Je faisais souvent les trajets dans ce train, mais pendant un bon moment, je ne vis plus mes deux coquines… Et puis un soir, le train était de nouveau désert, je vis Léa arriver par la porte restée ouverte… Elle s’arrêta en me voyant, hésita, puis vint s’asseoir en face de moi.
— Bonjour.
— Bon… bonjour, répondit-elle.
Évidemment, je la déshabillai du regard. Après tout, elle avait goûté à mon sperme, et j’avais vu son intimité… Elle avait un tee-shirt blanc avec un motif représentant un aigle devant, une jupe rose longue jusqu’aux chevilles et – faute de goût pour une si jolie fille en jupe ! – des baskets blanches Puma. Elle portait en plus des chaussettes blanches qui retombaient en accordéon sur ses chevilles. Je devinai un soutien-gorge blanc très léger, car le bout de ses tétons pointaient à travers le tissu.
— Euh, tu sais, hésita-t-elle, je suis pas comme Surami… J’ai moins d’expérience euh… de sexe. J’étais très gênée l’autre jour…
— Et Surami ?
— Elle n’habite pas ici… En fait, elle venait pour réviser… chez moi… mais on s’est fâchées ! Alors elle ne vient plus. Elle ne va plus aux cours non plus d’ailleurs !
— Eh bien.
On ne dit plus rien pendant un moment, puis j’eus envie de m’amuser un peu avec cette petite oie blanche de Léa… J’avais envie de la pousser un peu niveau sexe.
— J’ai envie de sentir tes pieds !
Elle tourna la tête et parut très étonnée de ma demande…
— Euh… Encore ? Mais j’ai fini juste là un entraînement de volley-ball, et mes pieds… enfin, j’étais pressée et je ne me suis pas douchée après… alors…
— Ce sont tes chaussures d’entraînement ?
— Non, non, on a des chaussures de salle…
Je vis qu’elle hésitait… Je décidai de la mettre en confiance.
— Tu fais du volley-ball ?
— Oui, avec une équipe interne de l’Uni. Rien de très compétitif…
— J’aimerais venir te voir jouer… dis-je malicieusement. Tu dois être très sexy avec ta tenue moulante et tes longues chaussettes…
— Euh, je sais pas… Mais on a un match samedi à seize heures à la salle de sport. Tu… Vous connaissez ?
— Je viendrai. Mais on peut se tutoyer tu sais ! Quand on a déjà sucé, c’est qu’on se connaît bien, non ?
Léa rougit à ce souvenir… Elle ne faisait pas mine de me montrer ses pieds, alors je réattaquai !
— Montre-moi ! Tout de suite ! Je veux les sentir !
Léa me regarda la bouche ouverte, puis se pencha et enleva ses chaussures. Aussitôt, une forte odeur de transpiration et de vieux chiffons humides emplit l’air. Si le fameux pari avait eu lieu aujourd’hui, c’est Léa qui aurait dû me sucer !
— Je… Ça pue !
— Donne-moi tes pieds !
Léa s’exécuta et j’enlevai les chaussettes tombantes. Léa se laissa faire tandis que je portais ses superbes petits pieds à mon visage. Je restai là à les renifler et à sucer ses orteils pendant quelques minutes, quand je décidai de baisser mon pantalon et mon slip.
— Je crois que tu as perdu ton pari ! Tu dois me sucer à ton tour !
Léa rougit sur tout le visage !
— Mais… Je suce pas ! Je peux te mas… te masturber si tu veux, mais c’est tout.
— Donne-moi ta culotte !
J’avais dit cela d’un ton qui ne souffrait pas de discussion. Léa leva les jambes, glissa ses mains sous sa longue jupe, et je vis bientôt émerger une culotte de coton jaune pâle. Je pris le tissu déjà humide à l’entrejambe et le reniflai devant Léa.
— Tu mouilles, hummm ! Tu voudrais ma bite dans ton trou, non ?
— Heu non ! Je n’ai pas de préservatif. Et je ne prends pas la pilule !
Léa paniquait…
— Je vais te… la mettre dans ma bouche.
Bingo ! Léa se pencha et commença à me sucer. Maladroitement comme la dernière fois, mais cela m’excitait encore plus…
— Caresse-moi les testicules ! Ouiiiiii, comme ça !
J’avais mis les chaussettes odorantes sous mon nez, et je n’allais pas tarder à cracher mon foutre. Léa s’arrêta, puis me dit :
— Tu préviens quand ça sort ? Je… veux pas… avaler…
Je ne répondis pas mais ma main commença à explorer le dessous du tee-shirt de Léa. Je caressai ses mignons tétons, qui se durcissaient de plus en plus… Je décidai d’un marché :
— Si tu avales, la prochaine fois, c’est moi qui te lèche la choupinette et qui te fais jouir ! Tu vas vraiment aimer… Mais tu dois tout ramasser dans la bouche maintenant, toute ma sauce… Alors ?
Léa me regarda tout en me suçant puis baissa les yeux sans rien me dire. Je pris son silence pour un oui.
— Caresse-moi les couilles, retrousse ta jupe…
Léa retroussa sa jupe, qu’elle cala sous son bras, me révélant ses fesses blanches et son sexe toujours pas rasé… La position était très excitante, et je me laissai aller à ma jouissance, non sans prévenir ma petite cochonne…
— Je viens Léa, tu le gardes en bouche ?
Elle me regarda et fit « oui » avec ses yeux. Elle me caressait les boules avec plus d’entrain et je pus enfin jouir dans sa bouche des flots de sperme épais !
— Ahhhhhhh, c’est bonnn Léaaa ! Super !
Léa me suça encore un moment, puis se retira en gardant la bouche fermée. À sa grimace, je compris qu’elle avait gardé ma semence sur sa langue, et qu’elle ne savait pas quoi en faire…
— Ou tu avales comme un sirop, ou tu craches !
Léa hésita, puis eut le réflexe d’avaler. Elle ne dit rien, mais je la vis un peu contrariée… Elle ramassa sa culotte, qu’elle mit dans son sac, puis elle remit ses chaussettes et ses Puma. Elle s’arrangea un peu, prit un chewing-gum dans son sac, et m’en proposa un. Comme elle devait descendre du train, elle me dit :
— Euh… À samedi, seize heures.
— Ça marche. Ah, Léa ?
Elle se retourna.
— Prends des capotes cette fois !
Elle sortit et je rangeai mon sexe qui perdait de son ampleur ! Vivement samedi !
Un beau match
Ce samedi, je pris place dans les quelques gradins de la salle de sport où devait jouer Léa. Nous étions tout au plus une demi-douzaine de spectateurs, la plupart devant être les copains ou les frères des joueuses. J’avais un plan pour me retrouver seul avec Léa. Je connaissais cette salle et je savais par où sortiraient les joueuses une fois la douche prise. Il suffirait d’attendre que toutes les filles sortent, puis de rejoindre Léa dans les vestiaires. Fallait juste qu’elle se débrouille pour être la dernière, sans paraître suspecte ! Et là, c’était à elle de faire le nécessaire…
J’avais à peine fini de penser à ça que les joueuses rentrèrent sur le terrain. Je repérai tout de suite Léa. Elle était effectivement très très sexy dans sa tenue de sport ! Elle portait des chaussures Adidas bleues, de longues chaussettes blanches qui arrivaient aux genoux, un short blanc avec, me semblait-il, un string bleu dessous… Elle avait un tee-shirt rouge avec son prénom écrit derrière et son numéro (le cinq). Elle avait en plus attaché ses cheveux en queue de cheval. Cette vision me fit bander pendant tout le match !
Elle jouait bien, ma petite suceuse ! Je salivais déjà en pensant que je la tringlerais et que je la lècherais après ce match ! Et sans douche, avec cette odeur excitante de sueur et de phéromones ! J’avais aussi repéré une petite black qui devait être la capitaine de l’équipe. Elle s’appelait Cécile et elle était vraiment mignonne. Je me promis d’en parler à Léa, afin de voir si…
Pendant la pause entre les sets, je vis plusieurs spectateurs descendre pour parler aux joueuses. Léa m’avait vu, évidemment, et avait fait un petit coucou avec la main… Je décidai de mettre mon plan à exécution. J’écrivis un petit mot : Débrouille-toi pour être la dernière dans les vestiaires et rester toute seule. Je te rejoindrai. Reste habillée, pas douchée.
Je descendis rapidement, et je donnai le billet à ma joueuse. Léa parut surprise, lut le billet et le mit dans son sac lorsque le jeu reprit. À la fin du match, que l’équipe de Léa perdit deux à zéro, je vis Léa parler à la black, puis commencer à ranger le matériel. Pendant ce temps, les autres joueuses avaient déjà enlevé leurs chaussures et se dirigeaient vers les vestiaires ! Brave petite ! Elle en voulait, de la bite !
Je sortis pour me poster vers la porte du vestiaire, afin de surveiller le départ des joueuses… Les premières sortirent après dix minutes, puis la black apparut. Elle se retourna et cria dans le couloir.
— Oublie pas de fermer, Léa ! Ok ? Et tu me redonnes les clefs lundi aux cours ! Pas de folies !
Léa devait donc être toute seule maintenant. J’attendis encore cinq minutes, puis je rentrai dans le bâtiment. Je trouvai tout de suite le vestiaire ; il en sortait une odeur de transpiration, de pieds et de gel douche… Léa était là, debout, dans le vestiaire, appuyée contre l’ouverture menant aux douches. Comme prévu, elle était habillée. Seules ses chaussures attendaient plus loin vers son sac. À côté étaient pendues ses affaires : un jeans délavé, une blouse rose et les Puma blanches, dans lesquelles étaient roulées deux socquettes bleu ciel.
Je bandai instantanément ! Elle se pinçait la lèvre, n’osant pas parler, n’osant pas bouger. Elle se dandinait d’un pied sur l’autre.
— Sa… salut ! dit-elle.
— Salut. Prête pour la baise, la vraie ?
Je décidai de prendre les choses en main, pour un peu la faire réagir !
— Tu t’es bien débrouillée, bravo ! Pour le match aussi ! J’espère que tu vas aussi bien bouger tes petites fesses quand je te mettrai ma bite dans ton vagin…
— Euh… tu sais… J’ai pas beaucoup d’expérience, et…
Elle rougissait ! En la regardant, je me suis assis sur le banc à côté de son sac.
— T’es pas vierge ?
— N… non, mais j’ai peut-être jamais eu un orgasme, tu sais, alors quand tu m’as dit l’autre jour dans le train que…
— T’en fais pas, tu vas jouir ce soir ! Mais tu dois faire ce que je te dis ! Et je veux jouir aussi… Pour commencer, déshabille-toi ! Non ! Laisse tes chaussettes ! Ça m’excite !
Léa commença par retirer son tee-shirt, qu’elle expédia dans son sac. Son short suivit le même chemin, et elle avait en effet un string bleu !
— Tu sais, le string se voyait sous ton short blanc !
Elle stoppa son strip’, puis avant de dégrafer son soutien-gorge, elle me sourit :
— J’ai une fois joué sans culotte ! Oh la la ! La honte ! J’avais l’impression que tout le monde le voyait ! Tu as vu Cécile ?
— La petite black ?
— Ouais ! Elle, elle porte jamais rien ! Mais elle est rasée…
— Et toi ? Tu te rases pas ?
— Euh… les dessous de bras, les jambes… mais pas le s… sexe ! J’ai pas beaucoup de poils, et ils sont quasi blonds, alors…
— Alors, ce soutif ! Ce string ! À poil !
Elle dégrafa son soutien-gorge, et le lança vers le sac. Ses petits nichons étaient tout fripés par la transpiration, et ses tétons comme endormis… Elle enleva son string, qu’elle roula en boule et qu’elle envoya dans le sac ! Je le pris, et le portai à mes lèvres ! Hummmm, il était bien humide, et je vis dans le fond une tache blanchâtre…
— Dis donc ! Ça te fait mouiller, le jeu !
— Ben tu sais… quand on saute, ça frotte un peu !
— Et les autres filles, ça t’excite pas ?
— Ben… Elles sont choux ! Enfin, je pense que… Cécile… elle est peut-être bi ! Elle arrête pas de nous mater sous la douche et quand on se désape ! Elle nous touche un peu aussi. Une fois, elle m’a mis la main sur le sein droit, elle me ca… caressait le mamelon…
Héhé, Léa me racontait cette histoire, à poil devant moi, toute gênée… Mais intéressant ! Cécile… un plan à trois…
— Allez ma fille, viens vers moi !
Léa s’approcha, et je commençai à la caresser partout : fesses, seins, ventre, cuisses. Je glissai un doigt entre ses lèvres intimes et le ressortis tout gluant… Léa gémissait et je m’attaquai à ses nichons mignons… Ma position assise me permettait de lui lécher le ventre tout en lui touchant les seins. J’excitai ses bouts avec les pouces et je les sentis s’ériger. Son mamelon se rosit légèrement sous mes caresses.
Puis je mis mon visage dans son pubis, au milieu de ses poils. C’est vrai que c’était doux car ils étaient fins et soyeux… Puis ma langue toucha son bouton d’amour !
— Ah ! cria Léa. C’est trop bon là ! Oufffff…
Elle écarta les cuisses et je commençai mon cunnilingus tout en lui pétrissant les seins. Je la vis crisper ses orteils de plaisir et je décidai de me mettre moi aussi à l’aise… Je couchai Léa sur sa serviette de douche et j’entrepris rapidement de me déshabiller aussi, tout en gardant un doigt sur sa craquette.
Une fois nu, je m’agenouillai devant les cuisses ouvertes de ma gazelle et je me masturbai en regardant cette petite fente déjà toute trempée. Léa mit ses pieds gainés autour de ma bite et me soupira :
— Si tu veux me pénétrer, j’ai pris des préservatifs, dans mon sac… Je prends pas la pilule, tu sais…
— D’abord, tu vas jouir ! Ensuite je te saute ! Je suis hyper excité, alors je vais te prendre par derrière, ok ?
— Euh… pas dans le… pas la sodomie ?
— Non ! Pas aujourd’hui… Non, en levrette ! Tu verras, je suis pas long à cracher comme ça…
Je préparai le préservatif, puis je m’inclinai sur le sexe de Léa. Je lui léchai ses lèvres du bas, le clitoris, le périnée… Je mis ma langue dans son trou, puis mon doigt ! Ma main libre lui excitait les tétons… Léa n’en pouvait plus ! Elle se cabrait, se crispait… Elle criait, gémissait… et mouillait ! Du bon jus bien frais !
— Fais-moi jouir, j’en peux pluuuuuus ! S’il te plaît…
Je donnai de rapides coups de langue sur son clito et je la branlai avec mon doigt dans le vagin. Je touchai son point G et je sentis le ventre de Léa se crisper puis ses muscles me serrèrent le doigt avec force et elle poussa un cri qui résonna dans le vestiaire. Je sentis mon index se mouiller et la pression se relâcha. Je sortis mon doigt, le portai à ma bouche et observai Léa. Elle cherchait son souffle, terrassée par son premier orgasme ! Son torse avait rosi, et ses mamelons étaient maintenant franchement rouges ! J’enfilai ma capote et je mis ma main sous les fesses de Léa, pour la retourner…
— Allez, pendant que c’est chaud ! Mets-toi à quatre pattes, et tends bien ton cul !
Elle se retourna et cambra ses reins. Je découillais presque, rien qu’à la voir comme ça, soumise, avec ses pieds que l’on devinait à travers le tissu des chaussettes… Pour la première fois, je la pénétrai ! Elle poussa un cri, et je sentis que, malgré l’humidité de sa fente, elle était très étroite !
— Doucement… Ouf, c’était tellement bon…
Je la tringlai gentiment puis je lui enlevai ses chaussettes. L’odeur qui s’échappa de ses pieds faillit me faire éjaculer ! J’accélérai, Léa poussait de petits cris à chacun de mes coups de reins ! Je voyais ses seins ballotter sous elle et je sentis mon sperme monter dans ma tige…
— Tu viens bientôt, me dit ma coquine. Tu as bien mis le préservatif ?
— Oui, ne t’en fais pas ! Je vais lâcher la sauce !
Je me retirai, enlevai la capote et j’éjaculai sur les pieds humides de transpiration de Léa.
— Ahhhh, c’est bon ! Sur tes pieds, Léa !
J’essorai le poireau puis je m’assis, épuisé. Léa ne bougea pas tout de suite puis elle se leva brusquement. Elle glissa un peu à cause du sperme sur ses plantes de pieds.
— Je… je dois aller faire pipi…
— Va dans les douches ! Je veux te voir !
— Mais… ça me gêne !
— Écoute, j’ai eu le nez dans ton sexe avant, j’ai léché ton urine, alors la gêne…
Léa se leva, puis s’accroupit face à moi. Elle poussa un peu, je vis d’abord quelques gouttes tomber entre ses cuisses, puis un grand jet d’urine chaude s’écoula sur le carrelage. J’attendis que Léa finisse sa petite affaire et je la rejoignis pour une bonne douche ! Je regardai Léa et, pendant que l’eau coulait, je pissai aussi. Je visai un peu ses pieds, mais elle ne dit rien.
Je m’habillai le premier et la regardai ensuite préparer ses affaires. Elle rangea ses habits de sport dans son sac et commença un strip-tease à l’envers… Elle enfila d’abord une culotte propre bleu ciel avec un dessin de Puka devant, puis son soutien-gorge, ses petites socquettes. Elle me regarda et enfila son chemisier. Quand elle mit son jeans, elle me dit :
— Merci pour la jouissance… C’était la première fois comme ça !
— De rien ! Si tu veux, ce ne sera pas la dernière…
Nous sortîmes ensemble de la salle de sport et Léa ferma la porte avec la clé de Cécile…
— On… on se reverra peut-être ?
— Oui, on peut toujours se baisoter dans le train !
— À la prochaine !
Et elle s’éloigna… Je pensai à Cécile… Et à Léa… ensemble.
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