Depuis cette partie de baise avec Léa dans les vestiaires, je pensais surtout à la petite capitaine black, Cécile… et à une partie à trois avec ma Léa.
Je dis « ma », car nous continuions à nous voir, mais uniquement dans le train, comme au début ! Ce train est toujours désert hors heures de pointe, car il dessert une petite région ; ce qui est bien pratique pour nous !
Souvent donc, elle me suce, ou alors je lui lèche les pieds… Lorsqu’elle est en jupe ou en robe, je lui léchouille le minou, qu’elle ne rase toujours pas… mais cela ne me dérange pas ! Son odeur intime est très agréable, même après une journée d’étude…
Un soir, elle me suçait pendant que je caressais ses seins à travers son tee-shirt rose ; je lui fis une proposition…
— Continue de me sucer, mais écoute-moi… Tu es toujours avec Cécile au volley ?
— Oui…
— Vas-y… je vais bientôt lâcher… C’est quand ton prochain match ?
— Samedi, à 16 heures.
— J’aimerais… hummmmmm… J’aimerais que tu restes avec Cécile dans le vestiaire, et que vous m’attendiez…
Léa me regarda, toute surprise…
— Pourquoi ? tu veux la… sauter ? Et moi ?
— Tu en profiteras aussi, crois moi ! Elle doit sûrement bien lécher la moule des blondes… et oui, j’ai envie de la sauter !
— Bon, j’essaierai de la convaincre… C’est vrai que samedi passé, elle a encore voulu me toucher un téton sous la douche…
— Masturbe-moi en décrivant le corps de Cécile…
— Eh ben… elle est grande, mince, avec de plus gros seins que moi, mais ils tombent un petit peu… Ses tétons sont brun foncé, et lorsqu’ils sont excités, ils sont très longs et dépassent de l’aréole brune comme des pics. Elle est rasée en bas, et on voit son clitoris rose car ses lèvres sont très petites… Une fois elle ne s’était plus rasée, eh bien elle avait une sacrée touffe de poils !
— Ummmmmm tu m’excites ! Parle-moi de ses pieds !
— Eh bien… je ne les ai jamais reniflés, mais quand elle enlève ses chaussettes, c’est pas triste ! Ses orteils sont longs, mais beaux et soignés. Elle laisse ses ongles naturels, et…
— Léa, je vais jouir ! Enlève une de tes chaussettes, vite !
Tout en me branlant, Léa retira sa chaussette droite… elle était bleu ciel avec un papillon sur le côté. Je la portai à mon nez, puis je l’enfilai sur mon sexe. Pour me motiver, Léa releva son tee-shirt et me montra ses petits seins… je jouis dans sa chaussette.
— Ahhhh oui, c’est sorti… ummmm vivement samedi.
Léa se rhabilla, elle m’essuya la queue avec sa chaussette, puis l’enfila sur son pied…
— Oublie pas, je prends pas la pilule…
— Et Cécile ?
— Je crois que oui, elle est étudiante en médecine, alors je suppose… Je sors ici, à… à samedi.
— Oh oui…
Le samedi suivant, j’étais dans les gradins de la salle de sport. Le match se déroula rapidement (l’équipe de mes deux cochonnes perdit 2 sets à 0 !), et je n’arrêtais pas de reluquer les seins et le cul de Cécile, capitaine de viceball… À la fin du match, mes deux joueuses rangèrent le matos pendant que les autres rentraient aux vestiaires… Je décidai de me poster à la sortie.
Une demi-heure après, les dernières joueuses sortirent du bâtiment, en rigolant… J’attendis encore cinq minutes, puis je me précipitai dans les vestiaires.
— On attend quoi, Léa ?
C’était la voix de Cécile. Je fis mon entrée…
— Euhhh, lui ! répondit Léa toute rougissante…
Léa était encore habillée des pieds à la tête, mais Cécile avait déjà enlevé son short et ses chaussettes. Elle avait conservé son tee-shirt, et lorsque je rentrai, elle le tira pour recouvrir son intimité… Elle ne portait pas de culotte pour jouer. Je jetai un regard circulaire et remarquai leurs affaires propres dans un coin du banc : un jean noir, une blouse blanche, des chaussettes-bas noires avec des bottines pour Léa ; une jupe jaune avec un top fuchsia, des chaussettes blanches dans des baskets Adidas pour Cécile…
— Qu’est ce qu’il fait là, lui ! dit Cécile toute gênée… Tu le connais ?
— Oui… oui… il va t’expliquer.
— J’ai compris ! J’suis pas idiote ! Tu viens proposer un plan cul à trois ?
— Oui, c’est ça, répondis-je un peu troublé par cette fille superbe.
— OK, mais je veux que tu saches : je suis bi, et je voudrais depuis longtemps faire jouir ce petit cul blanc ici présent ! Depuis le temps que je le vois sous les douches et que ça m’excite…
— Pour moi, pas de problèmes. D’accord, Léa ?
— Euhhhh… oui ! fit Léa d’une toute petite voix.
— Bien. Tu peux nous mater, et on trouvera bien un moment pour te branler et te sucer. Mais c’est en moi que tu vas jouir. J’ai un implant contraceptif, et comme je bosse dans un laboratoire pour le moment, je suis testée tous les deux mois. Je n’ai pas le sida, et je ne pense pas que tu l’aies ?
En disant cela, elle avait lâché son haut, me révélant sa chatte épilée…
— Je suis un mec très prudent, et je te fais confiance.
— Je… je prends pas la pilule, et… balbutia Léa.
— Toi, c’est moi qui vais te faire grimper ! répliqua Cécile. Et puis tu iras chez le gynéco ! C’est super de sentir de la semence dans le vagin ! Bon, étale nos serviettes par terre, qu’on soit confortable pour forniquer.
Léa s’exécuta pendant que Cécile enlevait le haut. Elle balança son soutien et son tee-shirt sur son sac, et me fit face. Elle était vraiment bien foutue, avec ses longs cheveux noirs tressés à l’africaine, et ses tétons se dressaient déjà au milieux des aréoles légèrement plus foncées que sa peau d’ébène.
Léa se dandinait d’un pied sur l’autre, avec ses longues chaussettes blanches dans l’attente de la suite.
— Bien. Je vais te foutre à poil maintenant, ma petite blonde !
Cécile s’approcha de Léa et lui arracha plus qu’elle n’enleva le t-shirt rouge. Elle dégrafa ensuite le léger soutif et expédia ces deux bouts de tissu sur le banc. Elle recula pour contempler le tableau…
— Ouha ! Tu as vraiment des nichons super-mignons…
Léa rougit, puis Cécile continua. Elle enleva le short et le slip blanc d’un coup. Les longues chaussettes suivirent rapidement et une forte odeur de pieds transpirants envahit l’atmosphère… Léa se retrouva intégralement nue devant sa capitaine…
— T’es toujours pas rasée, mais ça me va… Viens là, chérie…
Elle insinua un doigt entre les cuisses de Léa, et le porta à sa bouche.
— Hmmmm, un délice, ta petite mouille ! Allez, allonge-toi !
Léa s’allongea, et Cécile se mit à lui caresser les seins et lui embrasser les mamelons. Léa hésita, puis elle se mit aussi à caresser sa partenaire. Cécile descendit entre les cuisses et commença la partie de broute-minou… Léa crispa ses orteils et commença à gémir de plaisir… Cécile besogna Léa un bon moment. Je la vis lui lécher le clito, la pénétrer avec la langue, le doigt, le nez… Elle lui suçait les lèvres intimes… Je crus qu’elle allait la faire jouir, mais elle se releva.
— Bon. On va se mettre en position de 69 ! Je vais monter sur toi. Si tu pouvais un peu me lécher la moule pour me lubrifier en vue de la charge finale… Et toi ! Désape-toi ! On est dans un vestiaire, non ? Paluche-toi mais n’oublie pas ! Ton sperme m’appartient !
Elle escalada Léa, se mit en position et reprit sa partie de léchouillage. Léa gémit de plus belle avant d’enfouir à son tour son nez dans l’intimité offerte de Cécile. Je me déshabillai rapidement, et je pris mon sexe en main. Elles se léchèrent mutuellement la fente, et je vis que Léa mouillait beaucoup ! Cécile lui enfonça un doigt dans la chatte et se mit à la pistonner.
Je m’approchai, et je pris un pied de Léa pour lui sucer les orteils. Je devais faire attention de ne pas tout lâcher devant ce spectacle ! Soudain, Cécile branla rapidement le bouton de Léa tout en lui caressant l’anus. Je sentis Léa crisper ses orteils et je savais sa jouissance proche…
— Ohhh, contin… continue je… je viens ! Oh mon Dieu ! Je viens !
Le ventre et le vagin de Léa se crispèrent, et elle poussa encore un soupir de plaisir…
— Bon. À mon tour, dit Cécile en se relevant.
Je remarquai alors que Léa avait le visage maculé de mouille ! Cécile s’en aperçut aussi…
— Excuse-moi, je mouille beaucoup quand je suis excitée !
Elle alla s’asseoir sur le banc, mais au passage, elle me caressa le sac.
— Tu aimes les petons, je vois ! Que penses-tu des miens ?
Elle me mit son pied droit sous le nez pendant que le gauche me caressait les couilles ! Elle avait de longs orteils, mais fins. Le gros était un peu plus court que les quatre autres.
Son odeur et le massage me mirent au bord de l’explosion. Cécile le sentit. Elle se releva et me pinça la base du sexe.
— Une petite précaution pour que tu ne découilles pas trop vite ! Bon, tu vas me prendre par derrière. Tu ne seras pas long à venir, je pense, et moi aussi.
Elle se retourna et s’appuya contre le mur en cambrant son petit cul. Entre temps, Léa avait repris ses esprits et s’approcha de sa capitaine de baise. Elles s’embrassèrent à pleine bouche, et je vis Léa caresser les nichons et le clitoris de Cécile.
— Ouhhh c’est bon ! Viens ! Saute-moi ! Je veux ta queue dans mon trou humide !
Je m’approchai et enfonçai mon sexe dans la chatte rosée de Cécile ! Je la besognai pendant un moment, et je sentis soudain son vagin se resserrer autour de ma queue, signe de sa proche jouissance. Elle haleta :
— Ohhhh je vais jouir, vas-y continue de me caresser le cli… le ahhhhhh je viens ! Je viens !
Je sentis alors un torrent de mouille qui s’échappait et coulait le long de ma verge, ainsi que sur les jambes de Cécile. Je continuai à la tringler et je vis Léa enfiler ses chaussettes-bas noires. Elle se positionna de telle façon qu’elle me masturba les couilles avec la plante de ses pieds ainsi gainés. Je sentis monter le jus dans mon sexe… Cécile dut s’en rendre compte, car elle tourna la tête vers moi :
— Je sens que tu vas dégorger ton poireau ! Allez, balance tout dans ma chatte !
Je m’accrochai aux hanches de ma Black, et je me vidai en elle… Quatre longs jets visqueux…
— Ahhhhh, j’ai tout lâché… dans ta chatte humide !
Je repris mon souffle, puis je me dégageai de l’étreinte intime de Cécile. Mon sperme coula sur sa cuisse et fit un sillon blanc sur sa peau d’ébène… Léa était déjà sous la douche en train de se laver de tant de jouissance. Cécile prit mon sexe dans sa main, et me dit :
— On devrait faire un concours…
Elle se précipita sous la douche, et commença à tripoter les fesses et les mamelons de Léa, qui parut gênée au début, mais se laissa faire. Je les rejoignis à mon tour. Je vis bientôt Léa écarter les jambes comme à son habitude, et se soulager sur le carrelage. Cécile remarqua aussi le liquide ambré qui s’écoula…
— Bonne idée, ça !
Elle s’accroupit, poussa fort, et un puissant jet de pisse nous éclaboussa bientôt les pieds. Mon sexe étant au repos, j’en profitai pour me soulager aussi…
Je m’habillai rapidement, puis Cécile sortit et se sécha. Elle enfila un string jaune clair, un soutien-gorge rose et sa jupe. Puis elle s’assit et enfila son top et ses chaussettes blanches. Léa s’assit à côté d’elle pendant que Cécile laçait ses Adidas. Elle enfila d’abord ses chaussettes-bas noires transparentes.
— C’est vrai que c’est excitant de jolis pieds dans ces bas… Et ça a dû te plaire aussi, puisque ça t’a fait éjaculer de sentir ça sur le sac !
— Ton vagin était bien confortable aussi…
Léa continua de s’habiller et enfila une culotte noire, un soutif blanc à dentelles transparent. Puis elle mit son jean et sa blouse. Lorsqu’elle chaussa ses bottines, un début d’érection se manifesta dans mon pantalon…
Une fois dehors et la porte fermée, Cécile proposa :
— Un concours de pipes, ça vous tente ?
— Explique-toi…
— Simple. Trois garçons, trois filles. Tous les coups sont permis, le premier qui éjacule gagne avec sa partenaire. Il y aura des gages pour les deux perdants… OK ?
— Je… je suis pas très forte pour la fellation… soupira Léa.
— Eh ! Tu rigoles ? T’es super-sexe, toi ! OK pour toi ?
Je confirmai.
— OK, mais qui seront nos adversaires ?
— Bon. Pour les filles : Léa, moi, et ma coloc’ Laureen. Elle adore les pipes et les concours ! Pour les garçons, tu vas avec Léa, ma coloc’ avec mon frère Blaise ; ils s’adorent ! Et moi je convaincrai Simon, un collègue de cours. Il m’a déjà proposé plusieurs fois de lui faire une pipe ! Ses vœux seront exaucés !
— Et… et les règles ? demanda Léa.
— Bien. On commence par faire éjaculer les trois garçons en même temps, afin qu’ils soient égaux avec la durée d’abstinence ! Ensuite on va manger un morceau, peut-être un ciné, pour bien recharger les batteries. Ensuite, on ne les touche plus pour leur permettre de pisser avant le concours ; un peu de confort, quoi ! On les fait s’asseoir, et la fille de chaque garçon commence à sucer. On peut tout faire : se mettre à poil, caresser le garçon, lui faire sentir ses pieds… Chaque garçon a un joker : il peut demander à une autre fille de le sucer pendant une minute, et seulement une minute ! Sa partenaire sucera l’autre garçon. Si le candidat éjacule durant son joker, ce sera la fille qui l’a sucé pendant cette minute et lui qui gagneront. Le premier à éjaculer gagne avec la fille qui le suce. On continue pour la seconde et troisième place. Les filles perdantes ont un gage, avec ou sans leurs partenaires. Les gages sont dans une « boîte à gages » qui est chez moi. Plusieurs centaines de gages possibles ! On tire au sort.
— Et les gagnants ?
— On apporte tous 2 DVD. Les gagnants empochent les 12 DVD. Comme ça, pas d’argent !
Cécile griffonna son adresse sur deux bouts de papier et nous les tendit.
— D’accord ? 16 heures chez moi, samedi prochain ?
Léa hésita, puis prit son billet. Je fis de même.
— Et Laureen ? Elle est comment ?
— Une Irlandaise ! Une vraie rousse. Si elle se désape, tu pourras constater par toi-même ! Elle ne s’épile pas la foufounette !
Cécile partit en direction du bus. Léa me quitta aussi.
— Bon. Je… j’espère qu’on va gagner… À samedi.
— À samedi. Oh ! Léa !
— Oui ?
— Ne t’en fais pas… tu suces très bien !
Elle me sourit, et je compris que nous profitions en fait tous les deux d’une certaine insouciance, avant d’entamer quelque chose de plus beau et intéressant entre nous…
Cinq minutes après, elle me manquait déjà…
a quand la suite je mouille deja