 heures et Sophie alla se coucher. Au bout d’une demi-heure, Sophie entendit un drôle de remue ménage dans la caravane de Jacques et France. Elle comprit ce que ce bruit signifiait, leurs voisins étaient en train de copuler. Sophie fut troublée par ces bruits. Discrètement, elle sortit de sa tente. Elle vit que ses parents étaient couchés, elle s’approcha de la caravane où la lumière était restée allumée. Elle avisa une fenêtre entrouverte sur le côté et se posta pour observer ses voisins, toute honteuse de cet espionnage. Les rideaux étaient tirés mais elle bénéficiait d’un petit espace entre le bas de la fenêtre et celui du rideau. Sophie n’oubliera sans doute jamais ce qu’elle vit à l’intérieur. France, seulement vêtue de son tee-shirt, était assise au bord du canapé, la mâchoire écarquillée par l’énorme sexe de Jacques qui, lui, se tenait debout, nu, devant elle. Il l’encourageait en termes crus tels que :
— Vas-y, suce-la bien, oui, comme ça… Hummm… Maintenant je vais t’enculer…
Il se retira de la bouche de France qui, elle s’allongea sur le dos, les fesses au bord de la banquette. Jacques s’agenouilla et vint présenter son sexe conséquent entre les jambes relevées au maximum de sa femme. Il posa son gland contre l’anus de France et poussa. Sophie vit France grimacer jusqu’à ce que le chibre trouve le passage étroit de ses fesses. Cette grimace se transforma en une drôle expression quand le sexe la pénétra en profondeur.
C’en était de trop pour Sophie qui envoya sa main dans son caleçon pour se caresser. Jacques allait et venait maintenant dans le cul de France qui, la tête rejetée en arrière, les yeux mi-clos, ronronnait de bien-être. Les mouvements de Jacques devinrent de plus en plus rapides. France se cambrait, se tendait de plus en plus. Sophie, quant à elle s’astiquait frénétiquement le clitoris, toute tremblante de plaisir. D’un coup, France se tendit comme un arc en poussant un cri aigu, Jacques se plaqua aux fesses de sa femme et se mit à pousser des grognements sourds.
Sophie s’éloigna un peu trop prestement et renversa le tancarville où séchaient les serviettes de plages du couple vicieux. Cela fit un bruit monstrueux. Sophie s’enfuit dans sa tente et eut juste le temps de rentrer avant que Jacques ne sorte pour voir d’où provenait ce bruit. Il eut juste le temps d’apercevoir la jambe de Sophie qui entrait dans sa tente. Il rentra avec un drôle de sourire aux lèvres…
Sophie se masturba un bon moment en se remémorant ce qu’elle avait vu. Elle se fit jouir ainsi, avant de sombrer dans un demi-sommeil entrecoupé de rêves salaces où elle se voyait sucer le sexe énorme de Jacques. Vers sept heures du matin, Sophie se réveilla en sursaut, toute troublée par son dernier rêve où Jacques forçait l’entrée de ses fesses. Elle lutta un moment avant d’envoyer ses doigts caresser son anus. Sophie ne trouva pas cette caresse désagréable et se mit, de l’autre main à se caresser le clitoris. Elle entra son index entre ses fesses et partit presque aussitôt dans un orgasme dévastateur. Elle se rendormit, comblée, pour ne se réveiller que vers onze heures.
La journée se passa sans histoires si ce n’est qu’elle crut percevoir un clin d’œil de Jacques quand il passa saluer ses parents.
L’après midi, Sophie prétexta un coup de fatigue pour s’éclipser dans sa tente.
Elle attendit que ses parents partent pour la plage pour commencer un drôle de petit jeu.
Elle se débarrassa de son short et de son slip et elle se mit à quatre pattes. De ses mains, elle écarta les deux globes laiteux de son cul et se mit à onduler du bassin en murmurant. Sophie s’imaginait présenter ses fesses à Jacques, elle gémissait :
— Viens… prends mes fesses.
Elle se saisit de sa brosse à cheveux et présenta le manche contre son anus. Cela lui faisait un peu mal mais elle réussit, tout de même à s’insérer le gode improvisé entre les fesses. Les yeux fermés, elle se mit à le faire tournoyer entre ses fesses en s’imaginant que c’était le sexe de Jacques qui lui explorait le fondement. Elle trouva cela délicieux mais ne réussit pas à entrer complètement dans le délire. Il lui fallait quelque chose digne de la taille du sexe de Jacques.
Elle prit alors le maillet lui ayant servi à monter sa toile, elle considéra un instant le manche de plastique noir, se demandant s’il n’était pas risqué de s’enfoncer un objet aussi gros dans les fesses. Elle se décida en se remémorant le spectacle de la veille, France avait pris le gros sexe de Jacques dans les fesses sans problème alors pourquoi pas elle ? Elle versa une bonne dose de crème solaire sur le manche. Sophie s’agenouilla, calla le maillet entre ses pieds, le manche en l’air et, doucement, envoya ses fesses à la rencontre de l’outil. Quand elle le sentit contre son anus, Sophie marqua un temps d’arrêt. À voix haute elle dit :
— T’inquiète pas, ta grosse bite, mon cul va l’avaler.
Elle se laissa aller doucement. L’anus de Sophie résista à l’intromission. Elle pesa un peu plus sur le manche. C’était plutôt douloureux. Dépitée, Sophie pensa qu’elle n’y arriverait pas. Alors, serrant les dents, tentant le tout pour le tout, elle pesa de tout son poids sur l’engin.
Jacques, qui somnolait dans sa chaise-longue devant sa caravane, sursauta en entendant le cri de Sophie. Il s’approcha de sa tente pour lui demander si elle avait besoin d’aide quand il l’entendit gémir:
— Oh… Mon dieu… C’est gros ta queue… Attends… Je bouge… Oh ? Ouah… c’est génial ce truc… tu m’encules, hein ? Ooohhh… Ouiiii… C’est… C’est bon…
Jacques était surpris, ainsi la petite voyeuse de la veille, la petite sainte nitouche était en train de s’envoyer en l’air avec un mec dans sa tente, pendant l’absence de ses parents. Il n’eut pas le temps de penser plus car il entendit subitement Sophie pousser un long râle de plaisir. Ça y était, cette petite cochonne venait de prendre son pied, et par derrière de surcroît.
Il retourna dans sa chaise et attendit qu’elle sorte afin de voir la tête du petit veinard qui avait eu la chance de sodomiser Sophie.
Dans sa tente Sophie, toute collante de sueur, considérait le manche du maillet. Elle se demandait encore comment un truc pareil avait réussi à lui procurer un plaisir si fort. Elle le prit du bout des doigts, prenant soin de ne pas se souiller, elle l’enroula dans une serviette et le cacha sous son duvet. Elle enfila son maillot de bain et prit sa voiture pour rejoindre ses parents à la plage.
Jacques fut surpris de la voir partir ainsi seule, il s’attendait à la voir accompagnée. Il attendit un bon quart d’heure avant de s’approcher de la tente. Il demanda si il y avait quelqu’un et, n’obtenant pas de réponse, il s’enhardit à ouvrir… Personne…
Il sourit en réalisant qu’elle s’était fait un petit film. Il se demanda comment elle s’était fait jouir. Un petit coup d’œil aux alentours pour vérifier si personne ne le regardait et il entra. Une forte odeur de sueur régnait dans la tente. Il se mit en quête de l’objet du plaisir. Peut-être que cette petite vicieuse avait un godemichet ? Il trouva assez facilement le maillet et fut presque ému par cette trouvaille.
Il rangea l’objet à sa place et, excité à l’extrême, il alla retrouver France qui dormait nue, allongée sur le ventre en travers du lit. Elle fut réveillée par le poids de son mari sur elle. Elle n’eut pas réellement le temps de réaliser que déjà, le chibre de son mari lui investissait le vagin. Il se mit à la pilonner en racontant ce que faisait la petite voisine. Elle fut très excitée par ce récit et ne fit aucune difficulté à être profondément sodomisée.
Sophie rentra en même temps que ses parents, Ils furent invités à prendre l’apéritif avec Jacques et France. Sophie observait Jacques à la dérobée. Tout se passa bien jusqu’à ce que Jacques, sourire aux lèvres sorte une réflexion qui faillit se faire étrangler Sophie.
— Notre auvent a besoin d’être réparé, le problème est que j’ai perdu mon maillet. Sophie, tu ne pourrais pas me prêter le tien ?
Sophie rougit et balbutia qu’elle l’aiderait le lendemain après-midi.
Vers 23 heures, Sophie se posta près de la caravane. Elle ne fut pas déçue. Ce fut une véritable orgie qui se déroula sous ses yeux. Dopés par l’idée d’avoir une spectatrice, Jacques et France se déchaînèrent.
Sophie réitéra sa sodomie au maillet dès son retour dans sa tente et en tira de nouveau un grand plaisir.
Le lendemain, Sophie se présenta à la caravane et prêta son maillet à Jacques. Il lui promit de lui ramener quand il aurait fini.
Comme il faisait froid et qu’il pleuvait, Sophie alla faire une sieste dans sa tente.
Elle fut réveillée par le bruit de la fermeture de la porte. Il la trouva allongée sur le ventre, seulement vêtue d’un slip de coton blanc et de son petit pull gris à col roulé. Il lui dit de ne pas se déranger pour lui. Il entra à demi dans la tente pour glisser le maillet dans la poche à rangement. Il en profita pour envoyer sa main caresser les fesses de Sophie. Celle-ci ne dit rien, elle se contenta de lui lancer un regard appuyé par-dessus son épaule. Il comprit aussitôt qu’il avait gagné. Il sortit son sexe de son short et vint s’allonger sur elle. Sophie sentait le gros sexe appuyer dans la raie de son cul à travers son slip.
Ils jouèrent un instant à se frotter ainsi. Il lui souffla à l’oreille qu’il allait la sodomiser. Il fit glisser le slip de Sophie et s’empara du tube d’huile solaire que Sophie lui tendit. Il pressa le tube sur l’anus de Sophie qui tressaillit en sentant la fraîcheur de la crème. Il lui demanda de s’écarter les fesses et présenta son gros gland contre l’orifice graissé. Il poussa avec une infinie douceur. Sophie serra les dents pour ne pas hurler de douleur. C’était horrible, cela n’en finissait pas. Elle allait lui demander de cesser cette torture quand, d’une ruade, il réussit à forcer la porte étroite. Sophie poussa un drôle de cri en se sentant perforée et pénétrée en profondeur. Elle avait l’impression qu’une bête bougeait dans son ventre. Il s’enfonça jusqu’aux couilles en elle et attendit, immobile que la douleur de Sophie s’estompe. Il la sentit se détendre peu à peu, son rectum s’habituant à la présence du pieu de chair, avant d’aller et venir en mouvements amples en elle.
Sophie était sur un petit nuage. Cette sodomie lui procurait un plaisir divin, une certaine sensation de bien-être… Il allait et venait de plus en plus facilement entre les reins de Sophie qui hululait carrément de plaisir. Sophie ne put résister plus longtemps au divin ramonage. Elle fut subitement traversée de spasmes désordonnés tandis que sa bouche s’ouvrait en un cri muet. Les contractions du ventre de Sophie précipitèrent la jouissance de Jacques qui se répandit en elle en la traitant de petite souillon.
Elle ressentit comme un vide quand il se retira de ses fesses. Il l’embrassa tendrement et repartit.
Il fit part de cette aventure à France qui le supplia de le sucer afin de connaître le goût de cette petite vicieuse.
Sophie, quant à elle, s’endormit d’un sommeil réparateur jusqu’à l’arrivée de ses parents qui la trouvèrent très détendue.
Le lendemain après-midi, France vint inviter Sophie à venir boire le café.
C’est sans trop rechigner que Sophie accepta d’être sodomisée par Jacques sous le regard ému de France…
Sophie passa une quinzaine de vacances formidables.
En rentrant, elle entreprit d’inviter son ex « pour discuter ». Il vint un dimanche matin alors que Sophie était seule chez ses parents. Elle lui offrit ses fesses à sa plus grande joie. Ils passèrent la Journée dans le lit de Sophie. Il ne fut plus jamais question de rupture…
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