Cà va faire au moins 5 à 6 fois que Livie reste en arrêt devant la vitrine de ce marchand de maillots de bain. Telle que je la connais, elle hésite : elle aimerais bien s’acheter quelque chose mais soit c’est trop cher, soit c’est un coup de folie. Et comme elle refuse de me dire ce qui la tente dans cet étal…
Il est vrai que certains machins en chiffon qui s’étalent sous mon nez ne sont pas donnés. Quand je vois la très faible quantité de tissus qu’il y a dans certains maillots de bain (qui ne dérailleraient dans une revue style « Crazy Horse »), je me dis que, décidément, le millimètre carré de tissu vaut plus cher que le platine en barre !
Comme ma douce fiancée bave résolument devant quelque chose, je pousse un soupir, ouvre mon portefeuille et lui mets en main ma carte bleue en lui disant :
— Tu connais le code, je crois ?
— Tu acceptes ? Tu ne sais même pas ce que je veux m’acheter !
— Considère que c’est ton cadeau de réussite aux examens !
— Je pensais que notre voyage à Ibiza l’était ! Me dit-t-elle.
— Ne discute pas, file l’acheter !
— Ok, ok ! C’est bien pour te faire plaisir !
Tu parles !
— On y va ? Dis-je en lui désignant l’entrée du magasin.
— Euh, non ! Je préfère l’acheter toute seule et t’en faire la surprise tout à l’heure !
— Ah ? Bien, comme tu veux…
— Et tu serais un chou d’aller en face, au supermarché, m’acheter des rasoirs à double ou même triple lame et de l’huile d’amande douce. Il te reste de la mousse ?
— Oui, il m’en reste une bombe quasi pleine. T’as une marque préférée pour les rasoirs ?
— Prends des [biiip] si tu en trouves. Et attends-moi dehors, s’il te plait.
Je fais, j’achète et j’attends qu’elle daigne sortir. Quand elle sort, elle est toute émoustillée par son achat et me tend la carte bleue tout en me faisant un gros bisou sur les lèvres. Nous rentrons à l’hôtel tout en flânant le long de la plage noire de monde. Nous avons environ trois kilomètres à faire à pied mais il fait beau, nous avons le temps et nous rejoignons l’hôtel, la main dans la main.
C’est bien l’une des premières fois qu’elle va se faire une épilation maillot, enfin, c’est ce que je suppose. En général, elle endosse un maillot de bain une pièce, bien englobant, histoire de bien camoufler sa pilosité côté pubis. Je suis très curieux de découvrir ce nouveau maillot qu’elle a pu acheter. Patience, je le saurais dans peu de temps…
Nous retournons à l’hôtel et elle fonce direct vers la salle de bain. Comme elle a fermé la porte de la salle de bain, je suis censé attendre qu’elle ait fini avec son épilation. Je suis très étonné quand j’entends environ deux minutes plus tard sa voix qui me demande :
— Laurent, tu peux venir, s’il te plait ?
— Ok, j’arrive !
Je trouve que cette épilation a été plutôt rapide, trop rapide ! J’entre…
Et je tombe sur ma Livie toute nue, ciseaux en main, assise dans la baignoire, sur le rebord, les jambes plus que largement écartées, offrant à ma vue une chatte plus qu’ouverte mais sérieusement dégarnie, des touffes de poil jonchent au fond de la baignoire. Avec un léger sourire fripon, elle me tend un rasoir et la mousse. Comme je suis plus qu’hypnotisé par sa toison, j’ai du mal à me concerter sur le mode opératoire que je dois suivre. Décidément, Livie m’épate résolument. Je n’ai jamais pratiqué un « rase minou » mais je veux bien tenter le coup, surtout que çà m’excite considérablement ! D’ailleurs, je commence à être gêné dans mon short…
Je reprends mon souffle et mon calme. J’ai beau connaître tous ses petits endroits intimes, çà me fait toujours quelque chose quand je les entrevois. Imaginez donc ce que çà peut me faire, offerts en panorama !
Je m’agenouille devant la baignoire, en vision directe avec ce bosquet si tentateur. Je cogite une nouvelle fois sur le mode opératoire que je dois adopter, histoire de ne pas faire de bêtises car l’endroit est stratégique et surtout sensible. Je lève les yeux sur elle et lui demande :
— Alors, chère demoiselle, quelle coupe désirez-vous ?
— Courte, très courte…
— Quand même pas tout !?
— Non, tu me laisses un petit triangle au-dessus, ben, qui encadre le haut, quoi. Mais en dessous, tu enlèves tout.
— Tu es sure de ce que tu veux ?
— Mouix
Tiens, il y avait longtemps…
— Bon… Comme tu veux… Allons-y dans la joie et la bonne humeur !
C’est vrai que je suis content de lui faire un « rase minou » mais je suis néanmoins un peu stressé car j’ai un peu peur de rater mon coup. Je dépose une première noisette de mousse sur me doigts et l’applique soigneusement sur son pubis. Et je me lance à l’eau, non, je me lance au défrichage de sa sombre forêt. Délicatement, je fais glisser la triple lame aux bons endroits, aidé parfois par Livie qui me guide. Je vous mets au défi de travailler sereinement à moins de vingt centimètres d’une magnifique chatte comme je les aime. Sans parler de son odeur aphrodisiaque…
La zone à débroussailler rétrécie lentement, dévoilant une peau blanche. Déjà, en haut se découpe en noir le triangle de ce que je vais laisser, un mignon petit triangle qui encadre la niche de son clitoris et remonte légèrement vers son mont de Vénus. Par contre, j’ai des problèmes avec le rasoir pour le bas de sa fente. En désespoir de cause et aussi par lubricité, je décide d’aller appliquer la mousse avec un seul doigt qui s’égare souvent. Amoureusement, je dépose la mousse entre ses fesses, de l’orée de son petit trou aux replis externes de ses grandes lèvres. Et croyez-moi, ce n’est pas une sinécure, je dois lutter contre la féroce envie de lui sauter dessus et de lui faire subir les derniers outrages ! Mais ce n’est pas tellement le moment ! Avec application, en tendant entre mes doigts sa chair fragile, sa pilosité disparaît, happée par la triple lame qui glisse dans un océan de mousse.
Quand je pense avoir terminé ma découpe artistique, je m’affale au pied de la baignoire, attirail au sol, lui tournant le dos, histoire de me refroidir un peu. Elle me lance :
— T’es fatigué ?
— C’est çà, rigole ! Si je te regarde la chatte une seconde de plus, je te viole dans la baignoire !
— Cà ne serait pas bien du tout !
— Non, çà ne serait pas bien mais çà me défoulerait un bon coup ! Dis-je en soufflant.
— Bon, je crois qu’il faut enlever la mousse et me masser avec l’huile d’amande douce.
— Ok, mais avant, j’ai soif ! Tu veux quelque chose à boire ?
— Apporte-moi un coca lite, celui au citron, s’il te plait !
Quand je sors de la salle de bain, je me sens déjà mieux. Quand j’y reviens, j’évite de la regarder, lui tendant son coca. Elle pouffe de rire, la situation l’amuse beaucoup. Je ressors aussi vite et je m’en vais boire mon sprite sur le balcon. La brise qui souffle me rafraîchit malgré les 30 degrés qu’il doit faire dehors. Je regarde le paysage et la mer qui scintille.
— Alors, tu viens ? Me hurle-t-elle !
— J’arrive !
Et je rentre dans la cage aux tigres… Elle me tend la douchette de la baignoire dont elle a déjà réglé le débit et la chaleur. Précautionneusement, je dirige le jet afin de rincer la mousse blanche. Doucement, sa peau se révèle à moi, son intimité se dévoile, comme vierge. Cà me trouble particulièrement de découvrir ce qui m’a toujours été caché par sa toison drue. Ruisselante, sa fente m’apparaît dans toute sa nudité, une fente bombée comme un fruit mur dans lequel j’aimerai croquer. Le sillon qui va de ses lèvres à son anus est lui aussi virginal, nu. Là-haut, le petit triangle encadre presque parfaitement le nid de son clitoris. Son mont de Vénus maintenant glabre me surprend par sa bombance, sa rotondité. Je découvre des nouveaux paysages, de nouveaux horizons, de nouvelles expériences.
Je me lève afin de prendre ma mousse à raser et un autre rasoir neuf. Du bout des doigts, j’étale une petite noisette blanche. Le contact de sa peau nue est électrique, mon short me semble de plus en plus petit. Délicatement, le plus légèrement possible, la lame glisse afin de parfaire le petit triangle noir. Un dernier rinçage et mon œuvre apparaît dans toute sa splendeur : c’est adorable tout plein, excitant à souhait, différent et terriblement sexy. L’attrait de la nouveauté dans la continuité…
L’esprit de plus en plus licencieux, j’entreprends de la masser avec l’huile d’amande douce. Mes doigts s’en donnent à cœur joie pour suivre ses méandres et ses moindres replis. Je m’attarde plus qu’il ne faut entre ses lèvres charnues et dévoilées, je glisse un doigt sur son mignon petit trou du cul et en masse la fine cuvette, avant se m’attarder sur le mince sillon qui sépare ses deux ouvertures pour la débauche et le stupre. Son sexe nu brille comme une porcelaine polie, rehaussé du fin dessin sombre d’un petit triangle qui indique parfaitement la direction à prendre pour aller s’enfouir en elle. Je la sens vibrer sous mes doigts, je perçois ses frissons, ses contractions et sa respiration haletante.
Elle décide de couper court :
— Il faut que… que j’essaye mon maillot…
— C’est… indispensable ?
— Mouix, si je suis épilée, c’est pour lui…
— Ah…
— Retourne-toi pendant que je le mets et ne te retourne pas avant que je ne le te dise !
J’attends, un peu frustré mais quelque chose me dit que je n’aurais pas à le regretter. Je l’entends qui s’agite dans mon dos. Enfin, sa voix résonne :
— Fini, tu peux te retourner !
Nom de nom de nom de je sais pas quoi !
C’est ultra sexy et miniature son truc ! Un appel au crime et au viol sur place ! Jamais, je n’oserais la laisser sortir ainsi ! Son haut est composé de deux fins triangles rouges qui enrobent de justesse ses auréoles, deux fines ficelles sont tendues en parallèle entre ses petits seins, exagérant l’effet monts et vallée, projetant leurs ombres sur la courbe douce de sa poitrine bien pointée en avant. Quant au bas, il n’est guère mieux. On distingue parfaitement la rotondité de sa petite touffe triangulaire à travers le tissu rouge, une sorte de fine bande large d’à peine deux pouces dans sa plus grande largueur et rattachée aux hanches qu’elle a voluptueuses par deux fines ficelles. Je n’ose pas imaginer ce que doit donner ce string vu par derrière ! Dans ce bikini ultra lite de chez lite, elle est encore plus impudique que si elle était complètement nue.
— Cà te plait ? me demande-t-elle, ingénument.
— Tu veux une réponse orale ou une démonstration ?
— Donc çà te plait ! Dit-elle, satisfaite.
— Et comment ! Tu vas sortir comme çà, sur la plage ?
— Cà te dérangerait ? Serais-tu jaloux ?
— Attends, tu t’es regardée ? Tu foutrais la trique à n’importe quel eunuque !
— Et comme çà, çà te plait plus ?
Et elle tire délicatement sur la bande du string qui vient s’encastrer dans sa fente, révélant ses lèvres dodues. Quand je vous disais que ce machin ultra court et sexy était un appel au crime et au viol sur place !
Plus de place pour les chichis ! En un rien de temps, j’enlève tout et je la rejoins dans la baignoire. Pour l’instant, je la contemple, j’admire ce mini mini bikini (qu’elle mettait pour la première fois, chanson connue) qui dévoile tout, ses petits seins totalement magnifiés par ces quelques centimètres de tissus et ces ficelles fragiles. Ses pointes sont déjà dressées et saillent impudiquement. J’ai une envie folle de tout lui arracher mais ma carte bleue, pardon, Visa internationale, me demande d’être raisonnable ! Son abricot fendu par la bande encastrée dedans du string est, lui aussi, extrêmement appétissant. J’ai tout aussi la furieuse envie de tout lui arracher mais une fois de plus, ma carte me retient et puis, dans l’intimité, çà pourra toujours resservir ! Mais pas question de la laisser aller à la plage ainsi !! Je n’ai pas envie qu’elle affole tous les mecs du coin. Bon, d’accord, comme tout mâle qui se respecte, j’aime bien que les autres bavent devant ma nana, histoire de leur faire comprendre que c’est moi et moi seul qui en profite…
Pour l’instant, c’est bien moi qui en profite et surtout ma bite qui est tendue à mort, je savais que c’était extensible mais pas à ce point ! D’ailleurs, le frein de mon gland me fait mal, c’est infernal d’être excité ainsi ! Quant à mes couilles, elles me pressent, elles sont comme enfermées dans un étau, prêtes à exploser sous la pression.
Je dois avoir une expression très vorace, très avide, un loup en train de baver sur sa proie car Livie a l’air inquiet et recule lentement vers les robinets de la baignoire. Peine perdue, je lui saisis les poignets et l’attire à moi, fiévreusement. Mettant ses mains derrière son dos, je lui capture fermement les bras dans une poigne ferme et définitive. Elle est de plus en plus anxieuse. Je la plaque sans ménagement sur moi, mon sexe s’aplatit sur son ventre moelleux, ses tétons durcis me piquent la poitrine. Mes yeux plongés dans les siens, je la regarde avidement, je veux tout d’elle, je veux la posséder, la dévorer toute crue. Elle se pince les lèvres, se demandant si elle n’est pas allée un peu trop loin, c’est la première fois que je réagis ainsi. Elle commence à être apeurée, ses grands yeux noirs luisent, on dirait une biche aux abois.
Elle ne le fait sans doute pas exprès mais elle m’excite encore plus ainsi ! Ses bras toujours emprisonnés dans son dos, ma main qui s’aventure le long de la ficelle qui s’enfonce dans le sillon de son cul spacieux, elle est désormais ma proie, mon butin, mon trophée.
C’est avec férocité que je l’embrasse sur la bouche, elle crie un peu juste avant, se débat mollement. Mes lèvres sont terriblement exigeantes, ma langue aussi. Je la mordille un peu partout, je la plaque contre le mur, mes doigts ayant capturés sa fesse et s’aventurant impudiquement dans son sillon. Elle s’agite un peu plus, me murmurant :
— Je t’en prie… arrête… tu me fais peur !
Alors je lui libère les poignets mais l’enlève aussitôt dans mes bras, je la décolle sans aucun effort malgré son poids. La démarche ferme, je sors de la salle de bain pour aller vers le lit. Elle est apeurée, se fait toute petite, quelque chose lui échappe. J’en rajoute peut-être un peu (sûrement) dans le rôle du grand fauve invincible mais j’ai une excuse d’enfer : c’est elle qui a commencée ! Et puis j’ai envie de lui faire l’amour ainsi !
A peine est-elle sur le lit, que je me glisse entre ses jambes, lui lèche rapidement ses lèvres intimes nues puis remontant de la langue sur son ventre et entre ses seins, je me vautre sur elle, lui soulevant au passage ce ridicule « cache tétons » qui exacerbait tout, plutôt qu’il ne cachait. Bloquée par mon poids, elle est immobilisée, ses mains sur ma poitrine comme pour me repousser. Ma main caresse son sexe lisse tandis qu’un de mes doigts glisse sous le tissu du string coincé entre ses lèvres afin de dégager sa fente humide. Sans plus de formalité, me relevant un peu, je plonge ma queue en elle, libérant momentanément sa poitrine et ses mains.. Mais pas pour longtemps car je lui saisis à nouveau les poignets pour les lui faire passer au-dessus de sa tête frisée. Cette sensation de plonger entre ses deux lèvres lisses et dénudées, dans sa vulve défrichée, en direct, comme à vif, est extraordinaire. Tout comme ce désir trouble de la possession. Elle me regarde toujours de ses grands yeux sombres, la bouche ouverte, étonnée par tant de désir primaire. Si son visage semble désapprouver mon initiative, mon assaut, ses jambes enroulées autour des miennes affirment le contraire. La situation lui échappe peut-être, a dérapé un tantinet mais elle n’est pas contre.
Je m’immerge en elle sauvagement, enfilant toute ma longueur dans son antre chaud et humide. Cà me fait un bien fou ! Je lui baratte le vagin, coulisse dans ses recoins, la pistonnant à tout va. Elle m’accompagne par des mouvements circulaires de son bassin, ses mains toujours emprisonnées au-dessus de sa tête. De temps à autre, je me soulève légèrement afin de contempler ma tige qui plonge en elle, de voir toute son intimité nouvelle et magnifiée, ce fruit juteux et rebondi dans lequel je m’absorbe. Et ce tout petit triangle de broussaille, en haut de sa fente investie, qui est un faible rempart pour cacher quoique ce soit et qui indique plutôt la direction à prendre pour exulter en elle. Comme je suis excité à mort, je jouis aussitôt en elle dans un rugissement rauque. Epuisé, libéré, je me vautre sur elle, en appui sur les coudes pour ne pas l’étouffer, mon nez dans son cou.
Je la relâche pour mieux sortir de sa vulve envahie mais je n’en ai pas fini avec elle. Avec une force que je ne me connaissais pas, je la retourne sur le dos afin qu’elle me présente son vaste cul et ses fesses rebondies, toujours barrés du string en déroute. Je lui fesse prestement son beau popotin aguicheur, faisant vibrer ses masses. Elle étouffe un petit cri de surprise, le nez dans l’oreiller. Je lui écarte les jambes pour mieux m’installer entre elles, et bite en avant à nouveau durcie, je m’introduis dans son vagin détrempé. Dans la foulée, je lui capture à nouveau les poignets que j’enfonce sur l’oreiller. D’un coup de rein, j’atteins ses profondeurs moites, elle pousse un petit gémissement quand je me plaque dans un bruit sec sur ses fesses. Elle me murmure :
— C’est du viol caractérisé, çà !
— Sûrement mais tu vas jouir, ma salope d’amour !
— Et grossier avec çà ! Soupire-t-elle.
— Tu veux que je t’en dise d’autres ?
— Pas la peine !
— Je me passe de ton avis !!
Lui bloquant ses poignets d’une seule main, allongé sur son dos, ma main libre plonge sous son ventre à la recherche d’une petite touffe qui cache, tant bien que mal, un clitoris que je désire torturer. Mes lèvres sont à l’orée de son oreille et pendant que je la masturbe posément, lancinement, je commence à lui murmurer une série d’horreurs matinée de mots d’amour tendres.
— Arrête, arrête ! Me lance-t-elle.
Mais son corps est en train d’en décider autrement. Elle se retient, ne veut pas jouir ainsi, prise, asservie, des mots crus résonnant feutrés à son oreille. Plus elle résiste, plus je m’acharne sur ses lèvres, sur son petit bouton rosé érigé entre mes doigts mouillés, décuplant ses sensations.
Après quelques longues secondes de vaines résistances, elle gémit, se crispe puis jouit intensément, bruyamment. Son corps massif est secoué de contractions, elle halète sous le coup d’une très vive émotion profonde.
Doucement, elle s’apaise, se calme. Plaqué contre elle, j’ai pu ressentir au plus profond de moi tout le tumulte interne qui l’a balayée. Le premier mot qu’elle peut me dire est :
— Salaud !
Sa première phrase complète est :
— T’es qu’un salaud !
Sa dernière phrase avant que nous recommencions est :
— Tu te sens d’attaque pour recommencer, mon salaud ?
Oh que oui, que je me sens d’attaque, toute la nuit, jusqu’au petit matin…
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