Depuis quelques mois, insensiblement, le stress s’est emparé de nous.
Pourtant, jusque-là, nous avions toujours réussi à surmonter la tension de la vie urbaine et à jongler entre le boulot, notre couple, et nos copains. Véronique est institutrice dans une école primaire, ce qui lui laisse du temps en fin de journée, et j’ai un poste correct dans une petite boîte d’informatique qui me laisse organiser mon travail à ma guise. Bref, nous avons la liberté de sortir le soir quand nous en avons envie, de faire pas mal de sport pour nous maintenir en forme, et de nous offrir des vacances quand nous sommes crevés.
Véronique est un assez bon mélange de ses deux identités, personnelle et professionnelle : à la fois très parisienne dans sa garde-robe et très douce dans son comportement. Elle n’est pas grande et a un corps féminin, menu et avec deux jolis petits seins qui m’ont conquis lorsque je les ai vus la première fois. De mon côté, je suis très sportif et donc, si les filles raisonnaient comme des garçons, je serais ce qu’on appelle un mec « bien roulé ».
Tout allait bien, donc, jusqu’à ce que nous nous mettions en tête d’essayer d’avoir un enfant. Notre vie sexuelle ayant toujours bien fonctionné, nous nous attendions à ce que Véronique tombe enceinte rapidement après l’arrêt de sa pilule, mais les mois passent et… rien ne se passe. Cela pèse sur notre quotidien : peu à peu, nous nous sommes mis à organiser notre vie autour des romantiques « périodes d’ovulation » et nous faisons l’amour en privilégiant les positions recommandées pour tomber enceinte. Bref, notre sexualité est toute entière tournée vers la reproduction, ce qui la rend de moins en moins agréable.
Et puis un jour, au travail, mon collègue Thomas me parle d’un institut de massage où il va de temps en temps avec sa copine quand ils sont épuisés de l’hiver qui n’en finit pas :
— Tu verras, ça s’appelle Massages du Monde ; c’est une idée marrante : les masseurs viennent de tous les pays du monde, ça donne l’impression de voyager et d’être dans un hôtel aux Maldives ou au Brésil.
J’en ai parlé à Véro, qui a trouvé que c’était une bonne idée qui nous sortirait de notre routine, et j’ai pris rendez-vous pour le samedi après-midi suivant.
Nous nous sommes donc retrouvés par un froid samedi de février devant l’enseigne assez chic de Massages du Monde. À l’intérieur, la réception fait davantage penser à l’entrée d’une salle de sport qu’à un salon de massage, et un grand tableau derrière la réceptionniste indique les emplois du temps de la vingtaine de masseurs et masseuses. J’y repère rapidement nos noms, moi avec une certaine « Fanny » et Véro avec un « Andres » que j’imagine dans le plus pur style latin lover. La réceptionniste nous fait remplir deux fiches d’inscription, puis passe un coup de fil et nos masseurs arrivent. Effectivement, Andres est un authentique latino, assez costaud, à la peau mate et aux cheveux mi-longs. Le genre même de gars que je n’aimerais pas voir danser avec Véro en boîte. Quant à Fanny, c’est en fait une pure Irlandaise, à la peau blanche saupoudrée de jolies taches de rousseur et aux longs cheveux roux. Elle a l’air encore plus doux que Véronique, comme une jeune campagnarde montée à la ville.
Andres ouvre la voie en se dirigeant vers un des couloirs qui partent de la réception, suivi par Véro, puis par Fanny qui me demande si nous sommes déjà venus et si nous avons déjà pratiqué des massages, à Paris ou ailleurs. En y réfléchissant, je n’ai pas été massé depuis des années et des vacances en Indonésie, et ça ne pourra que me faire du bien. Andres ouvre alors une des nombreuses petites portes donnant sur le couloir, et j’embrasse Véro en lui souhaitant bonne chance, bizarrement, comme si nous étions dans un hôpital. Fanny continue une dizaine de mètres, laisse passer une première porte, puis ouvre la suivante.
Et me voici donc dans une sorte d’antichambre contenant deux chaises, et au bout de laquelle un grand rideau marque la séparation d’avec la salle de massage proprement dite. Fanny m’indique les chaises en m’invitant à me déshabiller pendant qu’elle prépare la salle de massage et referme le rideau derrière elle. Sur une chaise, je trouve un peignoir, et sur une autre, une serviette de bain.
— Excusez-moi, je dois mettre la serviette ou le peignoir ?
— Oh, fais comme tu le veux, me répond Fanny, avec un fort accent britannique.
Je me sens un peu gêné tout à coup, nu avec cette jolie Irlandaise derrière le rideau, exactement comme si j’allais chez le médecin. « Bon allez, détends-toi ; t’es là pour ça après tout, relax ! » J’enfile le peignoir, mets la serviette autour de mes jambes, et je me lance :
— Je peux entrer ?
— Bien siour, entre.
Derrière le rideau, au centre d’une petite pièce parquetée, une grande table de massage m’attend.
— Tu peux enlever le peignoir si tu le veux, me dit Fanny.
J’enlève donc mon peignoir et m’allonge sur le ventre, la serviette autour des hanches. Je me sens un peu gêné par cette promiscuité avec une jolie fille, par ces bougies et cette musique douce, tous ces ingrédients agréables mais qui me rappellent trop mon intimité avec Véronique. Enfin, il suffit de se concentrer sur l’aspect médical du massage…
Et effectivement, Fanny est une authentique masseuse : dès les premiers instants, ses mains sur mon dos et mes cervicales me détendent profondément. Elle me masse de manière vigoureuse, sans que ça soit désagréable, et alterne de temps en temps avec des phases plus douces, quasiment des caresses, mais sans aucun sous-entendu, juste de manière professionnelle. Des épaules, elle descend peu à peu jusqu’au bas du dos, puis au haut de mes fesses, qu’elle saute pour passer aux mollets et remonter vers les cuisses. Ce massage me fait un bien fou, et je commence à oublier le stress de la semaine et à m’enfoncer dans une somnolence très agréable lorsque Fanny commence à remonter ma serviette pour me masser le haut des cuisses, puis carrément les fesses. Je suis assez mal à l’aise ; je n’ose rien dire de peur que mon refus soit interprété comme une sexualisation déplacée d’un simple massage, et laisse donc Fanny me masser les fesses, d’abord à l’extérieur, au niveau des muscles fessiers, puis vers l’intérieur et, je dois bien l’avouer, le long de la raie des fesses elle-même. En fait, je réalise que ce massage est devenu tout à coup complètement sexuel pour moi, et une forte érection commence à pousser entre mon bassin et la table de massage, ce qui me gêne car il est évident que Fanny ne fait que répéter les mêmes gestes que d’ordinaire, pour détendre l’ensemble des muscles du corps. Cela dit, une petite voix me fait remarquer que si, de son côté, Véronique bénéficie du même type de massage avec Andres, professionnel ou non, cela ne me plairait pas vraiment.
— C’est bon ; tu peux te retourner ? m’interroge Fanny.
Je me retourne sur le dos, bien content d’en terminer avec cette fin de massage qui commençait à m’échauffer les esprits, mais dans la manœuvre l’extrémité de mon sexe excité dépasse de l’ouverture de la serviette, ce qui achève de me rendre honteux. J’imagine déjà Fanny me giflant et me traitant de pervers confondant leur institut de massage avec un salon de prostitution, j’imagine le scandale à la réception, j’imagine comment expliquer ça à Véronique…
… mais, une nouvelle fois, très professionnelle, Fanny fait celle qui n’a rien vu, remet ma serviette en place et commence à me masser les épaules et le torse. Les yeux mi-clos, j’en profite pour mieux la regarder : ses cheveux sont décidément plus roux et frisés qu’aucune Française n’en aura jamais ! Elle est plus grande que Véronique, moins menue aussi, et la veste de son uniforme qui bâille laisse entrevoir un décolleté assez impressionnant.
J’en suis là de mes pensées quand, toujours sans me prêter attention, Fanny vient s’asseoir à califourchon sur moi, tout en continuant son massage. Elle s’est assise sur ma serviette, quasiment au niveau de mon sexe ; elle doit bien sentir mon érection et ne peut donc plus faire comme si elle ne se rendait compte de rien. Je suis déboussolé, incapable de savoir si je suis en plein massage érotique ou si je me fais des idées, et incapable d’ailleurs de savoir comment réagir en pareil cas. Fanny se penche alors vers l’avant pour attraper une bouteille d’huile située à côté de ma tête, et dans ce mouvement sa veste s’ouvre largement sur son décolleté, me révélant deux gros seins blancs terriblement excitants.
Je suis complètement perdu ; je m’interdis tout geste déplacé de peur du scandale et parce que je n’oublie pas que Véronique n’est qu’à une dizaine de mètres de nous, Véro que j’aime et n’ai jamais trompée. Et puis surtout, de son côté, Fanny continue à me masser le torse sans rien laisser transparaître, se rasseyant de temps en temps sur ma serviette, pesant sur mon sexe, ce qui m’excite chaque fois davantage.
À un moment donné, alors qu’elle se relève une nouvelle fois pour me masser les épaules, son mouvement fait s’ouvrir légèrement ma serviette, et mon gland se retrouve à l’air libre. Je suis terrifié, mais Fanny se rassoit sans attendre, sa culotte sur mon sexe, toujours sans rien laisser paraître. Sa jupe est écartée autour de ses cuisses, je sens maintenant le tissu de sa culotte frotter contre mon gland, et il est évident qu’elle ne peut ignorer ce qui est en train de se passer. Mais alors pourquoi ne montre-t-elle rien ? Pourquoi continue-t-elle à me masser normalement ? Je reste immobile et garde les yeux fermés, l’air de rien, lorsqu’elle cesse un instant de me masser et que je sens qu’elle tire rapidement sa culotte sur le côté. Mon gland vient désormais frotter directement les lèvres de son sexe, et je sens qu’elle s’appuie de plus en plus fermement et que mon pénis commence peu à peu à la pénétrer.
Je n’en peux plus, mon gland est maintenant bien entré en elle ; et pourtant, quand j’entrouvre les yeux, je la vois, toujours sérieuse, continuer à me masser comme si de rien n’était. Mon gland est désormais complètement enfoncé et elle continue toujours à appuyer son bassin pour que mon sexe la pénètre plus profondément. Je le sens entrer, centimètre par centimètre, la peau tirée vers le bas, et n’ai plus qu’une seule envie : en finir avec cette comédie, lui prendre les fesses des deux mains et m’enfoncer d’un seul coup.
Mais tout à coup, sans que je sache expliquer pourquoi, je décide d’en rester là : un mélange de crainte d’être découvert et de culpabilité vis-à-vis de Véronique ; en tout cas, quelque chose qui me fait me reculer et lui dire le plus calmement possible :
— Merci Fanny, c’était très bien.
— Wraiment, je le termine maintenant ? Il reste encore le temps tu sais…
— Nan nan, c’est bon, je préfère en rester là.
Surprise, elle descend de la table de massage et je remonte ma serviette pour me diriger vers l’entrée-vestiaire. Rideau fermé, Fanny me pose plusieurs questions, veut savoir si ça m’a plu, si je me sens plus détendu. Je réponds par l’affirmative, mal à l’aise de la situation que je viens de vivre, à la fois excité et coupable et ne comprenant rien à la situation. Je suis perdu, mon érection est maximale, mais je n’ai qu’une idée en tête : retrouver Véro et rentrer chez nous.
Je sors alors de ma salle de massage, souffle un bon coup et me dirige vers la salle de Véronique. Pour ne pas la déranger et lui faire une surprise, j’ouvre la porte silencieusement et me retrouve dans une salle identique à la mienne, l’entrée séparée par un rideau de la salle de massage. Je m’approche lentement du rideau, que j’écarte sans faire de bruit, et ne comprends pas tout de suite ce qui est en train de se passer : Véronique est allongée sur le ventre, au bord de la table, ses jambes dépassent et touchent le sol. Quant à Andres, il verse de l’huile sur ses fesses. Je suis comme fasciné par ce que je vois. Andres commence à malaxer fermement les fesses de Véronique, une main sur chaque fesse et les pouces tournés vers l’intérieur, comme Fanny me le faisait à l’instant. À chaque passage, il enfonce ses doigts plus profondément dans la raie, et à chaque fois Véro soupire un peu plus fort. Je dois me rendre à l’évidence : devant moi, Andres est en train de masturber le cul de Véronique. Caché derrière mon rideau, je ne peux détacher les yeux de ces pouces qui s’enfoncent maintenant complètement entre les fesses de ma femme. Je n’ose pas intervenir, par excitation mais aussi par curiosité, pour voir jusqu’où elle est prête à aller avec Andres. Peu à peu, il décale sa main et se met à la caresser avec son majeur, de bas en haut, insistant entre ses lèvres comme au niveau de son anus. Véronique souffle et l’encourage :
— C’est bon comme ça, continue…
Andres s’agenouille alors entre les jambes de Véronique et approche sa tête de ses fesses, se collant le visage contre son sexe. Je vois la tête d’Andres monter et descendre entre les fesses de Véro, qui ne cache plus son plaisir : elle met ses bras en arrière pour écarter ses fesses et dit à Andres :
— Viens, prends-moi maintenant.
Andres se relève, baisse son pantalon de toile, fait sortir son sexe déjà en érection et se dirige vers le sexe de Véro. Tout est complètement fou ; je devrais hurler pour l’arrêter mais, bizarrement, je ne ressens aucune jalousie, juste une énorme excitation. Véronique dit alors :
— Non, pas par-là… Je ne prends pas la pilule.
Ce « pas par-là » est pour moi comme un coup de fouet. Mais Andres ne se formalise pas, relève un peu son sexe et appuie son gland contre l’anus de Véronique. Véronique et moi n’aimons pas la sodomie, et en sept années ensemble je ne l’ai enculée qu’à deux reprises, dans le feu de l’action, à certains moments particulièrement chauds. Pourtant, devant moi, Andres enfonce son gland entre les fesses de Véro.
— Ah, ah… Doucement, prends ton temps… Voilà… Hummmm… c’est gros, mais c’est bon…
Je suis tétanisé. Depuis des mois, nous faisons l’amour en missionnaire, jambes relevées pour faciliter la conception, et Véronique est là, devant moi, en train de se faire enculer par Andres, son gland maintenant complètement enfoncé en elle. Il la prend par les hanches et commence de petits allers-retours, toujours plus profonds, pour pénétrer entre ses fesses.
Je n’en peux plus. Pas de jalousie, non : j’ai envie, moi aussi, d’enculer ma Véronique, et tout de suite. Alors je referme silencieusement le rideau, reviens vers l’entrée de la salle de massage, et ouvre bruyamment la porte en criant :
— Alors Véro, ça se passe bien ?
Immédiatement, un remue-ménage se fait entendre derrière le rideau :
— Oui, très bien, j’ai presque terminé, laisse-moi une minute ! J’arrive, j’arrive ; assieds-toi !
Même si je n’avais rien su, le seul ton de sa voix m’aurait probablement étonné, avec ce débit saccadé et cet accent paniqué. Mais je fais celui qui ne voit rien et m’assieds tranquillement. Véronique sort deux minutes plus tard, le visage rougi mais s’efforçant de faire bonne contenance.
— Tu n’as pas terminé ton massage ; ça t’a plu quand même ?
— Oui, oui, c’était pas mal, c’est juste qu’on a terminé plus vite que vous je pense. Et toi, c’était bien ?
— Oh oui, pas mal du tout, très agréable ; mais je suis un peu vannée, là.
À cet instant, Andres ouvre le rideau, sourit, et demande à Véronique :
— Comment avez-vous trouvé le massage ?
— Oh ! c’était parfait ; j’aurais préféré avoir plus de temps, je crois !
— Vous pourrez revenir une fois prochaine, alors !
— Ah ! pourquoi pas ? Je verrai avec Armand…
Nous sortons rapidement du salon de massage et je reviens à l’attaque dans la rue :
— Et donc, ça t’a vraiment plu ?
— Oui, pas toi ?
— Si, si, mais je crois que j’étais pas très à l’aise, au début, d’être à moitié nu devant une inconnue.
— Oh ! mais tu sais, Armand, il faut juste se dire qu’ils sont professionnels, comme des médecins.
— Ouais, je sais, mais bon. Et toi, qu’est-ce qu’il t’a fait, alors, Andres ? C’était bien ?
— Oh, c’était trop agréable ! Il m’a surtout massé le dos, les cuisses, les épaules…
— Et pas les fesses ?
Véronique se trouble un peu et me répond, mal à l’aise :
— Heu… non… Pourquoi tu dis ça ?
— Bah, parce que Fanny m’a massé les fesses à un moment donné, et j’étais plutôt gêné.
— Ah, d’accord ! En tout cas moi, non : il m’a pas massé les fesses, heureusement ! Et toi, tu as aimé quand elle t’a touché les fesses ? rigole-t-elle.
— Oui, c’était assez agréable. Mais je me suis surtout dit que j’aurais préféré que ce soit toi qui me masses. En fait, ça m’a donné très envie de te faire l’amour !
— Ha, ha ! Petit coquin ! Et bah ! tant mieux ! Dépêchons-nous de rentrer et je te ferai oublier ton Irlandaise !
Je suis assez épaté par son aplomb ; j’ai envie de lui dire d’arrêter de se foutre de moi mais je repense à sa posture quelques minutes auparavant, allongée sur le ventre et la tête d’Andres lui léchant le cul, et n’ai qu’une envie : la prendre par derrière moi aussi. À peine arrivés chez nous, nous nous précipitons dans la chambre, et alors qu’elle s’allonge sur le dos et relève ses cuisses pour que je la prenne comme nous le faisons depuis plusieurs mois, je la retourne fermement, la mets à quatre pattes et commence à la lécher par-derrière.
— Hum, tu veux me prendre en levrette ? Ça m’a manqué, ces derniers mois…
Je ne réponds rien et continue à la lécher. Sa chatte est complètement mouillée, et j’ai même l’impression de sentir l’odeur du préservatif qui l’a pénétrée il y a moins d’une demi-heure. En la tenant par les cuisses, je me mets à remonter le long de sa chatte, vers son cul proprement dit. Là, l’odeur de caoutchouc est indiscutable ; et au lieu d’en être jaloux, j’en suis encore plus excité. J’ai presque l’impression qu’Andres est là, avec nous, et que Véronique va nous faire l’amour à tous les deux. Alors je me relève, colle mon gland sur son cul, et m’apprête à l’enculer sans rien dire. Véronique a un mouvement vers l’avant :
— Mais qu’est-ce que tu fais ? Tu veux m’enculer ?
— Oui. Pourquoi, tu n’en as pas envie ?
— Bah non ! Pourquoi m’enculer ? On ne le fait jamais, normalement…
Je la ramène vers moi et recolle mon gland contre son anus en lui répondant :
— Et alors, on peut bien changer, non ? Et de toute façon, on n’arrive pas à faire d’enfant en ce moment ; alors autant en profiter pour changer un peu…
Véronique hésite quelques secondes, puis change d’avis :
— OK, d’accord, comme tu veux ; mais tu y vas doucement, hein !
Je ne peux m’empêcher de penser qu’elle n’a pas été si précautionneuse avec Andres, mais en même temps qu’elle dit ça, je la vois reculer tranquillement et s’enfoncer d’elle-même mon gland entre les fesses.
— Ah ouiii, tu as raison : c’est bon, finalement, et ça rentre sans problème… C’est que tu m’as bien excitée aussi ! dit-elle en riant.
Je commence à l’enculer avec des mouvements de plus en plus amples et avec l’idée de la prendre comme elle aimerait qu’Andres la prenne, sans cérémonial, sans penser qu’elle est ma femme, juste en essayant de prendre mon pied en la pénétrant fortement.
Je vais de plus en plus vite, Véronique ne contrôle plus rien et je me contente de faire aller et venir son corps sur mon sexe. Véronique se colle la tête sur l’oreiller et me dit :
— Oh ouais, vas-y, c’est dingue comme tu es gros, c’est bonnnn !
Je sens que je vais bientôt jouir et lui dis alors :
— Je vais jouir ; touche-toi en même temps.
— OK, je me branle, mais continue bien fort comme ça…
Véro passe alors sa main droite sous son ventre et commence à se masturber rapidement, me disant :
— Dépêche-toi, je vais bientôt jouir, tu es tellement dur… Allez, viens !
Je continue à la faire aller et venir, essayant de me retenir encore un peu, lorsque Véro se met à haleter, enfonce ses fesses jusqu’au bout et se met à jouir. Instantanément, alors qu’elle est collée contre moi, je jouis à mon tour, sans bouger, le gland bien fiché entre ses fesses.
Quelques minutes plus tard, nous nous affalons l’un sur l’autre sans parler, encore surpris de notre rapport autrement plus chaud que ceux des derniers mois, et Véro me dit alors en rigolant :
— Eh bah dis donc, elle a dû t’en faire, de l’effet, ton Irlandaise !
— Oui, mais j’avais bien envie de t’enculer, surtout. Ça t’a plu ?
— Mais carrément, t’as pas senti ? J’avais pas joui comme ça depuis longtemps.
Belle histoire bien excitante
a ca oui tres excitante il faut me donner l’adresse du massage j’en mouille deja
Bonjour ma belle,
J’aimerais apprendre à te connaître est-ce possible ?