Ca faisait déjà plusieurs mois que je sortais avec une nouvelle copine blonde d’origine polonaise. Je pensais bien la connaître. Pourtant, lors d’un dîné un peu arrosé, elle m’avoua qu’elle avait déjà tourné dans un porno. J’étais sceptique car elle refusait que je la filme avec mon smartphone quand on faisait l’amour, elle était bien trop timide… Alors, me racontait-elle des bobards ? Voulait-elle m’impressionner ? De retour à la maison, j’insistais pour qu’elle me raconte toute l’histoire et elle accepta…
“Je devais avoir 19 ans à l’époque et j’étais partie en week-end à Amsterdam avec Françoise, une amie franco-anglaise du lycée. On avait voyagé en autocar toutes les deux, c’était plus économique mais inconfortable au possible et le trajet avait été super long. Une fois sur place, on était tombé sur un mec qui vendait toutes sortes de trucs illegaux à la sauvette, sous le manteau. Il s’appelait Dimitri et il était d’origine russe. Le mec parlait très bien anglais et il ne quittait plus ma copine. Quand il vit nos sacs à dos, il eut un peu pitié de nous et il nous proposa de dormir chez lui. On était tellement fatigué qu’on accepta sa proposition.
On se retrouva donc dans son appart en train de fumer de l’herbe et à écouter de la musique “70’s psychedelic”. Françoise flirtait avec lui et je me demandais jusqu’où elle voulait aller. Il faisait très chaud car il utilisait deux projos pour éclairer le salon. Sur sa télé, une VHS érotique tournait en boucle. Un petit film de sa création, il faisait ça pour vivre en attendant mieux. Il filmait ça avec sa caméra et il vendait les images au vidéo club local qui s’occupait du montage. Il était toujours à la recherche de nouvelles filles… Je commençai à mieux comprendre pourquoi il nous avait si gentiment invité chez lui…
Il proposa de l’argent à Françoise pour qu’elle accepte de se foutre à poil et de se faire filmer. Il était tellement convaincant avec sa grosse liasse de billets qu’elle n’hésita pas très longtemps, elle qui était toujours fauchée ! Un peu défoncé, je m’étais installée dans un fauteuil où je pouvais les observer. Dimitri se masturbait et léchait le trou de balle de Françoise, qui devait sentir fort après toutes ces heures passées assises dans le bus !
Après 30mn de baise intense dans toutes les positions, Françoise courut vomir dans la salle de bains. Il la laissa tranquille et s’approcha de moi, la bite encore en érection, il me demanda si je voulais baiser. Je sentais que si je refusais, il était capable de nous foutre dehors. Comme Françoise était HS, j’étais un peu contrainte et forcée.
J’ai donc sucé sa queue quelques minutes car on avait vraiment besoin d’une piaule. Je ne me souviens plus trop de ce que j’ai fait d’autre avec lui, mais je ne me souviens pas d’avoir couché. Heureusement, j’ai jamais vu la vidéo de nos exploits mais je suis certaine que ce connard a tout filmé.”
C’était devenu une obsession. Je devais en avoir le coeur net. Est-ce que ce film existait ou non ? Après des mois de recherche sur Internet… je réussi enfin à le trouver ! sur un forum “Vintage” qui partageait des tonnes de films X amateurs des années 80. Le fichier SEXCAPADES_IN_AMSTERDAM.AVI venait d’être numérisé, c’était un VHSRip de la K7 originale.
Il y avait aussi un .jpg de la jaquette avec une description en néerlandais à l’arrière : un certain Dmitry Lobanov jouait le rôle d’un photographe qui cherchait des modèles dans la rue.
Au début de la vidéo, on le voyait parler à de jeunes et jolies inconnues, très naïves. Certaines refusaient sa proposition et rougissaient, d’autres acceptaient avec un grand sourire.
Alors, il ne couchait pas dans chaque scène, des fois, les filles faisaient simplement un strip ou se masturbaient devant la caméra. Les chattes et les dessous de bras étaient bien poilues, c’était l’époque qui voulait ça.
A la fin de la vidéo, il prenait une blonde en levrette qui ressemblait étrangement à ma copine mais on ne voyait pas son visage. Je ne pouvais pas être sûr à 100%. C’était peut-être Françoise car elle se faisait sodomiser et ma copine avait horreur de ça. A la fin du coït, le visage de sa partenaire apparaissait en POV. C’était bien ma copine, qui avait pris le relai, et qui lui suçait la bite ! Je la reconnaissais à peine, elle ressemblait à une gamine. Le montage avait été bien fait, pour le spectateur c’était la même personne, on n’y voyait que du feu.
Pour profiter de la scène, j’avais ralenti la vitesse de lecture de la vidéo. J’attendais l’éjac avec impatience tout en me branlant doucement. Inconsciemment, j’espérais que le gars avait les couilles pleines. Quand il lui demanda d’ouvrir la bouche et de tirer la langue, je faillis jouir instantanément. Il se masturbait devant son visage juvénile comme un forcené même si ça mettait du temps à venir car j’avais oublié le ralenti. Les premiers jets arrivèrent enfin et ça sortait avec force. Elle en recevait partout sur le visage, sur son nez, ses joues, mais surtout sur sa langue qui était toute blanche ! Une fois terminé, elle resta un long moment sans bouger. Elle l’écoutait parler et faisait non de la tête, elle n’avait pas envie d’avaler. La bouche pleine, elle baissa la tête et mastiqua un peu, puis…, plus rien ! la vidéo s’arrêtait là ! et… merde !
Je n’ai jamais su si elle avait avalé ou pas.
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