Voilà plus de douze ans que nous vivions ensemble Aude et moi, à présent elle avait la quarantaine éblouissante au dire de tous ceux que nous côtoyons, il suffisait de suivre le regard des passants qu’elle croisait pour s’en assurer. Nous nous étions assagis depuis deux ou trois ans et nos aventures hors des sentiers battus, les soirées libertines et les rencontres de hasard (voir les précédentes histoires) avaient laissés place à une sexualité plus ordinaire voir routinière. Nous souhaitions à présent avoir un enfant et depuis plusieurs mois, malgré tous les examens médicaux nous n’y parvenions pas. Afin de nous retrouver tranquillement en tête-à-tête loin de Paris et de sa grisaille nous décidâmes de partir une petite quinzaine de jours dans le sud de la Thaïlande et de ses superbes plages. Nous avions réservé une suite dans un hôtel très confortable et un guide à notre disposition exclusive durant le séjour afin de visiter le pays en toute tranquillité et loin des touristes. Kyet était le nom de notre guide thaïlandais, il parlait parfaitement le français après avoir effectué toutes ses études en France et était âgé d’une trentaine d’années. Discret et sympathique, il nous faisait découvrir de petites plages désertes au beau sable blanc. Il nous accompagnait du matin au soir et était devenu un compagnon charmant et discret prêt à tout pour satisfaire nos moindres désirs. Je remarquais plusieurs fois l’intérêt qu’il portait à Aude, essayant d’en savoir un peu plus sur sa vie et ses attentes, et Aude lui livrait ses petits secrets. Ce jour là, environ une dizaine de jours après notre arrivée, Kyet nous avait conduit jusqu’à une petite plage retirée à l’écart d’un village de pêcheur.
Comme à notre habitude, nous nous étions baignés nus. Thyet était resté comme de coutume à l’écart, assis sur un rocher et dévorait Aude des yeux ; je le fis remarquer à celle-ci et pour toute réponse elle alla le chercher et le convia à se joindre à nous pour la baignade… il se déshabilla avec un peu de réticence et plongea dans l’eau à la suite de Aude. Leurs corps se frôlaient et ils jouaient comme de gamins.
J’étais content pour Aude que je retrouvais heureuse et enjouée après toutes les épreuves que nous avions subies. Le soir commençait à tomber, Kyet nous reconduisit à notre hôtel et papotait avec Aude comme deux vieux amis. Le lendemain rendez-vous était pris avec lui pour la découverte des quartiers populaires de Bang Saphan. L’heure était matinale et nous étions encore dans la salle de bains lorsque Kyet frappa à la porte, j’enfilais un peignoir et me dépêchais de lui ouvrir en m’excusant de notre retard, c’est alors que Aude fit son apparition au sortir de la douche, nue et sans aucun tabou, elle lui fit une bise et alla s’habiller devant lui sans aucune gêne ; je n’osais pas lui en faire le reproche malgré mon envie. Dans la voiture je lui fis toutefois remarquer dans l’oreille qu’elle jouait un jeu épuisant pour ce pauvre Kyet qui n’avait d’yeux que pour elle, elle me répondit que c’est ce qui l’excitait un peu et que ça lui rappelait des plaisirs de quelques mois voir quelques années en arrière… Je retrouvais bien là ma chérie toujours aussi provocante et si désirable…
La journée fut superbement agréable, balade dans la petite ville, découverte de quelques lieux magiques et déjeuner dans un petit resto typique et populaire au milieu des ouvriers et petits commerçants du quartier. Le jour commençait à tomber et Kyet nous proposa pour clôturer la journée de nous accompagner boire un dernier verre dans un bar fréquenté par les marins de passage sur la côte à quelques dizaines de km de là. C’est avec beaucoup de plaisir que nous avons accepté car nous aimions ces lieux atypiques et animés. La voiture s’arrêta devant une devanture assez banale, à droite une porte avec une sonnette et une pancarte que Kyet nous traduisit “ici Massage” et à gauche une autre porte d’où sortait des chants et une odeur âcre que je reconnus de suite comme celle du tabac, haschich ou similaire. Dès que nous eûmes franchi la porte de la taverne, toutes les têtes se tournèrent vers nous, et dans la demi pénombre, dans une brume de fumée, l’on devinait des regards fixés sur Aude, c’était la seule femme dans l’établissement… Kyet alla serrer quelques mains, échangea quelques mots, il avait l’air de connaître beaucoup de monde ici et comme par enchantement, les rires et les bavardages reprirent comme si nous faisions déjà partie de la maison.
La pièce était assez obscure, si bien que nous ne devinions pas grand chose du fond de la salle, sur la plus grande longueur de celle-ci, un rideau métallique fermé semblait couper la pièce en deux. Aude ne semblait pas très à l’aise, et Kyet lui fit remarquer que la boutique à côté sur le même trottoir disposait d’un jacuzzi, qu’il était possible de se faire masser, et que cette boutique était propre et très bien tenue, si elle le souhaitait elle pouvait en nous attendant y passer un agréable moment. Aude acceptât aussitôt et j’émis le souhait de l’accompagner pour vérifier ses dires. Kyet vint avec nous et après avoir sonné à la porte, une femme d’un âge avancé, vint nous ouvrir. Le local, assez petit était éclairé par des néons, tout était net.
Une table de massage était placée perpendiculairement à un miroir qui prenait pratiquement tout le mur et un jacuzzi faisait un angle de la pièce. Kyet s’expliqua avec la femme en langue thaï en lui présentant Aude. Celle-ci lui pris la main et nous repoussa à l’extérieur… Kyet me dit qu’aujourd’hui, seules les femmes étaient autorisées à se faire masser. Une demi-heure s’était passée depuis le départ de Aude et nous sirotions notre deuxième whisky lorsque le bruit du rideau métallique qui se levait nous fit tous, dans le bar, tourner la tête. Je faillis m’étouffer en voyant ce qui se passait ! le miroir de la salle de massage était sans tain et permettait aux clients du tripot de voir ce qui se passait dans la pièce du salon attenant… Aude était étendue nue, sur le dos, son corps magnifique huilé et brillant, la vielle femme lui massait les cuisses qui étaient écartées et ses doigts en remontant le long de la jambe s’insinuaient doucement mais sans aucun doute dans la chatte de ma compagne qui semblait prendre un grand plaisir à ce jeu, sans se douter que plus d’une trentaine de paires d’yeux se régalaient de ce spectacle. Certains filmaient la scène avec leurs téléphones portables… Je me levais de ma chaise pour protester mais Kyet me força à me rasseoir en me mettant en garde de ne pas faire de scandale car tous ces gars costauds et pour la plupart avinés où sous l’emprise de stupéfiants et qui admiraient Aude sous tous les angles risquaient de devenir violents. Ainsi Kyet était au courant de ce qui se pratiquait ici… et il nous y avait entraîné en toute connaissance. Etait-ce par dépit de ne pas avoir pu baiser Aude ou pour des raisons plus mercantiles ? était-il payé par le tripot lorsqu’il amenait ici des touristes de passage pour faire le spectacle ? Les mains et les doigts de la masseuse semblaient magiques, à chaque passage Aude soulevait son bassin et les doigts s’enfonçaient un peu plus avant à chaque fois, les yeux chavirés, Aude prenait son plaisir et semblait totalement décroché de la réalité… La horde vociférante du tripot se pressait au plus près de la glace de séparation en commentant le spectacle qui leur était offert.
— J’ai beaucoup discuté avec votre femme me dit Kyet qui avait deviné que j’avais envie de lui mettre mon poing sur la gueule – et il continua, Aude m’a raconté un peu de toutes les aventures que vous aviez vécu ensemble, aussi j’ai voulu lui montrer qu’en Thaïlande aussi on savait recevoir… le show ne fait que commencer pour elle !!!
Il se leva et se dirigea vers une petite porte basse que je n’avais pas vue jusque-là. Il tapa plusieurs fois dans ses mains et la horde de voyeurs se précipita vers lui, des billets sortaient des poches des hommes présents… : une enchère était lancée. Un petit homme, adipeux et à moitié chauve fut apparemment le gagnant et Kyet lui ouvrit la porte, celle-ci donnait directement dans la salle de massage. La vielle femme lui céda sa place et deux doigts, puis quatre doigts de l’homme trouvèrent l’entrée de la grotte huilée de Aude. Dans le tripot l’excitation montait surtout que l’individu à présent se mettait à sont tour nu… son ventre bedonnant, ses fesses molles étaient à présent à la vue de tous. A l’aide d’une petite manivelle, il baissa la table et approcha son sexe à moitié bandé des lèvres de Aude qui le prit en bouche sous les applaudissements de l’assistance ; tournée sur le côté celle-ci lui administrait tout en le branlant une fellation rapide… Le plaisir du petit homme se fit bref, il se crispa et cramponna la tête de Aude ; une longue giclée de sperme dans sa bouche vint clôturer la séance. Il aurait bien aimé continuer à profiter de ma compagne, mais la vieille maquerelle le chassa en lui jetant ses affaires et il sortit par une porte située à l’arrière. Aude sembla émerger de sa torpeur et sans vraiment comprendre ce qui lui arrivait, elle allait se lever de la table ; mais déjà dans une bousculade indescriptible, Kyet avait fait rentrer dans la pièce deux asiatiques bâtis comme des colosses. Ils plaquèrent ma femme sur la table qui ne chercha pas trop à résister compte tenu de leur carrure ; chacun leur tour ils prenaient place dans le compas des douces cuisses, sans se presser ils limaient son abricot grand ouvert et Aude y prenait encore semble t’il beaucoup de plaisir. Dans la salle, la nervosité des clients montait et une échauffourée commença, vite stoppée par Kyet qui tenait en laisse un énorme chien afin de maintenir la foule qui voulait pénétrer de force dans la pièce à côté… Après avoir épuiser leurs ressources spermatiques, sans retenue, dans le vagin de Aude, les deux costauds quittèrent la pièce. La vieille vint essuyer le sperme qui coulait des orifices de ma belle, puis le manège tourna à l’abattage, comme dans un bordel militaire… à nouveau, d’autres hommes se succédèrent en elle et s’épanchèrent sans vergogne dans sa bouche, ses seins ou plus généralement dans sa chatte et sur ses poils pubiens. Combien ? je ne pus les compter !, car j’avais bu verre sur verre et j’étais complètement bourré… Kyet vint me lever de ma chaise…
— Viens me dit-il, ils sont complètement excités… ça risque de devenir chaud, mieux vaut passer de l’autre côté, la vitre est incassable on ne risquera rien…
Il réussit à nous introduire dans la boutique et à refermer la lourde porte derrière lui… Aude ne remarqua pas notre présence immédiatement, elle était poisseuse de la dizaine de giclées reçues, je m’approchais d’elle et elle ouvrit les yeux en me souriant, elle était désarmante et ne semblait pas du tout choquée ou troublée de ses prestations.
— Est-ce que ça t’es au moins excité de me voir prise comme ça me murmura t’elle ? en tâtant l’endroit de ma braguette.
La seule réponse qui me vint aux lèvres fût :
— Etais-tu au courant par Kyet de ce qui allait t’arriver ?
Je n’eus qu’un clignement de paupières pour réponse…
Il est vrai que nous avions déjà joué ensemble à des jeux sexuels complètement débridés, lui en avait-elle parlé ? Se rendait-elle compte qu’elle était devenue actrice porno, sac à foutre et prostituée dans un bas-fond à marins sans peut-être le vouloir totalement ? ces questions continuaient à me tarauder l’esprit…
Kyet me fit remarquer que des bruits sourds provenaient du tripot, les hommes encore présents tapaient des poings dans la glace sans que nous pûmes les voir.
— Je vais les calmer un peu m’informa-t-il et il commença à se déshabiller… il se mis nu et à voir son érection je compris qu’à son tour il allait profiter de ce que depuis plus de 10 jours il convoitait. Il fit descendre Aude de la table de massage, son corps luisait de sperme, celui-ci la guida vers le jacuzzi, l’eau chaude et bouillonnante fit prendre un peu à ma compagne conscience de la situation et elle échangea quelques phrases avec Kyet dont je ne pus saisir le contenu.
Aude se leva du bain, ses longues jambes, ses seins de déesse et son corps splendide était un régal pour les yeux, magnifique et désirable… mais l’alcool avait fait son œuvre et il m’était impossible de bander… Elle se dirigea vers une chaise pour y prendre ses vêtements quand Kyet la retint par le bras et la fit mettre à genoux en levrette sur une sorte de planche à roulette d’environ 1m2 recouverte d’un matelas et, dont je ne compris pas tout de suite l’utilité. Il embrassa longuement Aude sur la bouche tout en la pressant contre lui, son érection était au maximum, les veines de sa verge étaient gonflées, il approcha son sexe du visage de Aude qui le prit en bouche ; elle lui pelotait les testicules tout en roulant sa langue sur son gland… La tenancière du bordel à ce moment précis fit tourner sur place cette sorte de lit à roulette, – je suppose pour que tous les yeux braqués derrière le miroir sans tain puissent assister au spectacle dans son intégralité et voir le couple sous tous les angles….
Kyet était au bord de l’explosion, aussi sans fioriture, ni autres préliminaires, il enfonçât son pieu au plus profond du vagin de Aude. D’une longue poussée rectiligne, il l’embrochât jusqu’à la base de ses couilles, et pour mieux lui prouver à quel point elle lui plaisait, il la contraignit à l’accueillir généreusement, sans hâte, pendant d’interminables minutes. Aude, les deux coudes sur le lit improvisé, subissait l’assaut en gémissant… mais emportée par une jouissance trop longtemps retenue, et par les mouvements rythmés du bassin de Aude qui lui rendait son plaisir avec une passion évidente, il ne pût résister plus longtemps, et agrippé aux hanches satinées de son amante, il se vida en elle en grognant… un sperme épais coulait sur les cuisses de Aude et derrière la vitre on entendait la foule des frustrés se déchaîner ! Dans mon demi comas éthylique j’aperçu le manège de Kyet qui remettait son pantalon sans plus de manière en embrassant à pleine bouche ma belle d’un baiser provocateur et allusif ;
Etait-ce afin de satisfaire les marins dans l’espoir de gagner quelques billets de plus ou était-il un vrai pervers ?
C’est alors que je m’aperçus que la maquerelle était accompagnée de deux garçons apparemment encore adolescents et que tous trois assistaient à la scène, discrètement dissimulés au fond de la salle. Sur un signe de la vieille ils s‘approchèrent du chien et le guidant par son collier il le firent monter sur la planche et lui écrasèrent le museau sur le clitoris gonflé de Aude encore tout lubrifié de sperme, la langue rose et douce du canidé osa une délicate toilette intime sans que celle-ci ne manifestât un refus quelconque, puis ils installèrent les deux pattes avant sur les hanches de ma compagne… très rapidement, le sexe du chien sortit de son fourreau et essaya de trouver un endroit afin de l’introduire. Ce petit manège dura une petite minute durant lequel de petits jets sortaient de son gourdin qui prenait de bonnes dimensions. Aude avait déjà eu des expériences de ce genre il y a quelques années et y avait trouvé du plaisir, mais celles-ci c’étaient passées dans des conditions disons, plus romantiques…
Brusquement, le chien trouva l’entrée sacrée du corps de Aude qui avait été déjà largement sollicitée. Frénétiquement, il secoua ma femme de toute sa vigueur bestiale, il pilonnait avec ardeur sa matrice et l’on devinait aux cris de celle-ci toute l’amplitude que devait avoir pris le gourdin du chien à l’intérieur de son corps. La partie terminale de son sexe, énorme boule, avait du grossir démesurément et à présent il obstruait le vagin de Aude qui répondait aux assauts du clebs en cambrant les reins afin de faciliter le va-et-vient. On devinait aux yeux chavirés de ma compagne que le sperme canin liquide et chaud se répandait en longs jets dans ses entrailles, elle gémissait la bouche entrouverte, le teint pâle… ; Les deux ados firent tourner le plateau et soulevèrent la queue du chien pour bien prouver à la foule qui devait être le nez collé à la glace que la pénétration n’était pas feinte, et que le chien était bien amarré en elle pour quelques instant. Je crus percevoir des sourires adressés par ma femme à ceux qu’elle devinait lorsque son visage se reflétait dans la glace… ; le chien se reposait sur le dos de Aude, deux filets de bave coulaient de sa gueule. L’attente dura quelques minutes qui durent paraître un peu longue à Aude, qui le front posé sur le matelas attendait sa délivrance. Le chien sembla s’ébrouer et dans un cri de douleur, mêlé de plaisir et précédé d’un gargouillis, le gros bouchon de chair canin s’éjecta de la chatte béante, un filet blanchâtre s’écoulait sur le matelas. L’un des deux ados écarta avec expérience les fesses de Aude comme pour affirmer à la vue de tous que le chien l’avait bien remplie puis il l’essuya avec une serviette. Kyet avait attrapé l’animal dont le sexe était resté d’une taille impressionnante, et continuait à faire de petits jets, et le guida vers le visage de Aude qui s’était mise sur le dos. Sans que quiconque ne la força, elle avala plus qu’elle ne suça le mandrin; trois ou quatre fois elle s’enfila au plus profond de la gorge le pieu de chair qu’elle ressortait en suffocant, le trop plein de liquide séminale qu’elle n’avait pas pu avaler coulait de sa bouche et sur ses seins… Elle était devenue incontrôlable, presque hystérique, en un mot une vraie belle salope…
Le bruit métallique du rideau qui se referme lui fit relever la tête, “la fête” pour les marins était finie, ils ne voyaient plus l’intérieur du “salon de massage”… Kyet et les deux garçons aidèrent ma compagne à se relever, et lui mirent une couverture sur les épaules.
— Vite, vite nous dit-il une voiture vous attend à l’extérieur, les deux jeunes vont vous accompagner… dépêchez vous !!! je reste pour calmer “les autres”.
Aude n’eut pas le temps de récupérer ses habits, ni ses chaussures, c’est dans le plus simple appareil et maculée que nous sautâmes tous les quatre dans le véhicule qui nous attendait avec un chauffeur. Celui-ci ne parut pas surpris de la situation… il devait aussi être comme tous les autres, un comparse.
Aucun mot ne fut échangé durant le trajet qui dura près d’une heure avec nos accompagnateurs qui de toute évidence ne parlaient pas un mot de français… Aude s’était endormie sur mon épaule, et parfois de brefs coups d’œil sur ma compagne par le chauffeur ou par les deux jeunes m’inquiétaient un peu… Il était très tard dans la nuit lorsque nous arrivâmes à l’hôtel, le chauffeur pris congé de nous poliment comme s’il n’avait rien remarqué et les deux ados aidèrent Aude, qui était vacillante, à monter les marches jusqu’au 2ème étage par l’escalier de service pour éviter les rencontres inopportunes… Ils entrèrent avec nous dans la chambre à ma demande afin de m’aider à glisser celle-ci dans la baignoire. Je lui fis couler un bain chaud et entrepris de lui faire sa toilette… La caresser à mains nues en l’enduisant de gel douche parfumé dans tous les recoins de ce corps sublime était un moment que j’aimais par dessus tout et souvent à deux dans la baignoire nous partagions ce plaisir mutuel…
— Je t’aime, je t’aime très fort – me dit-elle en m’offrant ses lèvres… mais je suis si fatiguée.
Je l’aidais à se coucher et lui laissais le grand lit pour elle seule. Les deux ados sirotaient un jus de fruit en grignotant des gâteaux secs sans faire attention à nous… je me couchais sur le canapé et m’endormis comme une masse… sans me soucier de rien. C’est le discret room service, à son grand regret, qui me réveilla en entrant dans la chambre, un peu étonné de me voir sur le canapé, il déposa le plateau sur le guéridon et s’éclipsa tout aussi silencieusement qu’il était entré… un détail attira mon attention dans la pièce, les vêtements des deux jeunes thaï étaient sur une chaise et ils étaient absents de la pièce. Je me glissais sur la pointe des pieds dans la chambre à côté et je découvris les deux ados dormant pelotonnés dans les bras de Aude et tous dormant à poings fermés…
Je refermais la porte doucement et m’enfermais dans la salle d’eau… L’eau fraîche me remit sur pied et lorsque ragaillardi je ressortis de la douche, les vêtements étaient partis ainsi que les deux compères. Je m’approchais de Aude qui était réveillée, elle me tira à elle en m’embrassant, le lit était chaud, son corps souple se souda à moi et ses longues jambes se glissèrent entre les miennes…
— Les deux jeunes ont passé toute la nuit avec toi ? lui demandais-je.
La seule réponse qu’elle me donna, c’est son corps sur mon corps, sa langue dans la mienne. Sa main fine et agile sut vite trouver mon entrejambe et introduire mon sexe bandé dans le sien déjà lubrifié… Je la baisais plusieurs fois de suite comme un fou !!!!
Les deux jours restants nous les passâmes dans la chambre à faire l’amour, à rire et à manger.
Quelques semaines plus tard, de retour à Paris, Aude m’annonçât quelle était enceinte !!!!! Notre bonheur fut à son comble et huit mois et demi après naissait notre fille, elle a aujourd’hui trois ans, belle comme une fleur de Rose de Porcelaine, les yeux légèrement en amande, nous l’avons appelé Mayariah.
PS : Les quelques huit mois de sa grossesse furent pour notre couple sur le plan sexuel comme une révélation, Aude était réceptive à toutes les aventures et les rencontres, mais ça c’est une autre histoire.
Nous n’eûmes plus aucune nouvelle de Kyet à part un mail provenant d’une adresse inconnue qui contenait un lien vers un site de partage vidéo pornographique situé en Asie où l’on y voyait une jeune femme se faire prendre en gang bang par une bande de marins et finir empaler par un chien. Aude y était parfaitement reconnaissable… Je fis des démarches auprès du site pour faire supprimer cette vidéo volée sans succès… A ce jour, toujours en ligne, elle a reçu plus de 350 000 visites.
L’épisode dans le bar et le salon de massage sordides est exactement le genre d’aventures que nous rêvons de vivre ma femme Cathy et moi. La voir servir de vide couilles en public pour tous les mâles d’un bar sordide et glauque avant qu’elle ne se livre en spectacle à un ou à des chiens nous fait fantasmer à mort. Et si quelqu’un était en mesure de nous fournir l’adresse de ce bouge, nous prendrions nos billets immédiatement pour nous y rendre. Et certainement pas pour une séance unique…
skype : [email protected]
sale pute
Oups ! Je croyais avoir lu les pires turpitudes d’une salope mais là cette histoire me laisse la bite en feu et j’attends avec impatience une nouvelle suite, plus aude prend de l’âge plus elle excelle dans la luxure
J’avais prévu de passer les vacances en Thaïlande avec ma jeune femme, après ce que je viens de lire, je crois que nous irons au pôle Nord.
mefaireb sodomie par un gros chjen comme aude
Belle expérience, J’aime aussi voir ma femme se faire prendre, elle aime bien les noirs et a plusieurs fois passé du bon temps avec des chiens.. Elle aime surtout se faire lecher le sexe bien ouvert, la langue rapeuse des chiens est parait il meilleure que la mienne! et surtout le cul. ma femme me dit que se faire enculer par un chien est meilleur que dans le con. le sexe du chien est pus pointu et se glisse facilement dans le trou serré et ensuite sentir la grosse boule enfler et dilater le cul est parait-il tout à fait jouissif. Les femems sont admirables..
Aude se fait baiser par un groupe d’hommes, se retrouve enceinte et on attend avec impatience les quelques aventures qui ont jalonnées les mois qui ont précédés son accouchement ! Après les chiens, les poneys, les anguilles ! Quels est le prochain animal qui fera son
bonheur …et le nôtre
Waouh ! Vivement la suite ! Aude enceinte en gangbang ?
Merci pour cette superbe histoire, vivement la prochaine…Aude dépêche toi!!!
Encore une superbe histoire de la belle Aude et son cocu de mari !!!
tres belle histoireki ma fait jouir