Cà y est, nous sommes arrivés au fatidique jour des résultats du concours. Depuis, plus de 15 jours, Livie est infernale. Sauf au lit, depuis notre « digression » d’il y a un mois. Elle trépigne sur place, elle va finir par trouer le plancher si elle continue avec cette frénésie-là !
A l’heure dite, pas une seconde de plus, elle se rue sur Internet pour obtenir la liste des candidats reçus. Elle peste contre la lenteur (toute relative) du site. Le temps que j’arrive à ses côté, elle pousse un hurlement de victoire et sautille sur place tout en tournant sur elle-même. Ce sont les voisins du dessous, puisque nous habitons pour l’instant en appartement, qui vont se demander quoi !
Soudain, elle s’arrête pile, elle vient de remarquer les lettres AM, significatives de « Avec Mention » qui sont suffixées à son code. Moi aussi…
Un peu pessimiste, elle ne pensait pas avoir de mention, j’étais persuadé du contraire. Du coup, nous avions parié quelque chose. Comme je suis un gars pratique et un tantinet obsédé par sa douce (c’est une façon de voir) et future (çà, je l’espère fortement) femme, j’avais proposé de mon côté une soirée torride avec tout le tralala du restau, d’une éventuelle sortie en boîte et bien sur de la nuit fiévreuse et enflammée…
Elle se tourne vers moi et me lance :
— Et je présume que tu vas réclamer ton dû ce soir ?
— Je ne dirais pas non mais on peut décaler…
— Et pas moyen d’y couper ? Soupire-t-elle.
— Je te signale que c’est toi qui as parlé de pari et de gage…
— Mouix…
Je la prends dans mes bras et je plonge mon nez dans sa chevelure noire toute bouclée. J’ai le plaisir de sentir ses petits seins pointus contre moi.
— Nous pouvons néanmoins aller au restau…
— Mouix !
Cà, c’est sa nouvelle marotte de faire de onomatopées qui se terminent par un x ! Je pense qu’elle a piqué ce tic à sa copine Pascale. Je continue :
— À moins que tu veuilles rester ici ce soir ?
— Nonx !
J’aurais dû parier que j’aurai gagné ! Elle lève son petit nez pointu et ses grands yeux sombres vers moi :
— Bon, on y va dans une heure, le temps de prendre aussi une douche et de se changer ?
— Ok !
Et je dépose un léger baiser sur son front. Elle part dans notre chambre se chercher divers vêtements à se mettre pour ce soir. Dehors, il fait beau, le thermomètre avoisine les 20 degrés en soirée, donc Livie va se vêtir léger, ce qui arrange ma libido. Il n’y a pas à dire, je suis marteau de cette fille.
Alors qu’elle est dans la salle de bain, je songe que j’ai laissé ma revue automobile à mon chevet. C’est en sortant de la chambre que j’ai le bon angle de vue à travers la porte de la salle de bain entrouverte. Nue de dos, son magnifique cul bien en valeur, elle s’apprête à rentrer sous la douche. C’est un spectacle que je ne voudrais pas manquer. Alors qu’elle a déjà un pied dans le bac de la douche et l’autre encore sur le tapis de bain, j’entrevois parfaitement sa belle chatte foncée qui se découpe remarquablement entre ses deux fesses blanches dodues.
Ma réaction est immédiate : changement de programme !
Envoyant valser ma revue sur le lit, j’entreprends de me déshabiller sur place et c’est dans le plus simple appareil, mon machin raide comme un i que j’entre dans la petite salle de bain. Comme elle me tourne toujours le dos et que le bruit de la douche couvre tous les autres sons, Livie ne se doute aucunement de ma présence. À prime vue, de ce que je discerne à travers la vitre dépolie, elle semble se couvrir de gel douche.
J’ai une légère hésitation sur ce que je vais faire mais comme je devais prendre aussi une douche pourquoi pas maintenant et avec elle, çà n’en sera que plus agréable. Enfin, si elle le veut bien, ce qui n’est pas évident du tout. Mais comme qui ne tente rien n’a rien, à la guerre comme à la guerre, je décide de tenter ma chance maintenant.
C’est d’une main décidée que j’ouvre la porte de la cabine et que j’entre. Surprise, c’est la première fois que je lui fais le coup, Livie tourne la tête et je me plaque à elle, une main plaquée sur son ventre arrondi et l’autre sous un sein, mon sexe bien calé sur ses fesses, le long du sillon.
— Je croyais que c’était pour après le restau ? Me fait-elle, sans toutefois se dégager.
— Moi aussi mais le spectacle que j’ai vu à l’instant m’a fait changer d’idée !
— Quel spectacle ?
— Celui de ton beau petit cul tout nu !
Et je me presse plus encore sur ses fesses, lui faisant bien sentir ma vigoureuse érection. Elle soupire :
— Pourtant, tu devrais commencer à le connaître, mon cul !
— Pas assez…
Je lui ôte le gel douche des mains et tout en restant plaqué sur son dos et surtout sur ses fesses, j’entreprends de la savonner du cou au bas de son ventre sans négliger ses menus seins qui tiennent si bien dans mes paumes. À prime vue, la situation l’amuse et elle me laisse la caresser de la mousse abondante, sa nuque sur mon épaule.
Je ne peux m’empêcher de saisir ses mignons seins pour les capturer, les entourer, les masser et les soupeser. De temps à autre, je titille ses pointes du bout des doigts tandis que je commence un lent mouvement de rotation de mon bassin sur ses fesses potelées.
De son côté, ses bras ballants sont maintenant posés sur mes cuisses et je sens qu’elle hésite sur la marche à suivre. Tant en gardant captif un sein, je décide de glisser l’autre main vers son bosquet détrempé. Elle se cambre contre moi, entrouvrant ses cuisses pour me laisser le passage. Pendant quelques instants, je la masturbe doucement tout en lui massant délicatement le sein. Elle oscille contre moi, son bassin ondule lentement autour de mon sexe dressé. Dans un murmure, elle me dit :
— Lèche-moi la chatte…
Je ne me fais pas prier, d’autant que c’est elle qui me le demande. Je m’accroupis à ses pieds puis pose un genou au sol tandis qu’elle se retourne pour présenter sa touffe dégoulinante à mes lèvres. En moins de trois secondes, je trouve le passage vers ses délices intimes et ma langue suit tous les sentiers secrets qu’elle peut dénicher. Gémissante, Livie ondule autour de ma bouche, elle plaque ses mains sur mes cheveux pour mieux me guider dans ma quête de ses saveurs. Je plonge avec délice dans son odeur enivrante.
D’un coup la pression de ses mains se fait plus insistante et une nouvelle odeur émane de son intimité. Je n’ai pas le temps de réaliser que, dans un grand cri, elle urine en saccades désordonnées. Si j’évite une bonne partie, il n’en est pas du reste. Et elle me maintient toujours fermement la tête dans ses mains, tout en orientant ma bouche vers son clitoris. Le message est clair : elle désire que je finisse ce que j’ai commencer et que je la fasse jouir. L’esprit un survolté, je m’attaque frénétiquement à son petit bouton rose et de mes lèvres et de ma langue, capturant fiévreusement son curieux mélange des saveurs. Tout à ma passion, mes doigts s’introduisent en elle pour se charger de cyprine puis posément, mon index s’en va titiller son anus contracté. Ce sera ma vengeance, une douce vengeance. Elle serre les fesses mais ne peut s’empêcher de gémir, tant ma langue lui donne du plaisir. Elle vibre comme une liane au gré du désir qui la parcourt et elle se décontracte, fesses écartées. C’est ce que j’attendais : je pousse mon avantage à introduire posément mon index dans son mignon petit trou du cul. Quand elle se contracte, il est trop tard. Je l’entends gémir un « salaud ». Je perçois distinctement sur mon pouce la pression de mon index à travers la fine paroi cannelée de son rectum. Prise en tenaille entre mes doigts qui la caressent désormais en dedans, ma langue s’activant lascivement, ma bouche la suçant éperdument, elle décolle rapidement en une suite ininterrompue de petits cris et jouit bruyamment, lançant des mots auquel je ne comprends rien…
Pendant qu’elle récupère, adossée contre la paroi, j’en profite pour me toiletter un peu car elle ne m’a pas loupé ! Je suis toujours agenouillé devant elle quand elle reprend ses esprits. Je lui dis alors :
— T’aurais pu prévenir !!
— Et toi, tu m’as prévenu dans tu es entré dans la douche pour me violer ?
— Violée ? T’étais drôlement consentante !
— Maintenant, dis-moi que çà t’a déplu ! De plus, j’en avais envie depuis la fois dernière, celle où… ben, tu m’as… Tu me comprends !
Là, j’ai l’impression qu’elle rougit un peu. Je sens que ma douce (c’est une expression) Livie devient de plus en plus dévergondée, ce n’est pas tout à fait le terme mais je n’en trouve pas d’autre pour l’instant. Dissolue peut-être…
— Tu pourrais me traduire ce que tu as dit ?
— J’ai pas envie ! Répond-t-elle promptement.
— C’est pas grave, j’ai retenu quelques mots, je demanderais à ta mère de m’en donner la signification !
— Ah oui ? Et qu’est ce que je suis sensé avoir dit et que tu as retenu ?
Je le lui dis.
Elle devient rouge pivoine. Même si je ne comprends pas un traître mot de ce que je pense être du maltais, quelque chose me dit que je le prononce particulièrement bien !
— Alors, « Sinjorina » ?
— Pas maintenant ! Et c’est bien le seul mot que tu connaisses ! Me lance-t-elle, narquoise.
— J’ai d’autres à ta disposition, mon amour. N’oublie pas que j’ai un bouquin de maltais dans un coin ! Je l’avais acheté quand nous nous sommes fréquentés… J’ai eu du mal à en trouver un d’ailleurs !
— Tu ne lâcheras pas le morceau, hein ? Soupire-t-elle.
— Exactement ! T’en sais quelque chose parce que si j’avais dû m’en tenir à ce que tu m’avais balancé quand j’ai voulu sortir avec toi…
— Je reconnais que je ne t’ai pas facilité la tâche… Sourit-elle.
— Oh oui !
— Ecoute, Laurent, pas maintenant mais… ce soir, je te promets que je te le dirais !
— Ok, va comme çà.
Elle penche sa tête vers moi et constate :
— Toujours en train de bander, malgré tout ?
Je me redresse, me plaque contre son ventre tout en lui saisissant les fesses à pleines mains.
— Cà peut s’arranger…
Et je me frotte délibérément sur elle, faisant tournoyer mon gland au-dessus de son nombril, mes couilles noyées dans sa toison fournie. Elle m’enlace autour du cou et me dit d’un air entendu :
— T’es vraiment un vicieux dans ton genre !
— T’as pas qu’à m’exciter comme çà !
— Mais… moi, je ne fais rien ! C’est toi qui t’excites tout seul !
Je n’en peux plus, il faut que çà sorte tout de suite et empoignant ma verge d’une main sans délaisser sa fesse de l’autre, je décide d’activer les choses. Il ne faut pas longtemps pour qu’un premier jet s’aplatisse entre ses seins et que le reste macule son ventre rond. J’en pousse un énorme soupir de soulagement et de satisfaction. Puis je frotte mon gland empoissé sur son ventre souillé tandis qu’elle lève les yeux au ciel, un petit sourire en coin. Ce n’est pas classe mais c’est terriblement bon !
Fasciné, je contemple la coulée de sperme qui descend d’entre ses seins pour venir mourir dans la tache gluante collée sur son ventre luisant. Livie surprend mon regard et répète :
— T’es vraiment un vicieux dans ton genre !
Et elle se plaque à moi, m’embrassant fougueusement, frottant son ventre barbouillé sur le mien, écrasant ses menus seins pointus dans les poils de ma poitrine. Prenant l’initiative, sa langue s’immisce en moi, ses doigts parcourent mon dos, caressent mes fesses, les griffant. Elle a encore envie de moi et j’ai toujours envie d’elle. Je pense que le restau attendra car j’ai surtout faim d’elle, de son corps replet, de ses fines lèvres, de ses mignons seins, de son ventre rond, de son cul magnifique et de sa chatte sombre et fournie et j’en oublie !
Quelque chose me dit qu’il nous faudra une autre douche… et peut-être une autre ensuite…
Aucun commentaire pour le moment