Voici bientôt dix ans que mon épouse et moi-même sommes mariés. Nous n’avons pas d’enfant et nous aimerions en avoir un. Ce qui conduit mon épouse à suivre un traitement médical et qui m’entraîne à sa suite pour des analyses de sperme et autres examens.
Me voici donc à l’hôpital, dans la salle d’attente, en comptant les personnes devant moi. Trois, c’est bon je ne vais pas devoir attendre bien longtemps.
L’employée appelle mon nom et me demande de bien vouloir entrer dans la cabine 4 et de me mettre en slip en attendant que l’on vienne me chercher. Je redoute un peu cette visite médicale, moi qui n’aime pas être tripoté par ces vieux médecins qui vous regardent par dessus leurs lunettes. Le temps passe et personne ne vient, je me pose un tas de questions et surtout je me demande ce que va pouvoir me faire ce médecin. Et à cette simple question, un tas d’idées les plus coquines me passent par la tête et j’en ai une érection. Me voila chouette pour entrer dans le bureau, bien vite je pense à autre chose pour que mon sexe revienne à la normale. Ouf ca y est, il était temps car une jeune infirmière vient m’ouvrir la porte et me regarde de la tête au pied avec une légère insistance au niveau de mon slip (serrant et de couleur rouille).
Le médecin m’interroge, me pose un tas de questions sur mes relations avec mon épouse et voila que mon érection me reprend en pensant à tout cela. Je réponds à toutes ses questions et je regarde la jeune infirmière qui ne quitte plus des yeux mon slip et la belle bosse qu’il fait, l’élastique se soulève un peu et j’ai peur que mon sexe n’en profite pour déborder. Lorsqu’elle se rend compte que je la regarde, la jeune infirmière rougit et détourne son regard comme si elle était prise en défaut. Le questionnaire se termine et le docteur demande à l’infirmière de me donner un récipient ad hoc pour prélever ma semence et en faire l’analyse.
Elle me demande de la suivre toujours en rougissant et me conduit devant un box où elle m’explique la marche à suivre pour que l’échantillon soit valable.
— Lavez-vous bien les mains avant de vous masturber, essayez de ne pas en perdre nous avons bien besoin de toute la quantité pour les analyses, si vous n’arrivez pas il y a quelques livres pour vous aider.
Là dessus elle regarde mon slip et me dit avec un sourire assez coquin :
— Mais je pense que pour le petit monsieur cela ne sera pas nécessaire et elle me donne le petit pot et s’en va en riant.
Mais c’est là que commence mon calvaire. Alors que j’étais en pleine forme l’instant d’avant, plus moyen d’espérer la moindre ascension de mon pénis, j’avais beau le secouer dans tous les sens, lui faire toutes les petites cajoleries qu’il aime, rien, le calme plat après la tempête. Je n’osais plus sortir et j’étais gêné de dire à l’infirmière que c’était la panne, même les poupées nues dans les livres et l’image du sexe de Rocco ne firent rien à l’affaire.
Après une bonne demi heure l’infirmière passe et me demande :
— Ca va mon petit Monsieur ?
— Bof pas trop on dirait que j’ai une panne.
— Une panne, s’exclama-t-elle, vous m’aviez pourtant l’air en très grande forme tout à l’heure hi hi hi.
— Oui je sais et cela ne me fait pas rire.
— Essayez encore une fois, je passerai dans cinq minutes, je verrai ce que je peux faire pour vous.
Me voila beau, moi qui était parti avec le sourire, mon ego en prenait un coup… Je n’avais plus qu’à attendre.
Voila à nouveau que l’infirmière gratte délicatement à la porte et d’une voix que je ne lui connaissais pas :
— Je suis là, vous pouvez ouvrir ?
A peine avais-je tourné le bouton qu’elle se faufile dans la cabine en mettant son doigt sur la bouche pour me faire taire. Tout bas elle me dit en riant :
— Alors c’est la panne, je vais vous aider, mais ne faites pas de bruit.
Elle installe la chaise avec le dossier contre la table et me demande de me mettre à genoux dessus comme à l’église, elle passe ses mains sur mes fesses et j’en ai un frison. Ses petites mains parcourant mon derrière, c’est divin.
Bien vite elle me fait écarter les jambes et passe ses doigts dans la raie de mon derrière et caresse mes bourses d’une façon si douce et délicate que je sens mon sexe enfin réagir. De sa main droite devenue inactive elle pose son pouce sur mon œillet et le masse avec douceur. Elle retire sa main droite un instant et revient à la charge avec un produit froid qui entre en contact avec mon anus, elle recommence son massage de mes testicules et de mon anus en appuyant sur celui ci pour qu’il s’ouvre. Je sens une légère douleur puis le doigt entre sans trop de difficultés.
Après m’avoir doigté un moment ainsi elle me dit :
— Nous allons passer aux choses sérieuses.
Et elle lâche mes bourses et saisit ma queue frémissante qui avait retrouvé sa raideur.
— Bel engin me dit-elle en riant, il me semblait bien que monsieur était bien membré puis elle me branle doucement mais avec un sérieux savoir faire.
Après un bon moment de ce traitement elle me dit de bien tenir le petit pot au bout de ma verge que « Ca va bientôt être le moment » et d’un coup, elle retourne son index qui était toujours fiché dans mon anus et appuie et masse ma prostate, me faisant remarquer qu’elle a le calibre d’une grosse noix.
A ce moment là, je sens partir comme un éclair de mon cerveau qui me donne de la chaleur dans tout le corps et je vois le sperme couler comme une fontaine dans le petit récipient.
Quand le calme est revenu en moi elle m’e demande de m’asseoir sur la table et elle avale mon sexe presque en entier, léche le gland pendant quelques minutes encore avant de se relever et de me dire en souriant :
— Voilà, nettoyage compris, monsieur a vraiment bon goût.
Puis, elle sort, me laissant consterné par ce que je venais de vivre.
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