Mezzanine

Je suis une petite fille sage et sérieuse… évidemment j’ai un côté un petit peu coquine dès lors que l’on me titille comme on le fait de temps en temps en me traitant de belle cochonne… c’est vrai que çà m’excite terriblement quand on me traite de petite salope, avant çà me choquait, puis çà m’a fait rire et aujourd’hui çà me tourne la tète et même je le revendique ! C’est assez amusant car en fait, çà ne fait pas si longtemps et çà date justement d’une histoire que je vais vous raconter maintenant… Il faudra tenir la distance…

C’était il y a 2 ans à peu près, à la fin du mois d’août. Walter et moi avions commandé un lit mezzanine pour notre fils aîné (eh oui, mariée, des enfants…) et la livraison avait lieu ce jour là. J’avais pris un congé comme il se doit dans ces cas là, et j’avais fait place nette dans la chambre pour l’installation.
C’est en début d’après midi qu’ils sonnèrent. Un petit portugais râblé et un noir bien costaud style rugbyman. L’affaire était menée rondement par les deux lascars qui rapportaient les éléments et faisaient la navette entre leur camion et l’appartement. Apparemment le montage n’allait pas être une sinécure et risquait d’être long. D’autant plus long que le portugais partait chez d’autres clients, laissant son collègue se taper… le sale boulot… pendant qu’il visiterait le coin… l’avantage du chef sans doute… il ne savait pas ce qu’il perdait…

La météo avait annoncé une journée caniculaire et pour une fois ne s’était pas trompée. La chaleur devenait étouffante en ce début d’après midi et le black suait à grosses gouttes pour monter … cette putain … de mezzanine. Moi j’en profitais pour faire du repassage et allais m’enquérir de la bonne marche des opérations de temps en temps. Le montage s’effectuait normalement mais je remarquais qu’il avait enlevé son t-shirt, cela laissait voir sa poitrine reluisante et de sacrés abdos. Je n’avais pas d’arrières pensées mais j’avoue que ce noir torse nu en plein effort ne me laissait pas indifférente. Le travail allait bon train aussi je lui proposais une petite pause :

— Il fait vraiment chaud, vous voulez à boire ? Demandais-je.
— Oh oui, j’ai soif, répondit-il.
— Mais si la dame a vraiment soif, moi je peux aussi lui donner à boire, euh… si elle veut, devait il ajouter. Du moins, c’est ce que j’ai reconstitué « après-coup », car sur le moment je n’avais rien compris. Dam… oif… boire… Il avait du bafouiller un peu et moi, je n’étais pas vraiment attentive, aussi cela amena ce quiproquo…
— Oui bien sûr, venez dans la cuisine, on sera mieux, répondis-je innocemment.

Il me suivit d’un pas derrière moi que je sentais décidée… et pour cause !

A peine avais-je franchi le pas de la porte, que je sentis une poigne de fer sur ma nuque, m’obligeant à me tourner et à m’agenouiller… le black avait sorti sa queue !

— Allez chérie, si tu as vraiment soif, je vais te faire boire moi ! Me lança t’il en me la fourguant dans la bouche.

J’étais interloquée. Quelque part aussi j’étais flattée qu’un inconnu me « regarde autrement »; sur le moment je n’ai pas vraiment réfléchi, d’autant que je n’avais guère le choix ! Et puis à vrai dire la pipe étant mon péché mignon, je n’allais pas laisser passer l’occasion !
Il ne bandait pas tout à fait. L’émotion sans doute ou la peur de tomber sur une sainte et de se retrouver comme un con la queue entre les jambes. J’hésitais. Je commençais par de petits coups de langue sur ce gland moins rose qu’à l’accoutumé, j’étais un peu nerveuse, d’autant que son sexe était d’une épaisseur hors norme. Pas très grand mais d’un diamètre qui grandissait au fur et à mesure de ma lichette, cela commençait à me faire peur. Il s’en aperçu et à partir de cet instant se transforma en un vrai moulin à parole ! Il me prit peut être pour une débutante et me donnait ses indications. Ce gars là avait du être copilote de rallye dans une vie antérieure ! Je cite pêle-mêle ce que j’ai pu retenir, car dans l’action évidemment j’ai du raté quelques répliques :

— C’est çà. Donne des petits coups de langue, à droite, à gauche, descend, oui là, lèche moi, remonte, sur le gland, hum c’est bon, t’as fait çà toute ta vie toi…

Je m’appliquais à suivre ses indications, d’autant que c’était la première fois (et aussi la dernière malheureusement ) que je suçais un black. J’étais fière de moi car je voyais qu’il appréciait la prestation. Sucer un noir, faisait partie de mes fantasmes à une époque que je qualifierais de lointaine, et çà m’était passé. D’un seul coup je me retrouvais dans mes rêves d’il y a quelques années…

— Voila, prends la bien dans ta bouche, bien au fond, c’est çà, reviens en aspirant…

Je le suçais avec délectation. Rassuré sans doute, il en profita pour baisser son pantalon et son slip. Ma bouche faisait son aller retour habituel tandis que je lui malaxais les couilles d’une main, l’autre essayait de s’occuper de mon minou trempé mais n’y arrivait pas vraiment : on ne peut pas faire plusieurs choses à la fois et une pipe bien faite demande un minimum de concentration.
Il faisait les questions et les réponses :

— Oh tu aimes çà ma salope, oh oui que tu aimes çà…
— C’est la première fois que tu suces un black hein ? Et çà t’excite comme une dingue hein ma cochonne, allez vas -y, si tu es sage tout à l’heure t’auras droit de boire… t’es une sacré coquine… humm.

C’était la première fois, c’est vrai, que j’étais avec un noir ; mais c’est aussi la première fois qu’un mec m’insultait pendant l’amour. Walter avait essayé un jour. Lui avait échappé un « tiens prends çà ma salope » et çà m’avait choqué. Je m’étais même arrêtée. Là, bizarrement, je trouvais çà plutôt drôle, voire excitant. Il continuait son cinéma :

— Attends, attends, suce moi les couilles là… aspire oh oui comme çà… mordille moi le gland… ah SALOPE… qu’est ce que tu pompes bien…

J’avais du mal à le pomper justement. Sa queue était « trop grosse » pour moi, je n’avais pas l’habitude avec Walter… J’essayais de faire du mieux possible mais j’ouvrais tellement la bouche pour l’avaler que j’en avais mal. Il était difficile d’aller au fond car j’avais rapidement du mal à respirer, de plus j’était un peu enrhumée. Il commençait à « mouiller » sérieusement et moi je me transformais tout bonnement en fontaine ! J’arrêtais un instant ma succion et je remontais ma langue le long de son corps… sa queue… ses abdos… sa poitrine sans poils… son cou… sa bouche… sa « mouille », sa sueur, sa salive… Je l’embrassais en lui redonnant un peu de ce mélange tout en me frottant contre lui. Je sentais son braquemart contre mon pubis et j’aurais presque pu en jouir à ce moment là. Il sentit « le danger » arriver. Il reprit sa poigne de fer mais d’une façon plus… euh… courtoise… pour me remettre à genoux.

— Allez suce Salope puisqu’ t’aimes çà… et t’arrêtes pas sinon… ho… ah… O la vache… la pute elle fait çà trop bien…

C’est vrai que j’aime çà ordinairement, mais là je ne sais pas pourquoi J’ADORAIS çà. Une grosse queue de noir pour moi toute seule, de cette manière si inattendue, si je m’étais écoutée, je me serais tapée tous les mecs qui passaient ! Et à la fois encore ! Quelle excitée j’étais ! Pire qu’une chienne en chaleur !

Ma langue descendait le long de sa verge, je suçais ses petites couilles une à une, puis je remontais lentement -bien lentement- en prenant soin de bien fermer mes lèvres contre son sexe, je reprenais sa bite dans ma bouche en le suçant bien fort et j’accélérais mon mouvement. Je le sentais à point. Je me demandais à ce moment là (c’est bizarre n’est ce pas ?) si le sperme des noirs avait le même goût que celui des blancs. Je ne tarderais pas longtemps à connaître la réponse à cette question existentielle…

— Tu aimes avoir la bouche bien pleine toi ?

J’acquiesçais d’un HUMM approbateur tout en le regardant et m’interrogeant un peu sur la suite. Je ne serais pas déçue.

— Tiens tu vas voir ma salope comme je vais te la mettre !

Il me prit la tête à deux mains et attaqua son va-et-vient dans ma bouche comme s’il me baisait. Là, vraiment c’était trop. Trop gros, trop profond, trop tout. J’étouffais à chaque coup de butoir et je n’avais qu’une idée à ce moment là… respirer ! Lui n’en avait cure apparemment et continuait de plus en plus fort si possible, m’appuyant sur la tète pour aller jusque dans ma gorge. Je n’en pouvais plus et j’étais sur le point de m’étrangler lorsqu’il se retira : D’un coup, il me tira les cheveux pour mettre ma tète en arrière et se mis à se branler frénétiquement au-dessus de mon visage. Je poussais un souffle de soulagement. Je pouvais respirer ! Même si j’aime avoir la bouche pleine, point trop n’en faut ! Je reprenais rapidement mes esprits… et ma caresse linguale… par de petits coups sur les couilles… Il ne parlait plus !
Du moins, ce n’était plus le même discours ! Des mots de plus en plus espacés, les « vas-y ma salope » devenait « pompe ! » Puis « ACHHhh… » Évidemment ces termes ne sont que des bribes de souvenirs, des inflexions reconstituées, même si cela me marqua profondément… de monosyllabes en onomatopées le black montrait des signes de faiblesse.

Le premier jet inonda ma joue, le deuxième fut plus chanceux, à la commissure des lèvres, quant au reste il déchargea dans mon cou ! Il ne se contrôlait plus et se masturbait comme un fou en regardant le plafond ! J’étais un peu déçue de ne pas avoir reçu sa semence dans ma bouche mais il se rattrapa bien vite: « ah putain çà fait du bien ! » Il s’aperçut peut-être à ce moment là de la frustration de mon regard…
Tout en reprenant sa queue ramollie, il récoltait son jus dans mon cou et me le mettait dans la bouche.

— Allez ma cochonne, opération blancheur (sic !), tu me nettoies tout çà et en vitesse.

Oh que OUI, j’allais nettoyer et enfin goutter à ce sperme si attendu !
Je dégoulinais de partout ! en haut de sperme, en bas de cyprine; j’avalais sa semence épaisse et ’vigoureuse’ et je me Régalais. Je ne peux pas dire vraiment si cet éjaculât de black était meilleur que d’habitude, il aurait fallu comparer immédiatement voire simultanément… MAIS…
Un jour peut être…
Je ne me faisais pas prier et en vérité -malgré la quantité l’opération blancheur fut rapidement terminée, goulûment certes mais jusqu’à la dernière goutte !
J’étais dans un état ! C’était trop pour moi en une seule fois: un black, une pipe fantasmatique et inattendue, la chaleur, ce sperme…

Je m’écroulais sur le sol de la cuisine, relevais ma robe jusqu’à la tête, faisait ’sauter’ ma culotte d’une seule main, et me caressais furieusement le clitoris. J’étais dans un état second, AILLEURS…
Je n’avais pas assez de mes dix doigts pour me fourrager le clito, la vulve, les lèvres, le vagin et même mon petit trou qui en demandait ! Une vraie foldingue !
Notre black devait assister ébahi au spectacle : Une SALOPE majuscule, cuisses écartées, en train de prendre son pied comme pas une ! Il mis du temps à réagir et lorsqu’il tenta deux doigts dans ma fente, J’EXPLOSAIS !
Oui ! j’explosais de jouissance comme rarement j’avais connu. Même gamine lorsque je me frottais sur le coin de la table pour me faire plaisir, même avec Walter quand il me suçait comme un dieu, même… je ne me souviens pas d’un orgasme aussi fort !
J’atteignais enfin le nirvana dont j’avais lu et entendu parler !

L’interphone sonna à ce moment là. Oui, cette saloperie d’interphone sonnait à ce moment là !
Panique à bord. Je mis du temps à réaliser et à redescendre de mon piédestal…
OH OH L’INTERPHONE SONNE !
Je me relevais précipitamment, mon compère s’était déjà enfui, je pris le téléphone ’un peu sonnée’…

— Oui ?
— C’est le collègue, madame.
— Le collègue ? Ah oui, le porto… euh oui… j’ouvre…

Juste le temps de se passer un coup d’eau froide sur le visage que voila mon portugais à l’entrée.
Je devais avoir une tète ! Mais notre homme ne dit rien et alla directement constater ’l’avancement’ des travaux dans la chambre. Inévitablement, le black avait pris du retard et le chef le sermonnait quelque peu.
C’est à ce moment que je rendais compte que je n’avais pas remis ma culotte… j’allais rapidement la chercher dans la cuisine… mais ne la trouvais pas !!!
Ainsi notre all black avait gardé ma culotte en souvenir ! Au prix des sous-vêtements… le salopard…
Il leur fallu quand même une bonne demi-heure à deux pour terminer le travail. Le résultat en valait la chandelle me direz vous car le lit mezzanine est de toute beauté. Le petit portugais me fit remplir les papiers, je lui donnais son chèque et lui proposais un verre (…le noir me lança un regard… noir !…) qu’il déclina plus par politesse que par envie. 50 balles pour boire un coup au café du coin, c’est ce que je leur donnais. Mon homme du jour me dit « merci pour le pourboire » d’un oeil complice et ils prirent congé.

Je restais un moment perdue. J’avais quand même fait une bêtise… enfin… en pensant à Walter… mais… je n’avais rien à regretter… c’était lui qui m’avais ’violé’… je n’avais rien demandé… mais… c’était bon quand même… et puis quel pied ! …et si Walter apprenait…
Ma tête commençait à tourner. Il fallait se reprendre et se calmer !
Je pris une bonne douche un peu froide pour me remettre et me mis en robe de chambre pour être vraiment à l’aise.
Le soir, Walter rentra. Il fonça directement dans la chambre voir le résultat. Sourire. C’était ce qu’il attendait. Walter en était sûr. Car Walter calcule tout, peaufine chaque détail, étudie chaque chose, pèse le pour et le contre… et la mezzanine était son idée… UNE TRES BONNE IDEE…
Les enfants ne tardaient pas à rentrer du club ou ils passaient leurs journées. Le lit plu tout de suite et ils s’imaginaient déjà à l’attaque d’un château fort. Tout le monde était content en somme.

Une petite anecdote pourtant aurait pu faire capoter notre enthousiasme : Quand Walter sortit la poêle qui se trouve dans un tiroir, pour préparer les biftecks, il se retrouva avec ma petite culotte ! Le livreur avait du la ramasser et la cacher ici dans la précipitation !
Pas facile de trouver une explication… je bredouillais… les enfants… qu’est ce qu’ils sont joueurs quand même… mais je voyais mon Walter quelque peu dubitatif… enfin… il ne moufta mot…
Pourtant, j’ai un doute depuis ce jour là car lui qui n’osait pas me parler pendant l’amour me surprit quelques temps plus tard : il me prit debout contre la mezzanine en me lançant « Tiens ma salope, puisque t’aimes çà » Un point d’interrogation terrible… Aurait-il eu vent de ce cette pipe mémorable ? Avait-il revu le noir ? Ou pire… lui qui a la manie des détails… avait-il tout… organisé ?

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