C’était un soir, après mon travail, je rentrais en train. Il était tard et le wagon dans lequel je m’étais assis était désert. Je commençais à somnoler quand deux voix de filles me sortirent de ma torpeur. Ces deux étudiantes – c’est ce que j’en déduisis d’après leurs lourds sacs qu’elles jetèrent à côté d’elles – s’assirent sur les sièges voisins des miens. Je fis semblant de bouquiner, mais je ne pus résister à l’envie de les écouter parler, et surtout de les regarder.
La première était blonde, les cheveux mi-longs. Elle était habillée d’un top turquoise et d’une jupe blanche s’arrêtant au-dessus des genoux. D’après une étiquette sur un de ses livres, elle s’appelait Léa et avait vingt-et-un ans. Détail important : elle avait les pieds nus dans des tongs bleus turquoises également. La deuxième était Asiatique, les cheveux noirs et longs, et les traits du visage très agréables ; elle était sûrement Laotienne ou Vietnamienne. Elle portait un tee-shirt blanc, avec un soutien-gorge blanc également, qui cachait à peine ses petits seins, et un jean court s’arrêtant à mi-mollet. Autre détail important : elle avait les pieds dans deux socquettes blanches, enfermés dans une paire d’Adidas Gazelle noires. Elle s’appelait – merci les livres ! – Surami, et avait le même âge que Léa.
Elles discutèrent de divers sujets, puis elles se regardèrent sans rien dire. Je faisais celui qui n’écoute rien, ne vois rien et ne dira rien ! Soudain, Surami apostropha Léa :
— Dis donc ma vieille, tu sens des pieds, toi ! Et grave !
— Mais oui, je sais ! Mais je pense que les tiens ne sentent pas la rose dans ces baskets !
— Ça reste à voir ! On parie ?
Je vis alors Surami se pencher à l’oreille de Léa, et lui chuchoter quelque chose… Léa devint toute rouge et s’exclama :
— Je sais pas si on peut ! T’es gonflée toi ! Et si je perd je dois… Oh la la !
— Allez, on a le temps ! Et puis y’a personne ! Monsieur ! On peut vous demander un service ?
Je ne rêvais pas ! La petite Asiatique me parlait ! Je levai les yeux sur elle, avec mon air le plus étonné possible. Surami enchaîna :
— On voudrait savoir qui de nous deux sent le plus des pieds ! On a fait un pari, vous pouvez faire le juge ? Nous sentir les pieds, quoi ?
Je restai d’abord sans rien dire, puis mon côté fétichiste prit rapidement le dessus sur mon étonnement.
— D’accord ! Asseyez-vous toutes les deux du même côté.
Et j’en profitai pour me placer sur le siège en face de ces deux effrontées. Je pris dans ma main la cheville d’une Léa rougissante et fis tomber sa tong. Son pied était adorable, ses ongles délicatement vernis en « french manucure » très sexy. Sa plante de pied était légèrement rosie par la transpiration, une petite callosité était visible sur le côté…
Je portai ce superbe petit pied à mon nez, que je glissai entre ses orteils. Dans ce mouvement, la jupe de Léa se replia, et me permit d’admirer furtivement une petite culotte de dentelle blanche. Ce pari provoquait en moi une érection que je dissimulais à grand peine.
L’odeur du pied de Léa était forte, mais très supportable… un peu comme un morceau d’emmental, mais avec des effluves de plastique… La semelle des tong sans doute. Je me régalai pendant deux minutes, puis je mis fin au supplice de Léa. Je me tournai vers Surami :
— À vous maintenant, donnez-moi votre pied.
Surami me tendit son pied. J’enlevai sa chaussure, et l’odeur de la socquette blanche humide me révéla déjà que Surami serait en tête du concours ! Je retirai la socquette, et je portai rapidement le pied asiatique à mon visage. Il était très humide, et son odeur beaucoup plus âcre que celui de Léa. Je sentis aussi des odeurs de lessive et de vieux cuir… Son pied était un peu plus grand, et les ongles n’étaient pas faits. Mais j’en profitai tout autant ! Je reposai enfin le pied de Surami au sol, et regardai les deux amies… Léa était inquiète, et parla la première :
— Alors ! Qui de nous deux a les pieds les plus immondes ?
— Immondes, je ne dirais pas ça ! Mais Surami a les pieds les plus odorants, la faute à ses Adidas…
Je leur décrochai mon plus beau sourire, puis je demandai :
— Et… c’était quoi le pari ?
Surami s’approcha de moi, se mit à genoux devant moi, et entreprit de défaire ma ceinture et ma braguette ! J’eus un mouvement de recul…
— Ben voilà, m’expliqua-t-elle, celle dont les pieds puent le plus doit vous faire une pipe jusqu’à ce que sperme arrive ! Vous voulez ?
Je ne dis rien, mais je soulevai mes fesses pour que Surami puisse descendre le pantalon facilement. Elle descendit aussitôt mon slip, et se retrouva en face de ma queue bien dressée par cet apéritif podologue ! Elle la prit dans sa main et commença à la sucer gentiment. Avec sa main libre, elle me caressait les boules avec délice ! Ah, elle savait y faire, cette cochonne !
— Heureusement que ce n’est pas moi ! Je ne sais pas trop faire ça… dit Léa en rougissant de plus belle.
Elle n’en perdait pourtant pas une miette !
Je suis long à venir, et je comptais bien profiter de cette chance. Je pris la socquette de Surami et je la portai à mon nez afin de profiter de sa forte odeur de pied.
— Tu préviens quand tu vas cracher, me dit ma petite suceuse, j’avale pas ! Enfin, pas par surprise !
Ma main partit en exploration sous le tee-shirt, et je caressai les seins de Surami. Elle aimait ça, car ses tétons se raidirent sous mes caresses, et elle ne pût retenir ses gémissements, malgré sa bouche pleine ! Après cinq minutes de ce traitement, Surami lâcha ma bite et se tourna vers Léa :
— Dis, ma vieille, aide-moi, il est long à venir et j’aimerais bien faire sortir sa sauce avant la paralysie faciale !
— Mais je suce pas, moi !
— Non, j’ai perdu, je suce ! Mais montre-lui tes nichons et ta chatte ! Avec ta jupe c’est facile !
Je vis alors Léa remonter son top, et sortir ses petits seins d’un soutien-gorge transparent assorti au string entrevu précédemment ! Ses tétons roses s’érigeaient au milieux de deux larges aréoles presque de la couleur de sa peau. Surami regardait sa copine tout en me masturbant. Sur sa lancée, Léa remonta sa jupe, et retira sa culotte de dentelle, nous dévoilant son intimité. Elle n’était pas rasée, mais ses poils étaient blonds et très peu fournis, ce qui laissait admirer une petite fente rosée, d’où perlait déjà quelques gouttes de cyprine…
— Et ben, tu mouilles ! s’exclama Surami avant de remettre mon sexe dans sa bouche et de s’activer de plus belle.
Léa resta assise en face de moi, les cuisses ouvertes, et Surami me pompait divinement, mais au bout de cinq minutes, je ne jouissais toujours pas…
— Ouaf, quelle résistance ! Mais on t’aura ! On te fera éjaculer tout ton foutre, crois-moi ! dit Surami. Léa, t’as pas une idée ? Sans pénétration, j’ai pas de capotes !
Léa réfléchit pendant quelques secondes, puis leva ses jambes et me colla ses pieds sur le visage ! L’odeur était quand même très forte, mais cela m’excitait beaucoup. Surami me pompa avec ardeur, puis se retira…
— Ok, on change les rôles !
Elle enleva sa deuxième chaussure, retira sa socquette et me mit ses pieds sous le nez. Léa avait mis les siens autour de ma bite et me caressa un moment les boules avec ses petits orteils… Puis, elle se pencha sur moi, mais n’osa pas me sucer : elle se contenta de me masturber avec la main. L’odeur des pieds de Surami était vraiment très très forte ! Elle s’était mise à l’aise et avait descendu son pantalon et son string, m’offrant une vue directe sur son pubis rasé. Elle avait également relevé son Tee-shirt, et je pus profiter de ses nichons complètement différents de ceux de Léa ! Les tétons étaient noirs et très longs, alors que ses aréoles étaient brunes et du diamètre d’une pièce de monnaie. Elle s’enfila deux doigts dans sa fente tandis que son autre main caressait les fesses de sa copine…
— Allez ma petite, encouragea-t-elle, prends-le dans ta bouche ! T’en meurs d’envie !
Léa hésita un moment, puis m’emboucha le membre d’un seul coup !
Elle n’avait sûrement pas l’habitude de sucer, mais sa maladresse m’excita encore plus. Je décidai de prévenir Léa que mon sperme montait :
— Je vais éjaculer… bientôt.
— Oui, vas-y, il va bientôt vider ses couilles, s’exclama Surami, qui me frottait toujours le visage de ses pieds.
Je n’en pouvais plus, et je décidai de m’abandonner à ma jouissance…
— Je viens, Léa !
Mais Léa ne se dégagea pas assez vite et le premier jet de ma semence l’atteignit juste sur la bouche. Le second jet s’échappa sur ses seins, et le reste de ma jouissance se perdit sur sa main. Léa se laissa faire, avec un petit air dégoûté.
— Eh ben, voilà ! dit Surami en se rhabillant. C’est la première fois que tu es baptisée par de la sauce blanche ? Allez, remets ta culotte et range tes p’tits lolos, on arrive bientôt.
Léa ne répondit rien, elle regardait sa main pleine de sperme… qu’elle essuya rapidement sur sa jupe ! Surami prit sa chaussette et nettoya le visage et les seins de sa copine de ma semence. Puis elle mit mon sexe en bouche et le lécha avec sa langue.
— Pour nettoyer ! dit-elle. Dommage que je n’avais pas de capotes.
Elles se levèrent, prirent leurs affaires et sortirent car le train arrivait en gare. Pour ma part, je changeai de wagon, car celui-ci sentait fortement les pieds et le sperme. Je récupérai quand même les petites socquettes.
Je ne vis plus jamais Surami, mais Léa… c’est une autre histoire.
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