« Bonjour. Je m’appelle Laurent. J’ai 37 ans et je suis photographe professionnel. » C’est ainsi que j’ai l’habitude de me présenter la plupart du temps dans des réceptions ou soirées.
Ce n’est certes pas très original. J’ai aussi remarqué que pour une bonne moitié des gens, hommes ou femmes confondus, cette présentation suggère immédiatement que je passe mon temps à photographier des femmes nues ou en lingerie dans des poses sans équivoque. Je dois dire que c’est assez plaisant, lorsque je me prends au jeu, de faire baver ces messieurs ou de voir naître au fil des discussions de nouvelles envies dans les yeux de quelques femmes. Malheureusement, tout cela reste très loin de la réalité, et rares sont les femmes qui osent faire le petit pas de plus (de trop ?) bien qu’elles semblent souvent intéressées de prime abord, soit pour elles-mêmes, soit pour leur conjoint.
En près de 15 ans d’activité professionnelle, j’ai bien sûr eu l’occasion de temps en temps de faire des photographies de nu, mais toujours lorsque je cherchais à faire de l’art et en rémunérant un modèle. Cela coûte cher malheureusement et je ne suis pas David Hamilton non plus.
Tout cela pour dire que l’activité de photographe se résume bien plus aux photos de mariage, aux portraits et au développement de milliers de pellicules, même si cela révèle parfois des situations inattendues comme celle que j’ai vécue en septembre dernier.
J’étais engagé comme photographe pour la cérémonie d’un mariage et la soirée qui suivit. Dans ces cas-là, on ne goûte pas vraiment à l’ambiance et on reste très professionnel car on sait combien chaque photo peut prendre une dimension importante pour les mariés. En plus, on n’a pas de seconde chance et il faut être à l’affût de tout événement mémorable ou insolite. Ayant l’habitude, je dispose généralement un caméscope dans un coin de la salle qui filme l’ensemble de la cérémonie puis de la réception. Armé de mon appareil, mon rôle consiste alors à tirer le portrait de tous les invités, sans les déranger si possible. La partie la plus facile de mon travail est de prendre les mariés en photo au cours de la fameuse séance photo. La plus agréable est de photographier toutes les étapes de la vente aux enchères de la jarretière lorsque les mariés en organisent une.
En ce qui concerne ma rémunération, elle est bien sûr au nombre de photos et des tirages supplémentaires, sauf pour la soirée qui est calculée à l’heure. Comme cela tout est clair d’avance et les mariés ne sont pas surpris si je pars à minuit ou seulement à trois heures du matin. Pour le mariage en question, les mariés avaient prévu de s’éclipser peu après 2h30 et m’avaient demandé de rester pour effectuer une séance de photos complémentaires : filmer et photographier leur nuit de noces.
J’avoue que c’était une première pour moi et je ne savais pas trop comment j’allais appréhender cette séance. En bon voyeur et amateur de sexe, je me réjouissais d’avance. En qualité de photographe, je me demandais si cela n’allait pas être assez difficile.
Trois heures du mat, nous sommes tous les trois dans la chambre d’hôtel réservée pour les mariés. Tous deux ont environ trente ans et sans être des gravures de mode sont assez mignons. N’étant pas porté sur les mecs, je passe donc sur le beau gosse nommé Édouard. Elle, Élodie, est assez bien faite, pas très grande, avec de longs cheveux noirs et des yeux marron en amande et un visage épanoui bien qu’un peu fatigué par cette journée. Sa robe de mariée est longue et traîne légèrement sur le sol. Dessous, par ce que j’ai aperçu lors de la vente de la jarretière, elle porte un slip blanc dentelle et des bas avec un porte-jarretelles. Le haut de la robe se résume à un bustier sans manche ni bretelle, porté sur un 90 B à peu près.
Dans la chambre, je me fais discret et déballe mon matériel. J’installe le caméscope sur un trépied dans un coin, filmant le lit et une grande partie de la chambre. Je sors mon appareil numérique. Je suis prêt. Édouard m’explique rapidement qu’ils vont ressortir afin de faire une entrée la mariée dans ses bras et que tout devrait s’enchaîner simplement. Élodie a juste retiré les frou-frou dessous sa robe et ils ressortent tous deux.
C’est parti !
Je mitraille les mariés durant leur entrée et lorsqu’ils se posent sur le lit. Je les observe s’embrasser langoureusement de longues minutes tout en se prodiguant force de caresses. Édouard se fait un peu plus hardi et fait jaillir les seins – forts beaux et fermes – d’Élodie hors du bustier. Les tétons sont bien dardés et semblent être une zone particulièrement érogène pour la jeune mariée qui gémit dès que son époux les titille de ses doigts ou sa bouche.
Je mitraille sans interruption, une rigidité nouvelle dans le pantalon.
Élodie prend aussi le jeu à son compte et déboutonne lentement la chemise de son mari et lui embrasse longuement le torse. Elle glisse un peu plus bas et entame les vraies hostilités en déboutonnant ceinture et pantalon et en faisant apparaître une très belle verge en dehors du caleçon. Elle semble alors jouer avec le sexe droit et tendu de son mari, le branlant doucement, lui léchant la hampe de temps à autre, lui titillant le méat du bout de langue, lui serrant les couilles dans sa main.
Je mitraille et me délecte des regards qu’elle lance à l’objectif. Pas besoin de viagra pour moi.
Elle lèche maintenant plus franchement la verge et l’enfourne doucement en bouche. Tout d’abord le gland, dont elle s’amuse à faire le tour avec sa langue. Puis elle la gobe complètement, remontant lentement la hampe comme si elle dévorait un sucre d’orge. Après plusieurs mouvements ainsi, elle prend la verge en main et s’active un peu plus, procurant une masturbation à son mari tout en le pipant de manière assez active embouchant plus de la moitié de la verge à chaque mouvement. Édouard émet quelques râles, il apprécie.
Je mitraille et j’apprécie moi aussi.
Elle s’active encore plus frénétiquement sentant le plaisir de son mari proche. L’orgasme d’Édouard n’est pas bien long à venir. Il jouit dans sa bouche. Elle avale le tout et récupère de son index une larme de sperme qui s’est échappée par la commissure de sa bouche.
Je mitraille, mais c’est dur.
Élodie laisse la verge et retourne embrasser son époux qui a énormément apprécié cette mise en bouche. Édouard allonge Élodie sur le dos et remonte lentement la robe de sa femme le long de ses jambes, faisant bientôt apparaître le haut des bas et les jarretelles. La culotte en dentelle est maintenant à jour et quelques caresses sur l’entrejambe finissent de détremper le mince tissu fort transparent au demeurant. Il le retire délicatement mettant à nu une jolie petite chatte presque entièrement épilée, aux lèvres déjà gonflées et ouvertes de désir et fort humides.
Je mitraille à tout va.
Édouard s’attaque maintenant à cet abricot avec sa bouche, faisant parcourir sa langue sur l’extérieur des lèvres, contournant le clitoris encore encapuchonné. Délicatement, il écarte les lèvres de ses doigts et en glisse un dans le sexe d’Élodie qui gémit à son tour. Édouard fait ensuite rouler le clitoris entre son index et son pouce, le libérant ainsi et arrachant un cri de plaisir à Élodie. Il approche de nouveau sa bouche et s’empresse de la lécher partout et de lui titiller le bouton d’amour.
Je mitraille au zoom.
Élodie roucoule et gémit de plaisir. Elle roule du bassin pour accentuer le contact de son sexe avec la bouche du jeune marié. Elle semble apprécier, mais décide subitement que ce n’est pas assez et interrompt son époux. Elle lui demande de s’allonger en travers du lit sur le dos puis, la robe relevée, vient s’asseoir sur le visage de son mari. Elle reprend ensuite ses mouvements du bassin de manière plus frénétique, le visage radieux et les seins ballotant au-dessus du bustier. Édouard s’applique à lui donner du plaisir mais je ne peux plus le voir car il est entièrement caché sous la robe de sa mariée. Élodie se mord les lèvres et son visage exprime chacun des plaisirs qu’elle ressent ainsi juchée à genoux (ou plus exactement à quatre pattes) sur le visage d’Édouard.
Je mitraille, mais je n’en peux plus et je sors mon fusil que je masturbe devant la jolie mariée. Laissant pendre l’appareil photo par la bretelle à mon cou, je me branle d’une main et de l’autre attire la tête d’Élodie vers ma verge. Elle ne se dérobe pas et m’enfourne à mon tour. Sa bouche est douce et sa langue divinement experte. Elle me suce comme on m’a rarement sucé pendant que je lui malaxe les seins qu’elle a fermes et agréables au toucher. Je lui titille les tétons, lui arrachant quelques gémissements étouffés.
Je reprends mon appareil en main. Je mitraille Élodie en train de me sucer.
Édouard, toujours caché sous la robe, continue de butiner le sexe de sa femme sans se douter que celle-ci est en train de me sucer et de me gober jusqu’à la garde. Élodie s’arrête de temps à autre de me sucer pour savourer son propre plaisir et gémir sous la langue de son époux. Je ne la laisse pas longtemps et enfourne mon sexe dans sa bouche à nouveau. Elle me suce et me branle tellement bien que je ne tarde pas à jouir et je me vide dans sa bouche, une partie de mon sperme venant aussi maculer son visage. Elle avale le tout et me regarde un sourire en coin.
J’ai mitraillé et je la mitraille avec mon sperme sur la joue et le menton. Elle s’essuie rapidement avec sa robe et se concentre à nouveau sur son plaisir pendant que je rentre mon sexe toujours raide cependant dans mon pantalon.
Élodie jouit enfin et j’ai immortalisé son expression dans l’appareil, le caméscope se chargeant en plus du son.
Édouard se dégage et entreprend de déshabiller Élodie. Rapidement elle est tout juste vêtue de ses bas et de son porte-jarretelles et Édouard est nu comme un ver. Ils s’allongent tous les deux sur le lit et après quelques caresses mutuelles, Édouard approche son sexe de la chatte humide d’Élodie. Il frotte doucement son gland sur la vulve et s’introduit en elle lui arrachant un râle de plaisirs intense immédiatement. La verge coulisse sans problème et ressort entièrement lubrifiée tant la belle mariée est humide. Il la réinvestit et s’emploie à pilonner Élodie rapidement et de manière bourrue. Élodie gémit et crie son plaisir très rapidement dans un orgasme dont je ne perds pas une miette. À son tour Édouard jouit et se vide dans sa chatte. Ils restent emboîtés quelques instants et un mince fil de sperme s’échappe du sexe d’Élodie lorsque celui-ci est enfin libéré du sexe devenu flasque d’Édouard.
J’ai mitraillé à fond la scène et entreprends maintenant de ranger mon matériel. Je suis toujours à l’étroit dans mon pantalon. Édouard se lève et vient me voir pour me demander si tout est bien en boîte et quand ils pourront récupérer le film et les photos. Je lui annonce qu’une bonne semaine sera au moins nécessaire et qu’ils pourront passer à la boutique au retour de leur voyage de noce.
Juste avant de partir, Édouard me dit que je n’aurais pas dû rester comme cela et qu’il n’aurait pas trouver choquant si je m’étais branlé pour me soulager. S’il avait su !
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