Je suis business-manager dans une grande boîte d’informatique américaine.
Chaque année, notre boss organise un grand séminaire dans un lieu de tourisme haut de gamme auquel tous les business-managers européens sont conviés avec leur conjoint.
Il s’agit toujours d’un moment de détente pour ma femme Sabine qui, durant ces quelques jours, oublie son boulot et les contraintes de notre vie de famille. Les enfants sont pris en charge par les grands-parents et c’est l’esprit libre que nous partons.
Durant nos ateliers de travail, les conjoints sont invités à profiter de la piscine, se promener et découvrir des curiosités. Nous étions ainsi, il y a moins d’une semaine, sur l’île de Madère, installés dans un luxueux hôtel en front de mer. Chaque séminaire est ponctué par un dîner de prestige. Soirée durant laquelle, habillés de tenues élégantes, nous sommes accueillis dans un restaurant de grande renommée pour la dégustation d’un grand repas. Ce séminaire n’échappait pas à la règle.
Le soir de la deuxième journée de travail, l’organisateur du séminaire nous a tous fait monter en car pour rejoindre la Marina de Funchal. Ce soir-là, le ciel était noir et, contrairement au début de notre séjour, la pluie menaçait fortement. Descendus du car, nous avons assez vite pénétrés dans le restaurant pour éviter la pluie de plus en plus prévisible. Nous étions une bonne trentaine, les messieurs classiquement vêtus de costumes impeccables et de cravates plus ou moins assorties. Les femmes n’avaient pas hésité à sortir des robes sexy et élégantes à la fois. Sabine avait opté pour une robe légère à bretelles de couleur rouge. Elle dévoilàit ses belles épaules, le haut de son dos musclé et l’ébauche de ses seins. Plus bas, la robe s’arrêtait sobrement au-dessus des genoux. Ses cheveux châtain flottaient sur sa nuque et sa démarche aérienne la rendaient toujours aussi désirable à mes yeux.
Alors que l’orage continuait de menacer, nous avons entamé l’apéritif, échangeant des banalités avec les convives sur un ton rieur. Peu de temps avant de s’attabler pour le début du dîner, Sabine me dit qu’elle craignait d’avoir froid et qu’elle retournait rapidement au car pour récupérer l’écharpe qu’elle y avait laissée. À peine avait-elle quitté la pièce que l’orage s’abattit violemment sur la Marina. Je me suis rapproché de la porte pour essayer de la voir. J’apercevais à peine le car, garé à quelques dizaines de mètres, tellement la pluie était intense. Je me suis dit qu’elle était probablement réfugiée dans le car. Nous sommes passés à table, la pluie tombait toujours très fort. La chaise à côté de moi restait vide. J’avais essayé de l’appeler sur son téléphone portable, sans réponse.
La pluie continua ainsi plus de quarante minutes. C’était un vrai déluge, accompagné d’éclairs zébrant les murs de lumière et de bruyants coups de tonnerre. J’avais essayé de nouveau de téléphoner, toujours sans succès. Je mettais ça sur le compte de l’orage. La pluie se ralentit progressivement jusqu’à s’interrompre enfin et un rayon de soleil couchant vint lécher le plafond du restaurant. Traversant ce rayon, Sabine apparut. Elle avait pris la pluie, vu la liberté de ses superbes cheveux et quelques gouttes d’eau s’écoulait encore sur ses épaules. Elle avait l’air un peu ailleurs, comme sonnée par la brutalité de la tempête qui venait de s’abattre sur Funchal.
Je l’interrogeai immédiatement pour savoir où elle était. Elle me répondit qu’elle était réfugiée dans le bus sans moyen d’en sortir. Et qu’elle avait attendu là. Je la trouvais un peu distante et préoccupée.
Le dîner se déroula ensuite sans autre surprise. Le poisson servi était merveilleux de fraîcheur et de saveur. Le dessert de mangue et de grenade fut tout autant exquis. Le repas fini, nous avons tous rejoint le car pour reprendre le chemin de l’hôtel. Sabine était toujours aussi mystérieusement absente depuis son retour dans la salle de restaurant. Durant le trajet, je l’interrogeai de nouveau. À voix très basse, pour n’être entendue de personne, elle me donna enfin quelques éléments :
— Il m’est arrivé quelque chose de spécial dans le car tout à l’heure. Je ne peux pas te dire tout de suite, je t’en parlerai plus tard.
J’étais très intrigué par cette demi-confession. De quoi pouvait-il s’agir ? J’avais remarqué qu’en me parlant, elle avait instinctivement placé ses mains entre ses cuisses qu’elle avait resserrées très fort.
Après avoir souhaité une bonne nuit aux collègues à la descente du car, nous sommes montés à la chambre. J’étais très impatient d’apprendre la teneur des événements qui s’étaient tenus dans le car.
Malgré mon insistance, Sabine prit le temps de passer à la salle de bains pour prendre une douche que je trouvais bien longue. À la suite de quoi, elle ouvrit le minibar pour se servir un Coca. Tout ceci, toujours sans prononcer le moindre mot. J’étais assis sur le lit, en train de feuilleter un magazine auquel je ne prêtais aucune attention. J’attendais que Sabine se décide à m’en dire plus.
À son tour, elle s’assit sur le lit, releva l’oreiller et s’adossa à la tête de lit. Je ne le savais pas encore mais ce qu’elle s’apprêtait à me dire allait profondément modifier ma perception d’elle.
— Marc, quand je suis allée chercher mon écharpe dans le car, tu te souviens, la pluie s’est mise à tomber très brutalement.
— Tu parles si je m’en souviens. Je t’ai attendue presque une heure après. Tu ne répondais pas au téléphone.
— À quelques mètres d’arrivée au bus, la pluie s’est abattue brusquement et j’ai été instantanément trempée. J’ai couru vers le bus et j’ai sauté à l’intérieur. Heureusement la porte était ouverte. Je dégoulinais d’eau. Ma robe était transpercée d’eau. Après m’être un peu secouée pour me débarrasser de l’eau, je me suis rendue compte que je n’étais pas seule dans le bus. Jaime, l’organisateur et le chauffeur étaient tranquillement installés au fond du car en train de manger des sandwiches en buvant des bières. J’étais très surprise de les voir et en même temps très gênée. Ma robe trempée était devenue presque transparente. On voyait très bien ma lingerie à travers le tissu.
» Jaime a souri et gentiment m’a proposé de chercher une serviette ou un linge pour me sécher. Le chauffeur continuait à manger en me regardant du coin de l’œil. J’étais rassurée que Jaime soit là car le chauffeur me faisait un peu peur. Il avait l’air un peu lourdaud. Jaime était en train de fouiller dans un grand sac. Il en a sorti une chemise blanche d’homme. Il est revenu vers moi et m’a dit qu’il n’avait que ça.
» Dehors, la pluie redoublait de violence, le ciel était noir et quelques éclairs commençaient à apparaître. Il m’a dit que le mieux était d’enlever ma robe pour mettre la chemise. J’étais debout devant lui et il pouvait tout voir à travers ma robe. Le chauffeur ne se gênait pas pour me mater. Je sentais mes seins qui pointaient à travers le tissu et les fesses moulées par la robe plaquée contre mon corps.
» Mon string noir devait transparaître nettement. J’ai demandé à Jaime s’il pouvait se retourner le temps que je me change et qu’il demande la même chose au chauffeur qui ne parlait que portugais. Miguel, le chauffeur, a ri avec une mimique grossière. Je n’ai pas compris ce qu’il a dit mais il ne semblait pas vouloir.
» Jaime m’a proposé de me glisser entre une rangée de sièges pour me cacher et il s’est assis sur le premier siège. J’étais debout très proche de lui, je le touchais même. Il me tournait le dos mais ce léger contact m’a fait de l’effet. Jusque-là, j’étais très pressée de me changer et de partir et là, j’ai ressenti comme une décharge électrique en même temps que le tonnerre frappait. Tu comprends ce que je cherche à te dire ?
Je l’écoutais le souffle court, les yeux écarquillés. Je commençais à anticiper dans ma tête ce qu’elle allait continuer à me raconter.
— Continue
— Je ne sais pas si tu vas être très content de ce que je vais te dire mais je suis trop mal depuis tout à l’heure. Je dois te le dire. Je me suis tournée vers lui. Je voyais sa nuque devant moi, au-niveau de mon ventre. J’ai enlevé doucement ma robe en essayant de l’effleurer avec le tissu mouillé. Quelques gouttes d’eau se sont accrochées à ses cheveux. Je les ai regardées couler dans sa nuque et glisser sous sa chemise.
» En fait, Miguel était tourné vers nous et, il voyait mon visage et le haut de mon corps. Mon soutien-gorge était aussi trempé. J’ai enfilé par-dessus la chemise blanche et j’ai dit à Jaime que j’étais changée. Il s’est retourné et a levé son visage juste sous mes seins. Il m’a fait remarquer que mon soutien-gorge trempait la chemise qui descendait jusqu’en haut de mes cuisses. Il m’a demandé de tout enlever. Je ne sais pas à quoi il pensait en me demandant ça. Mais sa façon de le dire m’a donné un frisson. J’étais excitée par la situation. Je lui ai dit d’accord et j’ai déboutonné le haut de la chemise mais sans lui demander de se retourner.
» J’ai essayé de passer la main dans le dos à travers le tissu de la chemise mais l’espace était trop restreint. Il m’a dit qu’il allait m’aider. Il a passé sa main à l’intérieur de la chemise puis derrière mon dos et il a dégrafé le soutien-gorge avec deux doigts. J’étais un peu perdue, je lui ai dit merci machinalement. J’ai fait glisser les bretelles l’une après l’autre dans les manches de la chemise pour le retirer. Jaime regardait dans la direction de ma poitrine. Il avait les yeux à cinquante centimètres et il voyait sûrement des choses.
» C’est vrai que, débarrassée de ce soutien-gorge trempé, je me sentis bien mieux. Je l’ai remercié avec l’air le plus naturel possible. Il s’est levé pour me laisser sortir de la rangée de sièges. Je sentais encore ma culotte mouillée me coller les fesses. J’avais envie de l’ôter mais j’avais peur de donner des idées aux deux hommes qui étaient seuls avec moi dans ce car au milieu du déluge.
» Je suis allée m’asseoir à la place du conducteur. J’ai discrètement levé mes fesses et j’ai retiré ma culotte. Au moment de passer la culotte au niveau de mes genoux, le chauffeur est arrivé à côté de moi. J’ai sursauté et j’ai poussé un petit cri. Il était vraiment effrayant, petit, râblé et avec un rictus un peu vicieux sur le visage.
» En me voyant, il a commencé à parler fort en portugais, il faisait des commentaires à Jaime qui était resté au fond du bus où il étendait mes vêtements mouillés. Ils ont commencé à s’interpeller assez fort. Je pense que Jaime lui disait de me laisser tranquille et que l’autre n’était pas d’accord. J’étais paralysée avec ma culotte sur les cuisses.
» Je n’avais pas profité de leur altercation pour la remonter. Il s’est penché vers moi et à pris ma culotte avec sa main. Il continuait de parler et tirait vers mes pieds. Il voulait sûrement que je l’enlève. J’ai entendu Jaime traverser le bus en courant. Il a attrapé la main de Miguel pour le faire lâcher. Ils étaient tous les deux penchés au-dessus de moi, leurs deux mains entre mes cuisses en train de s’arracher ma culotte. J’étais terrorisée et pourtant en même temps fascinée par ce qui se passait. La pluie battait violemment sur les vitres. On ne voyait rien à l’extérieur. Au bout de quelques secondes qui m’ont parues très longues, Miguel a réussi à se défaire de l’emprise de Jaime et l’a poussé au sol. Jaime n’arrêtait pas de l’engueuler. Miguel a descendu ma culotte. Dans la position où j’étais la chemise était remontée sur mon ventre, les jambes à moitié écartées, Miguel avait une vue directe sur ma chatte. J’ai vite resserré les jambes.
— Il faut aller porter plainte. C’est du viol !
— Attends, pas tout à fait. Miguel s’était arrêté et Jaime en a profité pour se relever. J’avais retrouvé mes esprits. Je me suis redressée en face d’eux. Je les regardai droit dans les yeux comme pour les braver. Et tout à coup, l’ambiance a changé. Je n’avais plus peur, Miguel n’était plus agressif et Jaime n’était plus protecteur. Debout devant le siège conducteur, j’étais nue sous une chemise trop grande et cernée par deux hommes pas forcément beaux mais que la bagarre avait rendu très virils à mes yeux. Maintenant que j’y pense, j’ai honte mais à ce moment-là, je me suis sentie dans un autre espace. L’orage autour rendait le moment irréel, presque magique.
» Miguel me regardait droit dans les yeux, toujours avec un air pervers mais sans aucun rictus sur le visage. Il a levé son bras et il a posé sa main sur ma poitrine. Ensuite, il a lentement déboutonné la chemise jusqu’au bouton le plus bas. Instantanément, les pans se sont ouverts, laissant voir mon corps de haut en bas. Je suis restée immobile. J’ai ressenti quelques décharges électriques dans le ventre. Bizarrement je me suis dit qu’il ne fallait pas que l’orage s’arrête. Qu’on était bien caché dans le bus.
» Et pourtant, la porte du car, dans le dos des deux hommes était grande ouverte et j’entendais le bruit de la pluie qui battait le sol. J’ai jeté mes épaules en arrière pour faire tomber la chemise. Cette fois-ci, j’étais nue. Je suis sortie de la cabine du conducteur en m’avançant vers eux jusqu’à les coller. Chacun a commencé à poser ses mains sur moi à me caresser. Jaime était précautionneux, il touchait mes épaules, mon ventre. Miguel était plus direct, je sentais une main courir sur mes fesses et déjà deux doigts qui glissaient sur mon bas-ventre.
— Mais ça a duré combien de temps tout ça ?
— Ça devait faire environ vingt-cinq minutes que j’étais montée dans le car.
— En moins d’une demi-heure, tu en étais déjà à te faire caresser nue par deux hommes au milieu du car ? Tu te moques de moi. Tu dis ça pour me rendre jaloux, c’est pas possible. C’est surréaliste. Personne ne fait ça.
— Je sais mais, justement c’était surréaliste. La scène était incroyable dans ce bus sous le déluge avec deux hommes qui se battent pour moi.
— Et alors, qu’est ce qui s’est passé ? Jusqu’où êtes-vous allés ?
— Pendant qu’il me caressait, j’étais de plus en plus excitée. À ce moment-là, je ne savais pas où m’arrêter. Je sentais mon ventre qui me chatouillait de plus en plus. J’ai posé mes mains sur leurs pantalons, au niveau de leurs pénis. Ils étaient très durs. Je les sentis qui frémissaient. Ils me touchaient de plus en plus. Miguel avait commencé à glisser deux doigts dans ma chatte et Jaime me léchait les seins. On était débout à l’avant du car. C’était très érotique. J’ai essayé de faire glisser leurs braguettes mais c’était difficile. Miguel m’a tout de suite aidé en la baissant.
» J’ai passé ma main à l’intérieur pour attraper son sexe. Jaime continuait de passer ses mains partout pendant que sa langue excitait mes tétons. J’ai réussi à baisser sa braguette toute seule et j’ai aussi attrapé son sexe. Du côté de Miguel, je tenais un sexe très épais. J’avais du mal à faire le tour avec ma main. Celui de Jaime me paraissait plus fin mais peut-être un peu plus long.
» À partir de là j’étais super excitée. Je n’en pouvais plus, et eux non plus. On voyait bien que la pluie commençait à faiblir. Il fallait finir assez vite. J’ai essayé de m’allonger sur une rangée de sièges pour qu’ils viennent me pénétrer chacun leur tour. Miguel a essayé le premier. Mais c’était difficile de prendre une bonne position tellement c’était étroit. Alors Miguel m’a relevée de force et il m’a retournée en me mettant à quatre pattes sur les sièges. Et là, il est venu me pénétrer en se mettant derrière moi. Il était super excité.
» Son sexe était vraiment très épais, il écartait mes lèvres au maximum. Il a commencé à faire des allers et retours très rapides. J’étais très excitée. Il s’est retiré juste à temps et j’ai senti les salves de sperme se poser sur mes fesses. Il tapait son sexe sur les fesses pendant qu’il déchargeait. C’était incroyable l’effet que ça me faisait. Ensuite il s’est écarté. Jaime a pris mon bras pour me relever. Il avait été très gentil avec moi. Nous étions face à face, il a relevé une de mes jambes contre lui, il s’est plaqué à moi. J’ai senti son sexe qui fouillait entre mes cuisses avant de trouver l’entrée. Miguel m’avait fait jouir et j’étais encore assez ouverte pour que Jaime me pénètre sans difficulté.
» Face à moi, il montait et descendait. Je sentais son sexe qui s’enfonçait profondément. J’ai atteint un état que je ne connaissais pas. Mon ventre se contractait à intervalles réguliers. Je me sentis perdre totalement le contrôle. Je ressentis un orgasme exceptionnel.
» Les contractions ont commencé à s’espacer, l’orage s’était arrêté dehors et juste une petite pluie finissait de tomber. Il fallait finir vite. Pour remercier Jaime de l’orgasme qu’il venait de me procurer, je me suis agenouillée devant lui, j’ai pris dans la main cette fabuleuse queue qui venait de m’envoyer au septième ciel et je l’ai porté dans ma bouche. Je me suis mise à le sucer, à l’aspirer de plus en plus fort. Je voulais lui faire le même effet qu’il m’avait fait.
» Je voyais son ventre qui se mettait à onduler, son visage qui se crispait. J’allai le faire jouir. Il a soudainement déchargé son sperme avec des jets surpuissants. J’ai pris les premiers dans la bouche. Je voulais goutter le nectar qui m’avait porté à l’orgasme et j’ai laissé le reste se répandre sur mes seins. Il m’a donné une quantité énorme. Je crois qu’il a joui autant que moi. Après je me suis vite essuyée avec la chemise blanche, j’ai enfilé ma robe très vite et j’ai laissé ma lingerie dans le bus. Quand on est remonté après, je n’avais qu’une peur, c’était qu’elle traîne dans un coin mais je crois qu’ils l’ont gardée en souvenir.
L’effet de cette révélation me laissa un long moment sans voix… mais pas sans effet dans mon boxer… je ne pouvais pas en rester là… j’allais devoir comprendre…
Jolie histoire ( ou récit ) qui m’a fait mouiller. Les rencontres non-prévues ont toujours ce petit plus qui me rendent folle. Bien qu’en général mon mari soit presque toujours présent lorsque j’ai un amant, il m’arrive aussi de m’éclater lors d’une rencontre inopinée (mais je la lui raconte toujours après, c’est notre pacte). Merci de m’avoir donné un plaisir virtuel.